La Parole de Dieu du Dimanche de la Résurrection du Seigneur, les Saintes Pâques

A grande gloire Je Me porte entre le ciel et la terre en ce grand jour de fête sainte. A gloire de chérubins et de séraphins Je suis porté et, groupes par groupes, les saints forment une couronne autour de Moi, pour la gloire de la fête de Ma résurrection d’entre les morts. Voilà le spectacle des airs au-dessus de la cité en ce jour saint. Chaque année les armées célestes frémissent de joie en ce temps, lorsque Moi, le Seigneur, Je rappelle du jour d’il y a deux mille ans, où Je Me suis montré vainqueur par la croix et par Ma souffrance d’avant la croix et sur la croix ensuite, et les grands de la terre ont été saisis d’effroi à l’annonce que J’ai été mort et Je suis ressuscité, que Je suis et que Je serai vivant aux siècles des siècles, tel qu’il est écrit.

Marie Madeleine est allée au matin de Ma résurrection annoncer Mes disciples aussi et leur dire que le Christ est ressuscité, mais ils étaient profondément endoloris et trop troublés, et cela du moment où Moi, leur Seigneur, Je leur ai dit que Je serai saisi d’entre eux et Je serai livré aux grands des Juifs, en vue du jugement et de la crucifixion, et qu’ensuite Je serai de nouveau avec eux, et voilà, ils étaient effrayés et pétrifiés de la grande épreuve, la Mienne et la leur, lorsque Marie leur a annoncé Ma résurrection.

Oh, elle est venue ensuite la gloire de Ma résurrection et la nouvelle s’est rependue tout de suite, et Marie Madeleine, qui M’a rencontré vivant dans le jardin, a dit à Mes disciples fermés dans un lieu secret, elle leur a dit: «Le Christ est ressuscité». Oh, J’ai dû aller Moi-Même et Me montrer au milieu d’eux, tel que Je le faisais toutes les fois qu’ils étaient réunis, grappe humaine autour de Moi, et Je leur ai dit: «Paix à vous». Je leur ai dit, car grands étaient leur tension et l’effroi et l’inquiétude, grandes et terribles, et ils ne pouvaient plus porter tant de peine, et Je les ai délivrés par Ma parole, qui a eu la force de les guérir, et les a encouragés de Me ressembler ensuite dans le monde, car Je Le leur ai dit: «Allez dans tout le monde et parlez de Moi, pour que beaucoup de gens puissent croire à Ma divinité, se baptiser en Mon nom et travailler leur salut et la sortie du milieu de ce peuple perfide et débauché», puisque le monde depuis qu’il existe sous le ciel c’est un peuple perfide, qui pousse ses fils à ne pas craindre Dieu, pour que l’homme oublie de Dieu, qu’il reste avec le monde, qu’il reste un errant sans feu ni lieu, car J’ai dit à l’homme que c’est Moi la voie, mais il oublie depuis deux mille ans, il oublie, ce que Je lui ai dit, il oublie l’homme que Je lui ai montré comment marcher, il oublie que Je suis venu du ciel et Je Me suis montré et J’ai dit à l’homme ce qu’il doit faire et où porter sa vie.

Oh, il M’oublie l’homme, il oublie, il oublie toujours de Dieu. Depuis les temps anciens tous les hommes savent qu’en ce jour de l’année on a la fête de la résurrection du Seigneur, mais s’ils ne savent pas comment l’attendre et ce qu’ils doivent faire en ces jours de Pâques, ils continuent de pécher et s’adressent l’un à l’autre avec «le Christ est ressuscité!».

C’est avec douleur que Je parle en jour de fête de résurrection. Je regarde le monde qui pèche et J’ai du mal à voir comme il se fait des joies au nom de Ma résurrection, celle venue après beaucoup de peine et de diffamation de la part des hommes du monde sans foi. Oh, ce n’est pas la même chose avec l’autre créature vivante, oh, pas la même chose, car les animaux et les oiseaux et tous les êtres vivants savent, tout comme ceux du ciel, que le Seigneur est fêté et beaucoup glorifié en ce jour de dimanche de la résurrection, et que le Père et la Mère de Dieu sont dans Sa gloire et Moi dans leur gloire, car les créatures non parlantes voient ce que l’on ne voit pas, elles ne sont pas comme l’homme et elles disent les unes aux autres «Le Christ est ressuscité!». L’herbe, les arbres, les fleurs et toute la beauté de la création, avec toutes les eaux ont une langue pour s’exprimer en ce jour et glorifient le Seigneur ressuscité, Celui Qui leur donne de la vie et de l’existence visible, et leur vie c’est de la nourriture pour tout ce qui respire, pour toutes les chairs qui vont et cueillent de la nourriture des dons du Seigneur, mis à la disposition de ceux qui ont besoin de se nourrir.

Oh, tout ce qui respire, toute la création loue le Seigneur ressuscité en ce jour de fête de résurrection. Tout et toutes deviennent de la consolation pour Moi et pour le Père, Celui Qui a si douloureusement supporté Ma souffrance au temps de Ma croix et du mépris pesant sur Moi, qui, a eu la force de M’incliner.

Oh, Père bien-aimé, à quel point as-Tu aimé le monde, Mon Père! Tu n’as d’autre que Moi, et Tu M’as donné alors à la souffrance, et par pitié envers le monde Tu as donné Ton Fils, et le monde est resté toujours étranger à notre vie sainte, Mon Père bien-aimé. Oh, quelle douleur pour Nous, car pour un si grand nombre de gens Mon sacrifice a été en vain, Mon Père. Nous essayons de cueillir en quelque sorte de la part des hommes, la foi que J’ai été crucifié et que Je suis ressuscité pour l’absolution du monde, mais le monde mêle avec le péché ce jour de fête sainte, oh, Mon Père, et Moi, c’est en vain que Je Me suis montré vainqueur sur la mort et le péché, du moment que le monde se tient seulement dans le péché, oh, Mon Père, et Nous souffrons, Nous souffrons beaucoup, pendant qu’ils s’amusent dans les jours qui font mémoire de fêtes saintes pour le Seigneur entre les hommes sur la terre. Le monde ne s’habille pas chrétiennement et on ne reconnaît plus l’homme entre les femmes, et la femme entre les hommes, et l’homme ne couvre plus son corps pour la veille contre le péché.

Voilà, Mon Père, Nous sommes endoloris, malgré toute la gloire du jour de fête de résurrection, puisque Nous n’avons pas de joies venues de la terre vers le ciel, et tout homme est une douleur pour Nous. Je parle en jour de fête de résurrection tout comme le prêtre devant les portes impériales, et Je dis ce que J’ai à dire, et Je parle avec Toi, Mon Père, pour que nous soyons entendus de toute l’humanité, et pour consoler Notre douleur, Mon Père, mais Nous, c’est l’un l’autre que Nous Nous consolons, oh, Mon Père. Amen.

— Oui, Mon Fils bien-aimé et comblé de douleur venue de chaque homme, Nous n’avons pas bâti seulement pour le service de l’homme toutes les beautés créés par Nous, mais pour Notre consolation aussi. Oh, qu’il est beau le monde des oiseaux du ciel et de la terre, et elles Nous consolent et Nous chantent et Nous glorifient ces créatures, Mon cher Fils! Oh, qu’elles sont belles toutes les choses qui Nous glorifient parce qu’elles existent ! Oh, c’est seulement l’homme qui a choisi une autre vie que celle que Nous lui avons montrée, Toi et Moi, il y a deux mille ans, la vie sainte, que l’homme devait suivre après que Nous l’ayons sorti de l’Eden à cause de la désobéissance, pour le repentir et pour beaucoup de sainteté vis-à-vis de Dieu, pour la rémission de ses péchés. Oh, si l’homme savait comment lire dans Notre livre, il comprendrait son écriture, mais celui qui n’apprend pas à lire, oh, comment pourra-t-il savoir, celui qui n’apprend pas? Oh, celui qui ne Te voit pas crucifié pour les péchés du monde, celui-là Te voit crucifié et c’est tout, et il Te représente sur le bois, sur le papier, sur la toile, il Te représente en crucifié. Il s’arrête l’homme devant la croix de Ta crucifixion, telle que le maître l’a représentée, mais le maître ne pleure pas devant elle, et personne ne pleure devant cette image. Oh, personne ne Nous pleure, personne ne pleure pour Nous, personne ne pleure pour Toi et pour Ta souffrance sur la croix, et pour la Mienne, Te voyant sacrifié, Mon Unique Fils. Oh, la larme avait séché sur Mon visage, sur le Tien et sur celui de Ta mère Vierge, et de Tes disciples, hommes et femmes, car la trop grande douleur fait sécher la larme du cœur aussi, celle qui monte vers les yeux, oh, elle sèche la larme à cause de la cruauté de la douleur et de son pouvoir, qui fait courber l’échine.

Oh, que de souffrance, et après elle la résurrection, Mon Fils, mais le monde n’a pas changé, Notre douleur est restée et elle devient plus dure encore pour Nous, pendant que le monde est toujours tourmenté pour le manque de la foi et pour la séparation de Dieu par le péché, et l’homme ne sait pas se sauver du péché, il ne sait pas, le pauvre et l’impuissant qu’il l’est vis-à-vis du péché païen, car le péché se fait doux en lui, et l’homme n’arrive plus à trouver sa guérison du péché.

Moi, Dieu le Père, Je dis à vous, fils du monde, Je vous dis comment vous pouvez vous sauver du péché qui se trouve en vous, et de celui qui se trouve devant vous, en essayant de vous attirer vers ses plaisirs meurtriers pour l’homme et sa vie éternelle avec Dieu. Oh, ne cédez pas la vie éternelle pour celle passagère, oh, non, car elle est courte la vie qui met à l’épreuve chaque homme pour gagner la bataille pour la médaille avec laquelle il peut recevoir l’éternité avec Dieu, la vie éternelle. Oh, nourrissez du ciel votre raison et votre cœur, la vue, l’ouïe et tous vos sens, ne les nourrissez plus avec des choses du monde et des hommes séparés de Dieu par le péché. Oh, ne prenez plus de la terre, ne prenez plus du monde. Si vous voulez vous sauver du péché, pensez à Mon Fils Jésus-Christ et pas à vous, puisqu’Il est mort en souffrant amèrement pour votre péché, et Il est ressuscité pour vous, afin de vous donner l’espoir céleste. Oh, mangez peu, mangez avec crainte des dons du Seigneur, pas selon la demande de la chair et de sa faim. Celui qui s’abstient de la viande, mais il se nourrit des plaisirs de la chair, celui-là mange de la viande. Oh, habituez votre corps à aimer la vie, pas la mort, pas la vanité, et apprenez-lui à aimer l’éternité, pas l’éphémère. Moi, le Père, Je vous apprends, obéissez, les fils, et évitez l’occasion du pécher, car l’envie de la chair est très puissante et elle affaiblit la veille de l’esprit, là où l’esprit veille, et si vous allez éviter l’occasion du péché, vous pourrez éviter le péché aussi, puisque tout d’abord c’est l’occasion du péché qui se présente, et c’est du diable qu’elle vient, afin de vous vous tachiez de la suie, car il sait que le Seigneur a dit à l’homme de ne pas être débauché, c’est pourquoi il pousse l’homme à tout pas, seulement vers la débauche et son plaisir. Oh, veillez d’accomplir les paroles prononcés sur vous, car autrement le diable va vous enlever la crainte de Dieu, il va vous accrocher ensuite et vous tirer d’auprès du Seigneur, comme des désobéissants envers Lui.

Voilà, Je vous dis un mystère et son enseignement: L’homme se fait beaucoup trop de soucis pour sa figure, pour sa tenue. Pourquoi fait-il cela? Cela réjouit le diable et fait mal au Seigneur, jusqu’à la colère, à cause de la douleur. Oh, prend soin, homme pécheur, prend soin de la tenue du Seigneur en toi, car les hommes, les peuples ont besoin d’exemple de vie, puisqu’ils ne savent pas vivre la vie s’ils ne voient pas comment le faire, s’ils ne l’apprennent pas ensuite. Et en fin, obéissez, oh, obéissez à Mon Fils Jésus-Christ, c’est ce que Je vous ai dit il y a deux mille ans aussi. Oh, écoutez-Le, écoutez Celui Auquel ont obéi la mer et l’orage, et elles se sont soumises et apaisées. Oh, aimez le Christ puisqu’Il vous aime, mais vous avez besoin de la crainte de Dieu pour pouvoir commencer la voie avec le Seigneur. Et pourquoi en avez-vous besoin? Mais parce que sans la crainte de Dieu l’homme tombe tout de suite d’accord avec le péché, il s’entend tout de suite avec ce païen ennemi de l’homme et du Seigneur, car le péché, tout petit qu’il soit, éloigne l’homme de la face du Seigneur.

Moi, le Père Sabbaoth, J’ai parlé à vous, ceux de la terre, au jour de fête de la résurrection de Mon Fils, Jésus-Christ, et Je vous accorde le pouvoir de la foi avec humilité face à Ma parole de Père.

Et Toi, Fils Jésus, console Ta souffrance venue de l’homme et celle pour l’homme, car c’est de la souffrance que l’homme Nous donne à porter, et Nous, soumettons-Nous, tel que c’est seulement Dieu Qui peut le faire, oh, Fils ressuscité après grande souffrance. Moi, le Père, Je Te consolerai toujours dans la parole de Ton livre d’aujourd’hui, mais fais-Moi place, oh, fais-Moi place auprès de Toi et J’arrive tout de suite et Je Me tiens près de Toi en parole et Nous Nous montrons à tous, l’un près de l’autre, en travaillant et en soupirant par Notre soupir divin, jusqu’à ce que la dureté du cœur de l’homme va fléchir, et il va apprendre à écouter le murmure de Notre parole douce et miséricordieuse, et il va Nous donner la grande joie de sa naissance d’en haut, de Notre parole pour lui, oh, Mon Fils Jésus. Amen.

— Oh, Mon Père bien-aimé, que de joie a maintenant toute la création pour Notre entretien, Toi et Moi, après deux mille ans depuis Ma souffrance sur la croix et ensuite Ma résurrection sur Golgotha, la colline de tous les témoignages, Mon Bon Père! Oh, Golgotha endolorie comme Dieu, toute ta nature s’est profondément attristée au temps de Mon supplice, celui d’avant la croix et celui d’après la croix ensuite. Toutes les fleurs et les feuilles et l’herbe sous les arbres, tous les oiseaux et les animaux qui vivaient sur ta colline ont pleuré avec Moi et pour Moi, en même temps avec toi, au temps de Mes douleurs d’alors. Les Juifs de Ma crucifixion ont pris de ta colline la branche épineuse et M’en ont fabriqué la couronne, dont les épines ont pénétré en profondeur Mon front, et quelle douleur profonde M’ont elle provoqué, enfoncées dans le front, et ces branches restent porteuses de guérison jusqu’à la fin du temps, pour ceux qui se servent de leur fleur et leur fruit.

Oh, voilà, Mon Père, Ma souffrance et la Tienne, car quel est le père qui voit son fils cloué sur la croix et avec des épines enfoncées dans la chair, et il ne fond pas de douleur, du moins autant que son fils? Je T’ai fait souffrir, Mon Père, par Ma souffrance, et cela Me fait mal, car Tu es Mon Père, toujours souffrant pour Moi. J’aimerais que Mes frères chrétiens aussi portent de Ta douleur pour Moi, Père endolori pour Ton Fils et pour eux du moment que J’ai souffert en vain la croix pour eux, qui ne sont pas arrivés à Me ressembler ensuite, ne suivant par l’exemple de Mon amour.

Et maintenant Je dis à Mes disciples et à la mère endolorie, Ma mère Vierge, Je leur dis que Je serai trois jours à parler et à éclaircir les moments d’alors, les Miens et les leurs, et Je parlerai avec l’homme qui jeûne au temps du Carême, et on ne voit pas chez lui de résurrection et de puissance d’en haut pour le jeûne. Oh, après le jeûne il ne faut pas faire place à la joie de manger, ou attendre une récompense pour l’effort que l’homme a fait en jeûnant, car Noé, après avoir dépassé les difficultés, il s’est mis à se réjouir, à manger et boire selon le goût et avec joie, et il s’est procuré ainsi le péché, qui a parcouru les temps, et qui a frappé tous ses descendants. Oh, Moi, le Seigneur, après le jeûne de quarante jours et nuits, Je ne Me suis pas dépêché de faire du pain de la pierre et manger, selon la stimulation par laquelle le tentateur Me poussait à faire cela, pour prouver le pouvoir de Ma divinité, et lui découvrir ainsi entièrement tout le mystère dont J’étais enveloppé, mais Je suis resté humble et affaibli, tel qu’on l’est après le jeûne, après la grande tentation.

Oh, après le jeûne on a besoin d’amour, on a besoin de joie pour le Seigneur et avec le Seigneur, et qu’elle continue l’obéissance envers Sa parole sainte. L’oubli n’est pas compatible avec l’obéissance. Une parole non accomplie après avoir été prononcée s’appelle désobéissance et manque de soumission, et elle punit l’homme à ce moment-là ou plus tard. C’est pourquoi il faut prendre grand soin, toujours plus grand de ne pas renverser l’œuvre de la parole prononcée, de peur que le diable n’ait pas ensuite lui-même le pouvoir de prendre l’homme d’auprès de Moi et le mener vers l’indifférence envers Dieu et envers soi-même, parmi les vagues, puisque ce sont seulement les vagues qui entourent l’homme à tout instant. Voilà donc, l’habitude de l’obéissance s’est l’oreiller sur lequel il doit se reposer tout chrétien, qui vient pour être entièrement le Mien, seulement le Mien, maintenant et jusqu’à la fin. Amen.

Oh, voilà, voilà, le Christ est ressuscité, peuple roumain! Oh, comment pourrais-Je ne pas te nommer avec Ma parole en jour de fête de résurrection, si tu es le pays de Ma venue pour la deuxième fois d’auprès du Père, chez les hommes sur la terre? Le Christ est ressuscité! Oh, reviens toi aussi à la vie pour Moi, Mon pays d’aujourd’hui. Je t’attends, Je t’attends toujours de te mettre avec Moi à table de parole, et de ne pas transgresser Ma parole, puisque tu dois exister et durer, car J’ai au milieu de toi Ma rivière de parole et Mon trône d’où elle coule et lave le péché et le cœur de l’homme, à condition qu’il prenne de Mon eau, qu’il guérisse de soi-même et qu’il aime le Seigneur et ceux qui servent au Seigneur sur la terre, et ensuite il y aura la grande résurrection sur la terre.

Oh, le Christ est ressuscité, peuples de la terre! Oh, soyez sages, soyez sages! Le Seigneur ressuscité vous le dit: Soyez sages! Changez-vous en bonté et charité et faites place à la paix sur la terre, tel que Je le fais. Amen.

En jour de fête de résurrection, Moi, le Seigneur, J’embrasse toute la création du ciel et de la terre et Je lance sur tout, sur toutes les choses le chant de la victoire: le Christ est ressuscité! Et vous, qui mettez Ma parole dans son livre, oh, soyez des enfants veilleurs, les fils, en tout ce qui doit se réaliser avec vous et avec Mon travail saint avec vous, sur ceux qui croient à Ma venue en parole sur la terre. Oh, elle pèse sur vous la difficile mission de porter le Seigneur entre le ciel et la terre, et vous auriez besoin de soutien, les fils. Oh, c’est à peine que Je trouve de l’aide pour vous. Voilà, Je vous prie maintenant, après Ma parole d’aujourd’hui, parlez vous aussi et dites, en tant que Mes messagers, dites que toutes les tensions et les douleurs pour le Seigneur et pour les fidèles du Seigneur, ne viennent que de ceux plus proches de Mes mystères et leurs œuvres, et tout le soupir vient de ceux qui n’aiment pas le Seigneur, tel que la fidélité pour ce chemin épineux la demande, chemin pénétré d’épines, mais plein de victoire, plein de douleurs d’en haut pour ceux éprouvés par la croix, et méprisés pour Mon nom, par ceux de la terre qui sont loin de la charité et de cette grandiose histoire d’amour entre Dieu et l’homme, Ma parole sur la terre et sur l’homme, les fils. Oh, le Christ est ressuscité ! Je le dis à vous aussi et Je laisse sur le tourment qui vous met toujours à l’épreuve, Je laisse toujours et toujours Ma paix, car c’est ainsi qu’elle est Ma paix, les fils!

Le Christ est ressuscité! Je le dis pour le peuple de Ma parole aussi, pour celui obéissant et pour celui désobéissant, à cause de l’obéissance à sa propre volonté de celui peu aimant de Dieu. Oh, racontez-leur Ma douleur, fils veilleurs. Dites-leur de Ma douleur dont Je vous parle souvent, vous la confiant pour la porter avec vous, et J’aimerais la porter avec tous ceux qui marchent sur cette grandiose voie, mais ils ne peuvent porter, c’est pourquoi ils ne peuvent aller avec la douleur. Mais vous, soyez forts pour tout ce qui vient et vous console ou vous frappe, car Moi, le Seigneur, J’ai tout porté, et Je les ai nommées toutes la volonté du Père, oh, les fils.

Encore et encore JE laisse maintenant sur tout et sur toutes, et sur le pays et le peuple roumain, et sur toute la terre et ses peuples: Le Christ est ressuscité! Le Christ est ressuscité! Le Christ est ressuscité!

Et Je serai trois jours en parole au-dessus de la terre et Je dirai: Le Christ est ressuscité! Amen, amen, amen.

01-05-2016