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Trâmbiţele apocaliptice

Paix à vous! Jésus est ressuscité! Jésus est ressuscité! Jésus est ressuscité! Moi, Je suis le Seigneur Jésus Christ. Je ne suis pas en chair, mais en Esprit Je le suis. Je suis descendu Moi-Même en Esprit sur la terre pour Me choisir un peuple à qui Je puisse confier les mystères, ceux pour ce temps. Je suis la Parole de Dieu et Je suis venu pour parler sur la terre, pour préparer la voie de Ma deuxième apparition, tel qu’elle est écrit dans Mon livre. Je ne suis pas ce corps. Cela c’est une trompette par laquelle Je sonne ce temps-ci, pour que Je vous annonce, tous qui arrivera dans les jours qui suivent.


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…. Oh, réveillez-vous! Paix à vous! Voilà Je suis descendu chez vous, Mes petits enfants, mais pas en chair comme autrefois, mais en Esprit. Je ne suis pas venu chez vous pour chercher vos choses, mais pour chercher vos âmes. Je suis descendu dans le bûcher pour parler à Mon peuple. Voilà, Je suis venu et Je vous parle pour que vous ne souffriez pas la douleur qui vous menace. Renforcez votre foi, Mes enfants, multipliez la foi, pas les chères vêtements. Heureux les yeux qui ne voient pas et qui croient, et malheur à ceux qui voient, entendent et ils ne croient pas.

Oh, toi, le monde, maintenant tu ne Me connais pas, mais il vient le temps où tu vas tout connaître, car voilà ce que le Père a fait parler dans une poignée de glaise! Je suis venu de nouveau sur la terre pour guérir le paralytique dans son lit. Voilà, Mes enfants, il se tient devant vous cette chair. Elle était morte et Je l’ai ressuscitée, elle a été malade et Je l’ai guérie. Pas par les docteurs du monde, mais par les docteurs célestes. Cherchez-la, Mes enfants, tant qu’elle existe. Ne cherchez pas Mon vase, mais cherchez l’Esprit.


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Voilà, Je suis descendu dans un bûcher, pas dans un vase à grand prix, beau et clair, mais dans un vase pourri par la souffrance, dans un vase d’ordures, inapprécié ni par l’érudit ni par le richard, mais sur une paille Je suis descendu. Pourquoi le jugez-vous encore? Même aujourd’hui, Moi Je guéris les malades, les aveugles, les infirmes. N’appréciez pas Mon vase, Mes enfants, mais son don. Vous appréciez d’habitude les vases de marbre, plus que ceux de glaise. Celui qui aime Dieu, aime aussi Mon vase, mais vous, vous détestez Mon vase. Le Père aime Le Fils, et le Fils aime le Père, et le vase et l’Esprit viennent de la Sainte Trinité.


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… Oh, les fils, le prêtre Ioan de Vladimiresti gît, peau et os, dans la cellule d’Aiud. Il n’a plus de chair, et tous les autres s’en étonnent. Même dans la prison, il continue de nourrir les âmes. Il a deux cents soixante-dix âmes à prier pour lui. Oh, quelles grandes peines a-t-il supporté! Ni les brigands ni les criminels n’ont pas à supporter de si grandes peines qu’un chrétien, mais à ceux qui souffrent pour Moi, Je leur amortis les sens pour qu’ils ne sentent pas les douleurs, les brûlements et les coups. Voilà, Verginica, Mon vase, comme elle a souffert: combien de brûlures, combien de piqûres, combien de coupes! Mais Moi, Je lui ai donné le pouvoir de vaincre, car il y avait là un comandant qui criait à lui faire peur.


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… A Vladimiresti sont les anges qui font la Messe et le service divin, et le Père veut maintenir cela jusqu’à ce que ce couvent aille s’ouvrir de nouveau. Oh, comme l’éclaire va se montrer le feu sur la terre, et ils vont se repentir les méchants et les infidèles, mais il sera trop tard alors.


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Oh, les fils, autrefois, Israël est passé à travers l’eau, mais maintenant, qu’est-ce qu’on va faire quand nous devrons passer par le feu? car celle par laquelle Je vous annonce c’est la sixième trompette. Mes paroles ne sont pas pour les mauvais esprits, mais pour ceux qui accomplissent la parole que vous entendez aujourd’hui. La parole d’aujourd’hui c’est la porte, et il n’y a aucune autre porte pour entrer dans Mon royaume.


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Oh, Mon enfant, allume un cierge et met-le dans la main de Mon vase, afin que tu puisses voir le mystère et croire en cette lumière. C’est de cire que ce cierge est fait, mais le feu qui brûle c’est du feu brûlant. Voilà, tout comme sont la cire et le feu, la cire vient de la terre et le feu vient de Dieu. Tout comme la cire fond, de même, toute chose a sa fin, mais pas le feu, puisqu’il est pris par Dieu. La cire est faite uniquement par l’abeille, mais aujourd’hui elle est faite de suif, mais le feu ne change pas de couleur, parce que cela vient de Dieu. Oh, Mes enfants, c’est cela le mystère, c’est l’esprit et le corps: c’est le feu de Dieu et le corps de la terre.


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Je suis venu à vous parler, comme J’ai parlé au berger de Maglavit, qui était sourd et muet, mais au moment qu’il a ouvert sa bouche, c’est Moi qui lui ai donné la voix.


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J’ai préparé Virginie à claironner toute l’Apocalypse, pour la préparation du jugement dernier, et pour la préparation des chrétiens dans le temps de la fin, et d’aujourd’hui.


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les armées de saints venues avec Nous pour la fête patronale écrite pour Mon jardin de parole, elles regardent comme Moi, elles te regardent, toi, celle fêtée aujourd’hui et elles honorent Mon don porté par toi sur la terre à la fin de temps et elles n’enivrent d’étonnement saint, comment a-t-il été possible tant de braise portée par ton corps aussi longtemps, pendant Ma descente par toi sur la terre en parole, oh, fille prophétisée comme porteuse du Christ-la Parole, Qui passait par toi avec Sa parole!

Tu es établie avec fête patronale dans le jardin plein de parole, là où Moi, le Seigneur, Je descends sur les nuages au-dessus de lui, et Je parle, afin qu’on écrive Ma parole sur la terre. Je Me suis glorifié en toi et J’ai gardé entier ton corps, et tu n’as pas fondu sous Ma grande chaleur, car c’est ainsi que J’ai bienvoulu, mais ta souffrance a été très grande, puisque J’ai tellement la nostalgie de l’homme et Je suis venu après lui, et toi, tu as été Ma demeure. Paul l’Apôtre a vu la lumière qui enveloppait Mon corps pendant que Je lui ai parlé sur la voie de Damas, et ses yeux ont faibli de vue à cause de Mon éclat devant lui sur la voie, et il est resté ce signe sur le corps de celui choisi Apôtre ce jour-là, et Mon Esprit et Ma grâce est resté aussi sur lui, pour qu’il annonce la gloire partout où il racontait l’histoire de Mon apparition devant lui. Mais en toi J’entrais et Je travaillais au moment de Ma parole prononcée par la voix de ta bouche, face à face avec ceux qui écrivaient Ma parole pour qu’elle reste, et il n’y en a pas eu une telle œuvre de Moi sur la terre jusqu’à toi, et il n’y en aura plus.

Oh, Ma trompette, oh, Ma Virginie, qu’elle a été grande ta soumission! Tout aussi a été ta crainte de Dieu et tu tremblais à Ma parole et tu te soumettais sans protester, et Mon don établi sur toi grand et lourd à porter, et cela a été ton sacrifice pour Moi, ton corps, dans lequel l’Esprit de Ma parole entrait, tout comme J’entre dans l’homme au temps de la sainte eucharistie, et je te passais de la chair en esprit, oh, Ma trompette, et de l’eau coulait de toi, car J’étais fournaise en toi, et c’est merveilleusement que Je travaillais si tu ne te consumais pas. Oh, c’est seulement avec des douleurs que tu t’es nourri avec la chair et avec l’esprit, et tu n’as pas eu de joies sur la terre, mais c’est une seulement que tu l’as eu, celle que tu as pu porter Ma venue en parole sur la terre, pour que Je puisse préparer ensuite la foi d’un peuple, qui devais s’élever après toi, et avec lequel J’établis sur la terre un lieu pour le Seigneur, ciel nouveau et terre nouvelle, mais pas à la manière du monde et de ses prêtres, des églises pour le monde; oh, pas ainsi, mais pour Moi et pour ceux qui renoncent au monde en sortant de lui en se consacrant à Moi, sacrifice de fidélité et de constance pour l’accomplissement des Ecritures de la fin avec eux, car le Seigneur a besoin de mains et de pieds et d’amour dans le service de la fin de Sa parole, qui vient sur la terre.


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Oh, elle est grande l’œuvre commencée avec toi sur la terre, il est grand aussi son mystère, Ma Verginica. On ne pourrait pas comprendre ce mystère et voilà, son œuvre non plus, œuvre qui découvre le Seigneur en ce temps et en ce lieu, où J’ai mis Ma cité capitale, le trône de Ma parole sur la terre, et J’ai de frêles fils qui Me portent, mais c’est Mon pouvoir seul qui les porte et les renforce, car sur la terre, Je l’ai toujours dit, il n’y a plus qui les soutenir, qui les aider de pouvoir pour le Seigneur et pour Sa si grande œuvre de ce temps, le temps de Sa venue sur la terre.


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Oh, les fils, Je suis avec Ma trompette, avec ma Virginica, Je suis à table de parole avec vous, et les saints M’accompagnent en suite de fête, pour le jour de sa naissance sur la terre, le 27 mai de l’année 1923. C’était alors le dimanche de tous les saints, fêté dans le calendrier chrétien. Oh, en ce jour Je travaille avec elle, et elle travaille avec Moi et nous donnons grand enseignement au peuple de Ma parole, au peuple obéissant, les fils, et ils vont apprendre aussi ceux qui n’ont pas eu de fidélité au long de cette œuvre de parole, de plus de soixante ans de Ma parole sur le foyer de ce peuple, les fils.

Ma trompette sonne, elle sonne d’auprès de Moi et d’entre les saints, elle sonne et elle réunit à sa voix ceux qui ont pris de la table de Ma parole prononcée de Moi par sa bouche, merveille sans pareil, Mon œuvre avec elle.

Oh, Ma Verginica, oh, Ma trompette, J’ai commencé avec toi et par toi et J’ai écrit l’histoire de cette œuvre de parole, et c’est le livre de Ma parole, il est au milieu du peuple roumain, là où le Père M’a choisi le siège maintenant, à Ma deuxième venue après l’homme, pour le guider vers le Père, pour l’attirer au Père, tel qu’il est écrit.

Oh, c’est Mon livre et J’avance avec lui et Je M’y inscris toujours et toujours, et Je Me porte de long en large sur la terre avec la parole, tel que J’ai prophétisé en Mon temps avec toi, et Je disais que vers la fin Je travaillerai par la parole d’une extrémité à l’autre, et maintenant tu regardes du ciel l’accomplissement de la prophétie d’alors, sur Mon travail actuel, et quelle et grande ta joie quand tu Me vois en avançant et en travaillant par les rameaux, par la foi et l’aide de ceux qui sont restés fidèles jusqu’à la fin, Ma Verginica!


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— Oh, j’étais petite, Seigneur, j’étais un poussin lorsque Tu T’es laissé découvert à mes yeux, dans la clairière de mes premiers souvenirs avec Toi. J’étais un enfant pauvre, pauvre de tout, je n’avais pas d’habits, pas de souliers, pas de pain dans l’abrit de ma mère avec nous, deux sœurs, et Toi, Tu habitais avec nous dans notre maison, toute pauvre qu’elle l’était, jusqu’à ce que Tu as eu pitié de nous et Tu m’as accordé le grand don d’être l’instrument de Ta parole, tout que l’homme a dans sa maison la petite boîte, par laquelle il écoute celui qui parle pour les hommes d’un lieu qui n’est pas visible pour eux.

C’est avec grande humilité que je portais Ton don, et Tu as réuni auprès de nous les premiers chrétiens de cette parole, au temps de ce début de Ton travail avec moi, et de temps en temps venaient, ils venaient à Ta table les chrétiens d’entre lesquels, oh, ils se séparaient des traîtres de Ton secret avec moi et il nous arrivait des persécutions et des larmes et des douleurs, de grandes peurs et la fuite, Seigneur, et Tu nous portais à travers tout, prenant garde à Ta marche, pour laquelle Tu étais venu à moi d’auprès le Père.

Tu as sonné de la trompette pendant vingt-cinq ans et moi j’étais Ta trompette et je souffrais pour Ta voie. Oh, il y a eu tant de mépris, trahison et tristesse, Seigneur! Je regarde mon temps sur la terre et je pleure. Je plains maintenant tous ceux qui sont revenus à leurs mauvaises habitudes, après avoir connu la voix de Ta parole et Ta volonté à l’égard de l’homme. Tu pleures Toi aussi Seigneur, par Tes pleurs et beaucoup de larmes coulent dans le ciel. Des regrets nous font mal, pour tous ceux qui nous les ont faits pour les porter dans le ciel, Seigneur.


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Oh, les fils, les fils, nous inscrivons dans le livre jour de consolation pour ceux des cieux, pour Mon grand travail sur la terre par des vases précieux, choisis par Dieu pour Sa gloire et pour la grande lutte contre le maître de ce monde, lutte commencé du paradis déjà, lutte et toujours de la lutte, les fils, car la mauvaise semence est née par la désobéissance de l’homme en paradis, et depuis lors Je suis en lutte avec satan pour pouvoir Me bâtir le royaume des cieux sur la terre, et lui il ne veut pas, il s’y oppose tout comme Adam dans le paradis n’obéissant pas à Dieu, et de même font les hommes de la terre, qui Me sont adversaires, car ils n’accomplissent pas les commandements de la vie, ils ne les aiment pas, et satan a grandi avec le temps, et J’ai à lutter avec lui, c’est pourquoi Je Me fais des apôtres et des prophètes, Je Me fais des témoins, et il n’est pas possible autrement, puisque Je dois vaincre satan, les fils, et c’est ainsi que J’ai élevé au temps convenable, selon la parole de l’Ecriture, la trompette par laquelle Moi, le Seigneur, J’ai sonné, car elle était arrivée le temps de l’Ecriture de Ma venue avec les saints, sous le nouveau nom de Parole de Dieu, et de Son livre écrit sur la terre maintenant, en commençant du temps de Virginia, et aujourd’hui les armées de saints fêtent sa naissance du 27 mai de l’année 1923, et si elle a grandi avec les années, Moi, le Seigneur, Je l’ai préparée pour Moi, pour qu’elle soit Ma trompette et que Je prononce par elle la multitude de Ma parole sur la terre, et elle s’est soumise à Mon choix, sous Mon pouvoir et c’est ainsi qu’il s’est passé en 1955 le début de la Parole de Dieu et sa propagation, et il a été écrit ce livre sur la terre, et après quarante ans de parole, J’en ai enlevé et J’ai constitué le livre de parole, afin d’être connue. Et J’ai continué d’écrire dans le livre et J’en ai enlevé encore dix années, et encore une fois après encore dix années, oh, et J’écris sans cesse Ma parole et Je la donne pour être connue entre le ciel et la terre, et c’est ainsi que Je Me suis frayé chemin entre le ciel et la terre, par Ma trompette Verginica.


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Oh, peuple de Ma parole, fais attention à Mon parler d’aujourd’hui, car Je te parle du mystère avec lequel Je Me suis tenu et Je Me tiens au milieu de toi. Et s’ils sont partis de la terre beaucoup de ceux qui ont participé à Ma table de parole pendant tous ce temps écoulé depuis 1955 et jusqu’aujourd’hui, voilà, Je leur fais place maintenant à tous, devant Ma parole, pour qu’ils soient présents à table tous ceux qui ont bu de cette source de parole durant toutes les années de Ma descente pour paître un peuple, et lui montrer mystérieusement l’œuvre de Ma venue en parole sur la terre, oh, car c’est ainsi qu’il était écrit, Mon peuple.

Il y a presque cent ans depuis le début en force de la persécution des chrétiens de Mon église, de ceux qui ont supporté alors le grand chancellement, le changement du calendrier des fêtes de mes saints. Elle est née alors sur la terre, dans une famille pauvre des choses de ce monde, la petite fille Virginie. Moi, le Seigneur, Je l’ai confiée alors au soin des puissances célestes, et il a été grand le mystère de sa vie sur la terre, pendant le temps de persécution des traditions saintes, et elle croissait sous le regards célestes de Mes saints, qui attendaient sa croissance, oh, et Je Me suis montré à elle, et Je lui ai dit qu’elle serait portée par la main, qu’elle serait Ma trompette, que Je la préparerai, et J’ai fait sa préparation, et J’ai laissée sur elle le don de porter Dieu la Parole, Mon parler par sa parole, la trompette de Dieu.

Oh, Mon peuple, Mon œuvre de claironner a été un grand mystère sur la terre, car Je l’ai faisais s’endormir en sommeil profond, comme celui avec lequel J’ai endormi Adam dans l’Eden, lorsque J’ai pris de lui pour bâtir la femme, puisque que Je l’avais fait entier Adam dans l’Eden à sa création, et J’ai pris ensuite de lui la femme, et Je l’ai mise devant lui.

Je laissais sommeil profond sur Ma trompette, tel que son corps ne sentait plus rien, même s’il était brûlé, frappé, piqué, écrasé, et Je passais avec Ma parole par elle, et la parole de Dieu sortait d’elle sur la terre. Oh, c’est ainsi qu’elle M’a porté durant vingt-cinq ans pour prononcer Ma parole, et la souffrance du corps et de l’esprit était grande. Elle était ruisselante de sueur pendant que Je parlais par sa bouche, dont la respiration embaumée était sentie de ceux qui écoutaient Ma parole par elle, oh, et c’était seulement Moi à savoir sa souffrance et son feu intérieur, pour qu’il ne brûle pas son corps, oh, et les saints regardaient du ciel Mon travail par elle, et combien était grand l’étonnement des armées de saints, combien grand a été Mon mystère avec Virginie sur la terre, Mon peuple, et ils apparaît dans beaucoup de têtes de la curiosité et des commentaires portés de lieu en lieu par ceux qui venaient et espionnaient, et Virginie était menée à l’enquête, à la diffamation et à la souffrance, mai Mas main était protectrice sur elle, et Je la mettait sous garde d’anges, pour que les persécuteurs et les espions ne puissent l’abattre, oh, et maintenant elle regarde du ciel, d’entre les saints, à Mon temps avec elle sur la terre, et elle a mal, elle souffre pour tous ceux qui n’ont pas eu le don de comprendre l’œuvre de Dieu et arriver à découvrir Ma volonté, avec laquelle Je Me tenais après eux, pour qu’ils la comprennent et la suivent ensuite.


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