La Parole de Dieu à la Fête de la Naissance de Sainte Virginia, La Trompette de Dieu

J’inscris dans le livre parole pleine de pitié en ce jour de sainte et douce mémoire entre les saints, fils gardiens dans la cité de Ma parole, située sur le foyer du peuple roumain. C’est vous qui M’aidez à faire place à Ma parole sur la terre, et Je vous en apprécie, tout comme les saints, qui regardent émerveillés Mon œuvre avec vous et le lieu préparé ici pour cette gloire.

Oh, elle est très grande la protection d’en haut ici. Vous devez montrer de la reconnaissance avec soumission à l’égard de ceux d’en haut qui prennent soin de vous et de Mon lieu avec vous ici, Mon don pour les saints et pour vous, les fils. Oh, soyez Mon aide jusqu’à la fin, car il M’est si difficile de trouver encore de la fidélité chez le chrétien jusqu’à la fin de Mon travail, celui que le Père M’a donné à accomplir.

Oh, quelles grandes merveilles se serait-il réalisé pour la compréhension de ce mystère, si J’avais eu des chrétiens fidèles, avec lesquels nous puissions accomplir pleinement, Moi avec vous, les œuvres du Père, les fils! Mais J’ai dû toujours vous protéger avec des puissances célestes contre les coups qui venaient les uns après les autres pour affaiblir Ma marche avec vous, Ma venue en parole sur la terre.

Oh, ils n’ont pas eu de fidélité les chrétiens qui sont venus auprès de Ma rivière de parole, au moment où ils ont entendu de cette merveille. Lorsque l’homme met des grains au feu pour préparer sa nourriture, il les sépare d’abord d’avec les corps étrangers à leur espèce, ensuite il les lave et il prépare une nourriture propre. Et voilà, les fils, quand l’homme vient mettre sa vie aux mains du Seigneur, afin qu’Il en fasse un fruit pour le ciel, est-ce qu’il fait l’homme un triage sur sa vie pour venir pur et rester ainsi devant le Seigneur ensuite?

J’ai toujours dit au chrétien pour qu’il comprenne: «Oh, ne viens pas à la table de Ma parole, qui choisit et élève du fruit pour le ciel, ne viens pas, chrétien, si tu ne te sépares pas de tout, et ne te purifies pas, afin qu’elle soit propre ta vie avec le Seigneur». J’ai prié le chrétien qu’il se repentît humblement lorsqu’il tombe dans la faute, et Je lui ai appris de ne pas se caché en lui, mais qu’il vienne que Je le lave, que Je le remette sur la voie, que Je lui enseigne la vie avec Dieu, mais pour tout cela on a besoin d’amour, il faut du vouloir pour pouvoir.

Oh, les fils, Je suis avec Ma trompette, avec ma Virginica, Je suis à table de parole avec vous, et les saints M’accompagnent en suite de fête, pour le jour de sa naissance sur la terre, le 27 mai de l’année 1923. C’était alors le dimanche de tous les saints, fêté dans le calendrier chrétien. Oh, en ce jour Je travaille avec elle, et elle travaille avec Moi et nous donnons grand enseignement au peuple de Ma parole, au peuple obéissant, les fils, et ils vont apprendre aussi ceux qui n’ont pas eu de fidélité au long de cette œuvre de parole, de plus de soixante ans de Ma parole sur le foyer de ce peuple, les fils.

Ma trompette sonne, elle sonne d’auprès de Moi et d’entre les saints, elle sonne et elle réunit à sa voix ceux qui ont pris de la table de Ma parole prononcée de Moi par sa bouche, merveille sans pareil, Mon œuvre avec elle.

Oh, Ma Verginica, oh, Ma trompette, J’ai commencé avec toi et par toi et J’ai écrit l’histoire de cette œuvre de parole, et c’est le livre de Ma parole, il est au milieu du peuple roumain, là où le Père M’a choisi le siège maintenant, à Ma deuxième venue après l’homme, pour le guider vers le Père, pour l’attirer au Père, tel qu’il est écrit.

Oh, c’est Mon livre et J’avance avec lui et Je M’y inscris toujours et toujours, et Je Me porte de long en large sur la terre avec la parole, tel que J’ai prophétisé en Mon temps avec toi, et Je disais que vers la fin Je travaillerai par la parole d’une extrémité à l’autre, et maintenant tu regardes du ciel l’accomplissement de la prophétie d’alors, sur Mon travail actuel, et quelle et grande ta joie quand tu Me vois en avançant et en travaillant par les rameaux, par la foi et l’aide de ceux qui sont restés fidèles jusqu’à la fin, Ma Verginica!

Oh, J’ai pris de ton temps de la semence et J’ai fait une plantation nouvelle et Je Me suis fait glèbe et cité, et la marche a été difficile, toujours difficile, à cause du manque de fidélité de ceux qui croyaient et venaient et entendaient et ils pourraient eux aussi, mais pour peu de temps ils pouvaient et ils aimaient Mon travail, et ensuite ils tombaient de nouveau dans les faiblesses, qui les enlevaient d’auprès de Moi et tiraient en dehors ceux qui essayaient de pouvoir mener la vie sainte, car sur la voie de la croix il faut avoir des devoirs, plus de désirs, et tout doit être travaillé en se renonçant toujours, puisque J’ai dit qu’il ne reste pas avec Moi celui qui ne renonce pas à soi-même, et il vaut mieux qu’il ne vienne pas, car s’il vient et il reste un temps et puis il part, oh, il aura à répondre ici, non pas ailleurs, il se présentera devant Moi celui qui a été à cette table et n’a pas gardé son amour.

Oh, Ma trompette, oh, Verginica, celui qui choisit de suivre l’amour de Dieu, celui-ci a besoin de croix, car J’ai dit: «Qu’il prenne sa croix celui qui veut Me suivre!», oh, et pourquoi cela? Puisqu’autrement il gambade en cherchant les plaisirs l’homme, et il s’enfonce dans le péché, et ce n’est pas ainsi la vie pour laquelle Dieu a créé l’homme, et voilà de quelle douleur J’ai dû payer Moi, le Seigneur, la déviation de l’homme du chemin de la vie, et cela ne le fait pas souffrir de M’avoir destiné aux douleurs!

Oh, l’homme veut avoir du tout et il n’aime pas porter la croix. C’est pour cela que J’ai été condamné à la croix, et Je ne trouve pas de pitié de la part de l’homme, oh, Ma trompette. C’est ton jour de fête entre les saints, et nous nous parlons pour nous apaiser, Ma chère, nous écrivons le livre de ce jour et on va entendre Ma parole avec toi, notre travail ensemble en ce jour saint.

— Oh, j’étais petite, Seigneur, j’étais un poussin lorsque Tu T’es laissé découvert à mes yeux, dans la clairière de mes premiers souvenirs avec Toi. J’étais un enfant pauvre, pauvre de tout, je n’avais pas d’habits, pas de souliers, pas de pain dans l’abrit de ma mère avec nous, deux sœurs, et Toi, Tu habitais avec nous dans notre maison, toute pauvre qu’elle l’était, jusqu’à ce que Tu as eu pitié de nous et Tu m’as accordé le grand don d’être l’instrument de Ta parole, tout que l’homme a dans sa maison la petite boîte, par laquelle il écoute celui qui parle pour les hommes d’un lieu qui n’est pas visible pour eux.

C’est avec grande humilité que je portais Ton don, et Tu as réuni auprès de nous les premiers chrétiens de cette parole, au temps de ce début de Ton travail avec moi, et de temps en temps venaient, ils venaient à Ta table les chrétiens d’entre lesquels, oh, ils se séparaient des traîtres de Ton secret avec moi et il nous arrivait des persécutions et des larmes et des douleurs, de grandes peurs et la fuite, Seigneur, et Tu nous portais à travers tout, prenant garde à Ta marche, pour laquelle Tu étais venu à moi d’auprès le Père.

Tu as sonné de la trompette pendant vingt-cinq ans et moi j’étais Ta trompette et je souffrais pour Ta voie. Oh, il y a eu tant de mépris, trahison et tristesse, Seigneur! Je regarde mon temps sur la terre et je pleure. Je plains maintenant tous ceux qui sont revenus à leurs mauvaises habitudes, après avoir connu la voix de Ta parole et Ta volonté à l’égard de l’homme. Tu pleures Toi aussi Seigneur, par Tes pleurs et beaucoup de larmes coulent dans le ciel. Des regrets nous font mal, pour tous ceux qui nous les ont faits pour les porter dans le ciel, Seigneur.

Oh, quel dommage que le chrétien ne garde pas sa stature! Il n’y a pas de pire sur la terre, que ce mal sur l’homme. Oh, on ne peut oublier les douleurs de la croix, Seigneur. Elles se sont transformées en fleurs et nous accompagnent dans les cieux, pour s’en souvenir.

Oh, les fils qui amenez le Seigneur en livre sur la terre, lorsqu’Il parle pour que vous L’entendiez, oh, aimez la douleur, les fils! Oh, tous les hommes cherchent d’échapper aux douleurs, d’échapper à la croix, oh, mais qu’est-ce qu’ils vont faire au moment où ils verront qu’on leur demande le fruit de la patience? Sans couronne on ne peut pas entrer dans l’empire d’en haut, celui des saints, et se sont seulement les douleurs qui tressent cette couronne. Les douleurs sont des fleurs. Oh, qui sait soigner ces fleurs, ces jardins célestes?

Oh, les fils, lorsque vous voyez qu’on vous médise, cherchez de vous comporter ainsi que personne de vos alentours ne puisse croire à ce qu’ils disent de vous, ceux qui n’ont pas appris de parler de bien, mais seulement de mal, oh, les fils. Mais vous, arrosez ces fleurs et faites en des couronnes pour le ciel, car les douleurs sont des fleurs. Oh, ceux qui vous médisent font cela parce qu’ils n’ont pas appris à parler de bien, parce qu’ils ne se sont pas habitués avec l’amour, les fils. Et vous, demandez avec des larmes, demandez au Seigneur d’accorder du temps pour le repentir à ceux qui médisent et se laissent entrainés par ce diable nuisible pour la raison et l’âme.

Je parle aux médisants et je leur rappelle que le Seigneur a dit: «Aimez vos ennemis et faites du bien à ceux qui vous haïssent». Je vous rappelle cela maintenant pour leur dire qu’ils haïssent ceux qui les aiment et qui leur font du bien pour la part de Dieu avec eux et pour eux. Voilà donc, pas question d’amour, mais bien au contraire, de la haine envers ceux qui aiment ceux qui haïssent et médisent.

Oh, vous, chrétiens qui entendez du Seigneur la parole de la vie sur vous, oh, apprenez comment vous pouvez être chrétiens, apprenez cela, car voilà, vous ne savez pas travailler comme ça. Oh, fils mécontent, ne cherche pas tirer de ta part le résultat de l’examen de quelque dispute survenue entre vous. Si tu procèdes ainsi, tu ne comprends pas encore ce que c’est un chrétien. Oh, qu’est ce que le Seigneur pourrait faire avec ceux qui se frappent les uns les autres, avec ceux qui se disculpent sans connaître l’amour?

Oh, les fils, les fils, les mécontents arrivent à guetter la vie de leurs frères et commettre des péchés et des persécutions par la médisance, car voilà, ceux qui sont partis ont choisi d’être médisants, péché par lequel le diable travaille sur ceux qui quittent le Seigneur. Oh, ne vous faites pas instruments du diable si vous ne pouvez pas rester jusqu’au bout sur la voie de la venue du Seigneur avec cette parole sur la terre.

Et vous, ceux qui n’avez pas réussi de rester sagement et avec obéissance pour une vie sainte, en sachant ce que le Seigneur veut de ceux qui entendent Sa voix, partagée lorsqu’Il vient, oh, ne venez plus, les fils, auprès de la source de parole, si vous ne vous libérez pas du péché. Oh, voilà déjà tant d’années depuis que le Seigneur vous a partagé Sa parole, mais vous n’avez pas voulu la vie sainte pour vous, mais vous avez choisi faire autrement votre vie, avec désobéissance envers le Seigneur, fils désobéissants. Oh, pleurez, puisque vous en avez pourquoi! Pleurez pour le pardon, pleurez pour le repentir, car le Seigneur vient, Il vient toujours, et Il vous trouve séparés de Lui pour vos désirs coupables, par lesquels vous tachez le front du Seigneur.

Oh, heureux ceux qui reconnaissent leurs fautes en demandant pardon au Seigneur, comme les chrétiens qui sont attentifs aux pas de leur vie, car le chrétien se purifie par la prière, après avoir passé encore un jour et un autre des jours de sa vie, et il dit au Seigneur ce qu’il a fait du mal, ou pas de mal, il se confie au Seigneur en vue de la veille, en demandant Son pardon.

Je ne veux fâcher personne, oh, je ne le veux pas, mais je vous en prie, apprenez d’être chrétiens, être obéissants, avoir de l’obéissance dans la parole et la conduite, le tout en humilité sainte les uns envers les autres. Oh, suivez l’amour qui ne tombe pas, qui ne vous fait pas tomber, et cherchez d’avoir un conseiller car autrement vous allez faire des fautes encore et encore, s’il n’y a pas celui qui réveille, et recevez le frère qui vous réveille.

Le diable veut se servir du chrétien pour lui-même, pour pouvoir culpabiliser ensuite celui qui croit à la venue du Seigneur. Oh, humiliez-vous tout le temps pour la correction de vos fautes et restez ainsi, humiliés, car si vous allez voir que vous ne travaillez pas comme ça, vous allez vous laisser davantage du côté du diable, les fils. Oh, mais comment allez-vous échapper aux mauvaises habitudes fixées en vous? Vous allez réussir par beaucoup de persévérance et par l’humiliation, par la veille fraternelle l’un sur l’autre, par l’humilité, les fils, du moment que l’homme n’est pas méritoire, car il est pécheur.

Oh, j’aurai tant à vous dire encore, à vous expliquer, mais je vous dis que vous avez entre vous, de la part du Seigneur, ceux qui sont préparés et toujours préparés par Lui-Même pour vous, et moi je mets tout mon espoir en eux et le Seigneur aussi, mais il faut que vous aussi en ayez, les fils, et ne pas les mépriser.

Oh, Seigneur, oh, Seigneur bien-aimé, j’ai été Ta trompette, mais j’ai eu de la pitié nuisible par ma nature compatissante et je n’avais pas le pouvoir de parole et de la justice des choses, tel qu’ils l’ont ceux d’aujourd’hui, par lesquels Tu élèves et instruis un peuple, mais qu’ils veuillent seulement rester stables, ceux qui souhaitent être Tes fils jusqu’à la fin.

Je regarde ceux qui portent Ta venue, quelle perfection, quelle grandeur dans leur travail! Oh, s’ils seraient appréciés et reçus! Si on suivrait leur conseil, Seigneur! Mais laissons-les travailler maintenant et donnons-leur de la grâce, de la patience, de la parole, l’esprit de la justice de toutes, pour qu’ils en travaillent tout ce que je n’ai pas pu faire sur la terre, car entêté et désobéissant a toujours été ce peuple en mon temps avec Toi.

Nous allons regarder et nous allons nous consoler par leur travail d’aujourd’hui, car ils ont aujourd’hui aussi de la glèbe à travailler et soigner, si seulement ils n’y poussent des épines et toujours des épines, les épines de la désobéissance, Seigneur. Oh, gloire à Toi maintenant, avec gratitude pour Ta grâce pour moi aujourd’hui, mon bon Maître. Oh, prends garde d’eux, de ceux qui T’obéissent prends garde, Seigneur. Amen.

— Oh, Ma Verginica, l’obéissance amène seulement de l’harmonie céleste entre les frères, entre ceux du même esprit que Nous. Il y en a beaucoup qui croient qu’il est trop difficile d’obéir, c’est pourquoi il y a du manque d’obéissance, Ma Verginica, mais celui qui veut voir des signes et des merveilles, qu’il obéisse celui-là, et il va voir le fruit de l’obéissance à côté du fruit de la foi, car la foi naît l’obéissance dans le cœur et la raison de ceux qui se confient à Dieu pour être Son peuple.

Oh, les fils, les fils, soyez consolés en consolant le Seigneur avec l’esprit de l’œuvre de l’obéissance. Soyez Mon appui, les fils, et Moi, Je vais vous consoler à Mon tour. Rafraîchissez Mon Esprit, Celui souffrant après les fils, et soyez Ma parole, travaillant sur ceux qui se laissent vers le renouvellement, vers la naissance d’en haut et vers l’amour ensuite, et paix à vous, paix à vous, oh, paix à vous, les fils! Amen, amen, amen.

09-06-2018