La Parole de Dieu du premier Dimanche du Carême, celui de l’Orthodoxie

En jour de dimanche Je M’annonce Moi-Même, en parlant par l’église, et en envoyant ensuite lettre écrite au troupeau chrétien, ou troupeau à marche droite et à celui qui n’a pas la marche droite sur la voie des commandements saints, troupeau orthodoxe, car elle est droite cette voie, mais pas tous ceux qui portent ce nom par le baptême ont la crainte de Dieu et de Ses commandements pour les fidèles orthodoxes, ceux que Mon Père nombre entre les sauvés.

Je suis Jésus Christ le Fils du Père Sabbaoth, et Je parle en Son nom car le Père est en Moi. C’est Moi Celui Qui a fondé Mon église il y a deux mille ans, après cinquante jours depuis Ma résurrection d’entre les morts, car J’ai été crucifié et Je suis ressuscité après trois jours, comme J’avais promis avant, et ensuite, quarante jours sont passés et Je Me suis élevé auprès du Père, là où il y a Ma place, mais avant Mon ascension au Père J’ai dit à Mes disciples, ceux que J’avais recueillis du monde, Je leur ai dit de ne pas s’éloigner de la cité de Jérusalem, mais d’attendre d’être revêtus d’abord de puissance d’en haut, et que seulement ensuite ils commencent le travail sur la terre avec cette puissance, étant Mes envoyés vers toutes les nations avec l’annonce parlant de Moi et du royaume des cieux, descendu sur la terre pour Ma venue auprès de l’homme.

Ce jour de dimanche marque l’écoulement de la première semaine du carême, et les saints parents y ont établis d’avoir en vue la mémoire et la préservation de l’orthodoxie, jour où les chrétiens et les apôtres de l’église se rappellent comment J’ai préparé Moi, il y a deux mille ans Mon église, par Ma prédication et ensuite par sa mise en œuvre, douée de pouvoir d’en haut, pouvoir avec lequel ils travaillaient et ils se montraient en travaillant par endroits entre les hommes, afin qu’ils s’y joindre par endroits ceux qui voyaient et croyaient ensuite, par les signes et les miracles qui se produisaient par Mes apôtres, que J’avais avec tant d’amour choisis, et cueillis ensuite, pour qu’ils marchent avec Moi, jusqu’à ce que J’allais être vendu par un d’entre eux, crucifié et outragé, mais la croix a été Ma victoire face aux prêtres, qui M’ont donné à mort sur la croix, puisque Je suis ressuscité, et depuis on témoigne Ma résurrection jusqu’aujourd’hui, lorsque les chrétiens baptisés dans cette foi l’annoncent les uns aux autres, en se saluant avec le salut spécifique aux Pâques: Le Christ est ressuscité!

Oh, qu’il a été beau le moment où J’ai choisi Mes disciples! Je suis allé vers Jean, Mon Baptiseur, et Je l’ai trouvé entouré de ses disciples, et il leur a dit: «Voilà l’Agneau de Dieu, Le voilà, C’est Lui», et il est parti avec Moi André, le disciple de Jean, et il a amené aussi Pierre, son frère, et Je les ai établis Mes disciples par la parole, et ensuite J’ai continué à Me faire des disciples, car J’ai choisi encore Philippe et Nathanaël, et Je cherchais leur éclairer la raison et la foi, et Je leur ai dit: «De plus grandes choses que celles–ci vous verrez et vous entendrez, car désormais vous verrez le ciel s’ouvrir et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l’homme».

J’ai commencé ensuite à montrer ouvertement Ma gloire, pour qu’ils croient en Moi Mes disciples et que Je puisse travailler Moi sur la terre par leur foi, car Mon nom et Ma grandeur devaient être écrits sur la terre, pour témoigner pour Dieu, dans Sa venue après l’homme. Oh, Je suis allé avec eux à Cana en Galilée, à des noces, où comme par miracle leur vin s’était épuisé à table et Je leur ai fait du vin de l’eau, en émerveillant les participants par le goût de ce vin, mais plus émerveillé a été l’époux de la noce, tel qu’il s’est rallié à nous et il est devenu Mon disciple, à côté des autres qui M’accompagnaient, et c’est ainsi qu’ils s’ouvraient les cieux et les anges cachés travaillaient avec Moi des miracles entre les hommes, et la juste foi se faisait place dans beaucoup de cœurs et y réveillait l’amour de Dieu et de Ma prédication, mais Je n’ai pas pu montrer cela avant M’avoir fait d’abord des disciples, où Je puisse mettre de la foi et les nommer Mon église, l’église du Saint-Esprit, travaillant par des signes et des miracles, l’église du Christ, qui c’est ainsi qu’elle travaille et montre qu’elle est Son église.

Oh, de temps en temps ensuite il est resté sur Mon église cet Esprit travailleur de signes et de miracles, par des disciples fidèles, que l’assemblée de l’église a nommés ensuite les saints parents du troupeau chrétien jusqu’à la fin, et eux, ils interviennent du ciel d’entre les saints devant le trône de la gloire avec des prières pour l’église, pour la foi surtout, et pour de l’aide dans les ennuis du troupeau fidèle à Moi sur la terre. Et voilà, chaque jour à la fin des services religieux, tout le clergé dit: Pour les prières de nos saints parents, Seigneur Jésus Christ, Fils de Dieu, aie pitié de nous!

L’église celle d’en bas, dirigeant ces prières vers l’église celle d’en haut, voilà le ciel et la terre en union par la prière, mais quelle obéissance l’église d’en bas a-t-elle envers celle d’en haut? En a-t-elle encore? Garde-t-elle encore la foi et l’obéissance? A-t-elle encore le souci de ne pas tomber dans l’anathème en foulant aux pieds son orthodoxie laissée par les saints parents? Aime-t-elle encore Dieu? Sait-elle encore ce que cela signifie cet amour? Oh, cet amour doit être porté avec beaucoup de fidélité, car il est écrit que «Celui qui n’aime pas Dieu, qu’il soit anathème!», et voilà, on a besoin de fidélité et il n’y en a plus puisqu’ on a passé sur les choses laissées à s’accomplir dans l église, parce que, voilà, ses grands serviteurs se sont permis de passer sur les ordres et en faire d’autres, par lesquels ils ne gardent plus l’unité et l’œuvre de l’Esprit, car le mélange dont il est écrit de n’être pas permis dans église, le voilà, il s’est montré et il se montre toujours de plus, et Moi, le Seigneur, Je pleure dans le ciel avec les parents saints, et Nous luttons sur la terre afin de ne pas se perdre l’esprit et l’obéissance de l’église, et de ne pas disparaitre tout a fait et partout, pour qu’il ne se perde pas dans la désobéissance tout le troupeau, mais qu’il en reste de la semence, qu’il en reste des fils sages et obéissants à Dieu et aux parents, et il va produire de la semence nouvelle et abondante, dont les rameaux vont s’étendre et vont porter du fruit salutaire, et elle va travailler de nouveau comme au début Mon église, celle de la fin, tout comme Je travaillais par endroits des signes et des miracles à la vue et a l’ouïe de Mes disciples, recueillis par Moi d’entre les hommes, et tel que Je travaille aujourd’hui aussi avec Mon église, celle renouvelée par la parole, et établie sur sa pierre, celle du début, par Ma parole même, celle d’aujourd’hui, par laquelle J’ai partagé Mon église et sa semence.

Oh, J’ai profondément mal, il a mal le Père, ils ont mal les saints, Nous avons tous mal, ceux du ciel, quand Nous voyons ceux nommés orthodoxes serviteurs du troupeau, réunis maintenant avec les ennemis, avec ceux séparés par l’esprit de la présomption de l’esprit de l’unité, laissé écrit par les saints parents, pour être tenus à leurs places les ordres saints, et gardés ainsi.

Oh, voilà ce qu’ils font les chefs du troupeau! Ils se sont voués à l’argent, qui leur fait signe de l’œil à tous, pour se dresser palais sur palais, pour qu’ils s’y glorifient eux-mêmes, et pas le Seigneur. Le dimanche de l’orthodoxie, c’est ainsi que les saints parents ont laissé d’être nommé ce premier dimanche du carême, et les grands de l’église prennent grand soin en ce dimanche de recueillir de l’argent en chapeau et l’accumuler pour qu’il y en ait de l’argent, mais ce n’est pas d’argent qu’il faut recueillir, mais des disciples, car Moi, le Seigneur, Je n’ai pas recueilli d’argent, je n’ai pas dressé de palais, mais J’ai recueilli des disciples et Je les ai élevés au travail saint de la foi.

Oh, si tu te réveillais, toi du moins, petite armée, petit troupeau, troupeau dispersé et étourdi, que tu sois à la montagne ou dans la campagne, allant de-ci de-là, sans pasteur, sans protection et sans pansement sur tes plaies!

Oh, chrétiens orthodoxes, gardez votre calme, car il y a la persécution sur vous. Vous avez besoin de salut et de rédemption et de consolation, et il n’y a personne parmi ceux qui se nomment des prélats et des prêtres, prêtres du troupeau orthodoxe, personne à vous en donner, mais ils vous dépouillent de tout ce que vous pouvez mettre de côté pour les choses utiles à votre existence sur la terre.

Oh, les fils, J’ai tellement pitié de vous, petites brebis sans pasteur ! Je viens Moi, du ciel pour vous donner de consolation pour vous donner la foi en Moi, et la force d’aller à Ma suite, car votre foi doit être comme celle des saints parents, oh, les fils, pas comme celle de ceux d’aujourd’hui qui se nomment des parent pour vous. Je viens en parole, sur la terre et Je vous appelle: Suivez-Moi! Je laisse Mon triste chant derrière vous et Je vous appelle à la source pour boire. Je joue de la flûte, Je joue tendrement et Je vous appelle longuement: Venez à Moi, venez à la source. Je vous reposerais Je vous donnerai du lait pour grandir et devenir Mes fils! Oh, priez le Seigneur et les saints parents de sauver le troupeau chrétien des ennemis vêtus de peaux de moutons et de pasteurs de moutons. Priez en pleurant, puisque c’est le temps du grand égarement face à la vérité. Ouvrez les lois des saints, et cherchez pour y voir combien on les transgresse, et réveillez-vous pour la veille, car ceux qui se nomment des parents ne viellent pas, mais ils vous dirigent, sans que vous le sachiez, vers le péché d’abjurer la foi, la foi reçue des ancêtres, oh, les fils, et la présomption est leur oreiller de repos et leur désir de gloire.

Oh, revenez à vous ceux abandonnés, et écoutez Mon chant qui vous appelle en douceur! Moi Je suis votre pasteur, Je suis du ciel et Je viens du ciel après vous, et Je vous appelle à la fontaine pour vous donner, et Je viens avec de l’eau pour vous. Voilà comme Je viens pour vous en donner. Prenez et buvez. Et ne vous laissez pas à la perte, parce que le temps est caché et avec mise à l’épreuve de la foi, pour vous faire abjurer sans vous en rendre compte. Moi, le Seigneur, Je ne vous laisserai pas. Je vais vous paître, Je vais vous appeler, Je vous lèverai toujours à la veille, et Je jouerai de la flûte mélodie pleine de douceur pour vous, et vous, en entendant, prenez et mangez du ciel, et tenez-vous sur le roc, les fils, gardez-vous du péché de l’abjuration, car Je vous en soutiens. Amen.

Oh, paix à vous, vous qui entendez la voix de Ma parole, pour la partager au troupeau, celui éprouvé pour la foi en ce temps. Oh, paix à toi, peuple de Ma parole ! Prions le Père pour la foi sainte dans les hommes, et pour Sa garde sur les orthodoxes. Vous êtes Mes disciples. C’est sur vous que Je M’appui, c’est avec votre foi que Je travaille sur la terre, et Je crie toujours par cette source: Paix à vous! Oh, paix à vous!

Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit J’ai prononcé Ma parole au-dessus de Mon église, en jour de mémoire de la juste foi, et Je Me suis reposé en parlant, puisque Mon repos c’est le travail que J’accomplis sur la terre.

Et vous, disciples bien-aimés, partagez Ma parole, annoncez-là des extrémités aux autres extrémités, car vous êtes Mon aide sur la terre, vous êtes Mon appui, et celui de Mes saints, oh, les fils. Amen, amen, amen.

01-03-2015