La Parole de Dieu à la Fête de la Divine Annonciation

Oh, les fils, oh, chers fils, oh, qui êtes-vous, les bien-aimés, ceux avec lesquels Dieu parle, afin que vous donniez aux hommes Sa parole? Je ne pose pas cette question pour que vous y répondiez, vous. Je demande pour répondre Moi-même, et vous dire à vous, et à tous ceux qui entendent le Seigneur de vous, pour dire à tous que vous êtes ceux qui ont cru à Ma parole, celle qui vient avec les nuages, puisque le Seigneur vient sur des nuées de parole au-dessus de Ma cité avec vous, pour qu’elle soit mise dans le livre, parole pour la terre, et vous êtes ceux qui croyez que c’est Moi Celui Qui vient et Qui parle, parce que Moi, Je suis Celui Qui est, les fils. C‘est Moi Celui qui a parlé avec Moïse pour Israël dans les montagne et c’est toujours Moi Celui Qui parle aujourd’hui avec vous du sommet des montagnes de parole, sous lesquelles voudront s’abriter aux temps des malheurs beaucoup de gens qui auront très peur de la grandeur du Seigneur et de Ses jours de gloire, avec le Saint-Esprit et le feu en œuvre, pour le renouvellement du monde, tel qu’il est écrit.

Vous êtes ceux avec qui Je parle en ces jours sur la terre, les fils, car vous vous êtes laissés engagés par Moi, tout que Ma mère la Vierge, lorsqu’il est venu chez elle l’archange, le bon messager de Dieu, qui l’a engagée comme mère, mariée, demeure et voie de Ma marche entre le ciel et la terre, et ensuite entre les hommes, chair et parole, selon l’ordre de Dieu le Père, pour toutes Ses choses entre la première création et jusqu’à la nouvelle création, la naissance à nouveau du monde, tel qu’il est écrit d’arriver, selon la décision du Père, les fils.

Oh, paix à vous, en ce grand jour de fête impériale aussi, les fils, et nous mettons dans le livre les mystères de Dieu avec les hommes et leur explication, car il est venu l’archange Gabriel chez la Vierge, qui allait Me porter en son sein pour que Je naisse petit enfant et que Je grandisse, afin que le Père puisse réaliser avec Moi Son œuvre d’il y a deux mille ans, pour le rédemption de beaucoup d’Israël, tel qu’il apparaît dans les Ecritures l’annonce et la prophétie sur Moi, oh, et elle M’a reçu la Vierge, et le Père a commencé le travail de la venue de Son Fils sur la terre entre les hommes, oh, et que de mystère, que de beauté et de grandeur a mis le Père dans ce travail, puisque la Vierge était sous la protection du vieux Joseph, descendent de David, et en entrant, l’ange s’est incliné devant la Vierge et lui a donné l’annonce de joie en disant: «Je te salue, toi à qui une grande grâce a été faite! Le Seigneur est avec toi, car tu es bénie par Lui, entre les femmes. Ne crains point, la miséricorde du Seigneur descend sur toi et tu deviendras enceinte et tu enfanteras un fils, dont le nom sera Jésus, le Fils du Très-Haut, et le Seigneur lui donnera le trône de David, Son père, pour régner sur Israël pour les siècles des siècles, et Son règne n’aura point de fin. Oh, tu ne connais pas l’homme, dis-tu, mais voilà que l’Esprit Saint et la puissance du Très-Haut descendront et te couvriront de leur ombre, c’est pourquoi le Saint Que tu vas naître sera appelé le Fils de Dieu, et il n’y a pas de parole de Dieu qui n’ait pas de puissance pour s’accomplir». Alors la Vierge s’est soumise et elle a dit à l’ange: «Qu’il soit fait selon ta parole sur la servante du Seigneur!». Ensuite Elisabeth, sa parente, enceinte avec Jean, par le même ange, lui a dit: «Heureuse toi, qui as cru, car toutes les choses annoncées de la part du Seigneur s’accompliront précisément», et l’âme de la Vierge fut comblée de soumission et de foi, et elle dit: «oh, mon âme, exalte le Seigneur, ton Rédempteur, Qui a porté Ses regards sur mon humilité, et désormais toutes les nations me diront bienheureuse, puisque le Seigneur a réalisé avec moi une grande œuvre, et Sa miséricorde s’étendra d’âge en âge sur ceux qui Le craignent».

Oh, les fils, aujourd’hui c’est un grand jour de fête entre les jours du Seigneur, car en ce jour-ci le Père a commencé l’œuvre de la venue de Son Fils sur la terre, en annonçant Ma naissance et les choses qui s’accompliront par Moi, pour le retour au Seigneur des fils d’Israël, tel qu’il était écrit, que le Seigneur élève un peuple bien préparé pour Lui, et voilà qu’en ce jour il a été inscrit dans les cieux le nom de la Vierge, qui M’a pris du Saint-Esprit dans son sein, pour Ma naissance, soigné ensuite par ceux à qui le Père M’a confié pour M’élever et Me protéger, en vue de Mon activité durant trois années et demie, juste avant Ma crucifixion et Ma résurrection d’entre les morts.

Et voilà, voilà les fils, cette année il est arrivé que la fête impériale de la divine Annonciation soit proche de la fête de Ma résurrection, les fils. Mais nous consignons dans le livre le mystère du jour d’aujourd’hui, car en ce jour-ci, il y a deux mille ans, le Père M’a annoncé par l’ange à Ma mère, la Vierge qui M’a donné naissance lorsque le Père M’a envoyé au milieu d’Israël, afin qu’Il élève un peuple préparé pour le Seigneur, tel qu’il est écrit, et de ce peuple d’Israël s’est élevé alors la troupe des premiers chrétiens, Mes disciples de ce temps-là, et ensuite beaucoup de disciples, hommes et femmes, car ils ont élevé eux aussi des disciples et des disciples des disciples, croyants au mystère de Ma venue avec le renouvellement du monde, avec le royaume des cieux sur la terre, dont le peuple ce sont les chrétiens, le peuple du Chris, peuple de la foie et de l’amour de Dieu et de la vie sainte, puisque Moi, Je suis venu sur la terre afin d’apprendre et d’aider ceux qui croient, pour se faire saints, pour qu’ils Me ressemblent, et s’ils ne le font pas, ils ne sont pas semblables à Moi, mais au monde qui est pécheur, qui est sous le péché, les fils.

Voilà, les fils, il y en a des joies et des joies. La joie de celui qui ressemble au Seigneur est une joie sans péché, elle ne mène pas au péché, elle n’est pas bon marché, elle a du poids, elle est pleine du pouvoir des mystères d’en haut, telle qu’elle a été la joie de la Vierge, qui s’est inclinée lorsque l’ange l’a saluée et lui a annoncé qu’elle sera porteuse de Dieu, et elle s’est réjouie en glorifiant le Seigneur, son Rédempteur, Qui a baissé Ses regards sur son humilité.

Et une autre sorte de joie est celle de l’homme qui n’a pas le Seigneur avec lui, c’est une joie coupable envers le Seigneur et le mystère de la vie de l’homme, car la joie de ceux sans Dieu est le péché, les fils, le péché de tout genre, et même si tous les gens sont à la recherche d’une telle joie, Moi le Seigneur, Je leur dis que le péché n’est pas une consolation, ni une joie ne peut-il pas être, d’aucune façon, mais c’est une chute, chaque fois, pour l’homme qui ne tient pas compte de l’être et de l’œil de Dieu, et qui donne main libre et force sur lui au diable, lequel l’attaque pour le rendre impur par le péché, et Moi, Je suis venu sur la terre il y a deux mille ans afin d’être blâmé et diffamé pour ceux qui ont péché et pèchent encore, avec ou sans leur volonté, et qui ne donnent pas place et pouvoir en eux au Seigneur, ils sont faibles de veille et n’ont pas reçu de formation pour l’âme, la chair et l’esprit, toutes ces choses-là étant saintes au Seigneur, toutes dans le service de la grandeur céleste, comme celle des fils aimés de Dieu, et ceux qui plaisent au Seigneur sont ceux dans lesquels Il se repose avec Sa sainteté et Ses œuvres saintes en eux et par eux.

J’ai appris à Mes disciples quelle sorte de joie peuvent-ils avoir en eux, et Je leur ai dit: «Ne vous réjouissez pas que les mauvais esprits vous sont soumis, mais réjouissez-vous du fait que vos noms sont inscrits dans les cieux». Oh, voilà donc quelle doit être la substance de votre joie, fils élevés avec le mystère et le pouvoir de Ma parole, qui vient et vous nourrit, vous et beaucoup d’autres, qu’elle change de pécheurs en saints, par Sa puissance!

Oh, attention à vous, ceux dont le Seigneur fait mémoire dans ce livre, faites attention de ne pas effacer vos noms du livre du ciel, le livre de Ma parole en votre temps, Mes fils. Certains d’entre vous c’est Moi que J’ai toujours et toujours écrit, il y en a d’autres qui se sont écrit eux-mêmes, et voilà il y a de ceux qui ont demandé que leur nom soit effacé de ce livre et ils ont obtenu ce qu’ils ont demandé, et il y a aussi ceux qui se sont effacés par leur manque de stature, par l’inconstance envers le Seigneur, et ils se sont dirigés vers le monde, ils ont perdu la crainte de la réponse à donnée, et plus que ça, ils ont trouvé bon de vous combler d’insultes.

Ils ont eu tort ceux qui vous ont méprisés, vous ont jugés et insultés entre eux et devant le monde, les fils, et l’oreille qui a reçu les insultes destinées à vous est coupable, tel qu’il est écrit, car la haine du diable attire à la culpabilité les inconstants, et ils entrent avec les détournés de la voie, et ils choisissent de faire cela. Mais vous réjouissez-vous, gardant l’espoir pour vous et l’humilité, mais aussi le pardon pour eux, s’ils regrettent sincèrement et s’ils viennent au repentir pour leur esprit du jugement, esprit par lequel l’homme tombe, les fils, il tombe dans le jugement, tel qu’il est écrit.

Oh, les fils, ne faites pas comme ceux qui sont trompés par leur propre raison et vue et puis par l’opinion qu’ils se forment, celle qui amène vers leur jugement ensuite. Je vous dis à vous et Je le dis à eux aussi, en jour de fête de joie céleste et comblé de puissance par la parole, et Je dis: Oh, ne vous laissez pas conduits ou poussés par le diable afin de penser selon que vous voyez et entendez. Vous êtes en danger de vous tromper, de ne pas bien voir, ou de ne pas bien entendre, car le diable a de nombreuses sortes d’obstacles qu’il emploie pour ceux qui sont à la recherche du Seigneur, et il veut se moquer d’eux, et les faire se perdre honteusement, mais eux, ils doivent s’humilier et chercher la miséricorde du Seigneur pour eux et leurs frères dans le Seigneur, et point du tout juger, oh, non, les fils, car ceux jugés ce sont eux-mêmes, lorsqu’ils jugent, et le mal est en eux au moment où ils arrivent à juger, donc il vaut mieux s’humilier pour le Seigneur, Celui Qui est bon pour les bons et pour les mauvais aussi, et Qui a à Sa main la balance juste, les fils, et Qui a un regard miséricordieux, qui voit dans le cœur de l’homme, et Il défend ceux qui sont fidèles, même s’ils ont une raison plus faible, mais s’ils sont constants dans leur foi, ils sont veillés par Lui.

Et maintenant, les fils, apprenez de Moi, et l’un de l’autre, comment doivent être vos joies, et priez pour elles, afin de les avoir avec vous. Réjouissez-vous du fait que le Seigneur est avec vous et qu’Il vous donne de la grâce, les fils, et Ses bénédictions pour pouvoir porter Ses œuvres et les annoncer aux hommes, tout en gardant l’humilité du cœur, comme Ma mère la Vierge, avec laquelle Je serai demain, en jour de fête de résurrection, Je l’aurai près de Moi et vous serez vous aussi près de Moi, et nous allons nous consoler avec des joies célestes, avec les doux souvenirs des douleurs d’alors, les Miennes et les siennes, car Ma mère et Mes disciples, hommes et femmes, pleuraient amèrement alors, et ils se renforçaient les uns aux autres l’amour et la patience endolorie en eux pour Moi, et ils étaient les bien-aimés de Mon âme, Mes chers, ils étaient les chers, Ma famille, avec laquelle Je Me consolais, et que J’ai consolé pleinement avec Ma résurrection d’entre les morts, aussi bien qu’ils ont crié de long en large «Le Christ est ressuscité» et J’avais pitié d’eux, de leur grande souffrance pour Moi, et Je leur ai donné Ma résurrection comme grande consolation, Mes fils, et voilà que demain ils vont prendre place auprès de vous, devant le Père, avec les chants de la résurrection, en esprit de joie sainte avec vous, la joie aimée par les cieux , et Moi, Je vous donne du pouvoir pour vous réjouir de la même joie que ceux du ciel, avec la joie de la victoire contre les douleurs, tout comme eux alors, oh, tout comme eux, tout comme Moi avec eux, tout que Ma mère la Vierge alors avec Moi, et avec eux, oh, les fils. Amen, amen, amen.

07-04-2018