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La Parole de Dieu du troisième Dimanche après les Pâques, celui des Saintes Femmes Le Christ est ressuscité! Je prépare Ma descente dans le livre avec jour de fête de résurrection, avec les témoins de Ma résurrection, avec Mes compagnons d’il y a deux mille ans, avec ceux si troublés alors, dont la foi a été durement éprouvée, mais qui se sont montrés forts en amour et fidélité, puisque l’amour ne connaît pas de fin dans ceux qui le possèdent dans leur nature, et ensuite dans le mystère de la naissance d’en haut de ceux destinés d’être nés pour Dieu sur la terre, et Le porter et témoigner de Lui ensuite avec force, à n’importe quel prix qu’ils devraient donner devant les hommes. Oh, Me voilà avec eux dans Ma descente d’aujourd’hui au milieu de ceux qui se sont déjà réunis ici avec leur désir saint, et aujourd’hui ils inscrivent dans les cieux leur venue au festin avec ceux du ciel, avec ceux qui remplissent maintenant les airs au-dessus de la cité de Ma parole, se tenant groupés ici, sur le foyer du peuple roumain, Mon pays de venue sur la terre pour la deuxième fois, envoyé du Père après l’homme sur la terre, puisque l’homme doit donner une réponse à Dieu, et il ne peut échapper à cette réponse, et Moi, Je viens l’aider, et Je viens pour l’annoncer que Je viens, mais Je le laisse choisir tout seul, ou avec l’amour et la foi que c’est Moi, le Seigneur, Qui vient devant lui pour l’aider, ou l’insouciance envers Dieu et l’âme, car le Seigneur souhaite que l’homme ait de l’amour en lui pour Dieu, puisque le levain de Dieu c’est l’amour et toute sa beauté, et c’est lui la grande force dans l’homme, quand l’homme le possède et le montre en travaillent et en veillant pour le garder, car l’amour a seulement des ennemis, les plus grands et les plus nombreux ennemis c’est lui qui les possède, lui et Dieu, c’est pourquoi il faut le garder pour ne pas être écrasé par des ennemis, et l’homme qui l’a, doit veiller et défendre sa cité, pour ne pas y pénétrer des ennemis, la maîtriser et asservir l’homme dans sa propre cité. Oh, et voilà, Je viens Moi-Même devant l’homme et Je Me donne à lui avec tout Mon aide pour sa vie, pour sa liberté, et ensuite il a le devoir d’être reconnaissant à Celui Qui donne la vie, qui anime la chair par l’âme qui lui maintient la vie, le mouvement et l’esprit, et ce mystère doit être mis sur la table de Ma fête avec le peuple de Ma parole, pour lui donner l’esprit de la sagesse céleste, par laquelle il puisse connaître les mystères de Dieu, les mystères de la vie de l’homme et leur expérimentation, et que Moi, le Seigneur, Je puisse voir l’homme comprenant tout cela comme Dieu, puisqu’il es venu le temps. Maintenant, oh, Mon pays d’aujourd’hui, Ma Roumanie tu es Ma demeure d’aujourd’hui et Je laisse la voix de Ma bouche d’avouer ton secret, celui de Dieu, et Je caresse ta beauté, car le Seigneur a trouvé Son plaisir en toi, dès le début de la création des cieux et de la terre. Il t’a créé toi, le tout premier et Il a mis en toi Son trésor, qui ne connaît plus sa destinée celle de Dieu, puisque l’homme, la création de l’homme de ta glaise au début de la création, c’est cela le trésor que Dieu a mis dans le levain de ton corps, et Me voilà en M’asseyant de nouveau sur ce trésor, sur cette terre, Me voilà en parlant du sommet de la terre, la nouvelle création, la naissance de nouveau du monde, tel que J’ai promis il y a deux mille ans, et J’ai maintenant avec Moi les témoins de Ma résurrection alors, et Je leur montre le nouveau début, celui de la fin du temps, car Je suis l’Alpha et l’Oméga, Je suis le début et la fin, et c’est toujours un début que Je travaille à la fin aussi. Oh, à quelle fin? Oh, paix à vous, paix à vous, à ceux venus des cieux, en armées installés ici! Et paix à vous, ceux de la terre roumaine réunis ici en jour de fête de résurrection à la fin du temps! Oh, à quelle fin, les fils? Oh, Mes bien-aimés, au Seigneur il n’y a pas de fin sans début, puisque le Seigneur n’a pas de fin, Il est éternel. Le mystère de la fin s’établit sur la terre et il amène avec lui le renouvellement du monde, c’est la naissance de nouveau qu’il amène, car c’est ainsi qu’il est écrit de s’accomplir, et Dieu travaille selon la carte. Oh, Je suis venu il y a deux mille ans pour accomplir sur la terre celles qui étaient écrites de s’accomplir alors, et J’ai dit lorsque Je Me suis levé de la crucifixion, J’ai dit à Mes témoins d’alors: «Je serai avec vous jusqu’à la fin du temps». Jusqu’à la fin du temps, J’ai dit. Oh, comment doit on comprendre Ma parole prononcée alors? C’est avec de la foi qu’on doit comprendre tout ce que la bouche de Dieu prononce. Lorsque J’ai fini Ma vie terrestre il y a deux mille ans, J’ai apporté avec Moi la résurrection, un nouveau début, en même temps qu’une fin. Il est écrit dans les Ecritures de la fin de l’infamie. Elle a fait son nid dans l’homme dès le début et l’homme est devenu contraire à Dieu en lui, et il faut qu’elle vienne cette fin de l’infamie, et après elle une résurrection, tout comme il y a deux mille ans cette résurrection. Il s’est réjoui satan alors pour Ma fin, mais il a été jugé alors et il a été vaincu avec le nouveau début, qui l’a écrasé. Il se réjouit maintenant aussi satan, mais elle vient la fin de l’infamie et c’est le renouvellement qui vient, et satan perd de nouveau, il perd tout, car c’est ainsi qu’il est écrit. Oh, voilà pourquoi Je viens maintenant sur la terre en parole! Je viens car il est écrit que Je vienne, et des armées célestes se portent avec Moi avec l’empire des cieux au-dessus de la terre habitée par le monde des hommes, mais Moi, le Seigneur, Je viens avec examen sur la création de Dieu et Je mets en ordre l’œuvre du nouveau début. Oh, et Je caresse ton visage, celui fait de Dieu, ton beau visage, Mon pays d’aujourd’hui, celui de Ma venue pour la deuxième fois d’auprès du Père. Mais tu es esclave, tu es sous la croix, oh, Ma belle Roumanie! Ils te soumettent ceux qui te veulent pour eux, mais tu es le mystère de Dieu dès ton début, tu es la terre au trésor, tu es Ma nostalgie depuis sept mille ans, depuis que ton esprit pleure avec Moi secrètement, il pleure comme un homme, oh, et l’homme ne sait pas qu’il pleure. Il croit qu’il rit et qu’il est heureux quand il va bien, mais sait-il encore quel mystère se cache en lui, et qu’il pleure ce mystère? Oh, Mon beau pays, Ma belle Roumanie, voilà la fête de résurrection ici, avec ceux des cieux dans tes airs; comblés d’armées célestes au-dessus de toi maintenant, oh, que tu es belle, qu’il est beau ton esprit, qu’il est beau! Les armées célestes embrassent du regard ton corps tout autour et elles marquent tes frontières et te regardent d’en haut et tu es Ma belle. Lorsque l’homme va dans un lieu qui lui plaît pour sa beauté, il s’en réjouit. Oh, comment ne pas se réjouir les armées célestes maintenant, ici, de ta beauté celle que Dieu t’a donnée. J’ai mis maintenant sur ton foyer, sur ta terre sainte Ma cité de venue sur la terre maintenant, à la fin de temps, et Je travaille, et Je parle au-dessus de la terre du milieu de ce mystère. Oh, il est merveilleusement préparé le lieu de rencontre ici, maintenant, pour la fête d’aujourd’hui. Nous sommes venus ici, où chaque fois on nous prépare un décore magnifique. Je partage d’ici des dons célestes, des pouvoirs saints et beaucoup de consolation, toutes les fois que Je viens et Je M’arrête ici avec Mes saints, et Je te donne des pouvoirs saints, Mon pays, Ma belle, Roumanie. Je dispose pour toi la victoire contre le diable. Ta croix n’est pas pour ta perte, mais c’est pour la gloire de Dieu et pour ta résurrection. Il n’y a pas de résurrection que par la croix. Oh, s’il apprenait l’homme ce mystère de sa vie! Oh, si tu l’apprenais toi aussi, peuple roumain! Tu es toujours plus endolori, toujours plus frappé, même si tu ne le sais pas. Tu es enchaîné par des ennemis, par l’ignorance et si tu n’avais pas de saints qui te veillent de Ma part au-dessus de toi et à toutes tes frontières, oh, ils t’écraseraient les ennemis. Oh, ce qu’il aurait été bon pour toi, ce qu’il serait bon pour toi si tu ouvrais à Ma parole de désir saint, de conseil et de vie, et à Mon amour pour toi! Oh, tu ne M’ouvres pas, et c’est pour cela que tu souffres. Ceux qui se sont nommés les uns les autres comme tes pasteurs t’ont laissé abandonnée et soumise et ils n’ont pas mal pour toi, du moment qu’ils ne savent pas le faire ni pour eux-mêmes. Les grands de ton église peuvent construire en toi temples sur temples, les uns au-dessus des autres, les uns près des autres, mais si eux, si toi tu ne considères Ma voix qui vient pour te conduire pastoralement, oh, Mon pays, tu ne vas pas te libérer des douleurs, de l’oppression, du mensonge de ceux qui t’épuisent totalement pour que tu meurs, Mon pays. Oh, tu ne vas pas échapper à la soumission que si tu ouvres à ton Seigneur pour te garder et t’apprendre à établir le paradis sur la terre, paradis que l’homme a perdu, au moment de sa désobéissance envers Dieu. Et Moi, ton Seigneur, Je te dis: Lève-toi, Mon pays, Ma Roumanie, lève-toi, Ma Belle! J’ai Ma Sainte Cène sur ta terre. J’ai le mystère du paradis en œuvre sur ton foyer, mais lève-toi pour entendre et voir et pouvoir pour Moi et avec Moi, pouvoir pour toi-même ensuite. Oh, puisque J’ai mal, J’ai mal pour toi, et J’ai mal de toi et Je te dis que J’ai mal.
Je reviens maintenant ici, à table de mystère avec vous, ceux réunis à la source, en ce jour saint et Je vous parle du mystère de la Sainte Cène, les fils, et les armées célestes prennent d’en haut Ma parole d’aujourd’hui et s’en nourrissent. Elle est tout un mystère Ma cène avec vous sur la terre. Au soir de la sainte Cène d’il y a deux mille ans J’ai dit à Mes disciples: «Prenez mangez, puisque J’ai désiré vivement de manger cette Pâque avec vous, et Je ne le mangerai plus avec vous jusqu’à ce que Je ne le prendrai pas neuve dans l’empire de Dieu». Oh, regardez maintenant d’en haut l’éclaircissement de Mes paroles d’alors, Ma Sainte Cène avec vous alors, oh, Mes disciples. Mes bien-aimés d’alors, et voilà Ma cène établie ici, tous les jours maintenant, à laquelle tous les saints viennent avec vous des cieux, et c’est cela le mystère prononcé alors, l’empire des cieux en passant avec la cène sur la terre, puisque là où il y a Dieu, là-bas il y a aussi le paradis, c’est l’empire de Dieu, et on renouvelle tout, comme il est écrit, car Dieu travaille tout avec l’homme, avec les Siens entre les hommes. Oh, fils réunis à la source à cette magnifique fête, oh, on a besoin de porteurs de Dieu pour que le Seigneur puisse être sur la terre avec Son empire porté. Oh, il ne sait pas l’homme quelle sorte d’abri devrait-il être. Il a vendu sa vie et Ma place de son cœur, la place où Dieu devrait habiter avec l’homme sur la terre entre les hommes. Oh, voilà ce que l’homme fait, ce qu’il fait depuis sept mille ans! Il a prêté son cœur l’homme. Il fait entrer dans son cœur quelqu’un dont il s’attache et le garde dans son cœur et dans sa pensée, et il est inquiet, toujours à sa recherche tout un désir envers celui porté dans son cœur, oh, et il n’y a plus de place pour Dieu dans le cœur de l’homme qui cherche après l’homme, et il ne peut plus faire autrement avec son cœur, l’homme. Un amour tout aussi grand pour Dieu, aussi grand que le cœur de l’homme pour le cœur du Seigneur, il n’y a plus de place pour un tel amour dans l’homme! Oh, fils nourris d’en haut, du ciel, oh, qui peut penser encore à la sainte cène, à M’avoir convive à sa table, dans son cœur, celui destinée à Dieu dans l’homme? Oh, les fils, l’homme doit se purifier de tant de péchés de son cœur, de sa raison et il ne peut le faire que par Mon corps et Mon sang, c’est comme ça que J’ai dit. Oh, c’est seulement ainsi que l’homme peut se demander de ne plus pécher ensuite, et s’il ne le fait pas, il pèche encore, il se macule toujours, et il ne s’échappe plus de cette servitude, du péché, les fils. Au temps d’Israël on a fixé le sacrifice pour le péché et le pécheur apportait un animal, un oiseau pour être sacrifié pour la rémission des péchés de l’homme. Mais quand le temps est venu que Je Me donne Moi-Même comme sacrifice pour le pardon de l’homme, ils ont chancelé alors ceux qui ont entendu cela, ils se sont étonnés et ils se sont troublés en grand nombre, et ils sont partis beaucoup d’entre eux, en Me quittant. Oh, qu’il aurait été facile à comprendre, surtout après que Moi, le Seigneur, c’est justement cela que J’ai fait, J’ai laissé Mon corps et Mon sang sur la croix, comme sacrifice pour le péché et J’ai dit aux disciples: «Faites cela en mémoire de Moi, et toutes les jours où vous ferez cela en mémoire de Moi avec vous, Je M’offrirai à vous comme vie et nourriture, et Je serai avec vous, jusqu’à la fin du temps, Je serai avec vous». Oh, les fils, oh, les fils, prenez et apprenez ! Habituez-vous avec le Seigneur entre vous et en vous, car J’ai dit: «Le Père est en Moi et Moi Je suis en Lui, et celui qui voit le Fils c’est le Père qu’il voit» et J’ai dit: «Moi en vous et vous en Moi» et c’est cela le mystère du paradis, le mystère de Ma vie dans l’homme, c’est cela , les fils, ce qui déifie l’homme, et il ne peut plus être homme et c’est tout, puisque l’homme passe de la chair en esprit, et il se fait dieu par la grâce, et il devient responsable pour cela ensuite, puisque l’agneau en chair mangé par ceux d’alors au jour de Pâques s’est fait l’Agneau de pain et de vin, et le ciel prend soin de l’âme de l’homme uni avec Mon âme, Mon sang uni avec son sang, Dieu uni avec l’homme, Moi en lui et lui en Moi, tel qu’il est écrit. Lorsque le sang n’a plus l’âme de l’homme auquel il appartient, alors le cœur n’a plus de travail et il meurt l’homme, tout comme l’animal. Oh, et on a dit par Moïse que l’animal dont le sang n’a pas été versé, il est interdit d’être mangé, puisque l’âme siège dans le sang, et c’est un grand mystère celui-ci, c’est la place de l’âme dans l’homme, et il n’est pas possible pour lui de comprendre cela tout seul, par sa raison. L’âme est de Dieu et c’est à Dieu qu’elle doit aller au moment de la sortie du corps qui l’a portée, oh, et il faut bien expliquer et bien comprendre le mystère de l’âme et sa place dans l’homme, les fils. Ils sont étonnés Mes disciples de Ma résurrection, hommes et femmes, car Moi, le Seigneur, Je dis des mystères difficiles à pénétrer par la raison de l’homme chrétien, et ils prennent de la table de l’enseignement et ils en sont étonnés. Oh, Mes bien-aimés, c’est ainsi que Je parlais avec vous aussi alors, mais alors ce n’était pas le temps celui d’aujourd’hui. Oh, vous avez-vous aussi difficilement compris ces grands mystères que Je vous disais alors, car Je vous disais: «Moi en vous et vous en Moi, tout comme c’est le Père en Moi et Moi dans le Père» et c’est ainsi que le ciel s’unit avec la terre et Dieu avec l’homme. Oh, et combien peu ont-ils été ceux qui ont compris ce mystère alors sur la terre, combien peu alors aussi! Moi, le Seigneur, Je vous donne la parole auprès de Moi en votre jour de fête. Vous êtes les témoins de Ma résurrection. Vous êtes avec Moi, après le départ de tous qui M’ont quitté, n’attendant pas de comprendre et en ne comprenant pas. Oh, paix à vous! Paix à vous avec ceux réunis ici, au festin des Pâques, à la cène de parole ici, dans Mes jardins de la terre roumaine, où Je trouve Mon plaisir maintenant, quand J’y viens! — Oh, Agnelet Jésus, Maître bien-aimé, Ton si grand désir saint s’accomplit maintenant par le mystère de Ton empire avec les disciples venus des cieux et de la terre, tous ensemble à la table de Sainte Cène, oh Seigneur Agnelet. Nous avions préparé nous aussi les Pâques comme tout Juif cette année-là, tel que Tu nous avais envoyés de faire devant Toi, mais avant que cela arrive avec l’agneau de Pâques, Tu as rompu le pain et Tu as dit en T’offrant à nous sous la forme du pain: «Ceci est Mon corps, qui se livre pour vous» et Tu as dit sur la coupe de vin: «Ceci est Mon sang qui se verse pour vous». Oh, quel grand Dieu es-Tu Seigneur, Créateur de tout! Tu as fait l’homme de la glaise et Tu as soufflé sur lui l’esprit de vie, et Tu as fait Dieu du pain et du vin, sur lesquels Tu as mis la parole et l’esprit de vie, et Tu T’es caché Toi-Même dans ce mystère, oh, Seigneur, car Tu peux tout faire, rien que par la parole et par l’œuvre de Tes mains, qui nous ont donné le pain et le vin, la sainte cène, Ton corps et Ton sang, et Tu es resté avec nous. Oh, nous n’avons pas compris alors, nous n’avons pas compris, mais nous avons cru à Ta parole, et c’est la foi qui nous a aidé, et tout est possible à celui qui croit, tel que Tu l’as dit. Nous nous sommes réunis ici maintenant en jour de fête faisant mémoire de Ta résurrection et la nôtre, Seigneur. Notre désir saint s’accroît de plus en plus pour le mystère de Ton empire sur la terre. Nous venons avec le ciel, avec ceux du ciel sur la terre, et Toi tu es Celui qui peut tout, et Tu peux par les mystères couvertes, pour pouvoir être portés secrètement, pour ne pas être appris par l’esprit tentateur, qui a pénétré et a fait chavirer le paradis, et l’homme est devenu un ennemi en paradis, mais Michel, Ton ange a crié alors: «Tenons-nous bien, dans la crainte et grande attention!», et il s’est arrêté le chancellement dans le paradis. Oh, et ensuite il est resté sans l’homme, celui que Tu as mis dans le paradis, et cette parole angélique est établie maintenant pour tout homme qui mange et boit Ton corps et Ton sang par l’église, et elle crie cette parole à l’homme de se tenir bien, dans la crainte et avec grande attention, puisque Dieu c’est Dieu et Il se donne à Ses saints, Lui, le Saint du Père, Il se donne pour la rémission des péchés de l’homme. Oh, qu’il est beau ici pour Toi et pour nous, Seigneur, quelle beauté! Cette vision céleste en haut, dans les airs maintenant et en bas ici tout ce que nous voyons en ce jour de gloire, oh, s’ils pouvaient le voir eux aussi ceux de la terre réunis maintenant à la source, Seigneur! Vous, ceux réunis ici dans la grandeur de ce jour dans les cieux et sur la terre, oh, n’oubliez pas: chaque jour commence avec Dieu, avec l’entretien avec le Seigneur par la prière, par des lectures saintes, par des hymnes de gloire, et ensuite, le long du jour que cette soif revienne, et puis pendant la nuit encore, et que rien sans Dieu ne fasse l’homme chrétien, mais en tout et toujours qu’il travaille seulement avec le Seigneur, avec de la prière, prêt à s’informer, avec la mémoire des conseils du Seigneur, c`est-à-dire avec Sa direction en tout. Oh, si vous ne considérez pas bien la vie de chaque jour avec le Seigneur, vous ne pourrez pas aller selon la carte, et vous irez n’importe comment, mais ce «n’importe comment» oh, ce n’est pas une marche, et le temps passe sans être racheté, et il viendra le moment de la question pour chaque instant pour l’emploi du temps et de la vie. Oh, il n’a pas besoin de tant de nourriture qu’il mange l’homme, mais il a grand besoin de Dieu, il a besoin de l’amour envers Dieu en lui, car l’homme et son corps c’est le lieu de repos du Seigneur, c’est le temple du Seigneur l’homme, oh, fils et frères bien-aimés, mais voilà ce que l’homme et son corps sont devenus: nourriture pour les vers, des vers invisibles, mais qui croissent toujours petit à petit dans la chair de l’homme, et l’homme mange beaucoup et il rend malade toujours plus son corps fatigué, car la nourriture en quantité fouette le corps et l’alourdit, ainsi que Dieu n’a plus de pouvoir dans l’homme. Oh, comment Dieu doit-Il procéder avec toi, homme, pour que tu croies que ce n’est pas seulement avec du pain que tu peux vivre? Oh, il faut essayer pour voir, car autrement tu ne vas pas le croire. Regarde Moïse, Elie, Jean le Baptiste, beaucoup d’autres, beaucoup de vivants et aimants de Dieu, qui n’étaient pas atteints de tant d’impuissances, même s’ils ne mangeaient pas tant de pain, même s’ils mangeaient tellement peu, mais l’amour peut tout, tout, et il avait du pouvoir en eux, et voilà d’ou vient la force de pouvoir vous aussi, fils aimés du Seigneur, Le nôtre et Le vôtre. Nous témoignons de Toi, Seigneur, nous leur parlons de tout cœur de Ta vie en eux, de Ton amour, Seigneur bien-aimé. Tu nous as pardonné pour les inconvénients que Tu as portés de nous. C’est avec beaucoup de pardon que Tu nous guérissais, et Tu guérissais grand nombre de gens, à condition seulement qu’ils portent en eux l’amour de Toi, et par lui, la foi, Seigneur. Oh, c’est de la foi qu’il vient l’amour toujours plus grand, quand il existe dans la nature de l’homme, bon par son âme, et l’âme siège dans le sang qu’elle met en œuvre, et l’homme est vivant quand son cœur travaille. Mais quand l’âme va à Dieu, l’homme n’a plus de vie dans son corps, le sang n’a plus de travail. Et le Seigneur, oh, frères aimés, Il nous apprend Ses mystères, les mystères de la vie du corps et les mystères de la vie éternelle de l’âme, et nous avons un Dieu tellement grand! Et c’est Toi l’amour, Seigneur, et l’amour c’est la vie dans l’homme, sur la terre et dans les cieux ensuite. Oh, elle est grande la joie d’aujourd’hui. Comment la partager, Seigneur? Il n’y a pas tant de force et de temps pour ceux qui Te portent aujourd’hui avec la parole de fête, et elle est grande la fête et sa parole. Oh, gloire à Toi avec grande fête et gloire à Ta volonté, et Tu es Celui Qui sais travailler et accomplir! Nous sommes en fête douce avec Toi, nous, les disciples de Ta résurrection, hommes et femmes, tous ceux qui T’ont apaisé en quelque sorte alors, et nous T’avons aimé, en Te portant dans nos âmes avec Ta douceur divine, celle qui a donné du goût à Ta vie en nous. Allons maintenant ranger tout selon Ta volonté, oh, Seigneur bien-aimé! — Mes bien-aimés, oh, Mes chers disciples, allons fixer la moitié, partageons en deux le temps et le travail et allons au peuple réuni, et Nous leur donnerons ensuite toute la parole laissée, et ils en seront nourris de la table de la fête. Oui, les fils, vous allez vous arrêter du travail de la parole écrite en son entier, et vous irez au peuple, et nous allons leur envoyer ensuite sur les nuages la parole entière, telle qu’elle est. Oh, donnez-leur la bien venue et ensuite la garde du ciel pour leur retour à la maison. Maintenant donnez-leur la nourriture celle venue jusqu’ici, et faites que le temps vous suffise à vous et à eux, car, Moi, le Seigneur, Je prends soin de tout, les fils. Je vous embrasse tous dans le Saint-Esprit, vous ceux réunis à la source. Je vous accorde le pouvoir de la compréhension des mystères du Seigneur, et le pouvoir de travailler selon leur direction, selon Ma volonté, et Ma volonté vous est montrée par Ma parole pour vous, pour Moi en vous. Vous avez à apprendre en ce grand jour, si seulement vous le vouliez, si seulement vous vous sentiez comme à l’école, et que vous appreniez de votre mieux, afin de pouvoir être avec le Seigneur, les fils. Oh, qu’il est beau ici, tellement beau! Les armées célestes sont dans l’étonnement, avec grande gloire dans les airs ici, maintenant, et c’est une vision céleste toute la fête, toute la mise en place de la fête en haut et en bas. Oh, les fils, cherchez à comprendre le ciel sur la terre, Mes mystères avec vous. Aimez le mystère du paradis, les fils, et tout sera éclairci en ce jour. Et vous, enfants qui veillez et recevez Dieu, allez en avant avec la parole de la fête. Mais ensuite allez aussi au milieu du peuple réuni, et rangeons tout avec beaucoup de paix, les fils. Je vais avec vous et tout sera rangé et tout sera expliqué, le désir saint et l’amour et tout Ma «doïna» de ces jours avec vous sur la terre, oh, et nous allons partager beaucoup, beaucoup de la consolation, car c’est de la résurrection pour l’homme, l’œuvre du mystère de la parole avec vous, oh, les fils.
***Je continue Ma parole avec vous, ceux réunis à la fête de résurrection. C’est une bonne occasion Ma rencontre avec vous face à face ici. Je vais plus loin avec la parole et ensuite Je la mets sur la voie vers vous, oh, et combien J’aimerais qu’ils soient compris Mes mystères, qu’ils soient crus et souhaités, car voilà, le temps est venu d’éclaircir de grands mystères, puisque par aucune des œuvres venues du ciel, Je n’ai pas pu réussir, jusqu’à la découverte de ces mystères, sortis comme d’un rouleau, pour être mis en lumière, pour être connus par ceux qui les entendent. Oh, Je n’ai pas eu un peuple assez instruit, Je n’ai pas eu, et combien J’aimerais en avoir et partager avec lui les mystères du ciel, les mystères de la vie, les mystères de l’éternité, mystères restés dans le paradis à la suite de la séparation de Dieu de l’homme! Le Pays Roumain, les fils, est élu de Dieu dès le début de la création, et de grands mystères sont gardés en lui et pour lui, secrets qui attendent sortir à la lumière, pour être vécus sur la terre, pour accueillir le Seigneur, car Il vient le Seigneur, Il vient, et Il Se prépare une voie toujours plus sainte, et Il Se fait des amis sur la voie. J’ai établi ici Ma cité, et elle s’appelle montagne sainte, belle colline préparée pour la joie de la terre entière, montagne de Sion, tour de garde fait par Dieu, tel qu’il est écrit de la cité du Seigneur, oh, puisque Je n’ai pas où regarder sur la terre afin de voir Mon église, telle que J’ai établie au début pour être et travailler sur la terre, et comme Mes disciples ont travaillé ensuite à elle, par elle et pour elle. Oh, Je regarde en vain, car il n’y a pas que du monde et l’esprit du monde et les fils du monde dans les immeubles nommés églises, mais les fils de Dieu, où dois-Je regarder pour les voir? Oh, puisque c’est seulement par des gens comme ceux-ci que Dieu maintient encore le monde, mais où les voir encore sur la terre? Ils sont ceux cachés dans l’esprit de l’obéissance à Dieu, les fils. Ils obéissent à Dieu, pas aux hommes, ce n’est pas des hommes qu’ils prennent Dieu. J’ai dit à Mes disciples, qui étaient alors Mon peuple, Je leur ai dit: «Sortez du monde, Mon peuple!». Oh, c’est la même chose que Je dis aujourd’hui à ceux qui essayent d’aller sur la voie de Ma croix, mais ceux qui ne comprennent pas la langue de Dieu et le mystère de Sa parole, ceux-là restent mêlés, désobéissants, ils restent dans le monde et vont sur la voie avec les prêtres qui vendent le Seigneur pour de l’argent et des rangs, car ces serviteurs payés n’ont pas d’amour entre Moi et eux, et ils ne Me suivent pas avec leur vie, avec leur œuvre, et le monde est aveugle et il les suit, et ils disent qu’ils voient, et le monde le dit aussi, mais ils sont ceux désobéissants aux commandements de la vie, et lorsque la maladie de la désobéissance vient sur les hommes, personne ne crie à Dieu, personne ne dit à Dieu: «Examine, Seigneur, la maladie de mon âme et guéris-la, pour qu’il guérisse aussi mon corps, qui est malade». Tu vois le prêtre et tu le connais sur ses habits et sur le lieu où il travaille pour gagner son pain, mais tu ne sais pas s’il n’est peut être pas le loup qui déchire par arrière pour porter la proie à ses maîtres, car l’homme va selon la tradition se purifier de ses péchés au prêtre, pour recevoir son pardon, mais le serviteur perfide le passe à ceux pour lesquels il travaille par service payé, pendant qu’il dit et il chante: «Gloire à Toi, Seigneur!», mais il a un autre maître. Oh, il n’existe pas d’autre homme plus perfide que celui vêtu par-dessus avec des habits de serviteur d’autel. Tu ne peux recevoir le service de prêtre si tu ne veux pas devenir donneur, traître envers ceux d’auprès de toi, dans le troupeau que tu sers. Si on ne fait pas bien le service de perfide, de donneur, de traître, il y a une nouvelle mode maintenant, celle de nommer dans les églises deux prêtres ensemble pour se dénoncer l’un l’autre aux maîtres, tout comme chacun d’eux le font avec ceux qu’il paisse, pour ainsi dire, mais le pasteur payé ne paisse pas, il ne peut être autrement que perfide, dans le service des grands, et surtout pas au service de Dieu ou du troupeau de Dieu. Oh, il n’y a pas de différence entre les prêtres du temps de Ma crucifixion et ceux d’aujourd’hui qui ont toujours procédé ainsi et qui ont torturé ceux ayant Dieu en eux. Le prêtre vend le chrétien et se fait des serviteurs pour acheter les pas des chrétiens et les églises sont pleins d’hypocrites, et les chrétiens y vont comme à Dieu, mais là-bas c’est Judas qui se cache, il ne s’absente point, et il suit de près la vie de l’homme aimant de Dieu, et c’est cela son travail. Oh, il n’y a pas de prêtre qui ne guette pas et ne vend pas les chrétiens à ses chefs. Ce n’est pas en vain que Moi, le Seigneur, J’ai dit il y a deux mille ans des prêtres d’alors qu’ils ont transformé la maison de Mon Père en caverne de brigands, mais Mon église n’a pas besoin de maisons hautes, richement parées, elle a besoin en échange de chrétiens avec lesquels le Seigneur puisse mettre Sa cène sur la table, tout comme Je l’ai fait dans un lieu humble et secret, avec le petit nombre de Mes disciples d’alors, et tout comme c’est une grotte pauvre que J’ai choisie pour lieu de Ma venue petit enfant sur la terre. Oh, les fils, il y en a beaucoup de ceux qui mangent Mon pain, et ils le prennent de ceux qui ont volé la maison et le costume et la recette pour Ma cène, et ceux-ci vendent le Seigneur pour de l’argent à ceux qui veulent L’acheter, mais ni ceux qui travaillent le Seigneur selon la recette, ni ceux qui L’achètent d’eux ne ressemblent pas à Ma demande, en vue de la ressemblance avec Moi de l’homme, qui s’unit avec Dieu par Mon Corps et Mon Sang, oh, et il est visible qu’ils n’ont pas envie de Moi ceux qui Me vendent et ceux qui M’achètent mais c’est seulement l’intérêt, et ils seront interrogés sur le fruit, et ils n’auront pas quoi montrer, sinon le nom et l’enseigne, comme ceux de la terre qui pratiquent de différentes occupations de la vie. C’est une parole avec douleur que Je prononce, pour exhorter au repentir même ceux qui se ventent de ne pas croire à cette parole, et qui c’est par honte qu’ils disent cela, du moment qu’ils ne font pas Ma volonté dans leur vie et ils choisissent de dire qu’ils ne croient pas que c’est Dieu cette parole, Qui envoie à eux aussi Son appel. Moi, Je suis Celui Qui connaît les secrets du cœur de l’homme et J’essaie toujours à l’aider de s’en échapper, de relever les fardeaux de son âme, et quand Je réprimande l’homme, Je le fais pour le corriger, pour le diriger vers le regret d’avoir péché, vers la repentance, et pas pour le punir, car Je suis un Pasteur miséricordieux qui attend l’homme avec de la patience et de l’amour. Oh, c’est pour toi, homme, que J’ai versé Mon Sang sur la croix et J’ai rendu Mon âme en même temps, puisque l’âme siège dans le sang, elle met en mouvement le cœur et elle marche en se réchauffant et réchauffant de corps, lui donnant de la vie et le mouvement de la vie. Lorsque Mon sang a coulé sur la croix et sur la terre ensuite, Je suis resté sur la croix avec le corps sans âme, mais elle est revenue et est entrée en Moi quand Je suis ressuscité. Oh, elle est revenue l’âme dans Mon corps et l’a relevé, tout comme l’âme entre en celui qui naît et reçoit le souffle de vie, car Je suis sorti de la terre comme du ventre, comme Adam, qui a été fait de la terre, et a reçu son âme de Ma bouche soufflée sur lui, et Adam a reçu Dieu en lui. Oh, c’est ainsi que le Père a fait avec Moi, Il a soufflé et J’ai eu de nouveau l’âme, et le sang resté s’est réchauffé et Je me suis relevé. C’est ainsi que tout s’est passé, pour que J’établisse alors la sainte cène, oh, les fils, pour établir les fondements de Mon église, les fils, et que Je suis Moi sa pierre de fondation, tel qu’il est écrit, et il faut avoir de la foi et de l’obéissance pour que le Seigneur soit sur la terre, tel qu’Il S’est établi avec Sa cène, la sainte secrète cène, oh, et c’est ainsi que Je suis resté jusqu’à la fin du temps, comme j’avais promis à Mes disciples. Mais Je n’ai pas de ceux qui M’aiment, Je n’en ai pas à Ma cène, laquelle a été pillée avec tout son mystère, et le Seigneur pleure sur l’autel, Il pleure écrasé et méprisé de tous ceux qui n’aiment pas Dieu. Oh, J’aurais tant aimé que le chrétien se prépare et qu’il soit toujours préparé, celui qui M’a connu avec Ma venue en parole. Il aurait dû qu’il prenne la cène avec Moi, qu’il soit avec Moi, et que Je sois jusqu’à la fin avec tout fils qui M’a connu par cette parole, avec laquelle J’ai parlé par Ma venue d’aujourd’hui de tous les mystères, ceux d’en haut de Mon empire avec l’homme. Vivant dans le monde, il aurait dû qu’il ne soit plus du monde, qu’il ne prenne plus du monde le chrétien, qu’il n’emprunte plus de ses habitudes. J’ai voulu que l’œuvre de Ma parole soit nid pour l’élèvement des fils de Dieu, qui sont venus entendre Ma voix. Un nid chaud pour la nouvelle semence, Mon nid avec des poussins, pour les élever comme une mère, pour les nourrir comme l’oiseau qui apporte en son bec la nourriture pour ses petits, c’est ainsi que J’ai voulu qu’il soit le peuple de Ma parole, que J’ai si longtemps nourri du ciel. Oh, les fils, pour que l’homme ne mange plus de viande, Je lui ai donné du pain. J’ai fait savoir à l’homme par la parole en Eden, ce qu’on doit manger, mais qu’est-ce qu’il mange l’homme? Oh, qu’est-ce que les animaux, les oiseaux mangent, puisque Je leur ai donné aussi quoi manger? Oh, les fils, les fils, s’il n’y avait pas eu de meurtre au début, il n’y aurait plus la mort, il ne mourrait plus l’homme ou l’animal. J’ai essayé de pousser Caïn au repentir. Je l’ai conseillé de faire le bien, pas le mal, Je lui ai dit cela lorsque J’ai vu qu’il voulait tuer son frère, lorsque J’ai vu cela dans sa raison et dans son cœur. Oh, il n’a pas reçu Mon conseil, quand J’ai vu son visage sombre. Il a tué ensuite son frère et Je suis de nouveau allé à sa rencontre, le demandant sur son action. Mais il l’a cachée en lui, et alors Je lui ai dit: «La voix du sang de ton frère crie vers Moi du sol: Oh, qu’as-tu fait?». Depuis lors, les fils, l’homme a toujours mangé de la viande et Je suis préoccupé et endolori quand Je dis qu’il y a deux mille ans Mon corps s’est fait pain et vin par Ma parole et par Mon nom et Mon être sur eux, et il aurait dû cesser de manger sur la terre des corps porteurs d’âme, ou du moins le peuple chrétien ne le fasse plus, le peuple du Christ, l’homme uni avec Mon corps et Mon sang, qui se sont transformés en du pain et du vin. Mes apôtres pêchaient et mangeaient du poisson, et Je leur ai dit que ce n’est pas de poissons qu’ils doivent pêcher, et J’ai dit à Pierre: «Viens et Je vais te faire pêcheur d’homme!». Pierre mangeais du poisson et il donnait aussi aux autres pour de l’argent, comme si c’était ses poissons ceux élevés par Dieu, et Moi Je leur apprenais les mystères de Dieu, et J’attendais qu’ils comprennent. J’ai donné au peuple d’Israël de la viande, s’il a demandé cela, lorsqu’il a commencé à murmurer et ne plus se contenter de la manne venue de Dieu pour eux, mais ils ont reçu le châtiment pour leur envie, et elles ne seront pas autrement payés toutes les envies de l’homme, et pour chaque mal ou bien l’homme reçoit le payement, et Moi, J’ai mal depuis sept mille ans à cause de son manque de sagesse. J’ai donné à l’homme Mon corps et Mon sang pour nourriture, et surtout pour la remise de ses péchés, et J’ai mal quand Je vois que l’homme cherche des corps charnels, et il ne Me cherche pas Moi comme nourriture, et l’homme a besoin de foi pour croire que c’est Moi le pain et le vin, que c’est Mon corps et Mon sang que ceux-là signifient. Oh, les fils, celui qui reste Juif mange la chair d’agneau, il mange de la viande, mais celui qui veut être le Christ, il mange de sa mère, du Christ, il mange Ma sainte cène et il rachète son sang, son âme, les fils. J’ai fait l’homme de la glaise, et J’ai pu cela. J’ai fait du fils de Dieu du pain et du vin, le corps et le sang de Dieu pour nourriture, et J’ai pu cela, et c’est pour l’homme que Je l’ai fait, pour que l’homme soit inséparable de Moi jusqu’au bout, et Moi dans l’éternité inséparable de lui, pour qu’on ne tue plus des animaux et des oiseaux pour la nourriture de l’homme, car c’est du mal que l’homme a commis quand il a provoqué la mort de l’homme, de son frère, les fils, et des hommes sont nés de celui qui a tué, et dès lors on a entendu du cri vers le ciel, la voix du sang de ceux mis à mort pour le Seigneur, en criant: «Jusques à quand, Maitre saint et vrai, oh, jusques à quand tardes-Tu à juger et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre?» et on leur répond: «oh, tenez-vous en repos quelques temps encore, jusqu’à ce que fut complet le nombre de ceux mis à mort comme vous, pour avoir témoigné de Dieu». Oh, les fils, J’aimerais tant de manger avec l’homme Mes Pâques, selon Mon désir saint! J’aimerais que l’homme prenne l’obéissance celle de paradis, telle qu’ils l’ont les saints du ciel. Comment faire qu’ils viennent sur l’homme cette sagesse et ce désir saint, les fils? Le pauvre homme ne sait pas comment il doit se présenter, même s’il entend et lit la parole de Ma bouche, avec laquelle Je viens maintenant à sa rencontre, pour le préparer et lui donner des habits blancs de lin, comme à Mes saints. Je suis venu en ce jour de fête avec des mystères célestes, de grands mystères, les fils, et le ciel et la terre ne peuvent contenir Ma joie de vous les avoir confiés, pour vous faire comprendre ce que J’ai fait il y a deux mille ans, et comment J’ai établi Mon église dont le mystère a été profondément compris par si peu d’entre ceux qui venaient vers le troupeau de Mes disciples, puisqu’ils venaient sans être préparés, et les disciples se débrouillaient si difficilement avec ceux si dépourvus de sagesse. Ensuite Ma douleur s’est toujours intensifiée avec le temps, puisque des hommes de rien ont voulu et on pris le service aux autels, et ils Me font très mal ceux-ci avec leur conduite étrangère à la voie de la croix, qui s’en orgueillissent d’être pasteurs et oppriment le troupeau, ils profitent de son vigueur et son travail et ils écrasent ce qu’on a planté, ils ne s’en soucient pas, car ce n’est pas cela qu’ils ont choisi de faire, mais ils font autre chose, dirigés par des maîtres étrangers de la vie de Ma souffrance pour l’homme, et au long du temps, peu, très peu de ceux-ci M’ont suivi, ayant pitié de ceux étrangers à Dieu et en les conduisant d’un esprit vigilent, comme des pasteurs miséricordieux pareils à Moi, puisque J’ai pitié de l’homme né de l’homme, qui ne choisit pas la voie de la vie avec le Seigneur, et malheureusement, il y a comme ceux-là, même parmi ceux qui se sont rencontrés en ce temps avec la voix de Ma parole, et ils n’essayent pas de comprendre leur devoir envers l’esprit de la vie à venir, oh, et elle Me fait très mal la froideur de l’âme de l’homme, les fils. Il est grand ce jour dans le ciel, grand à cause de la grandeur de Ma parole de ce jour. Ce jour M’a donné une grande consolation, mais aussi une douce tristesse, à côté des disciples de Ma résurrection, hommes et femmes, car ils sont tristes parce qu’ils n’ont pas, eux non plus, pleinement compris et n’ont pas pu se conformer pleinement à la vie de paradis, venue à la suite de Mon retour auprès du Père, où J’attends en larmes tous leurs descendants. Oh, mais pas tous M’aiment, pas tous peuvent venir là où Je suis, tel qu’il est écrit sur ceux qui M’aiment sur la terre dans leur nostalgique chemin vers «à la maison». Oh, fils si fatigués, il y a beaucoup de parole aujourd’hui car il est grand ce jour et Je vous ai mis sous charge pour Moi et pour le peuple réuni, pour le diriger avec l’esprit de la résurrection, les fils. Maintenant nous partageons le travail et c’est ainsi que nous travaillerons et nous témoignerons de ce jour avec son travail. Oh, heureux ceux qui vous reçoivent en Mon nom, les fils. Dans trente jours vous allez commencer de nouveau préparatifs pour Mon arrêt, celui de la Pentecôte, lorsque Je réunirai de nouveau le peuple à la source et J’aurai de lui de la consolation par sa venue ici, sous Ma direction pastorale. C’est peu à peu que Je recueille les joies, et Je cherche de la consolation, les fils. Je suis fatigué de désir et d’attente nostalgique. Il Me manque l’homme. J’aimerai faire l’homme selon Mon image et Ma ressemblance, oh, et il y en a entre ceux qui viennent et qui restent, il y en a aussi entre eux de ceux qui rebroussent chemin après quelque temps passé avec Moi et avec vous, et ils ne savent pas ce qu’ils font, les pauvres. Mais nous, nous poursuivons notre voie, qui nous soutient, et nous recueillons peu à peu de la consolation sur la voie, car Je dirige en Pasteur Mon peuple et Je lui apprends d’avoir du repentir, celui qui amène l’occasion de consolations, qui amène de la chaleur dans les cœurs et le désir de pardon, le désir de Dieu, les fils. Ils sont comblés d’étonnement les hôtes célestes, ceux fêtés et ceux qui les accompagnent en suites disposées ici, dans les airs du jardin. Oh, ils se consolent aussi ceux réunis de partout à la fête, et elles leur poussent des ailes de désir saint et de fidélité sur la voie, mais Je les prie tous de pénétrer tout Mon désir saint du mystère de cette parole en ce jour, et de recevoir l’esprit d’enfant déifié, recevoir l’amour qui ne tombe pas, car celui qui tombe n’est pas, il n’a pas été amour, puisque l’amour ne tombe pas, c’est ainsi qu’il est écrit. Oh, allons prononcer encore et encore sur la fête et ses hôtes le salut de Ma résurrection: Le Christ est ressuscité! Le Christ est ressuscité! Le Christ est ressuscité! J’ai pitié de vous, grande pitié, fils fatigués, mais les hôtes en haut et en bas prennent l’esprit de résurrection de Mes mystères sur la terre, oh, et combien J’aimerais qu’il arrive ce pouvoir et son œuvre, puisqu’on a parlé aujourd’hui de mystère de la sainte cène, oh, les fils, et c’est cela Mon désir saint depuis deux mille ans , et J’en pleure, et on ne M’apaise pas cette douleur, car elle reste et brûle toujours, et elle parle toujours, les fils. Oh, Je laisse Ma paix sur le peuple réuni à la source! Nous regardons d’en haut, nous aimons en regardant. Oh, que ferais-Je sans vous, les fils? Oh, paix à vous, tout le temps paix à vous! Vous avez des charges à porter. Paix à vous, les fils! Il Me reste ce que Je n’ai pas encore laissé dans le livre avec vous, et Je les garde pour les descendre sur la terre avec leur explication, si seulement vous étiez prêts de M’accueillir, les fils. Envoyez maintenant Ma parole là où elle est attendue d’arriver de vous, les fils. Et maintenant Je mets de la force sur vous et vous allez vous reposer, vous allez recevoir de l’énergie, car c’est Moi Qui vous la donne, les fils. Je laisse encore une fois sur vous l’annonce d’il y a deux mille ans: Le Christ est ressuscité! Il est pressant le désir d’avoir de nouveau à la source le troupeau venu pour l’enseignement pastoral, et vous en M’accueillant et en rangeant ici Ma place pour la fête du Saint-Esprit, encore et encore fête sainte, les fils. Souffle vivifiant Je laisse sur vous pour pouvoir porter Mes charges. Je serai toujours avec vous en parole, et Ma sainte Cène avec vous c’est de la nourriture pour ceux des cieux tout comme pour vous, oh, et qu’elle est grande cette joie dans le ciel, et qu’elle est grande Ma protection sur la cité et sur vous, les fils! Cette cité, et vous servant en elle, voilà Ma consolation de ce temps, de Mon temps avec vous, oh, les fils. Amen, amen, amen. 12-05-2019
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