Mes chers poussins, la mission que J’ai du Père c’est de M’élever un peuple nouveau, un Israël nouveau, du peuple roumain, car le peuple que J’ai choisi au début s’est gâté tout à fait. C’est pour cela que Je suis venu dans le monde, Je suis venu Me choisir du monde quelques agnelets doux et obéissants, pour que Je puisse les nourrir de vivres célestes.
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J’ai élevé sur la terre par la foi d’Abraham, J’ai élevé un peuple dont les parents ont été Abraham, Isaac et Jacob, et Jacob Je l’ai nommé Israël. J’ai travaillé ensuite au milieu de cette lignée beaucoup de bénédiction, beaucoup de parole du ciel par l’esprit de la prophétie, tout comme Je travaille maintenant sur la terre avec Ma parole au milieu d’un peuple fidèle à Moi par l’enseignement venu des parents. J’ai tout le temps annoncé Ma venue et J’ai toujours dit au peuple Israël que Je viendrai, que Je travaillerai, que Je Me glorifierai et que Je ferai cieux nouveaux et terre nouvelle, et J’ai préparé ce peuple, Je l’ai conseillé et J’ai beaucoup préparé le fil de Ma venue, J’ai béni ce fil et Je lui ai découvert que Je travaillerai au milieu de ce peuple quand Je viendrai. Ce n’est pas pour autre chose que J’ai distingué ce peuple Israël entre les autres nations de la terre, oh, non, mais seulement parce que Je devais venir sur la terre après cinq mille ans depuis la création de l’homme et de sa chute de Dieu ensuite, car Je n’ai pas bâti l’homme pour qu’il meure, pour qu’il tombe, mais Je l’ai bâti comme Ma maison et J’ai tellement désiré de Me reposer en lui ensuite. Oh, comment Dieu aurait-Il pu montrer le visage de Son amour, Son Etre d’amour constitué, S’Il n’avait pas bâti l’homme, pour lui donner tout Son amour et pour se faire connu comme Dieu? Alors Il a décidé de faire le ciel et la terre et toutes les choses qui existent, et l’homme ensuite, afin de mettre Son amour en lui et pour lui, et que l’homme reconnaisse Dieu comme son amour et source de l’amour. Oh, c’est pour cela que Dieu a élevé un peuple pour Lui entre les peuples de la terre au temps d’Abraham, d’Isaac, de Jacob et de leurs descendants ensuite. De main de maître J’ai sorti Abraham de sa terre, Je l’ai mis dans une terre nouvelle, J’ai descendu Ma voix sur lui et J’ai prononcé Ma bénédiction sur lui et sur Ma descendance, celle bénie par lui. J’ai travaillé ensuite degré par degré la voie de Ma venue au milieu du peuple Israël, et par parole prononcée par des prophètes J’ai réalisé Ma venue sur la terre, Ma descente en corps de vierge pour être né d’elle, enfant du Père et le sien, et que Je croisse au milieu d’Israël, celui que J’ai nommé Mon peuple, et que Je fasse la preuve de Mon origine et divinité au milieu de lui, et toutes les nations de la terre savent depuis lors et jusqu’aujourd’hui qu’Israël a été Mon peuple, qu’il ne M’a pas reçu quand Je suis venu, qu’il s’est élevé contre Moi par ses grands, et qu’ils M’ont sorti d’entre eux, qu’il M’a mis à la porte Israël, car il s’est voulu lui maître sur la terre.
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Vous avez besoin de nourriture d’en haut, de nourriture saine, les fils, oh, paix à vous! C’est Moi, le Seigneur, Celui Qui vous nourrit, car Je suis le Pasteur envoyé du Père, tout comme J’ai été envoyé il y a deux mille ans, pour mener vers le pâturage d’en haut le peuple Israël, le peuple du Seigneur en ce temps là, mais il ne M’a pas reconnu le peuple qui avait la bénédiction d’appartenir au Seigneur sur la terre, et Moi, Je Me suis retiré dans le Père, après M’avoir crucifié, comme un homme pécheur, les grands d’Israël, et ensuite, pour Ma deuxième venue, Je ne suis plus descendu chez eux, mais chez vous, chez le peuple roumain, c’est vous chez que J’ai été envoyé, au milieu du ce peuple, car Je suis l’Envoyé du Père, Je suis Celui Qui, au début du monde, Je parlais entre Moi et le Père, et Nous Nous disions l’un à l’autre quoi et comment travailler, et c’est ainsi que Nous travaillions.
Oh, Je vais parler plus clairement au peuple d’Israël, de son manque de connaissance, de sagesse, de son insoumission, de sa grande présomption, qui l’a fait de ne pas reconnaître Celui envoyé du ciel, le Messie Qui, est venu chez eux du ciel, et il va avoir honte Israël quand Je vais lui dire toutes ces choses en toute clarté, puisqu’il a oublié ce qu’il ne devait pas oublier alors, et même si Je l’avais aidé à Me reconnaître il y a deux mille ans, il M’a toujours éloigné de lui, et lorsqu’il M’embrasera, il va rougir, il va pâlir de honte et il va s’humilier ce peuple, qui n’a pas voulu voir en Moi le Fils de Dieu le Père, et le Père en Moi, jusqu’au moment où Il s’est retiré de Moi, pour que Je puisse M’approcher de la mort sur la croix et payer ainsi le salut de l’homme, et M’élever ensuite à nouveau, pour demeurer auprès du Père, à Sa droite, à triple puissance, et travailler pour ceux fidèles comme Abraham, et leur donner Mon royaume, le Seigneur Empereur sur eux et avec eux, et c’est ainsi que Je travaille avec vous, oh, les fils.
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Ce jour de fête est célébré dans le ciel et sur la terre par tous les anges, par tous les saints et par beaucoup de gens, et la troupe des prophètes se trouvent en grande joie face à face avec les grands accomplissements des paroles écrites dans les Ecritures, par l’esprit de la prophétie, l’Esprit de Dieu par la bouche de Ses prophètes, car des grandes promesses s’inscrivaient sur le peuple d’Israël, et ces inscrits s’accomplissent merveilleusement selon la carte et aux temps prédit pour chaque promesse, et Mon temps, le temps de Messie allait mettre à grande épreuve la foi du peuple élu, son amour envers le Seigneur son Dieu et sa stature, mais ce peuple s’est coupé en deux alors et ils s’est frayé deux chemins, et il a été mis à l’épreuve l’Israël en ce temps là, et il est tombé de la foi, et il en est demeuré un reste, par la grâce choisi, pour qu’il soit la nouvelle semence du peuple de Dieu, peuple nouveau, le peuple du Christ, le Messie, Celui promis du Père par les prophètes, grand Sauveur, le Fils de Dieu venu sur la terre, né de chair de Vierge, Celui saint, Qui allait renouveler le monde et élever un peuple de saints devant le Père Sabaoth, un nouveau Israël, selon la grâce, selon l’esprit, non pas selon la chair, telle qu’elle a été prononcée la promesse faite à Abraham, un grand peuple, qui a mis sa vie pour la foi en Jésus le Christ, le Messie promis par les prophètes comme Sauveur et Seigneur.
Je suis Celui Qui est. Je suis la Parole du Père Sabaoth, tel que Je l’ai été dès le début, lorsqu’on a fait le ciel et la terre. Oh, J’entre tout comme Je l’ai fait il y a deux mille ans, J’entre à Jérusalem et le cheval blanc c’est Ma parole. Je ne demande pas au peuple Israël, Je ne lui demande pas la permission d’entrer chez lui, mais Je transperce le mur d’entre Moi et lui, J’entre par les portes fermées, puisque Je suis le Christ, Celui ressuscité et Je n’ai pas de frontière qui puisse M’arrêter, toute comme Je n’en ai pas eu quand Je suis sorti de la tombe, de sous la grande et la lourde pierre. Oh, tout s’incline devant Moi et connaît Mon nom et la grâce et la puissance du Père qui est en Moi et voilà, Je donne au peuple d’Israël Mon parler avec lui après deux mille ans depuis le jour de Mon entrée à Jérusalem sur le petit de l’ânesse, lorsqu’elle s’est accomplie la prophétie écrite d’avance, afin de se montrer au milieu d’Israël, pour la gloire et l’apparition de Messie, le Fils de Dieu le Père.
J’entre chez toi, J’entre de nouveau, oh, Israël, peuple à grand nom entre les nations. Oh, paix à toi! Ceci est mon sceau, lorsque J’entre dans une maison, dans une cité.
Oh, fils d’Israël, pour que vous Me receviez, Je vous donne le salut réservé aux disciples: Paix à vous, paix à vous, Mes fils de jadis! Que la paix soit avec vous en ce jour où l’on fait mémoire des œuvres de Dieu au milieu de vous, fils d’Israël! Oh, voilà ce que Je fais en ce jour de grande mémoire ! Je prends ici avec Moi, en ce lieu, à Ma source de parole du milieu du peuple roumain, là où J’ai attaché Mon secret cheval, car c’est ainsi que Mon Père Sabaoth a ordonné, à savoir que Je dois avoir maintenant, à la fin, un nouveau pays de venue en parole sur la terre, et Moi, Je prends à cette table de parole, Je prends ceux d’Israël, qui alors ont choisi de ne pas Me recevoir comme venu du Père entre eux, sous le visage du Messie, et qui ont signé Ma condamnation à la mort sur la croix, Je les prends et Je leur montre et Je leur parle de ce qu’ils n’ont pas voulu voir et entendre durant leur vie sur la terre en Mon temps, lorsqu’ils auraient pu croire eux aussi, mais ils ont tourné leur face et leur oreille pour ne pas voir, pour ne pas entendre le Messie, Qui, Le voilà, prononce maintenant en ce lieu, Sa parole de la fin de temps, tel qu’il est écrit de s’accomplir en ce temps, Sa venue sur la terre, sous le nom de Parole de Dieu, le Seigneur enveloppé dans la nuée de parole, en parlant à la terre.
Je Me mets à table de parole avec toi, Israël d’alors et d’aujourd’hui. Me voilà accompli sur la terre avec deux mille ans de saints dans le ciel, mais aussi sur la terre, en ce temps-ci et jusqu’à la fin, Mon temps, avec un peuple de saints, auxquels J’ai dit par les prophètes: «Soyez saints, puisque Moi, Je suis saint!».
Oh, Israël, souviens-toi du jour où, un jour avant Mon entrée à Jérusalem, sur l’ânon de l’ânesse, Je venais de la cité de Lazare et de ses sœurs Marthe et Marie et Je Me dirigeais vers Jérusalem, lorsqu’ une grande multitude de Juifs avait appris de l’un à l’autre que j’avais appelé Lazare, celui qui était mort depuis quatre jours et Je lui avais dit: «Lazare, viens dehors!», et lui il s’est montré vivant. J’ai tout d’abord demandé à Marthe: «Crois-tu que ton frère ressuscitera?» et elle a dit: «Oui, Seigneur, je crois que Tu es le Christ, le Fils de Dieu, Celui Qui devait venir au monde». Oh, voilà de la foi en Israël en ce temps là, lorsqu’il y avait certains qui croyaient en Moi, et d’autres qui n’ont pas cru ni aux porcs qui ont parlé à voix humaine, par esprit de diable, et M’ont nommé le Fils de Dieu, car ils ont eu peur de Moi les diables des porcs, Me suppliant de ne pas les tourmenter avant le terme.
Voilà donc, après avoir fait mémoire du dimanche de la résurrection de Lazare il suit le dimanche de Mon entrée à Jérusalem et Je Me tiens avec toi en parole et J’entre dans ta cité, peuple d’Israël. Je veux te parler clairement de Dieu, du Fils de Dieu, de l’Esprit Saint et de Ma venue chez toi en ce temps là, de l’incrédulité de tes chefs d’alors, et voilà, de la foi sainte de beaucoup d’entre ceux d’Israël, qui sont morts, tout comme Moi, pour le grand témoignage, pour Celui envoyé par le Père, pour élever un grand peuple pour le Seigneur sur la terre, et qu’elles coulent, vers Son enseignement, des nations et des langues, tel qu’il est écrit dans les prophètes qu’il s’accomplisse.
C’est Moi, oh, Israël, ouvre-Moi! Je suis Celui Qui est, tel que J’ai dit à Moïse dans la montagne de te dire sur Qui suis-Je, afin qu’il crut en Moi le peuple d’Israël d’alors et celui d’après. Oh, c’est Moi, mais tu n’as pas voulu Me connaître et tu as trouvé bon que toi, tu sois et que Moi, Je ne sois plus ensuite. Oh, tu ne t’es pas donné la peine de bien réfléchir ce temps là, pour ne pas pécher alors. Tu as tenu le livre des prophètes fermé pour tes yeux et ta raison et tu as amèrement péché contre Dieu le Père et tu as mis en croix Dieu le Fils, et pour que tu comprennes le fait qu’il y a le Père et qu’il y a le Fils et qu’il y a le Saint Esprit, Dieu en trois personnes, voilà, Je te rappelle maintenant et toi, ouvre en même temps que Moi le livre de ta table, et lis en, ce que Moi Je te lis de lui, pour que tu saches que le Messie devait venir du ciel, non pas de la terre, et Moi Je suis descendu du ciel et Je Me suis blotti au sein de Vierge pour prendre visage et corps humain et payer avec la mort sur la croix, la rançon de l’homme tombé de Dieu, par la désobéissance aux commandements qu’il devait respecter dans l’Eden, et voilà c’est du ciel que Je suis venu et J’ai prouvé que Je suis venu d’auprès du Père, si c’est Lui Qui M’a envoyé, et tu dois comprendre le nom et le mystère de l’envoyé, de l’envoyé du ciel, oh, Israël, peuple têtu, que le Seigneur appelle aujourd’hui encore, vers l’amour, celui d’en haut.
Et maintenant, voilà, cherche, car dans les prophètes on écrit clairement tout que J’ai accompli sur la terre depuis la naissance et jusqu’à Ma résurrection, et ensuite Mon ascension à Ma place auprès du Père, à Sa droite, puisque J’ai accompli tout ce qu’il M’a donné à travailler sur la terre. Et pour que tu saches, toi et tous ceux de la terre qu’il y a le Père, et qu’il y a le Fils, Je te rappelle, oh, Israël, qu’à la création du monde, au sixième jour, Dieu a dit: «Faisons l’homme à Notre image, selon Notre ressemblance», et Il a dit encore le Seigneur Dieu: «Il n’est pas bon que l’homme soit seul. Faisons lui une aide semblable à lui».
Ouvre bien tes yeux et tes oreilles, toi Israël et vous, nations de la terre, car le Père et le Fils parlaient aux jours de la création, et Ils parlaient après chacune des œuvres que Dieu faisait.
Oh, mais l’homme a péché ensuite, il a péché Adam par la désobéissance il a péché, et le Seigneur a dit: «Voici, l’homme est devenu comme l’un de Nous, par la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre de l’arbre de vie, d’en manger et de vivre éternellement». Oh, il devait mourir Adam, parce qu’il n’a pas obéi pour ne pas mourir, car Je lui ai dit dans l’Eden: «Le jour où tu en mangeras, tu mourras» et voilà la désobéissance c’est la mort, et c’est pour cela que l’homme meurt, à cause de la désobéissance il meurt, et le Seigneur Dieu a chassé Adam du jardin d’Eden. Il l-a fait sortir pour travailler la terre, de laquelle il a été pris, et Il a mis des chérubins à épée flamboyante pour garder l’arbre de vie et le chemin qui va vers lui, tel qu’il est écrit.
Ensuite les hommes et les nations se sont multipliés sur la terre, et ils se sont occupés de leurs affaires, et Dieu les regardait d’en haut et, voyant ce qu’ils voulaient faire, le Seigneur dit: «Voici que tous font un seul peuple et parlent une seule langue et maintenant rien ne les empêcherait de faire tout ce qu’ils auraient projeté. Nous allons descendre et confondre leur langage afin qu’ils ne s’entendent plus les uns les autres et Nous allons les disperser sur tout la terre pour qu’ils cessent de bâtir la cité et la tour, et il y est resté depuis le nom de Babillons, la tour Babel, là où le Seigneur Dieu a confondu leurs langues».
Je vous dis tout cela, faits lus du livre, pour que Je vous rappelle du Père et du Fils, Qui parlaient et travaillaient à la création, et à toute chose ensuite. Elle s’est montrée la Trinité de Dieu sous le chêne à Abraham et lui a parlé tout comme aujourd’hui, quand, au milieu du peuple et de la terre roumaine, le Seigneur a Sa rivière de parole, haute montagne, de laquelle coule vers les nations la rivière de la vie, la parole de Sa bouche, pour la guérison des nations, tel qu’il est écrit, et la promesse faite à Abraham appelle les peuples au salut, à l’ église sainte, celle fondée à son début sur Mon sacrifice sur la croix, et la croix est restée pour les chrétiens le signe de la victoire, Mon embrassement avec eux de générations en générations et elle est devenue la croix signe de salut par Mon sacrifice sur elle, et malheur à ceux qui méprisent ce signe, que Moi, le Crucifié, J’ai laissée dans l’église, puisque Mon église doit Me ressembler à Moi, non pas aux fils du monde, non pas à ceux sans croix, qui ne peuvent pas se renoncer pour Me suivre en pourtant la croix, tel que Je l’ai dit à faire à ceux qui veulent aller à Ma suite.
Dieu s’est montré à Abraham, et Abraham s’adressait au Seigneur comme à trois faces et êtres et il disait: «Seigneur, si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, ne passe pas loin de Ton serviteur, et moi je vais laver vos pieds et vous reposer sous le chêne, je vous apporterai du pain et vous mangerez, après quoi vous continuerez votre route, et moi je suis votre serviteur».
Israël, oh, Israël, Je viens chez toi pour te consoler et te rendre doux envers Dieu, et te sensibiliser le cœur et la raison, et te prier de lire les Ecritures, Mon fils, pour y trouver le Fils de Dieu annoncé par les prophètes, et que tu n’as pas reçu, au temps où le Père L’a envoyé chez toi. Oh, c’est en vain que tu dis attendre le Messie. C’est Moi. Reçois-Moi, maintenant du moins, reçois-Moi, juste avant Mon effrayante gloire, lorsque Je partagerai à chacun selon son œuvre.
Je ne peux fixer le jour du jugement des faits de tous avant que Je ne t’appelle pas de nouveau, toi peuple à grandes promesses prononcées par les prophètes, pour que le Seigneur les réalise avec toi. Je ne peux forcer ton amour et ta foi pour ouvrir le livre de Mon Evangile et de Mes témoins dignes de confiance, qui ont donné leur vie pour Mon témoignage, mais Je t’en prie, Je t’en supplie paternellement, Je te prie avec Abraham, avec Isaac et avec Israël, les parents du début, Je te prie, cherche de vouloir écouter le Christ dans Son Evangile laissée par des messagers sur la terre, par laquelle s’est élevé un grand peuple de saints, saints comme Lui en amour, sacrifiant leur vie pour la donner à leur Seigneur, puisque Mon Evangile a comblé d’amour la terre, et qu’il est doux Mon amour et celui des disciples d’alors, ceux choisis d’entre vous pour une mission sainte sur Ma voie avec eux, lorsque Je suis venu du Père, né de mère Vierge, de laquelle le Père M’a fait sortir par merveille, au temps venu, et le corps virginal est resté saint, car Dieu a travaillé de nouveau comme au début, au moment où Il a pris la femme de l’homme, et Il a refermé la chair à sa place, et il y a deux mille ans, Il a pris Dieu de mère Vierge et Il a nivelé à sa place la chair, pendant le sommeil de la Vierge, et le Seigneur a mis le petit enfant près de la mère, et elle L’a élevé comme Sa mère, la mère du Christ le Messie, Celui envoyé du Père sur la terre.
Un grand peuple s’est élevé alors de toi, Israël, un peuple chrétien, et il continue de s’élever jusqu’à présent, mais Je souhaite que tu fasses paix totale avec Moi et que tu sois le remède pour Mes plaies, puisque c’est pour toi que J’ai souffert les clous qui perçaient Mes mains, et Mes pieds sur la croix et les épines enfoncées sur Mon front divin, de sorte que la douleur brisant Mes forces, J’ai crié au Père, en douleur, et Je Lui ai dit: «Pourquoi, Mon Père, pourquoi M’as-Tu abandonné?». Il était sorti le Père pour que Je puisse passer comme l’homme vers la mort de la chair, mais tout de suite Il M’a consolé et M’a donné la force de Me relever de sous la lourde pierre qui fermait le sépulcre qui M’a abrité, et duquel Je devais sortir ressuscité, et que l’on annonce de long en large, des extrémités aux autres Ma résurrection, pendant que toi, Israël, en ces jours là tu as été jugé, car le jugement a changé de direction de Moi vers toi, oh, et ce fût en vain ton mensonge, mal formé dans la précipitation d’alors, à savoir que les disciples M’ont pris du sépulcre lorsque la garde dormait à coté. Oh, mais si elle dormait, comment pourrait-elle voir ceux qui avaient pu Me prendre de sous cette pierre là, qui était si lourde, à grande peine dévalée à l’entrée du sépulcre de Mon corps, sépulcre emprunté d’ailleurs?
Oh, il n’a pas marché ce mensonge là, mais elle s’est répandue la honteuse annonce sur l’Israël, celui rebelle contre Moi, et vous, fils d’Israël, vous demeurez depuis ce temps là et jusqu’aujourd’hui sous ce honteux sceau. Mais Moi, Je viens en parole sur la terre et J’entre chez vous à cheval blanc, pour essuyer votre visage et vous embrasser et vous mettre devant Moi avec de la foi, les fils, afin que vous soyez Mes orthodoxes, puisque la foi juste se trouve seulement dans l’ordre orthodoxe, parmi les noms attribués à tant des croyances des hommes sans guide d’en haut sur eux, et l’ordre orthodoxe est celui qui a gardé sa forme du début, même si elle n’est pas suivie, en fait, par ceux qui sont baptisés dans cette église.
Oh, ne vous disculpez pas, mais repentez-vous profondément, les fils, tout comme vous savez qu’Israël le faisait toutes les fois qu’il tombait esclave, à cause de son éloignement de Dieu, et quand il criait dans son repentir, et quand Dieu l’entendait, Il le sauvait, oh, voilà, c’est ce que Je veux faire maintenant avec vous, mais si vous vous disculperez encore, vous resterez dans vos péchés, qui devraient vous mener vers l’humilité, les fils, pour que vous puissiez espérer, car le publicain pécheur a crié en tout espoir et humilité et on lui a fait grâce.
Oh, il ne peut pas l’homme porter sa culpabilité, et il ne sait pas ce qu’il perd, car il perd l’empreinte du visage de Dieu et il ressemble au diable, qui ne peut s’humilier et reste toujours agressif.
Oh, Israël, Israël ouvre le livre de Dieu, Celui Qui te parlait aux temps jadis et Que tu tiens comme ton fondement, comme peuple de Dieu, car voilà, pour ce livre-là aussi tu ne te donnes pas la peine, de le comprendre et tu l’interprètes selon tes souhaits, mais lui, il t’enseigne la foi comme celle d’Abraham pour les mystères de Dieu avec Lui, avec Sa postérité ensuite, celle selon l’esprit et celle selon la chair, puisque celle selon la chair a embrassé l’incrédulité, mais Moi, si Je n’étais pas descendu du ciel pour venir ici et maintenant, oh, grand aurait été l’embarras des hommes sur la terre, et les hommes ne savent pas ce qui cela signifie Dieu, et ils demeurent dans l’ignorance et se perdent par manque de connaissance, les pauvres, tout comme ceux qui n’ont pas de Dieu en leur foi.
Oh, Israël, il est écrit de toi que, le livre fermé ou ouvert, tu n’as pas voulu croire à la merveille de Ma venue chez toi, et Moi, Je suis venu et Je suis mort pour toi et pour ton incrédulité, Mon fils. Voilà, Je t’appelle maintenant pour guérir ton cœur, pour te faire de nouveau, pour travailler de nouveau sur toi, pour que tu sois de nouveau le Mien. L’homme maculé et sali de tant de choses, il se lave, ou c’est Moi qui le lave, s’il Me demande de le laver à l’intérieur et à l’extérieur, pour le rendre neuf. C’est ainsi que J’ai fait avec la terre aussi, lorsqu’elle est devenue sale à cause des péchés des hommes qui l’habitaient, et tout comme Je l’ai sortie des eaux et au déluge Je l’ai plongé dans les eaux pour l’en sortir nouvelle, oh, c’est la même chose que Je veux maintenant, je souhaite sortir l’homme du feu et le libérer de tous ses péchés et le rendre pur et saint, mais voilà, J’appelle au salut les nations de la terre , et toi, Israël, Je t’appelle plus fort encore, puisque J’ai histoire écrite au milieu de toi, et Je la tiens devant Moi et Je te trouve incrédule à Mes accomplissements avec toi et Je veux te renouveler et te dire de ne pas attendre le Messie, tel que tu dis que tu L’attends, car Moi, à Ma venue d’alors, J’ai été annoncé par beaucoup de ton peuple et J’ai beaucoup guéri et guidé vers Mes eaux douces et guérisseuses de péchés, et s’est ainsi que s’est élevé un grand peuple de saints martyrs de ton milieu, et ils sont le peuple du Christ et ils sont tes ancêtres, avec lesquels Je parle dans les lieux très hauts, et nous faisons conseil pour ton salut du péché de l’incrédulité et celui de l’amour de l’argent et de la cupidité, et voilà, les riches sont les plus pauvres, car mamona, c`est-à-dire l’argent, n’est pas richesse, mais malédiction, et il sèche la vie de l’homme, c’est cela qu’il fait l’argent.
Oh, Israël, n’oublie pas que Judas, par lequel J’ai été livré pour trente pièces d’argent, qu’il a eu de tes chefs d’alors, oh, il M’a témoigné lui aussi avant de se donner la mort et il a dit: «J’ai livré un sang innocent», et il a jeté l’argent qu’il avait reçu, mais il ils se sont débarrassés alors de lui, car ils ont seulement profité de lui, et personne n’a souffert pour Judas, personne sauf Moi, car J’en ai souffert et J’en souffre encore, et voilà, celui qui va seul, sans veille, celui-là est surpris par satan, en temps que celui qui est veillé est à l’abri.
Oh, Israël, les diables ont témoigné pour Moi et ils Me nommaient le Fils de Dieu et ils étaient effrayés quand ils Me rencontraient, et toutes ces choses là sont écrites. On doit croire à ces témoignages accomplis alors à la vue de tous, et toi, tu vas répondre pour tout ce qui s’est passé avec Moi alors, avant et après Ma résurrection et ensuite jusqu’au quarantième jour, lorsque Je Me suis laissé enveloppé dans la nuée et Je Me suis assis à la droite du Père, en promettant que de là et d’auprès d’eux, Je serai avec les Miens jusqu’à la fin du temps, car il est grand Mon mystère avec les hommes, il est grand, oh, Israël, et tu Me manques, oh, Israël, Je te dis que tu Me manques beaucoup et Je t’attends de venir vers Mon amour, vers Mon église et son mystère, et Moi Je te donnerai du pouvoir pour croire, Je viens vers toi pour que tu M’entendes, Je t’attends depuis deux mille ans pour effacer ta culpabilité, et que nous nous embrassions par l’église, Mon fils Israël.
Oh, en ce jour de fête, Je suis entré à Jérusalem, Je suis entré et Je lui ai raconté de Mon mystère qui fait son œuvre depuis ce temps-là et jusqu’aujourd’hui sur les nations de la terre, puisque Je suis ressuscité d’entre les morts et Je Me suis montré Fils du Père Sabaoth, Qui M’a témoigné des nuées, aux jours de Ma gloire au milieu du peuple d’Israël il y a deux mille ans.
Et toi, Israël roumain, Mon peuple selon la grâce en ces jours, prends cette carte et mets-la sur la voie vers le peuple Israël, où qu’il soit sur la terre, puisqu’à la fête des Rameaux Je lui ai parlé après deux mille ans depuis Ma résurrection, pour lui dire que Moi, Je suis le Christ celui ressuscité d’entre les morts, Je suis le Messie, Je le suis depuis ce temps-là et jusqu’aujourd’hui et jusqu’au jour de la grande gloire de Mon apparition entouré de gloire, tel qu’il est écrit. Ma parole est Mon messager vers le peuple Israël d’aujourd’hui, en jour de fête des Rameaux, car J’ai témoigné devant lui être le Fils du Père, venu du ciel au milieu d’Israël il y a deux mille ans.
Oh, paix à toi, Israël de jadis! Paix à toi et de la foi en Jésus le Christ, mais si tu es incrédule, que Ma paix revienne à Moi. Mais Moi, Je vais te parler encore et encore, car Mon amour pour toi ne peut t’oublier. Amen.
Oh, paix à vous, Mes gardiens sur la voie de Ma parole, quand ‘elle vient sur la terre et se dirige vers le lieu où elle envoie sa carte! Oh, Mes fils c’est la fête des Rameaux. Soyez comblés de dons spirituels et égayez cette fête et glorifiez le Seigneur, car, voilà, Je vous fais témoins, entre Moi et vous, du fait que J’ai parlé en ce jour au peuple Israël, Mon peuple de jadis.
Nous préparons la fête de la résurrection, les fils. Bientôt les saints et les anges chanteront avec vous «le Christ est ressuscité!». Du ciel à la terre et de la terre au ciel on entendra l’hymne de la fête de résurrection et la joie pour Celui qui est ressuscité interpénétrera la joie venue de Lui, de la joie sur tous.
Bientôt, très bientôt, dans le ciel et sur la terre il y aura la fête de résurrection, Mes fils. Moi, le Seigneur, Je laisse sur vous Ma paix et Je mets Mon espoir en vous pour tout le travail, celui d’aujourd’hui et celui de demain avec vous, car J’aime tant laisser sur la terre encore et encore, Ma parole et ses accomplissements, afin qu’après cela, puissent venir le doux repos et la récompense de la foi, pour ceux qui sont bons envers le Seigneur, dont le doux et le bon c’est Moi, c’est Moi, Mes fils, c’est Moi. Amen, amen, amen.
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Oh, Israël, toi, Israël d’autrefois, combien Me suis-Je incliné pour te délivrer de l’esclavage du peuple étranger! Combien Je Me suis incliné! Oh, et combien M’as-tu incliné ensuite! Je t’ai attiré avec des bonbons pour t’aider de te délier de la servitude et de vouloir retourner à ton Seigneur Dieu et Lui rendre gloire et obéissance ensuite, et ne plus perdre la maison et le pays et le peuple et tomber de nouveau esclave aux étrangers. Mais toi, tu n’as pas voulu te réjouir, tu es devenu triste et tu as protesté, tu M’as jugé de t’avoir sortie d’Egypte, et tu as dénigré ton chef et tu as voulu être de nouveau avec les étrangers. Tu t’es considéré digne de mérites et prétentieux, oh, et tu en as été puni, car la terre t’a englouti sur la voie et tu n’es plus arrivé à la maison, dans la terre de tes parents, ni en arrière, en Egypte. Oh, qu’il aurait été bon pour toi que tu fusses sage, mais tu ne l’as pas été, et tu es mort révolté, il est mort tout le peuple des fils d’Israël, celui sorti de l’Egypte, ils n’en sont pas restés que deux d’entre eux, ceux qui M’ont mené le peuple dans le pays de Canaan, et Mon ange Michael les a guidés et les a encouragés, ceux qui ont été nés sur la voie, les petits.
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Et voilà ce qui est sorti du peuple d’Israël, il est sorti l’ennemi du Christ, qui lutte depuis deux mille ans contre Moi, et il est tout aveugle, mais il dit qu’il voit. Oh, Je crie maintenant à ce peuple, au milieu duquel J’ai été crucifié, mais ensuite elle est venue la résurrection aussi, et ce peuple a été jugé alors, tel qu’il est écrit.
Oh, Je crie à toi, Israël, peuple selon la chair Israël, Je t’appelle et Je te dis: passe de la part du Christ, car il n’y a pas de mensonge dans les Ecritures! Oh, ne te laisse pas de nouveau, ne te laisse pas sous l’adoption étrangère à Dieu, ne te laisse pas menti par l’anti-Christ, puisque sur ta terre, J’ai donné alors Ma chair et Mon sang sur la croix, pour toi, mais aussi pour tous les peuples, qui seront appelés au salut par le Christ, car c’est de toi qu’Il est sorti le Christ, le Sauveur, Celui Qui appelle sous son amour tous les peuples! Oh, ne sois pas incrédule, ne reste pas incrédule jusqu’au dernier moment! Tu verras bientôt le Seigneur venant avec beaucoup de puissance et de gloire, pour abattre l’œuvre de l’ennemi antéchrist, qui se veut grand sur Mon église, pour prendre sa vie de Ma main, et pour qu’elle entre sous la sienne. Oh, ne reste pas jusqu’alors sous l’incrédulité! Viens vers le Christ, car Il vient le Christ, Il vient sur les nuages, pour vaincre le bête antéchrist et les péchés du Babylon, et Je vais rencontrer les chefs des peuples et les juger dans Harmagueddon le lieu du jugement de l’incroyance sur la terre, et tout s’accomplit tel qu’il est écrit dans les Ecritures.
Oh, peuple Israël, tu crois perdre quelque chose si tu t’inclines pour croire en Jésus-Christ, Celui crucifié et ressuscité avec grande victoire? Voilà le mensonge d’alors, payé avec de l’argent pour s’opposer à Ma résurrection, par les hommes du mensonge d’alors! Je suis ressuscité en vérité et J’ai demeuré sur la terre quarante jours et J’ai partagé grâce sur grâce sur les disciples et sur les fidèles, et Je suis maintenant à la droite du Père, et Je suis en parole au-dessus de la terre, et J’ai cité de venue sur la terre roumaine, et Je dis à toi aussi que Je viens avec de la miséricorde et de l’amour, Je viens en parole au-dessus de la terre, et Je crie à toi aussi, car voilà, l’œuvre du mensonge essaie de nouveau se faire place avec son travail, pour être vendue comme vérité au marché, pour ceux à tête dure et sans foi dans la venue du Seigneur. Oh, Il vient, Il vient le Seigneur même si on ne croit plus qu’Il vienne! Moi, Je suis Celui Qui vient, et Je mets la foi dans les hommes, et il y aura de la foi.
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