Il vient le Seigneur sur la terre en parole, accompagne de Ses troupes angéliques, de Ses pouvoirs célestes et Ses saints en dizaines de milliers.
Il vient le Seigneur accompagné de Son ange, l’archange Michel.
Qu’on ouvre les portes de la cité de Ma parole située sur le foyer du peuple roumain, Mon pays de la fin de temps, le pays de Mon retour d’auprès du Père pour y mettre Mon royaume, et que l’on fasse savoir jusqu’aux extrémités que Moi, le Seigneur, J’ai un pays et un peuple élevé par Ma parole, par la nourrice celle du ciel, car sans nourrice l’ homme ne Me reconnait plus de Père du ciel, et il fait sa volonté, comme tout enfant gâté par ses parents, et duquel Je ne peux faire un disciple pour Moi, mais s’il a une nourrice elle tient sa main, où il met son cœur et il grandit vigoureux, car il y a quelqu’un à le veiller et guider pour ses beaux pas sur la voie avec gloire sur elle.
Paix à toi, cité de Ma parole, paix à vous, à vous qui veillez pour le Seigneur dans la cité! Mon ange, Michel l’archange, sonne et va devant Moi pour que J’entre dans la cité et dans le livre, les fils. Oh, si toute être a du ciel un ange de veille d’entre les anges de Dieu, Moi, le Seigneur, comment aurait-il été que je n’en ai pas? J’apprends au chrétien à ne pas oublier de son ange, qui écrit devant et après de lui tous ses pas, toutes ses actions, les pensées et les paroles, qui ne se perdent nulle part, mais elles vont à Dieu par l’ange gardien de Ma part.
Oh, paix a vous, qui vous vous êtes rassembles en jour de fête sainte annoncée par Moi pour se dérouler ici dans la cité pour les anges, et pour ceux endormis durant les sept mille ans et bien plus, et qui sont appelés ici maintenant, à leur commémoration à cette table pour eux, oh, car grande est leur attente que Je vienne et leur prépare la délivrance et la douce éternité avec Moi ! Les voilà, ils vous cherchent du regard, vous, les leurs de la terre, ils cherchent le salut, car les leurs selon la chair qui se trouvent sur la terre, les uns aiment le ciel et le travail par le ciel et pour ceux partis de leurs familles, et les autres aiment la terre avec les choses de la terre, et voilà, les uns deviennent suppliants dans le ciel pour les leurs de la terre, s’ils ont des parents unis avec ceux du ciel, avec les saints et avec l’obéissance à Dieu, et d’autres, parmi ceux partis attendent de la terre des prières et ils n’ont pas de consolations et de joies, si les leurs de la terre sont des terriens et sépares du ciel, de l’amour de Dieu et de la sainteté, car voilà, l’homme s’aime soi-même et se tient loin de l’amour celui d’en haut.
Ici, dans la cité, le ciel s’approche de la terre et on travaille d’en haut et d’en bas grande délivrance, c’est pourquoi n’oubliez pas, fils d’ici et de partout, aimants de Ma venue en parole vers vous, oh, n’oubliez pas d’être toujours, toujours avec Moi. Tenez-Moi près de vous tout le temps, tenez le Seigneur avec vous, car si vous ne vous tenez près de Lui, vous faites beaucoup de chausses en Son nom, vous les faites de votre pensée, des désirs de votre cœur, qui peuvent vous apporter de grands dommages et des douleurs. Quand vous essayez de fouler Ma parole sur vous et vous agissez selon vous, oh, vous ne prenez plus de Moi, vous n’aimez plus d’être et de travaillez selon Mon plaisir, et vous vous sentez isolés de Moi quand vous essayez d’agir selon vous, et pas selon le Seigneur, et vous choisissez plutôt de fouler Ma volonté pour la vôtre, et vous ne Me voulez plus avec vous et près de vous et vous vous cachez de Moi comme Adam.
Oh, chrétien qui Me connaît dans cette parole, fais attention à ce que Je te dis, car il y en a beaucoup de ceux qui sont venus et ont entendu et ils ont cru, mais ils n’ont pas pleinement compris ce que cela signifie cette œuvre de parole et ils ont joué dans leur tête entre croyance et incroyance et ils ont perdu le pouvoir d’en haut pour eux. Larme douloureuse va te couler pour ton temps froid auprès de Ma source de parole, car c’est seulement Ma parole qui pourra encore consoler ta larme. Ma pitié est grande en ce temps de Ma gloire sur la terre, et toi, tu vas te tenir devant beaucoup d’autres qui vont goûter de cette source, et tu vas avoir mal à cause de ton temps froid, quand tu verras la grâce et le don du Seigneur sur ceux si chauds, qui viendront des quatre extrémités et qui goûteront de Ma venue en source de parole et ils apprendront combien J’ai appelé le chrétien, combien Je Me suis incline pour l’enseigner tout le temps, combien J’ai attendu pour le rendre disciple digne de Ma gloire, de l’amour de Dieu, mais lui il est resté froid et il n’a pas voulu avoir nourrice pour son amour, celui qui signifie de la vie, puisque c’est seulement l’amour qui va rester en vie, seulement lui.
Je parle face à face avec les armées angéliques. Oh, comment faire pour bâtir dans le chrétien l’esprit de la tendresse et qu’on voit cet esprit par des mots doux et tendres, par la pitié et l’entraide, par la chaleur du cœur, par le sentiment fraternel et paternel entre les semblables, pour que Je puisse habiter entre ceux avec Ma manière de vivre ensemble avec les frères?
Oh, fils obéissants, qu’ils apprennent tous avoir soin de Moi, comme de leur petit enfant. C’est cela que Je veux. Tout comme la mère ne peut éloigner sa pensée de son petit bébé, et c’est seulement à lui qu’elle tient et envoi sa pensée, lorsqu’elle n’est pas près de lui, à cause de beaucoup de soucis portés, que vous ayez tout aussi soin de Moi, les fils, pour être toujours avec Moi, pour que Je sois toujours avec vous. Je vous apprends d’être comme Moi, d’être tout comme Je suis pour vous et avec vous. Tel que le petit enfant ne sais pas de sa mère et de sa pensée, mais il trouve son calme seulement dans ses bras, tout aussi, vous ne savez pas combien Je vous ai dans Ma pensée et dans Mon attention, vous ne le savez pas comme le petit enfant qui ne sait pas quand sa mère le porte dans sa pensée par sa grande douceur envers lui, les fils.
Oh, Je vous apprends d’être doux, d’être comme Dieu, d’être beaux par l’esprit de la tendresse tel qu’ils le sont les anges, les fils. L’homme a souvent de la cruauté dans le cœur, et il a de la dureté et de l’esprit de jugement sur les semblables, mais Moi, Je suis doux, pour partager de l’apaisement, pour sauver, pour pardonner, pour consoler, pour guérir, les fils, à condition qu’il M’aide l’homme, qu’il M’attende , qu’il M’appelle, qu’il Me veuille auprès de lui.
J’embrasse en parole Mon pays d’aujourd’hui. Paix à toi, Ma Roumanie! Je fortifie à tes frontières les armées angéliques et les puissances célestes. Je t’aime du Père, Celui Qui t’a choisi pour être Mon sentier au–dessus de la terre avec la gloire de Ma parole au milieu de toi, avec laquelle Je M’annonce du lever jusqu’au couchant- de l’est a l’ouest.
Je descends maintenant la bénédiction du Père et du Fils et du Saint-Esprit sur ceux que J’ai normés les porteurs de cette parole au–dessus de la terre et Je les fortifie dans leur travail venu de Moi, pour qu’ils portent plus loin leur œuvre celle de Dieu, car voilà, Je vais au devant d’eux par des cœurs pleins d’envie sainte envers Dieu, et Je leur ouvre large voie pour M’annoncer partout, car grande gloire s’approche et ils vont se rencontrer l’est avec l’ouest, la foi avec l’incrédulité, la lumière avec l’obscurité, le blanc avec le noir, le chrétien avec le païen, on va faire le choix et il y auront beaucoup à prendre la voie sur laquelle Je viens et Je marche, et le village de Maluri, d’où J’ai commencé Ma venue et son œuvre, il va recevoir dans ses petits parages l’amour de beaucoup, un nouvel amour, gardé secrètement par le Seigneur, Qui est descendu sur ce petit village en 1955, et auquel Moi, le Seigneur, Je prépare maintenant la gloire annoncée à se montrer, et tout sera en roumain, oh, puisqu’il n’y a rien plus doux que tout ce qui est roumain, et il sera tout beau comme au commencement du monde, et à Maluri il y aura douce fête et grande consolation distributrice de paix au-dessus du pays et de la terre, et tout ce qui se passera en ce jour-là pour les soixante-dix ans de parole, s’appellera la Parole de Dieu, écrite partout, sur la nature, sur les hommes, sur leurs cœurs, sur les fleurs, sur les oiseaux, sur les eaux, et tout va tressaillir de joie et on annoncera au-dessus de la terre la gloire de Ma parole et de sa fête sur la terre roumaine. Ils vont se rencontrer le lever avec le couchant en ce jour de gloire. Le ciel et la terre vont s’embrasser alors. Tout sera saint et tout un amour, car la sainteté naît de l’amour, et tous ceux qui croiront et aimeront en vérité seront des saints, ils le seront par l’amour de Dieu, et beaucoup d’entre eux diront heureux: «Tourne, Seigneur, Ton visage de nos pèches, et efface toutes nos infamies, car nous T’aimons».
Oh, J’ai crié des années et J’ai dit: «Fuis du monde, fuis le monde, fuis Mon peuple!» Laisse le monde te chercher, mais qu’il te cherche parce que tu es le Mien, Mon témoin et Mon messager, pas pour que tu te tiennes dans le monde et avec le monde, mais afin que le monde voie en toi ton amour de Dieu, la joie de la vie, car l’amour de Dieu c’est de la joie, c’est de la gloire.
Les fils, les fils, gardez-vous des renards, gardez-vous de la femme, du parler avec des femmes gardez-vous, car elles ne vous gardent pas, car elles coupent la tête des prophètes et des chrétiens! Gardez-vous de la mort venue par la femme, car depuis soixante-dix ans les chrétiens meurent par la femme, et la femme est comme l’enfer sur la terre! Oh, gardez-vous de la marche solitaire, surtout dans Ma cité, tout seuls, gardez- vous de ces maudites habitudes, car le manque d’ordre attire l’attention du diable et Moi, le Seigneur, ce n’est pas pour le diable que J’ai établi grande cité sur la terre, mais pour les armées célestes et angéliques et pour les sages et obéissants. Oh, n’oubliez pas qu’Eve a pris conseil du diable, du serpent, et elle a sorti Adam de Dieu et ils sont tombés de Dieu, en prenant parole étrangère pour leurs pas, car le diable a menti la femme qu’ils ne mourront pas s’ils fouleront Ma parole, et le mensonge a fait chavirer la foi et la fidélité des deux, oh, et c’est ainsi qu’elle travaille jusqu`à la fin la femme, pour la chute de Dieu de beaucoup d’hommes, et Moi Je vous dis: assagissez-vous, les fils, assagissez-vous par Ma parole sur vous!
Oh, voilà ce que Je vous dis: Ils se réjouissent avec grande joie les endormis et appelés à la table des anges pour leur commémoration. Tous les descendants des endormis du commencement du monde et jusqu’ aujourd’hui, ils sont venus tous à leur commémoration, auprès des armées célestes et angéliques. Moi, le Seigneur, Je leur partage consolation et résurrection et la plus belle armée est celle de Virginie, Ma trompette, et il y a beaucoup qui regardent maintenant ici a la table et ils ont grande joie pour les leurs selon la chair, qui ont suivi la voie et ils n’en sont pas tombés.
Ils se mettent à côté des endormis les morts des guerres de ces jours, car Moi, le Seigneur, Je reçois de la cité d’ici, des demandes pour eux, et leur esprit se console par Ma beauté et celle céleste, avec lesquelles Je fais halte avec fête de gloire de parole au-dessus de la terre.
Consolation, consolation, douce parole et pleine de force, Je mets cette parole sur les douleurs, sur les tristesses, sur l’amour entre les frères, pour qu’ils apprennent tous de Moi l’esprit de la douceur et son saint fruit, et paix à vous à table fraternelle, les fils! Oh, prenez de la consolation et soyez comme les anges de Dieu, Mes fils!
Et maintenant encore et encore Je vous accorde bénédiction, pouvoir et soutien du ciel et de la terre, pour le nouveau travail de Maluri. Soyez un seul cœur tout peu nombreux que vous soyez, sur lesquels Moi, le Seigneur, Je M’appuie au travail saint pour montrer le jardin de paradis sur le lieu ou Moi, le Seigneur, Je suis descendu il y a soixante-dix ans et Je Me suis tenu sur la pierre de la maison et J’ai commencé par Ma trompette, Virginie, la gloire de Ma parole au-dessus de la terre pour des années, après l’avoir longtemps préparé pour Me tenir et pour passer par elle avec la parole de Ma bouche, et qui vient se montrer peu à peu et qui va rassembler les âmes de l’amour de Dieu , les âmes qui attendent, les fils, et vous, demandez au Père de soutenir votre peine avec du beau temps, favorable au travail, oh, mais n’ayez pas peur du froid, ne craignez rien, car tout vient et se range en toute beauté et avec grande gloire, et Moi Je suis au gouvernail, Je suis auprès de vous et Je vous ai appris aujourd’hui à Me tenir auprès de vous et ne pas oublier cela tout le long de votre travail avec Moi pour Ma gloire avec vous, les fils.
Oh, J’ai du travail avec Mes anges pour apaiser les langues de ceux qui essaient de chanceler la foi de certains qui se sont ralliés et n’ont pas veillé pour ne pas prendre conseil du serpent pour leur foi et obéissance. Nous allons essayer d’arracher du feu ceux qui Me recevront pour les conseiller, afin de comprendre d’avoir une nourrice pour eux, car ceux selon la chair se détruisent les uns les autres comme Adam et Eve, en perdant le Seigneur et le paradis et la foi, et ceux nés avec nourrice croissent pour Moi et ils restent les Miens et ils seront comptés avec ceux auxquels on partagera la grande joie quand le repos viendra, après que Mon travail avec vous finira avec gloire et nous allons l’offrir au Père, Duquel nous recevrons le prix de la course, la consolation, la grande, grande consolation, oh, les fils. Amen, amen, amen.
21-11-2024
