A désir saint et esprit brûlant Je M’inscris dans le livre de Ma parole avec jours saints pour Mes saints Basile, Grégoire et Jean, portés avec leur fête par l’armée des prélats du ciel, et Moi le Seigneur, au milieu d’eux, car C’est Moi qu’ils ont aimé sur la terre, tant qu’ils ont servi entre les hommes, qui cherchaient la voie, le chemin vers Dieu, vers à la maison.
Et vous, fils de Ma parole, levez-vous pour M’accueillir, avec table de parole venue à vous, avec Mes ailes protectrices sur vous, puisque vous avez besoin de protection d’en haut, les fils, toujours, toujours, si Je Me porte par vous entre le ciel et la terre, pour rassembler sous Mes ailes ceux qui aiment Mon enseignement, et qui cherchent la voie, car c’est Moi la voie, c’est ainsi que J’ai dit, c’est Moi Celui Qui conduit l’homme au Père.
Oh, paix à vous, les fils! Nous ouvrons le livre, parce que Je vous rassemble chaque fois sous Mes ailes, tout comme l’oiseau qui défait ses ailes sur ses petits pour les protéger et les nourrir de son bec, pour les avoir et ne pas les perdre, car l’amour de mère ne dort pas, mais il veille, les fils, et vous, habituez-vous avec Moi et Ma protection sur vous, car Mon enseignement toujours sur vous, vous rassemble, vous appelle et il agit comme Mes ailes, qui rassemblent Mes petits toujours auprès de Moi, et leur apprennent de se tenir sous la veille, puisque les solitaires sont ceux qui agissent selon leur volonté, sans Mon aide, et ils se cachent pour agir selon leur impulsion intérieure, car ils se sentent grands, ils ne sont pas sages, et ils s’éloignent ensuite pour accomplir leurs vœux, et ils restent sans aucune protection et ils perdent le chemin vers à la maison, et il se passe avec ceux-ci tout comme à la Jérusalem de Mon temps, qui n’a pas appris de Moi la voie, qui n’a pas écouté Mon enseignement, qui aurait pu la rassembler sous Mes ailes, mais elle n’a pas voulu, la Jérusalem, même si Je leurs avait dit que c’étais Moi la voie. Cependant elle n’a pas compris, elle s’est sentie réalisée et assez grande, et voilà, les fils, l’homme ne pénètre pas le mystère des mots qui promettent et qui ont du pouvoir par le mystère de la promesse. Oh, que dire encore de ceux auxquels Je suis allé au devant, et Je les ai mis sur la voie vers à la maison, mais ils n’ont pas obéi à Ma protection et ensuite ils sont encore partis solitaires et sans direction, et toutes les voies mènent vers nulle part, mais Ma voie avec l’homme mène vers à la maison, vers le Père, vers la consolation, celle perdue par l’homme, puisque l’homme n’a pas obéi, il a travaillé la dissimulation et le mécontentement et il a quitté l’amour et sa protection.
Oh, l’homme ne se dirige pas avec désir saint vers sa maison perdue, si Moi, Je vais à sa rencontre pour être sa voie vers à la maison, car il s’arrête dans le chemin des hommes égarés de la voie, et qui ne se sentent pas obligés à Dieu avec leur vie.
Vous, ceux qui choisissez d’obéir à Mon enseignement, qui vous protège, Moi, Je vous dis encore, impérieusement Je vous le dis, pour qu’elle reste comme un sceau sur vous Ma parole de protection: oh, les fils, les fils, gardez la distance, tenez-vous loin de ceux qui se sont révolté, mécontents et désobéissants à Ma parole, et qui ont produit du trouble sur la voie avec vous et ils se sont retirés ensuite de la voie. Qu’ils se tiennent tranquilles, tel qu’ils ont choisi de faire et de vouloir, et s’ils veulent, qu’ils gardent aussi la sagesse pour le repentir et pour la miséricorde celle de la fin, pour ceux qui reconnaissent la désobéissance et l’entêtement, c’est cela qu’il vont choisir, car ils sont libres de choisir, du moment qu’ils sont sortis de sous Ma protection pour aller dans leurs vœux solitaires, après avoir attristé profondément Mon Esprit et Mon visage. Oh, ne discutez pas avec eux, puisqu’ils ont du venin sur la langue, puisque pas seulement qu’ils ne M’ont pas porté de fruit, mais ils ont endommagé Mon plant et M’ont laissé pauvre de fils, et ils ont besoin de repentir.
Voilà, les fils, vous avez toujours besoin de Ma parole fraîche pour vous, si seulement vous y obéissiez comme les poussins qui se tiennent sous les ailes de l’oiseau mère et qui prennent soin de ne pas perdre leur protection. Voilà Ma parole qui dit que tous ceux qui se donnent la peine de gagner leur âme vont la perdre, et seulement ceux qui perdent leur âme en annonçant l’Evangile avec laquelle Je suis venu après l’homme, pour que Je Me rende sa voie vers à la maison, seulement ceux-là vont gagner leur âme
Oh, il n’a plus de protection celui qui se soustrait à Ma protection, à Mon obéissance, en disant qu’il gagne son âme, car celui–là reste âme déserte, tel que J’ai dit à Jérusalem, celle qui ne M’a pas reçu pour la réunir et l’avoir la Mienne, car J’étais venu à elle, mais elle ne M’a pas choisi.
Oh, les fils, les fils, il est temps que vous croyiez et travailliez de plus en plus pour l’obéissance, car voilà où mène la désobéissance! Elle mène à la séparation de Dieu, mais prenez comme un sceau sur vous la parole de David l’empereur, car il disait: «Celui qui dénigrait en secret son prochain, celui à regards hautains et cœur enflé, celui-là je l’ai chassé et je n’ai pas mangé auprès de lui». Oh, si jusqu’à présent vous n’avez pas suffisamment obéi pour travailler ainsi, faites le saut d’un coup et regardez seulement vers le ciel, seulement vers Moi, seulement à l’amour de Dieu, comme occupation de votre raison, de votre cœur et votre esprit, et vous allez échapper à ce mauvais péché de la médisance, de l’accusation, et évitez d’être curieux et comme ceux qui espionnent, parce que cela n’est pas l’œuvre des fils de Dieu. Ceux qui ont été et sont encore sur la voie avec Moi, s’ils ont péché volontairement contre l’accomplissement de Ma parole sur eux, cela veut dire que Moi, Je n’ai pas été leur Dieu et qu’ils ont été à l’écart de Moi avec leurs pas.
Oh, les fils, la désobéissance empêche le chrétien de pouvoir accomplir ce que J’attends qu’il puisse faire, et la désobéissance et ses faits, cela signifie infidélité, car la fidélité comporte amour et obéissance, et les infidèles à Ma parole sont pris du diable sous son travail, c`est-à-dire sous la désobéissance envers Dieu. Oh, c’est un jour avec des saints dans leur fête, mais Moi J’ai du mal dans Mon cœur et de la pitié pour toi, Mon peuple, car tu Me manque et J’ai pitié de toi, Mon peuple. Et Je te prie d’aimer l’obéissance, et si tu tombes en faute, mais tu t’humilies ensuite, ton âme est en sûreté, il n’arrive aucun mal sur ta vie. Mais si, après la faute, tu ne peux t’humilier avec de profondes larmes, chaque fois tu pèches, mais au contraire, tu essaies de te justifier, comme Adam dans le paradis, alors ta vie est sous le danger de la séparation de Dieu, mais Moi, Je te conseille vers la veille et Je t’exhorte à dire comme David: «Mets, Seigneur, une garde à ma boche, ville sur la porte de Mes lèvres, pour que je ne mène pas mon cœur vers des mots rusés, m’en disculper de mes fautes et les cacher».
Oh, les fils, les fils, lorsqu’un homme sent le besoin et cherche d’être seul, c’est qu’il a quelque chose à faire selon sa volonté et il ne veut pas être su ou vu des autres. C’est sa propre volonté qui le mène à faire cela, et voilà il a pourtant un maître dont il écoute, un esprit qui le travaille. Voilà, quand tu veux être grand, être toi-même, tu ne peux faire de grandes choses, car voilà ce que tu fais! Tu fais volontairement de l’obscurité sur tes pas, et tu tombes ensuite de la part de l’obscurité, celle que tu travailles.
Oh, fils instruit par Dieu, sais-tu comment suivre à Dieu? Je vais te le dire Moi, et toi tu vas montrer ensuite que tu le sais. C’est avec les faits de Dieu que tu peux suivre à Dieu et avec Dieu, pas avec tes propres faits pour Dieu, car ceux-ci peuvent être avec intérêt, pour rendre Dieu ton débiteur, mais une chose c’est qu’un pauvre sorte dans ton chemin, ou Dieu-Même sous l’apparence d’un pauvre, et autre chose c’est que tu le cherches expressément pour entrer dans les grâces de Dieu. L’un a été le sacrifice de l’Abel et autre celui de Caïn. L’un a été le sacrifice du zèle d’Elie, et autre le sacrifice de ceux sans Dieu, le Vrai. Quand tu fuis furtivement de l’œuvre du Seigneur, oh, ne Lui tends plus ton petit morceau, ne le Lui donne plus, car le Seigneur est le Seigneur, et Il n’ouvre pas à n’importe qui, ou à l’orgueilleux qui ne marche pas dans la lumière avec ses choses, du dedans et du dehors.
Oh, qu’il est heureux celui qui connaît et comprend le Seigneur et Son bien et Ses œuvres, et celle de l’homme porteur de Dieu vers les hommes! L’homme voit l’extérieur de l’homme, et Moi, le Seigneur, Je ne laisse pas que l’homme sache Ma position dans celui qui est devant lui, parce que l’homme de Dieu doit être diffamé, méprisé, tout comme Dieu, afin qu’il soit reconnu comme appartenir à Dieu par cela.
Oh, les fils, les fils, que de péchés fait l’homme en racontant autour de lui ses mécontentements, ses propres sentiers sur la voie des chrétiens! Oh, que de péchés produit un tel conteur dans ceux à qui il raconte ce qu’il veut, lui, que l’on sache! Voilà, c’est ainsi qu’on arrive à des chutes, venues d’autres chutes sur les faibles qui s’éloignent, faute de conseiller et de veilleur sur leur âme, sur leur raison aussi, si ignorante des connaissances d’en haut, et qui tombe si facilement.
J’ai beaucoup de conseils pour vous, les fils, pour que Je n’aie pas de remords de ne vous avoir pas conseillé. Je vous parlerai encore et encore dans les jours qui viennent avec leur fête, mais maintenant Je vous dis pour votre savoir que le diable attend sans cesse de te voir marcher seul, Mon fils, ce qui est déjà une faute pour celui qui fait ainsi, et ensuite il te procure une faute, pour laquelle il t’apprend à le cacher, et lorsqu’ensuite, tu te sens coupable, il te pousse à te retirer de la face de Dieu, tout qu’Adam dans le paradis.
Oh, n’allez pas solitaires, c’est à-dire seuls, car il y a des exemples de chute, desquelles vous pouvez apprendre, il y en a assez dans le passé, et plus récentes, et si vous voulez être libres de veille, c’est parce que vous n’êtes pas décidés de vous tenir sur la voie avec Moi. Il vient le remord ensuite, mais le temps de repentir, d’où pourrez vous en prendre alors?
Oh, accumulez beaucoup, beaucoup d’amour de Dieu, les fils, pour qu’il vous accueille toutes les fois qu’un chancellement vous met à l’épreuve, et pour que vous ayez des richesses dans les cieux, les fils, et non pas de mal, à cause du manque d’amour, dont vous n’avez pas su sur la terre. Ce qui est convenable pour le ciel s’amasse dans le ciel, mais on accumule-t-on ce qui ne ressemble pas au ciel et au Seigneur?
Oh, portez des fruits sur la terre, les fils, pour les choses qui s’amassent dans les cieux, car c’est là que vous avez besoin de beaucoup et de beaux fruits, et vous devez croire ce que Je vous dis. N’accumulez pas de joies, mais l’esprit de l’humilité, les fils, et inclinez-vous sur la terre, pour être élevés dans les cieux.
Et maintenant les saints fêtés vous exhortent d’auprès de Moi avec leur parole, et Moi Je fais qu’on entende leur conseil pour vous.
— Nous, Seigneur, nous avons souffert pour Toi sur la terre, à cause de ceux infidèles et désireux de gloire venue des hommes, et c’est la même chose qui se passe aujourd’hui sur la terre.
Nous exhortons les chrétiens qui cherchent la vie, et nous les conseillons vers beaucoup de prière entre eux et Toi, et vers beaucoup de repentance pour les péchés anciens, et ensuite vers la persévérance pour la sainteté, car voilà, les prêtres sont obligés de porter la confession de l’homme à ceux achetés par eux, puisqu’autrement on n’obtient pas d’autel à servir, et tout est acheté avec de l’argent. Voilà, le prêtre d’autel est l’instrument le plus convenable et hors de doute de ces mauvais faits, de son aller aux veilleurs des gens, et l’homme ne sait pas, le pauvre, à quelles mains il confie son âme lorsqu’il va au prêtre pour sa purification. C’est pourquoi nous, les trois prélats, Basile, Grégoire et Jean, nous devons être appelés avec des prières par tous les chrétiens, car nous travaillons beaucoup des cieux pour ceux frappés de douleurs et de péché sur la terre. Oh, si les chrétiens ont de la chance d’apprendre de Ta venue en parole au milieu de Ton peuple d’aujourd’hui de la nation roumaine, qu’il crie vers Toi et qu’il Te dise: Oh, Seigneur, pour les prières de la cité de Ta parole, élevés vers Toi pour ceux qui ont été, pour ceux qui sont encore et pour tous ceux qui seront nés, oh, prends pitié, et de nous aussi, prends pitié, Seigneur, par l’œuvre avec laquelle Tu viens nous sauver, mais que nous voulions nous aussi, nous sanctifier pour Toi, aide-nous donc, Seigneur!
Oh, ne pleurez plus sous les difficultés et les pressions de la vie, fils chrétiens, mais pleurez vos péchés, les fils, et criez vers nous aussi, car nous sommes des prélats travaillant avec le Seigneur ici, dans Sa descente en parole sur la terre, et nous réalisons dans la cité des accomplissements des Ecritures et du salut pour beaucoup de gens, c’est-à-dire le réveil à la vie sainte, vie qui amène le salut.
Et vous, enfants gardiens et d’appui dans la cité de la descente du Seigneur chez vous, et qui travaillez les choses du Seigneur selon Sa parole, selon Sa carte, vous êtes Ses plus petits, et c’est pour vous que le Seigneur a dit il y a deux mille ans, que tout ceux qui aideront et aimeront les plus petits des Siens, ceux-là c’est au Seigneur qu’ils vont le faire et ne vont pas perdre leur récompense. Cependant le Seigneur ne peut s’appuyer sur n’importe qui sur Sa voie avec vous, mais seulement sur ceux qui aiment comme vous Sa voie entre les cieux et la terre dans Ses jours avec vous, oh, et il est grand votre travail avec Lui, mais Il vous aide toujours avec Ses saints et vous protège de toute côtés, car il est grand le mystère qui vous entoure, les fils, et il est grand le pouvoir que porte sur lui le lieu de la cité du Seigneur avec vous, et heureux sont ceux qui vous aiment et vous comprennent avec fidélité, même s’ils ne peuvent comme Dieu avec leur conduite et leur raison, et il est beaucoup plus difficile pour ceux qui ont été sur cette voie et qui se sont révolté ensuite et ont méprisé l’amour de Dieu pour eux. Oh, s’ils seraient sages du moins dorénavant, s’ils n’ont pas essayé d’être obéissants et humiliés sous la gloire du Seigneur avec vous!
Et maintenant, Seigneur, nous Te faisons part au bonheur que nous avons eu en nous inscrivant avec Toi dans le livre qui témoigne de Ta venue avec les saints, et nous descendons l’esprit des prières de feu sur les fils de la cité, et que ce soit feu monté vers le trône de Ta miséricorde, car la foi et la prière vont accomplir ensemble ce que Tu dois accomplir maintenant, à la fin du temps. Amen.
— Oh, Je descendrai encore en parole dans la cité et Je couvrirai encore de Mes ailes les fils de Ma cité, oh, saints bien-aimés, avec lesquels Je viens et Je viens encore en ces jours aux hommes sur la terre.
Les fils, les fils, Je viendrai de nouveau en parole et Je vous donnerai encore du travail à but de conseil. Vous êtes petits pour porter Mes lourdes choses, et nous partageons le poids, et nous mettrons de nouveau dans le livre, la parole de Ma bouche. Maintenant, qu’il soit béni ce jour de fête avec vous et avec les saints avec qui Je viens quand Je viens chez vous, et paix à vous, les fils! Oh, Je connais, Je porte vos douleurs et tout votre tourment quand il vient sur vous, et Je prends soin de vous toujours, car vous ne pouvez pas tout seuls par les souffrances qui vous élèvent, car autrement vous seriez sans croix vous aussi.
Oh, paix à vous! J’ouvre Mes ailes protectrices et Je vous garde sous elles, sous des ailes de parole Je vous garde, oh, les fils. Amen, amen, amen.
12-02-2019
