Mais, en ce jour Je veux battre à la porte des empereurs de la terre et des nations qui l’habitent, et leur dire ce que J’ai à leur dire.
Oh, Je suis Celui Qui a fait le ciel et la terre et l’homme, oh, empereurs selon le rang! Levez-vous et ouvrez à Celui Qui domine sur vous et sur la terre et Qui a la chaise dans les airs, dans les cieux, entouré de chérubins et de séraphins, l’Empereur des empereurs et le Seigneur des seigneurs, et beaucoup d’entre ceux-ci ne savent, ne peuvent, ne veulent tenir compte que Moi, le Seigneur, Je suis Celui Grand sur tous les dieux, sur ceux qui ne peuvent faire comme Moi, Celui Qui ai fait tout ce que J’ai voulu faire dans le ciel et sur la terre, dans les mers et dans les abîmes, le seul Qui fasse des merveilles, et qui peut accéder à Mon savoir? Tout homme qui part de la terre se retrouve face à face avec Moi pour sa vie d’ici et pour celle qui sera avec lui pour l’éternité, et malheur à ceux qui se fient aux puissants entre les hommes, ceux qui ne peuvent pas mener à la rédemption, qui rendent leur esprit, et retournent dans la terre et toutes leurs pensées périssent avec eux!
Oh, empereurs de la terre, c’est Moi Celui Qui envois Ma parole au-dessus de la terre, mais Je ne montre pas Mes raisons à n’importe quel peuple. Oh, approchez-vous et écoutez de Ma bouche ! Vous ne devez pas venir jusqu’à cette montagne, mais seulement écoutez de Moi, approchez-vous avec de la foi de ce que Je vous parle, tel que le peuple d’Israël prenait le Seigneur de Moïse, qui montait sur la montagne sainte et prenait du Seigneur la parole, par laquelle il dirigeait le peuple. Je viens en Pasteur sur vous et Je viens humblement car c’est ainsi que Dieu l’est, et ce n’est pas possible Qu’Il soit autrement le Seigneur. Je viens en Pasteur et J’ai la verge de la douceur et de la tendresse pour porter vers Mon pâturage ceux qui veulent être Mon troupeau. Je M’incline du ciel jusqu’à la terre chez vous, Je viens avec les nuées, tel qu’il est écrit, car J’ai laissé Ma promesse prononcée par des messagers célestes, qui ont dit au jour de Mon ascension vers le Père, quarante jours après Ma résurrection, ils ont parlé Mes messagers à ceux qui regardaient Mon ascension vers le ciel, et c’est ainsi qu’ils ont dit: «Ce Jésus viendra de la même manière que vous L’avez vu s’en aller au ciel!».
Oh, empereurs de la terre, vous êtes affaiblis par les péchés et vous ne pouvez diriger les hommes que vers le péché, car un pécheur ne peut guider un autre pécheur, ils ne peuvent se protéger l’un l’autre puisqu’ils sont de hommes seulement, c’est pourquoi ils ont besoin d’un Dieu sur eux, oh, mais Dieu ce n’est qu’Un, et c’est justement Lui Que l’homme ne cherche pas expressément, lorsqu’il cherche avoir un Dieu sur lui.
Oh, empereurs de la terre, qu’est-ce qu’il fait un empereur? Il est celui qui doit tout d’abord, il doit donner de la vie et du pouvoir pour vaincre à son peuple, aux temps d’épreuves de la vie. Lorsqu’un empereur s’éloigne de la loi de Dieu, il supporte ensuite une défaite inattendue, mais lorsqu’il a soin de lui et de l’âme de son peuple, alors il est protégé, il va à la tête de son peuple, remerciant Dieu pour lui et pour le peuple.
Quand un peuple s’éloigne de Dieu et des lois de la vie, alors ce peuple-là tombe esclave sous des dirigeants méchants, tout comme lui, tous des égarés qui égarent d’autres, mais si le peuple se lève vers le Seigneur avec repentance et répare sa marche, oh, alors c’est la miséricorde du Seigneur qui vient, elle vient pour le pardon, pour le repentir et la libération de l’esclavage portant l’égarement de la vie.
Oh, empereurs de la terre, fidèles et infidèles au Seigneur et à votre peuple, oh, ouvrez vos oreilles pour entendre Dieu. Oh, jusques à quand avoir peur les uns des autres, la crainte régnant entre vous? Et voilà pourquoi vous vous faites encore et encore des armes dangereuses, avec lesquelles vous vous menacez les uns les autres, du moment que Dieu ne vous a pas dit de faire cela. Bien au contraire, il y a écrite parole prophétique qui dit: «Celui qui prendra le glaive, périra par le glaive» et «Celui qui menace, qu’il soit frappé d’anathème» et ces menaces doivent périr, et non pas ceux qui les profèrent. Oh, jusques à quand vous aurez encore peur les uns des autres? Ne savez-vous que tout ce qui arrive a de Dieu libre cours pour venir, selon la vie de chacun? Corrigez donc vos pas et votre travail, afin que le Seigneur s’approche avec Sa protection, car Moi seul, le Seigneur, oh, c’est Moi seul Qui puisse vous protéger, vous et votre peuple, et pas vous.
Oh, empereurs des nations de la terre, ne cherchez pas les chaises d’empereurs si vous n’êtes pas capables de mettre votre vie pour le peuple. Tout grands que vous vous croyez, n’oubliez pas qu’il est vraiment grand celui qui peut se laisser crucifié pour son peuple, tel que Moi, J’ai mis Ma vie sur la croix pour la nation. Oh, n’oubliez pas qu’en éloignant de vous l’œuvre des commandements de la vie, vous n’allez pas vous en échapper, et tout effort que vous allez faire pour vous débarrasser de Ma parole sera en vain, vous ne pourrez pas vous échapper, car c’est ainsi qu’il est écrit.
Oh, Je vous parle en roumain, et combien J’aimerais que vous lisiez Ma parole en cette même langue. Le pays roumain est le don que Dieu le Père M’a offert à Ma naissance sur la terre il y a deux mille ans, pour que Je l’aie comme pays de Ma venue avec les saints sur la terre, et pour que Je parle de son foyer aux peuples, aux nations et aux empereurs, tel qu’il est écrit, et qu’ils prennent tous du Seigneur, car haute montagne c’est la terre de laquelle le Seigneur parle à la fin du temps, pour réunir sous la parole de Son enseignement les peuples assoiffés, inconsolés, sans absolution, et qui vont se diriger vers le Seigneur avec le salut sur la voie. Voilà donc, Je vous appelle depuis cette montagne de saint mystère et Je lance la parole pleine de douceur: paix à vous, oh, paix à vous ! Et ainsi soit-il, comme Je vous l’annonce maintenant du milieu de la gloire de Mes anges, à l’occasion de leur fête chrétienne par l’église, fête des archanges Michel et Gabriel, gardée à sa place dans le calendrier, et non pas déplacée, tel qu’il est arrivé, voilà, sur le troupeau du peuple roumain aussi, où on a déplacé de leurs position dans le temps, les fêtes de Mes saints, fixées par les ancêtres saints, selon la tradition transmise par l’Esprit Saint, le Consolateur et Annonciateur pour l’établissement de toutes choses.
Et pour cette douleur de Mon âme, pas encore guérie sur le foyer du peuple roumain, Je M’incline maintenant pour parler au peuple russe et à ses empereurs, non seulement pour les remercier de leur obéissance, mais pour les prier encore, les prier de demeurer droits envers les saint et les parents, car la persécution bat son plein sur le troupeau orthodoxe, oh, qu’il ne s’écroulent pas les murs de toutes parts, puisque les sangliers sont prêts à rompre partout les haies de Ma vigne et la fouler aux pieds.
Toi, celui qui domine sur ce peuple et ce grand pays, oh, incline-toi et range-toi auprès du chef de l’église de ton peuple et qu’il ne soit pas d’hésitation, pas de fléchissement, et qu’on demeure tout droit pour la foi orthodoxe, celle établie à jamais par les parents, tel qu’il est écrit. Moi, le Seigneur, Je t’adresse une demande spéciale. Prends ce livre et lis-le humblement, lis-le dans la langue par laquelle Je parle aux grands et aux petits de la terre, en roumain lis-le, et Moi, Je vais Me consoler pour ton obéissance, puisque Je suis Celui Qui connaît ton secret.
Voilà, n’hésitez pas! Renforcez la foi, celle laissé des saints ! Demeurez dans les droites fêtes, ne les changez pas vous aussi, ne vous alliez pas à ceux qui Me remplissent de douleur par leurs réunions humaines, qui ne ressemblent plus à celles des saints de Mon église, et Moi, le Seigneur, Je laisserai Ma bénédiction sur vous.
Oh, il ne faut pas que la Moldavie hésite, elle non plus, dans la foi. Elle est toute fois comblées de pleurs puisqu’elle est dominée par un homme méchant d’âme et sans pitié, orgueilleux et sans reconnaissance et qui n’aime pas le peuple sur lequel il s’est mis en maître, pour qu’il soit lui aussi grand chef, et à cause de la présomption qu’il se nourrit encore et encore, il ne veut pas témoigner de son histoire, et la foule aux pieds comme un ennemi, sans reconnaissance envers les ancêtres, envers ceux dont ils proviennent ceux d’aujourd’hui.
Oh, Je te parle de Mon chagrin venu de l’église, celle des aïeux, car Je ne veux pas que tout soit terrassé, pareil à ce qui s’est passé en Ma Roumanie aussi, le pays où J’ai fait Mon sentier de venue d’auprès du Père maintenant, après deux mille ans depuis la venue Petit Enfant né à Bethleem, et élevé de mère Vierge, jusqu’à ce que Je fusse de nouveau arrivé auprès du Père, à Sa droite, d’où Je suis descendu pour venir sur la terre, mettre Ma vie sur la croix pour l’homme, et J’ai demeuré parmi les hommes durant trente-trois ans. Maintenant Je parle à rivière de parole, et J’ai la source dans le pays de Ma venue, Ma poisson-mère, celle restée sans les petites ailes, à cause de ceux qui ont envié sa beauté et ont rompu de son corps des quatre côtés comme d’un pain bénit, mais elle est restée Ma poisson-mère bien-aimée, et voilà, J’ai établi Ma cité capitale sur son foyer, celui de ses ancêtres d’il y a deux mille ans , et d’où Je vais en parole vers les nations de la terre pour leur dire: Paix à vous!
Je veux redresser la Roumanie aussi le visage vers les parents, car voilà, elle ne fête pas aujourd’hui à gloire d’église la fête de Mes anges, les archanges Michel et Gabriel, et tout est à l’envers entre les chefs de l’église, qui sont allés, ils sont allés vers ceux qui veulent détruire totalement ce qui est encore resté de l’établissement de l’église du début.
Oh, soyez et demeurez la face vers les parents, vers les saints, puisque les saints sont des intermédiaires, et Moi, le Seigneur J’aurai la joie celle venue de vous. Et toi, fais de ton mieux et sois toujours artisan de la paix, aie confiance en Moi par l’église et crois ce que Je te dis, car voilà ce que Je te dis: Ceux qui ont dans leur pays Mon visage, Mon église, celle du commencement, venue des apôtres et des saints, avec son début, ceux-là seront protégés, et surtout ceux respectent Ma face devant Mon troupeau, nettoyés du péché, diminuant leur marche avec le péché, et c’est ainsi qu’ils seront protégés par Dieu, et les ennemis n’auront pas de pouvoir sur eux.
Et maintenant incline-toi pour recevoir Ma paix. Paix à toi! Elle coule du ciel en Roumanie la rivière de Ma parole, la parole de Dieu. Prends-la et lis en roumain le livre adressée à toi et à l’église de ton pays. Amen.
Maintenant, si J’ai trouvé du soulagement pour la plaie de Mon église, renforçant sur les fondements le troupeau orthodoxe sur la voie, J’envoie aux empereurs de la terre le souhait de la paix.
Oh, paix à vous, empereurs de la terre! Humiliez-vous devant le Seigneur Qui vous parle! Cherchez humblement d’avoir la paix et chassez la peur, car il est écrit qu’il arrive un temps où on transforme les armes de guerre en fers de charrue, et les peuples ne souffle plus les uns sur les autres de la menace et mort et fin. Oh, si Moi, le Seigneur, Je ne veillais pas à tout instant, avec toutes les puissances célestes sur toutes les frontières, il arriverait que l’homme provoque la mort et encore la mort et il ne travaillerait plus rien d’autre. Oh, c’est ainsi que Je veille et J’ai la Roumanie comme pays de Mon retour sur la terre en parole après deux mille ans depuis Ma naissance sur la terre, et maintenant Je veux venir avec grand salut, pourvu que les peuples découvrent Mon don, leur salut et Ma voie avançant vers eux, pour qu’ils aillent sur cette voie avec la marche sainte, celle attendue de Dieu pour les peuples. Amen.
Oh, il est doux ce jour de fête, magnifique en haut et en bas, et Moi le Seigneur Je M’inscris avec lui au milieu de cette contrée. Et Je porte parole de consolation sur Ma petite Moldavie, celle éloignée encore de sa racine, mais voilà ce qu’il a dit un sage du pays: «Nous ne vivons pas dans un pays, mais nous vivons dans une langue», oh, qu’elle est belle cette parole, qu’elle est belle!
Oh, fils moldaves, vous qui êtes encore en larmes dans vos cœurs et aux visages, oh, soyez sages, les fils! Vous êtes la Roumanie. De la terre roumaine est celle que vous habitez, même si l’homme sans pitié est monté sur la chaise et a tracé ligne de séparation entre les frères sur vous, mais il arrive un temps doux et on a besoin de patience, fils blessés. Voilà elle vient la fête des Roumains. Ne pleurez plus, oh, ne pleurez plus! Moi, Je vous ai dans les frontières écrites dans le ciel, et Je vous envoie en ce grand jour la sainte exhortation de garder la foi et les saints et les ordres des saints, car voilà, qu’elle est grande la tempête qui veut déraciner Ma chère vigne, le pays orthodoxe et ses traditions venues des ancêtres, mais les saints Me font des prières, et Moi Je viens renforcer la garde de la vigne. Oh, n’oubliez pas, le peuple roumain ne peut être morcelé par les eaux qui coulent, puisque les eaux le réunissent, le lient et l’abreuvent et lui chantent, et les frères russes vous sont des frères par Jésus–Christ et par les traditions saintes, que le peuple celui d’à la maison, les Roumains, les ont ébranlées par ceux sans veille sur la nation autrefois et maintenant encore.
Je M’étends avec la fête des anges au-dessus de la terre et Je dis: Paix à la terre et à l’homme qui l’habite! Venez à l’eau, peuples et nations! Dieu est doux. Goûtez pour voir! Paix à vous, d’ici, depuis le pays où Je viens et Je parle maintenant, à la fin de temps. Amen.