Paix à vous, les fils, paix à vous! Je viens à vous, J’ai chez vous Ma Béthanie, celle de la fin du temps, et J’ai votre foi, celle qui M’a ouvert et qui M’ouvre pour venir.
Oh, les fils, vous croyez que c’est le Père Qui M’a envoyé, que le Père M’envoie toutes les fois que Je viens. Qu’elle soit bénie la foi par laquelle vous M’ouvrez, en M’attendant lorsque Je M’annonce Que Je viens, et qu’elle soit bénie votre fidélité envers Moi et avec Moi!
Oh, que J’ai besoin de la fidélité de ceux qui croient dans Ma venue à vous et dans votre service avec le Seigneur, Celui Qui vient et Se fait livre sur la terre, avec Sa parole sur vous, les fils! Oh, il est très difficile pour Moi le chemin et le travail, difficile à cause de ceux sans fidélité, mais cette difficulté vous Me l’allégez, car vous avez pitié de Dieu, les fils, et vous avez pitié de tous les hommes, et voilà, on a besoin de pitié, pas de Je ne sais pas quelles terribles actions, pour lesquelles se donnent la peine beaucoup de ceux qui veulent payer leur rédemption. Mais les vrais fils de Dieu sont seulement ceux qui ne pensent plus à eux, pas même pour leur rédemption, puisqu’ils ne cherchent pas leurs intérêts, ils ne cherchent pas la rédemption, mais c’est Moi qu’ils cherchent, avec pitié pour Ma souffrance venue de l’homme, et voilà, ils cherchent le Rédempteur, pas leur rédemption, et le souci de leur salut est le Mien, pas le leur, du moment qu’ils ne peuvent pas ce que Dieu et seulement Dieu le peut, et Moi, Je prends en pitié celui que Je veux, les fils, celui qui veut avoir pitié de Dieu.
Oh, l’esprit de la fidélité comblée de pitié, c’est cela que Je vous accorde pour l’avoir en abondance, fils nourris du ciel, et vous allez pouvoir agir ainsi jusqu’à la fin, si seulement vous gardez en vous la pitié envers Moi, les fils, et Moi, Je vous apprend de le pouvoir ainsi, et Je vous dis à tous: Oh, n’oubliez pas, ne laissez pas qu’elle s’échappe de votre cœur l’idée que Dieu est mort pour vous. Moi, c’est pour vous que Je suis mort, pour que vous viviez pour Moi, les fils. Lorsque Dieu meurt pour que tu vives, est-il encore possible que tu ne vives pas pour Lui, et pas pour toi?
Voilà, les vrais fils aimants de Dieu sont ceux qui vivent pour Dieu, Celui Qui est mort pour eux, et la vie consacrée à Dieu c’est le plus grand amour pour Moi dans l’homme, et Moi, Je prends en pitié ceux qui vivent pour Moi, pour leur pitié envers Moi, et c’est ainsi que l’homme peut lui aussi donner sa vie pour Moi, tel que Je l’ai donné pour lui, et voilà, il n’y a pas de plus entière reconnaissance envers Celui Qui est mort pour toi, fils miséricordieux envers Dieu, et n’oublies pas ton œuvre, car Dieu c’est pour toi qu’Il est mort, afin que tu vives pour Lui.
Oh, les fils, comment l’homme peut-il vivre pour Dieu et pas pour soi? Mais J’ai montré cela par les Ecritures, J’ai dit que l’homme a besoin de renoncement à soi, sans lequel il ne peut être avec Moi, et pour Moi, et il peut seulement pour lui et pour les siens, il ne peut se donner le salut, mais c’est seulement le Sauveur, Celui venu des cieux Qui peut le lui donner, après une vie de travail avec Dieu, et pour laquelle lui accorde ensuite le payement convenable.
Oh, peuple de Ma parole, approche-toi et apprends en ce jour les mystères du Seigneur.
Oh, Mon Père, allons ensemble, Toi et Moi, allons enseigner au peuple de Ma parole! C’est un jour de fête impériale en ce dimanche, auquel suit le dimanche de Ma résurrection d’entre les morts, après que, il y a deux mille ans Caïphe et ses hommes M’aient livré à la mort sur la croix, tel un homme, et Moi Je suis mort pour l’homme, pour que l’homme vive pour Moi, Mon Père, avec sa vie sur la terre.
Tu M’as envoyé sur la terre après l’homme, Mon Père, car Tu as pitié envers l’homme sans pitié envers Dieu en lui, et Tu as fait cela pour que l’homme apprenne lui aussi la pitié, oh, Mon Père. Oh, Tu as envoyé sur la terre l’amour, il est descendu avec moi, et Je l’ai mis sur la terre, afin d’être vu en œuvre entre les hommes et dans les hommes, et qu’ils l’apprennent de Dieu les hommes, oh, Mon Père. Oh, viens auprès de Moi dans le livre et allons parler de l’amour à ceux qui ne savent pas vivre par l’amour, tel que Nous aimons les hommes, Mon Père. Oh, prends-Moi dans Ta voix de Père et console Ma souffrance, puisque c’est par pitié envers l’homme que Tu M’as envoyé.
— Oh, gens de la terre, vous ceux qui aimez ou n’aimez pas Dieu, fidèles ou infidèles à Dieu, Moi, le Père Sabaoth, Je Me prononce d’auprès de Mon Fils et Je vous parle de Ma pitié de vous. C’est un seul Enfant que J’ai eu, Un seul J’ai eu et Je L’ai toujours. Je L’ai rompu de Mon sein il y a deux mille ans et Je lui ai dit que Je l’envoie après l’homme, et Il a obéi à Son Père et Il est descendu et Il c’est fait homme, et les grands sur les hommes ont puni avec la mort Mon Fils aimé, le Fils de Dieu le Père, Jésus, oh, et ils L’ont cloué sur la croix, et il a coulé le sang de Dieu sur la terre au jour de Sa mort.
Oh, Il est mort sur la croix le Fils de Dieu le Père, pour qu’ils vivent pour Lui ceux pour lesquels Il est mort outragé. Et voilà, l’homme ne vit pas pour Celui Qui est mort, afin qu’il vive l’homme, qu’il connaisse Dieu, Celui descendu du Ciel pour Se faire homme et mourir pour le salut de ceux qui sont tellement morts par le péché.
J’ai toujours pleuré avec Lui dans Sa douleur, et Je pleure aujourd’hui encore, mais J’ai tout donné pour le retour de l’homme en Eden, oh, mais l’homme ne se laisse pas rentré au bonheur préparé pour lui à la création du monde, à sa création du début. L’homme ne consent pas de donner à Dieu rien de ce qui est à lui, parce qu’il dit que tout lui appartient, et s’il a des enfants, il ne renonce pas à aucun d’eux en faveur de Dieu, car il dit qu’ils sont à lui, que c’est lui qui les a faits, que c’est lui qui les à élevés, mais tôt ou tard, il donne ses enfants, il les donne au monde, au mariage, et il les donne de toute façon, car c’est ainsi l’histoire avec l’homme, qui ne donne rien à Dieu sans demander de retour.
Oh, qu’il est heureux l’homme qui se remplit de Dieu et qui a du pouvoir sur sa voie avec Dieu! Oh, heureux l’homme qui, en ayant beaucoup d’enfants, il leur apprend à tous la voie de la croix et de la résurrection, en vivant tous pour le Seigneur, Celui Qui est mort pour que l’homme vive pour Lui sa vie sur la terre.
Oh, les fils, cherchez le Seigneur, le Rédempteur, ne cherchez pas votre rédemption. Le Seigneur a besoin de votre amour de votre recherche après Lui. Mais l’homme a son intérêt, sa rédemption et c’est tout. Ce n’est pas ainsi que l’on vit pour le Seigneur, puisque le Seigneur a du travail sur la terre, Il travaille, Il ne reste pas sur place, et si tu n’es pas préparé pour Lui, prêt à Lui suivre dans Ses œuvres, oh, comment vis-tu pour le Seigneur, oh, comment, homme, comment?
Oh, Fils Jésus, Mon enfant endolori, va avec Ta parole maintenant, va Mon Fils. Moi, le Père, Je leur ai parlé et Je leur ai enseigné la pitié envers Dieu.
— Moi, Mon Père, J’obéis et Je vais avec Ma parole, maintenant, et c’est de Toi que Je leur donne Ma parole.
Oh, les fils, les fils, lorsque l’homme fait le mal, cela arrive parce qu’il n’a rien à faire à ce moment-là. Oh, c’est pour cela que vous devez vous habituer de travailler beaucoup et d’aller dans la lumière, puisque l’obscurité guette l’homme pour l’attirer aux faits cachées des ténèbres, mais Je vous enseigne, occupez-vous tout le temps avec le travail saint et vous travaillerez seulement la sainteté, les fils.
Oh , homme chrétien, pour que Dieu sache de Toi, il faut que toi, tu saches de Dieu, et que tu Le suives, il faut que tu saches de Dieu, Celui Qui te suit, et Duquel tu ne peux aucunement te cacher, et si tu sais cette chose, tu sais de Dieu et Dieu sait de toi, et tu crois qu’Il sait de toi et tu crois en Lui, et en toi tu ne crois pas, puisque l’homme qui croit en lui-même est un homme présomptueux, il est faible et présomptueux, le pauvre, et il essaie de se cacher avec le fruit honteux de sa présomption, car s’il n’obéit pas, il commet l’erreur et il se cache ensuite, puisqu’il est faible et peureux face à la lumière, qui découvre tout ce qui se veut être inconnu. Oh, si tu veux que le Seigneur te couvre, alors repens-toi, homme tombé dans la faute. Confie au Seigneur ton incapacité et dis-le avec douleur, en larmes, à grand désir de pardon et de ton redressement ensuite.
Oh, les fils, les fils, vous avez besoin d’un cœur doux, tout doux, pour être toujours avec Dieu, et qu’il sot toujours plus doux votre comportement devant Lui, et devant tout ce qui existe, et la réprimande, celle qui bâtit et forme l’homme nouveau, qu’elle soit pour vous comme un vin nouveau et bon, comme une guérison de fautes, les fils.
Oh, les plus lourds fardeaux à porter pour l’homme, ce sont les péchés, ils sont difficiles à porter pour la chair comme pour l’âme et l’esprit alors qu’il arrive le temps de la réponse et de l’expiation de la coulpe, mais Moi, Je suis venus des cieux avec de la pitié et J’ai pris Moi le fardeau des péchés de l’homme, si seulement il croit cela, et qu’il se serve de Ma mort pour lui, et qu’il vive ensuite pour Moi sa vie toujours et toujours, car autrement c’est en vain que Je suis mort pour lui, s’il n’a pas de profit venu de Ma souffrance sur la croix pour l’homme.
Oh, il faut que vous ayez un grand amour, fils nourris du ciel, et que vous l’ayez tout le temps, pour qu’il n’arrive pas que son feu s’éteigne et que vous gelez à cause du froid, après avoir été habitués avec le feu, avec la chaleur de l’amour, laquelle s’il arrive à s’éteindre, l’homme gèle de froid et il meurt. Mais l’homme n’a pas de fidélité, il se sent et il se veut libre, le pauvre, et il fait ce qu’il veut, mais libre il ne l’est jamais l’homme, mais il est soumis, ou à Dieu, ou à satan.
Vous, ceux qui M’avez connu et Me connaissez encore dans cette parole et qui avez la joie et la foi venues d’elle, oh, ayez grand soin qu’il ne vous arrive pas à quelqu’un de vous de faire vous aussi comme ceux de Jérusalem il y a deux mille ans, ceux qui criaient Ossane avec des rameaux à la main, et ensuite après seulement quelques jours, ils criaient vers les puissants des jours: Crucifiez Celui-ci! Oh, Je vous enseigne la fidélité, Je vous exhorte vers elle, car quel serait le prix d’un homme qui foule aux pieds sa propre foi et volonté pour la foi? Oh, quoi Dieu pourrait-Il faire encore pour quelqu’un comme celui-là, quoi attendre de bon d’un homme tellement instable, tellement infidèle?
Voilà, ils se sont rompu de Moi ceux qui sont venus et ont témoigné de la foi et de l’amour, et ils les ont foulés ensuite aux pieds, comme des choses nuisibles pour eux, après que les plus belles années de leur vie sont restés à Moi, sur la voie de cette croix, Ma venue en parole sur la terre maintenant, à la fin du temps. Oh, ceux-ci qui sont sans constance pour les pas de leur vie, dans le monde aussi, ou ils portent de nouveau leurs pas, ils feront la même chose, puisqu’ils n’ont pas de parole, ils n’ont pas de fidélité, ils n’ont pas de continuité pour rien de stable pour eux, ou pour ceux avec lesquels ils essaient de travailler selon leur raison. Celui instable est perfide aussi. Celui qui se disculpe c’est celui qui est coupable, et le coupable est celui qui est caché, et ensuite peureux, et il essaie de se disculper tout seul, mais il ne doit pas être cru celui qui se cache, car l’homme est caché, et il est dès le début le fils du mensonge diabolique, tel qu’il a travaillé dès le début. Oh, gardez-vous d’une telle stature, vous ceux qui voulez être avec le Seigneur sur la voie, car si l’homme n’obéit pas à Dieu, il est un homme perfide, les fils. Un tel homme perd le Seigneur, parce qu’il travaille autre chose s’il essaie de venir lui aussi, mais il se procure une chute d’en haut, et il est écrit pour un tel homme: «Tu as livré ta bouche et ta langue au mal et à la diffamation envers ton frère et tu as médit contre le fils de ta mère en le troublant, et tu as pensé que Je devais être comme toi, mais Je vais te reprendre et te mettre face à face avec tous tes faits cachés».
Oh, celui qui s’empoigne avec Dieu va souffrir comme le patriarche Jacob celui qui a cru pouvoir être vainqueur face à face avec la puissance céleste, il a été blessé et il s’est laissé vaincu, et il a vu qu’il avait lutté avec Dieu.
Oh, fils qui Me mettez dans le livre, il y en a beaucoup de ceux qui vous voient dans l’erreur, et ils vous rendent responsables ensuite. Mais vous, vous êtes Mes mystères du milieu du peuple de Ma parole, et Je ne montre pas d’avance le mal qu’ils essaieraient de faire par leur convoitise d’âme, mais ils arrivent à voir tout seuls le mal qu’ils font. Cependant maintenant c’est un jour de sainte fête. Chantez à Dieu, chantez à Celui qui est entré à Jérusalem en vainqueur assis sur l’ânon, et ensuite vainqueur par la croix et par la résurrection! La croix est le signe de la résurrection. Réjouissez-vous sous la croix, les fils! Ne méprisez pas la marche avec la croix, pas même lorsque la marche est plus difficile, puisque la croix amène la résurrection, les fils.
Nous allons chanter avec vous, dans une semaine, Jésus est ressuscité, Nous allons chanter du ciel et de la terre, mais tout d’abord réunissez-vous pour le souvenir de Ma mise dans le tombeau, pour la résurrection, et chantez à grande tristesse, comme ceux d’alors, brisés par Ma mort sur la croix. Chantez vous aussi, comme eux alors, pour qu’ensuite, dans trois jours, vous vous réunissiez les cœurs comblés de désir saint et de frémissement, pour allumer la lumière de la résurrection et chanter avec Nous, Jésus est ressuscité! Mais maintenant apprenez encore de vous tenir sous l’humilité et observez votre être, observez-vous, vous-mêmes, pour cette œuvre de résurrection, car le repentir c’est la résurrection, les fils.
Oh, cherchez la guérison toute les fois que vous vous blessez entre vous, ou ce sont les tentations ou Satan qui vous blessent, mais ne vous séparez pas du Seigneur et de la marche avec la croix, les fils. Chantez «Ossana», mais pas aussi «Crucifie-Le»! Chantez Ossana et Jésus est ressuscité, chatez en pleurant, les fils, car c’est à grands douleurs que J’ai fait et que Je fais de vous les fils du Père, oh, et il y en a beaucoup de ceux qui ne restent pas jusqu’à la fin, et ils Me quittent, et ils vous quittent, les fils.
J’aimerais prononcer maintenant l’arrêt pour les chutes de Dieu des croyants, de ceux qui viennent pour être avec le Seigneur, mais chacun doit faire le compte de ses faits et bien choisir, parce que c’est sur la force de l’amour de chacun, que s’appuie leur vie avec le Seigneur, jusqu’à la fin avec Dieu.
Oh, paix à vous maintenant! J’ai partagé Ma parole en jour de fête impériale et Je suis entré à cheval blanc à Mon Jérusalem avec vous, tel qu’il est écrit sur Ma venue à la fin du temps, le cheval blanc et son chevalier, le mystère de la venue du Seigneur avec Sa victoire.
Oh, reposez-vous maintenant de cette croix, les fils, et faites dans la cité de Ma parole une sainte fête, avec ceux qui viennent chez vous en jour de fête impériale, ensuite dans quelques jours, réunissez-vous devant Moi pour ce qu’il y a à apporter, tout d’abord pour faire mémoire des endormis, et ensuite pour le chant de la mémoire de Mon ensevelissement.
Nous allons de nouveau nous réunir, les fils, pour la fête de la résurrection, et Moi, le Seigneur, Je vous aurai près de Ma poitrine, qui vous désire tendrement, et vous allez être Ma consolation, parce que c’est la pitié que Je veux, c’est la pitié que J’attends, c’est de la pitié, les fils, que le Seigneur veut de vous. Amen, amen, amen.
21-04-2019