La Parole de Dieu du cinquième Dimanche du Carême, Celui de la bienheureuse Marie l’Egyptienne

Vous avez besoin de nourriture d’en haut, de nourriture saine, les fils, oh, paix à vous! C’est Moi, le Seigneur, Celui Qui vous nourrit, car Je suis le Pasteur envoyé du Père, tout comme J’ai été envoyé il y a deux mille ans, pour mener vers le pâturage d’en haut le peuple Israël, le peuple du Seigneur en ce temps là, mais il ne M’a pas reconnu le peuple qui avait la bénédiction d’appartenir au Seigneur sur la terre, et Moi, Je Me suis retiré dans le Père, après M’avoir crucifié, comme un homme pécheur, les grands d’Israël, et ensuite, pour Ma deuxième venue, Je ne suis plus descendu chez eux, mais chez vous, chez le peuple roumain, c’est vous chez que J’ai été envoyé, au milieu du ce peuple, car Je suis l’Envoyé du Père, Je suis Celui Qui, au début du monde, Je parlais entre Moi et le Père, et Nous Nous disions l’un à l’autre quoi et comment travailler, et c’est ainsi que Nous travaillions.

Oh, Je vais parler plus clairement au peuple d’Israël, de son manque de connaissance, de sagesse, de son insoumission, de sa grande présomption, qui l’a fait de ne pas reconnaître Celui envoyé du ciel, le Messie Qui, est venu chez eux du ciel, et il va avoir honte Israël quand Je vais lui dire toutes ces choses en toute clarté, puisqu’il a oublié ce qu’il ne devait pas oublier alors, et même si Je l’avais aidé à Me reconnaître il y a deux mille ans, il M’a toujours éloigné de lui, et lorsqu’il M’embrasera, il va rougir, il va pâlir de honte et il va s’humilier ce peuple, qui n’a pas voulu voir en Moi le Fils de Dieu le Père, et le Père en Moi, jusqu’au moment où Il s’est retiré de Moi, pour que Je puisse M’approcher de la mort sur la croix et payer ainsi le salut de l’homme, et M’élever ensuite à nouveau, pour demeurer auprès du Père, à Sa droite, à triple puissance, et travailler pour ceux fidèles comme Abraham, et leur donner Mon royaume, le Seigneur Empereur sur eux et avec eux, et c’est ainsi que Je travaille avec vous, oh, les fils.

Oh, c’est un jour de mémoire sainte, d’exemple saint de repentir et d’amour et de résurrection du péché, et Moi, Je Me tiens entre vous et Je partage avec vous Mon activité avec les saints, car Je suis ici avec eux, avec l’armée des bienheureuses du ciel, pour la célébration de Marie l’Egyptienne, celle qui a su mourir pour renaître pleinement, car elle est morte au péché et elle est ressuscitée à la sainteté, pour montrer à l’homme pécheur de la terre qu’il est possible de mettre fin au pouvoir du péché et de ne plus le commettre, même s’il devrait lutter avec acharnement contre cet ennemi vieux comme le temps humain, vieux comme le monde, les fils.

L’homme est pécheur et sans mérites. Mais il cherche la consolation comme l’un qui la mériterait, et cela parce qu’il a de l’amour pour soi-même, le pauvre. Mais la consolation c’est pour ceux qui la méritent, en temps qu’elle est recherchée par ceux qui ne la méritent pas, et voilà, ils la trouvent par le péché, celui qui l’empoisonne, toute comme il l’a fait avec l’homme le premier bâti, et c’est ainsi que l’homme se trouve séparé par le péché, et il vit séparé de Dieu presque tout le temps de sa vie.

Oh, les fils, Je suis le Maître d’en haut et Je viens enseigner ceux qui se séparent du péché. Cherchez, Mes fils, cherchez de ne pas vous laisser humiliés par le diable, vous qui prenez de Moi la parole et le conseil. C’est le diable qui met toujours et du tout dans la raison et le cœur de l’homme et l’exhorte à tout, à beaucoup de choses, et c’est ainsi qu’il se moque de lui, car l’homme doit aller chercher dans le monde, parmi les fils du monde, ce dont il a besoin, et le monde le baptise toujours avec ses choses, et le diable se réjouit des faiblesses de l’homme, qui sort au champ ouvert et désire plus que ce dont il a besoin pour sa vie, pour laquelle on a besoin de pauvreté de celles de la terre et d’obéissance envers les choses du ciel, pour les pas de sa vie et de son cœur, mais l’homme se laisse humilié par le diable, et Moi, Je veux épargner ceux qui sont fidèles à Dieu avec leur cœur, oh, et c’est pour cela que Je viens sur la terre et J’apporte de la nourriture et du conseil, et du temps pour le repentir, tel que Je l’ai fait pour celle qui péchait en abondance à son temps, et que J’ai aidé, Moi, et elle s’est arrêtée alors de pécher, elle a sauvé son âme de la main du diable, qui se moquait de l’homme, car il est si faible l’homme, les fils, il est très faible, le pauvre.

Oh, pauvre homme, le péché te vainc toujours, il est plus fort que toi et tu es faible et tu te laisses attiré vers le péché et tu ne luttes pas pour n’être plus la risée du diable, mais encore par la ruse tu caches ton péché, par lequel tu abats d’autres aussi, pas seulement toi-même, et ainsi le péché passe d’un homme à l’autre sans qu’il ait peur du châtiment, et le péché vainc l’homme et lui prépare payement amer, contraire à la douceur qui l’attire vers lui, car c’est ainsi que l’homme est trompé pour commettre le péché, et tout cela par le manque d’amour de l’homme, et voilà, il n’y a plus d’être humain à cœur pur pour un autre humain, car l’homme aime pour le péché toutes les femmes, en temps qu’elles croient qu’elles sont aimées, lorsqu’elles se sentent recherchées, oh, mais les hommes n’aiment pas, ils ont seulement de l’envie face à la femme, et cela parce qu’ils n’ont aucun pouvoir de vaincre cette envie provoquée à la vue de la femme, et voilà, il y a l’enfer sur la terre et l’homme regarde en face le péché et il n’a pas peur de la réponse qu’il devra donner.

Oh, les fils, vous qui trouvez et connaissez Ma parole qui coule comme le ruisseau de Ma bouche, oh, protégez votre raison et votre cœur, n’employez pas la ruse dans votre langage, mais tenez toujours en veille votre repentir, les fils. L’homme ne peut pas être rusé avec le Seigneur et s’il fait ce péché, il le fait seulement contre soi-même et seulement contre un autre homme, et c’est ainsi que travaille l’homme déchu, qui n’essaie pas se relever de cet esclavage et entrer dans le temps du repentir, du travail pour son salut.

Que tout homme prenne Ma parole de la source, qu’il la prenne pour apprendre le travail du cœur et de la raison, travail qui mène l’homme vers la sortie de l’empire du péché, car voilà, l’esprit de celle qui est célébrée aujourd’hui entre les saints vainqueurs contre le péché, oh, son esprit crie et apprend à l’homme de fuir le diable, qui se moque de la faiblesse de l’homme envers le péché, et voilà, elle crie du ciel que l’on entende sur la terre:

— Oh, prenez de l’enseignement d’en haut et apprenez pour savoir ce que cela signifie diable, car le péché c’est le diable, oh, les fils de l’impuissance humaine! Tout péché commis par l’homme c’est du diable. Vous l’entendez? Oh, vous avez besoin de garde pour les pas de votre vie, car satan est à la suite de l’homme qui marche seul, et lui sert ses conseils, s’il le voit tout seul, et c’est cela qui se passe avec celui qui est seul dans son cœur et en dehors de lui! Que personne ne croie que ce n’est pas satan qui s’occupe à accomplir les volontés de celui qui va seul entre ceux de son entourage. Allez donc vers le repentir et pleurez tout feu, toute flamme pour vos péchés, mais que votre espoir soit toujours plus grand que le repentir, car autrement vous présentez en vain ces pleurs expiatoires, que j’ai pleurés en tout espoir durant toutes les années de ma vie dans l’amour du Christ, Auquel je criais comme de la bouche du diable, qui me tourmentait terriblement, si je me suis arrachée de la voie du péché et du chemin de ceux qui tombait sous mes regards séduisants et sous mes paroles mielleuses, par lesquelles je les attirais vers moi, oh, et beaucoup d’entre eux ont eu part de repentir, puisque de toute mes forces j’ai crié le Seigneur à leur aide, après que la pitié pour eux m’ait comblée totalement, oubliant ma propre peine, pour demander au Seigneur leur salut, car il est si difficile à porter le feu pour le péché, mais le Seigneur est beaucoup loué et aimé par ceux qui Le cherchent au milieu de la lutte contre le noir du péché et ils réussissent à le vaincre en criant toujours: «Oh, Seigneur, aie pitié de nous!».

Oh, comment le Seigneur ne ferait-Il pas grâce à ceux qui crient sous le fardeau, du moment que c’est pour cela qu’Il est venu du Père sur la terre? Oh, comment ne serait Il pas doux, le Seigneur, pour ceux qui condamnent en eux-mêmes le péché, oh, comment, du moment que Lui, Il S’est fait homme, Il S’est montré, Il a attiré vers Lui les pécheurs et Il les a rendus saints, par leur amour envers Lui?

Oh, comment aurais-je pu me séparer de mon corps avant d’avoir fait savoir au monde de partout le travail de mon repentir, pour que l’on entend d’un bout à l’autre, pour le bénéfice de tous les pécheurs, et donner ainsi satisfaction à mon cœur, puisque j’ai condamné de ma propre bouche le péché et J’ai raconté aux hommes ma lutte de la part du Seigneur, Celui si bon pour moi, puisqu’Il m’a pardonné et m’a sanctifié et a nourri par les anges ma vie, jusqu’au moment où je Lui ai demandé d’envoyer Son prêtre, pour me donner l’aliment de la vie éternelle, le Seigneur, mystérieusement compris sous la forme du pain et du vin, tel qu’Il l’a considéré bon de se donner à ceux qui aiment comme Lui sur la terre, et leur sanctifier ainsi le corps et a vie, par l’union avec Lui?

Oh, Il est venu le Fils de Dieu il y a deux mille ans sur la terre, portant secrètement Sa gloire parmi les hommes, cachée sous le visage de l’homme humble, comblé de souffrance, et ensuite, voilà, sous la forme du pain qui est descendu du ciel, pour se donner à l’homme, en vue de la rémission des péchés et pour chasser la trace du diable de la suite des chrétiens qui aiment Dieu.

Oh, qu’elle est mystérieuse, Seigneur, Ta marche maintenant, en parole au-dessus de la terre et Ta présence dans Ton église de Nouvelle Jérusalem, ici, sur le foyer du peuple roumain, et que de bien Tu fais et Tu apportes à ce peuple élu pour Toi pour la fin du temps, pour que Tu aies la possibilité de venir, de demeurer et de constituer Ton livre, pour T’y inscrire avec Tes saints, et qu’ils sont heureux ceux qui apparaissent dans Ton livre d’aujourd’hui, tel qu’il est écrit de ce livre, oh, Seigneur!

Mais j’ai trouvé ici, en attendant, la troupe des quarante martyrs de Sébaste, célébrés il y a trois jours entre les saints, car ils ont voulu eux aussi être inscrits dans Ton livre avec les saints, en leurs jour de fête, et voilà, moi, j’ai fait mémoire d’eux et de leur attente, puisqu’au moment de leur fête, il n’y a pas eu de force pour ouvrir le livre et s’y mettre, et maintenant nous allons à notre place en paix, puisque nous nous sommes inscrits avec Toi, Seigneur, car qu’il est grand le mystère de Ton livre de ces jours, livre ouvert, Ta parole d’aujourd’hui au-dessus de la terre.

Oh, donne à Ton église d’ici de la puissance pour Toi, car tous les saints attendent Ta victoire, Seigneur, par Ta marche d’aujourd’hui en parole entre le ciel et la terre, par Ta voix pleine de pitié, qui appelle, qui appelle au repentir les pécheurs, pour qu’ils reçoivent la réconciliation avec le Père, la réconciliation par Toi, Celui envoyé à nouveau par le Père, à nouveau envoyé sur la terre pour l’homme, oh, Seigneur. Amen.

— Oui, Ma fille sauvée par ton amour pour le Seigneur, Moi, Je suis Celui Qui es, Celui Qui vient du Père, car c’est Lui Qui M’a envoyé de venir encore une fois. Bientôt, très bientôt J’amènerai à Ma table de parole ceux d’Israël qui ne se sont pas inclinés pour croire alors, ensuite et jusqu’à présent, le fait que Moi, Je suis le Messie, Celui promis par le Père pour venir à eux et accomplir Son œuvre. En ce jour-là Je vais parler avec le peuple Israël, celui qui a été, et celui qui est, et J’entrerai mystérieusement chez lui à cheval blanc, car c’est ainsi que Je Me montre pour entrer, et c’est toujours ainsi que Je suis entré alors, puisqu’elle a été prophétisée Mon entrée à Jérusalem, Empereur porté à dos d’âne, et la multitude M’a chanté Ossanna en ce jour-là.

Oh, les fils, voilà qu’elle vient la fête de Ma Résurrection. Il est grand ce jour de fête, c’est le jour du Seigneur, que le peuple Israël n’a pas dans sa gloire. Ils n’ont par reçu la gloire du Seigneur, celle de l’envoyé, et Moi, Je leur dirai explicitement ce qu’ils n’ont pas voulu comprendre pleinement.

Et vous, aidez-Moi en écrivant Mon livre, les fils, pour que Je puisse y laisser la parole, car c’est ainsi que Je marche. La parole est Mon cheval blanc, celui enveloppé en parole, celui invisible, tout comme son chevalier.

Oh, soyez toujours prêts de M’accueillir, les fils, toutes les fois que Je frappe pour entrer et laisser Ma parole dans le livre ! Sa parole est Ma gloire, la gloire du Seigneur, et Ma gloire est avec vous, elle est chez vous, et de chez vous Je Me porte avec elle au-dessus de la terre, et le Père est en Moi, et Moi, Je suis en Lui, oh, les fils. Amen, amen, amen.

25-03-2018