Je mets dans le livre parole de mémoire et jour de fête de résurrection, oh, les fils, fête qui dure le long de tous les jours que J’ai passés visiblement sur la terre, après avoir repris Ma vie, et jusqu’à Mon ascension à la droite du Père, d’où Je suis descendu par Ma naissance petit Enfant, tout comme l’homme qui naît de l’homme et grandit ensuite comme l’homme né sur la terre, et puis, en passant par tous les faits annoncées dans les Ecritures, comme avoir été accomplis de Moi devant le Père et les hommes, Je suis allé au Père, les fils, Je suis allé devant Lui avec accomplissement entier, avec mission accomplie, puisqu’après la mort sur la croix J’ai repris Ma vie, tel qu’il est écrit de se passer, et tous ceux qui M’ont brisé alors, ont fait cela selon les Ecritures, ils ont mis le Seigneur de la gloire au rang des hors de la loi, et ils ne savaient pas qu’ils étaient ceux qui accomplissaient les Ecritures sur le Messie, le Christ venu entre les hommes, tel qu’il était écrit, et voilà c’est ainsi qu’elles s’ accomplissent les Ecritures, tel que les hommes ne savent et ne comprennent pas, s’ils ne les lisent pas, afin de les savoir et les croire ensuite.
Oh, les fils, les fils, le Christ est ressuscité! Je le dis à vous aussi, comme aux disciples d’alors, et Je vous dis encore: Paix à vous! C’est ainsi que Je leur ai dit au soir du jour de Ma résurrection, quand Je Me suis montré brusquement entre eux, pendant qu’ils se trouvaient fermés , se cachant des Juifs révoltés, oh, et Je n’ai pas utilisé la porte pour aller dans la chambre où ils s’étaient tapis, mais Je suis entré pour leur faire comprendre les Ecritures, par lesquelles Je leur avais dit que c’est Moi la porte par laquelle Je suis entré chez eux, et par laquelle ils entrent à Moi, tout comme Moi à eux. Je leur ai dit en ce jour, vers le soir, Je leur ai dit: «Que la paix soit avec vous! Comme le Père M’a envoyé, Moi aussi Je vous envoie. Recevez le Saint-Esprit. Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils seront pardonnés, et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus!».
Oh, et s’il est arrivé que le soir du jour de Ma résurrection Thomas ne soit pas avec eux, Je suis de nouveau venu après huit jours, pour qu’il Me voie lui aussi venir de nouveau entre eux puisque les disciples lui avaient dit: «Nous avons vu le Seigneur!». Mais il a désiré de Me voir et il M’a appelé de tout son cœur et il a dit: «Je ne vous croirai pas si je ne vois pas moi aussi Ses mains et la marque des clous, pour les toucher de mon doigt, et si je ne mets pas mon doigt dans Son côté percé». C’est alors que Je suis entré à eux, Je Me suis tenu au milieu d’eux et Je leur ai dit: «Paix à vous! Et avance ici ton doigt, Thomas, et regarde Mes mains, avance aussi ta main et mets-la dans Mon côté et sois croyant, et non pas incrédule», et lui il a dit: «mon Seigneur et mon Dieu!», et Moi Je lui ai dit: «Puisque tu M’as vu, tu as cru, mais heureux, Thomas, heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru!».
Oh, les fils, c’est le deuxième dimanche après Ma résurrection et Je viens vous dire à vous aussi: Paix à vous, et Je vous dis le Christ est ressuscité! Et Je vous dis que vous êtes heureux, vous qui croyez à Ma venue à vous sur la terre, tel que Je venais alors à eux, à Mes disciples et Je travaillais avec eux et Je leur dévoilais Mes mystères et Je laissais Mon témoignage sur la terre pour qu’il soit connu jusqu’aujourd’hui, et vous êtes ceux qui croyez que Je viens de nouveau, tel qu’il est écrit de venir et de travailler selon les Ecritures, les fils.
Oh, paix à vous, les fils! C’est avec cette paix aussi grande que Dieu, que vous devez préparer la fête du dimanche suivant, Mon arrêt ici, avec les disciples, hommes et femmes, qui M’ont porté alors jusqu’à la croix et ensuite jusqu’à Mon ascension auprès du Père.
C’est avec grande paix qu’on doit travailler toutes les choses du Seigneur avec vous, car c’est par cette parole que Je Me rencontrais avec les Miens alors, et avec la grâce de Ma paix sur eux, Je travaillais et Je témoignais pour qu’il reste Mon témoignage, que l’esprit du témoignage reste, les fils.
Oh, Je laisse de nouveau de la bénédiction sur vous pour les préparations de la fête du rencontre ici, à la source, entre Moi et ceux qui M’accompagnent du ciel, entre vous et les invités qui viennent et se réunissent sous le signe de Mon amour en jour de dimanche, le troisième après Ma résurrection, les fils. Travaillez tous avec la paix d’en haut, pour qu’il vous soit facile à vous comme à Moi, et à l’aide céleste de la part des puissances célestes et celles des anges, que Mon œuvre tient pour en travailler et accomplir, et si vous travaillez avec ceux des cieux, que la paix soit entre eux et vous, car c’est ainsi le travail dans le ciel, et qu’il en soit ainsi sur la terre aussi, les fils.
J’ai un petit arrêt maintenant avec vous, mais tout petit qu’il soit, oh, voilà auprès de Moi le disciple témoigné en ce dimanche, il Me demande d’accomplir le souhait de son cœur, celui d’avoir son tour auprès de Moi, et Je lui en donne tout de suite, comme Je l’ai fait alors.
Voici ton tour maintenant comme alors, Mon grand disciple, grand par ton sentiment et sa sagesse pour ton Seigneur Dieu.
— Oh, qu’il a été grand mon désir saint, celui d’auprès de Toi, celui d’entre moi et Toi, celui pour Toi, Seigneur! Oh, il ne m’a pas suffi le désir saint d’alors et il est resté avec moi pour l’éternité. C’est avec lui que je témoigne de Toi aujourd’hui aussi, après deux mille ans, lorsque Tu viens avec nous sur la terre en parole, ainsi que, restant invisible et travaillant, Tu fais croître le désir saint envers Toi dans ceux qui Te reçoivent et dans ceux auxquels on Te partage avec la parole de Ta venue, oh, Mon Seigneur et Mon Dieu, mon désir saint, nostalgie éternelle, sans repos, Seigneur!
A vous, Ses disciples d’aujourd’hui, c’est ainsi que je vous dis: je vous engage vous, par parole prophétique et apostolique, avec la puissance que le Seigneur nous a donnée pour la mettre à Son œuvre, je vous engage vous de porter toujours dans votre cœur Son désir saint, de rester liés par ce désir ardent, et qu’il vive sans repos en vous ce désir saint envers le Seigneur et l’éternité, mes fils et frères.
J’ai tâté le Seigneur ressuscité, j’ai tant désiré cela, et j’ai demeuré lié à Lui par ce désir saint dans le ciel aussi, tel qu’alors, au moment où je L’ai vu ressuscité, avec les plaies de la crucifixion sur Son corps.
Oh, ayez soin du désir saint, de la foi pleine de lui, et consolez le Seigneur sans repos, consolez-Le, soyez toujours à Sa recherche, avec votre grand œuvre pour Lui, puisque le Seigneur est toujours avec vous, et Il vous tient en bain de parole, oh, et il n’y a personne d’autre plus consolé que vous, et donnez-Lui ce qu’Il vous donne, oh, mes fils et frères.
Et tenez-vous en attente maintenant pour ouvrir, car nous allons venir avec le Seigneur chez vous, et nous allons nous donner des consolations, qui vont se verser sur ceux qui se mettent en route pour venir à notre fête avec le Seigneur et avec vous, fête de résurrection ici, sur la terre du Seigneur, ici, à la maison, car Il vient chez vous et dîne avec vous et Il se montre à vous, tel qu’Il a promis à ceux qui croient en Lui, oh, mes fils, et frères. Amen.
— Oh, les fils, fils qui Me recevez avec les saints chez vous, oh, les fils, c’est vrai, «dor» c’est désir saint, douleur douce, nostalgie, c’est un mot propre au roumain, tout comme sa «doïna» toujours spécifiquement roumaine, c’est une mélodie douce, triste, nostalgique, tel qu’il le dit le poète roumain:
Nous sommes les tiens! Les étrangers
Te perdraient, s’ils le pouvaient,
Mais s’ils te perdaient, Doïna,
A qui on restera?
Ne nous laisse pas, notre bien-aimée,
C’est pour ton amour qu’on vit et qu’on vivait,
Des pauvres nous sommes tous,
Des pauvres, mais qui t’aiment,
Reste avec nous, car tu es notre reine,
Et c’est la loi qui coule par ta voix.
Enseigne-nous à pleurer
Voilà, c’est tout à nous rester!
Oh, les fils, voilà tout ce qu’il Me reste à Moi, votre Seigneur et Dieu : le désir endolori après l’homme, son chant nostalgique et les pleurs. Les saints pleurent avec Moi, c’est à cause de la nostalgie après l’homme que nous pleurons, et celle-ci devient parole endolorie, et c’est la «Doïna» qui porte Mes pleurs.
Demain, les fils, c’est jour de mémoire pour le martyr Georges, celui qui attend comblé de désir saint son tour pour entrer avec Moi dans le livre, avec un désir impatient il attend d’entrée à Mon peuple avec Moi, et Moi, le Seigneur, Je lui accorde l’entrée pour ne pas vous fatiguer demain aussi; et le voilà en parole pour son jour de fête entre ceux des cieux!
Va donc, enfant bien-aimé, apaise la douleur de ton attente.
— Ta miséricorde, mon bon Seigneur, est toute consolation dans le ciel et sur la terre, et je veux moi aussi faire place à mon désir saint envers Toi, dans les cœurs des fils et des filles de Ta parole d’aujourd’hui avec eux, et je leur dis: c’est le désir saint qui maintient la vie de l’homme, oh, fils, et filles de notre Epoux, le Seigneur bien-aimé de ceux qui Le souhaitent ardemment. Mon désir saint pour Lui et mon éternité avec Lui m’ont fortifié, afin de ne me perdre pas de Lui avant d’arriver au bout de ma marche dans la vie sur la terre.
Oh, il n’y a rien de plus fort, de plus propre à la victoire que le désir saint envers Dieu dans le chrétien, le vrai chrétien. Que pourrait-Il faire notre Seigneur avec les chrétiens qui n’aiment pas, qui n’ont pas de désir saint sans repos dans le cœur désirant l’éternité? Le désir saint est éternel, c’est la vie qui ne meurt pas dans l’homme et qui le suit dans l’éternité ensuite, oh, les fils, bien-aimés des cieux.
Oh, levez-vous pleins de désir saint et de paix d’en haut et préparez maintenant au Seigneur fête solennelle, puisqu’Il vient chez vous le dimanche prochain et Il vient ressuscité en parole, en souhaitant profondément le désir saint dans le cœur de l’homme, désir que vous devez faire croître et le mettre dans les hommes, les fils.
Et que l’esprit de la consolation entre le Seigneur et les hommes s’accomplisse le plus tôt que possible, puisque le désir saint brûle dans les cieux, oh, et combien le Seigneur aimerait-Il qu’il s’allume ce désir dans ceux de la terre, les fils!
Je Te remercie, Seigneur, à grande inclination je Te remercie de Ta consolation, et j’apaise maintenant ma nostalgie dans les cieux, car j’ai été avec Toi à table, avec Tes disciples d’aujourd’hui, avec Toi et avec eux, avec ceux qui Nous partagent, oh, notre doux Seigneur.
— Oh, quelle grandeur entre Moi et vous, quelle grandeur, oh, les fils! Avez-vous ce grand sentiment en vous, les fils? Oh, apprenez toujours plus d’être comme le Seigneur, comme tous ceux des cieux pour vos sentiments, les fils.
Et voilà, bénédiction sur bénédiction Je laisse sur vous, et entre vous et vous pour travailler avec elle comme dans les cieux à la préparation de la fête qui vient s’établir ici, et que nous porterons dans la mémoire, les fils.
Oh, paix à vous pour votre travail avec Moi, les fils!
Et beaucoup de paix et un voyage béni pour ceux qui se réunissent à la source, pleins de désir saint et de l’esprit de fête ici, les fils!
Vous, ceux qui êtes Mes portes pour entrer dans la cité, oh, tenez-vous entre Moi et le peuple, afin qu’il soit beau tout fils de cette parole, qui fait croître ceux qui vont avec le Seigneur sur la voie.
Oh, que personne ne vous pose de travers dans le cœur, les fils, car vous vous tenez toujours devant Moi. C’est seulement le désir saint qu’ils doivent avoir en eux les fils de Ma parole seulement ce désir, les fils.
Oh, paix à vous! De nouveau paix à vous dans le travail pour la mise en place ici du jour de fête de résurrection, jour de consolation, de désir saint et de la consolation, oh, les fils.
05-05-2019