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La Parole de Dieu du troisième Dimanche après les Saintes Pâques, Celui des Saintes FemmesVoilà, Il arrive le Seigneur dans la gloire et avec gloire, et on Le reçoit aux portes, accompagné de cortège céleste, magnifique vue, suite de fête, qui remplit l’espace en haut et en bas, et la place et la table d’accueil sont parées de fête et tout cela c’est de l’amour ici, au lieu de la source de parole du Seigneur. Oh, paix à vous! Le Christ est ressuscité! Paix à vous habitants de Mes jardins d’ici, d’à la maison, vous qui M’accueillez toujours, toujours, toutes les fois que Je viens ici avec des invités du ciel, les saints avec lesquels Je voyage et Je viens, et, encore avec des visiteurs de la terre, réunis ici à la source, pour le Seigneur! Oh, Me voilà! Le Christ est ressuscité! C’est le salut d’après Ma résurrection d’entre les morts, et avec lequel Je M’incline et J’accueille la multitude rassemblée des quatre coins de l’horizon pour Me recevoir avec Ma venue ici en jour de fête, accompagné par les disciples, hommes et femmes, disciples de Ma résurrection, comme chaque année en ce jour, que nous préparons les uns pour les autres, Nous pour vous et vous pour Nous, ceux venus des cieux chez vous, les fils, car les uns d’entre vous reçoivent les visiteurs, et les autres sont accueillis à table de festin de résurrection, et voilà fête avec de la gloire, de la paix et de l’amour comme dans les cieux, car Moi, le Seigneur, Celui ressuscité, Je viens sur la terre pour y travailler la volonté de Dieu, comme dans le ciel, et ensuite le royaume du Père ici, puisqu’en ce lieu se trouve la cité du Seigneur, lieu de Son arrêt avec les saints, les fêtes du ciel sur la terre, avec ceux qui croient à Sa venue à gloire de parole. Oh, Mes fils de la source, vous êtes ceux qui accueillent le Seigneur, et Ses saints ici, toutes les fois que l’on vous annonce d’en haut fête sainte avec rencontre ici. Et voilà, Je vous dis un secret à vous surtout, à vous qui Me recevez ici, et qui partagez ensuite Ma parole d’amour et de nourriture pour la croissance d’un peuple fidèle comme vous. Oh, voilà ce que Je vous dis: Entre vous et eux, ceux qui croient à Ma venue chez vous en ce temps, ceux-ci doivent savoir que la manière dont ils se conduisent envers Moi et devant Moi, lorsqu’ils croient et ils vivent et ils agissent, en secret ou ouvertement, cette manière de se positionner et de se conduire, Je la prends d’eux, entre Moi et eux, et aussi la fidélité ou l’infidélité, et Je leur dis cela maintenant, comme mystère de sagesse, et heureux seront ceux qui ont eu le don de comprendre cette sagesse, contenue par la parole de Ma descente ici en parole. Oh, Je vous dis à vous, ceux qui vous vous rassemblez devant Moi aux jours de fête, et vous vous présentez au Seigneur ici. Je vous dis, les fils, grand mystère de sagesse, à savoir que par la façon de vous conduire envers ceux qui Me portent vers vous, c’est la conduite envers Moi que vous prouver, donc par la conduite entre vous et eux, ceux qui Me donnent à vous, lorsque Je Me donne à eux, afin qu’ils vous donnent le Seigneur. Oh, tel que vous vous placez à chaque instant dans leurs cœurs, tout ainsi à chaque instant vous êtes placés en Moi, ainsi et pas autrement. Vous avez vu et pouvez voir comment ceux qui les ont frappés, c’est Moi qu’ils ont frappé, pas eux, et ils n’ont plus eu Mon appui, s’ils n’ont plus voulu avec Moi et comme Moi, par ceux qui Me portent, mais ils ont voulu comme eux, ils n’ont plus voulu comme Moi. Oh, comment auraient-ils pu garder encore Ma compagnie et Mon appui, si pour ceux qui Me tiennent pour qu’ils Me donnent à eux, ils ont trouvé bon d’élever des mécontentements et culpabilité, conduite froide envers Mes porteurs, tout en restant le cœur endurci entre eux et ceux qui Me portent vers eux? La conduite douce et pleine d’humilité pour vous recevoir les uns les autres et entre vous et eux ensuite, c’est cette conduite que Je retiens entre Moi et vous, mais si vous êtes loin de la conduite filiale, et vous vous tenez de capables et intelligents et devant eux, oh, alors vous n’êtes pas comme J’ai demandé que vous le soyez devant Moi, c`est-à-dire comme les enfants, qui ont Mon ciel en héritage, et qu’il est difficile à obtenir l’aide que le naturel de l’homme peut lui donner, afin qu’il se conduise avec humilité et bienséance, pour que le Seigneur puisse habiter dans l’homme et entre homme et homme ensuite, avec sa douce gloire bienfaisante entre l’homme et Dieu, d’un côté et de l’autre, oh, les fils. Voilà, Je viens en ce jour, Je viens avec de la gloire, Je viens avec ceux qui M’ont accompagné aux jours de Ma venue d’alors d’auprès du Père sur la terre. Je les prends en témoins à Mon activité d’alors avec eux, et à leur activité avec Moi, et nous prenons les uns des autres, nous relions le temps et nous présentons face à face les deux temps, Mon temps avec les disciples d’alors sur la terre et Mon temps d’aujourd’hui, et nous étalons devant le Père fête de désir sainte et d’amour, œuvres des cœurs, communion entre ceux d’en haut et ceux d’en bas, et Moi au milieu d’eux, au long des siècles, entre les deux temps, alors et maintenant, les fils. Oh, voilà, quelle belle vue, maintenant, ici ! Nous, ceux d’alors et vous, ceux d’aujourd’hui, Moi, le Seigneur, avec Mes disciples de ce temps-là et avec les disciples actuels, et ensuite la rencontre des deux temps. Vous qui êtes en ce temps Mes disciples et messagers, vous nous avez accueilli à doux festin, en doux lieu, et Nous, ceux d’alors, nous vous accueillons avec les choses de ce temps-là, et voilà quelle douce communion entre eux et vous ! Me voilà avec eux chez vous, avec Mes disciples, hommes et femmes, et parmi eux voilà Ma Mère la Vierge, les fils. Tous ensemble, tous en même temps, nous nous inclinons devant vous pour le doux accueil d’ici et nous vous saluons par l’annonce qui a couru alors, consolation et joie après la grande douleur, nous vous partageons de cette indescriptible gloire-là, et nous vous disons tous ensemble: Le Christ est ressuscité! — Et maintenant, oh, Seigneur ressuscité et glorifié par Ta résurrection, c’est nous qui leur faisons part à notre festin avec eux et nous leur offrons notre parole, l’esprit, celui qui nous porte au-dessus d’eux, puisque notre esprit est en Toi et nous tous, nous vivons en Toi, tel qu’il est écrit, car Tu es en nous en tous, Seigneur, et nous écrivons le livre de notre participation ici, en ce jour saint entre nous et eux, Mon Seigneur et Fils. Oh, mon Fils ressuscité, c’est d’abord moi, Ta mère la Vierge, qui leur raconte ce que j’ai éprouvé alors, ma douleur sage et ma consolation ensuite, pour Ton relèvement de la croix, mon Fils crucifié sans pitié par ceux qui tu étais venus pour les réconcilier avec le Père, mais eux, ils n’ont pas voulu Te reconnaître comme venu du Père, et nous avons souffert alors, nous qui T’avons accueilli et accompagné et nous T’avons conduit ensuite vers la mort sur la croix, mais aussi vers la résurrection d’entre les morts, mon bien-aimé Fils. Oh, j’ai vécu avec les Tiens, je ne les ai plus quittés, et ils ne m’ont plus quitté non plus, et nous avons tout dépassé ensemble, jusque à ce que nous fûmes arrivés l’un après l’autre auprès de Toi, notre désiré, et nous sommes restés Tes témoins, de la terre jusqu’aux cieux et maintenant, depuis le ciel jusqu’à la terre, Mon Fils ressuscité, et Tes disciples, hommes et femmes, partagent eux aussi leurs sentiments d’alors et nous mettons sur la table ici, en communion sainte, et Toi, Tu es Celui Qui écoute, Seigneur. Amen. — Oh, je m’approche de vous, moi, Pierre, l’apôtre, moi le craintif, mais aussi celui qui a beaucoup aidé mon Seigneur, car j’ai tout laissé pour pouvoir Le suivre et L’aider dans Son travail, celui donné du Père, dans Sa marche parmi les foules, puisqu’Il avait besoin de protection, de la charité des disciples, et moi, j’ai répondu à Sa vocation, car Il m’a appelé et Il m’a dit: «laisse les morts enterrer leurs morts, et toi, viens avec Moi, suis-Moi!». Vous, les fils d’aujourd’hui, qui êtes et demeurez l’appui du Seigneur, oh, vous avez fait la même chose, vous L’avez suivi et vous Le suivez toujours. Vous avez laissé les morts enterrer leurs morts, et vous avez répondu à Son appel et vous Lui servez d’appui maintenant, quant à ceux qui sont venus et ils sont partis ensuite, oh, ils ne sont plus demeurés dans Son amour avec fidélité jusqu’à la fin, mais ils se sont retournés à leurs morts, chacun à ses morts, et le Seigneur et vous aussi, vous êtes sans appui, et voilà la parole du Seigneur, car Il vous a dit récemment dans Sa descente de parole chez vous, que vous devez vous aider pour Lui avec quoi et avec qui vous pouvez encore, et de vous mettre l’espoir en ceux d’en haut, avec lesquels Il vient à vous, les fils, et voilà pourquoi il est si difficile pour l’homme qui croit à cette parole de garder la fidélité et le renoncement à soi, pour lequel il vient au Seigneur et après le Seigneur, mais ensuite il s’en détache, les fils. Oh, j’ai pitié de vous, car vous n’êtes pas appréciés, vous n’êtes pas aidés, tout comme le Seigneur en ce temps- là, lorsqu’Il nous a pris avec Lui et auprès de Lui, pour Lui servir d’appui et de témoins ensuite. Oh, les fils qui venez vers le Seigneur pour Lui servir avec fidélité, ouvrez Son livre avec nous et lisez-le bien avec le peuple et prenez de l’esprit de ma fidélité, entre vous et le Seigneur, entre vous ensuite et ceux qu’Il a ordonnés pour vous, pour la liaison entre vous et le Seigneur, les fils, car moi, son apôtre fidèle, c’est à cela que je vous exhorte, c’est cela que je vous donne à travailler vous aussi, et vous serez pareils à moi envers le Seigneur jusqu’à la fin, oh, les fils. Amen. — J’exhorte moi aussi, Seigneur ressuscité, je donne moi aussi conseil saint à ceux qui sont Ton appui au temps de Ta venue parole sur la terre, et je leur dis que je n’ai pas été incrédule, mais croyant et fidèle je l’ai été envers Toi, et j’ai toujours désiré de T’avérer devant eux, et devant tous ceux d’après eux, Tes fidèles. Moi, le disciple Thomas, je leur dis de ne pas retourner de la croyance à l’incrédulité, parce que ce serait trop grande la chute de ceux qui tombent si gravement, et ce pas est trop grand. Oh, comment tomber d’un part à l’autre part d’un si grande et affreuse chute? A quoi bon le souvenir du temps où tu étais fidèle, si non au jugement de ton infidélité? Il est écrit dans les psaumes inspirés par le Saint Esprit, il est écrit de celui qui tombe de la foi, auquel Seigneur dit: «Pourquoi racontes-tu et énumères Mes lois et Mon alliance, toi qui hais les avis et rejettes Ma parole derrière toi, et tu fais part avec le voleur, l’adultère et le dénigreur, et tu livres ta bouche au mal et ta langue trame la tromperie contre ton frère, en pensant que Moi, le Seigneur, Je vais Me taire? Oh, ce ne serait pas ainsi, car Je vais te le reprocher et Je vais mettre sous tes yeux tout ce que tu as fait du mal, comme un de ceux qui ont oublié le Seigneur». Oh, rappelez-vous la question du Seigneur pour ceux qui se faisaient mal l’un à l’autre par la séparation de Dieu et pour le péché ensuite, car le Seigneur a mis cette question à ceux infidèles et a dit: «Quoi payer, oh, chrétien, quel travail pour Moi dois-Je te payer? La trahison, le reniement de Dieu?». Oh, ne soyez pas infidèles, mais fidèles, mais jusqu’au bout, les fils, puisque seulement ceux qui vont patienter jusqu’à la fin, tel que le Seigneur l’a dit, c’est seulement eux qui seront graciés et récompensés, et les autres seront admonestés par les faits mêmes qu’ils se sont mis de côté, car le départ d’auprès du Seigneur signifie trahison, reniement, outrage adressé au Seigneur et mépris de la part de celui qui voit ce que tu fais, toi, qui as cru et qui est demeuré une fois auprès du Seigneur avec ta vie, avec ton sacrifice pour Lui, pour Sa lourde croix. Oh, Seigneur, je leur parlerais beaucoup, à magnifiques paroles sur Toi, sur le mystère de Ton Etre, Seigneur ressuscité, car ils ont toujours besoin d’éveil, de relèvement, et ils ont besoin de sagesse, tant que cela a encore de prix, quant à moi, mon esprit se console maintenant car j’ai témoigné et que j’ai fait cela pour ceux qui vont tâtonner des yeux et de l’esprit le mystère qui va se dérouler à la vue de tous, Ton œuvre d’aujourd’hui, que Tu portes et Tu partages avec ceux qui portent Ta venue d’aujourd’hui, pour Te glorifier et Te préparer, Seigneur, le grand jour de la gloire, Ton jour, oh, Seigneur, que tous les saints souhaitent et attendent à grand désir. Amen. — Nous, les femmes disciples et ensuite Tes compagnes sur le chemin de Calvaire, nous témoignons de Ta résurrection, Seigneur Jésus, Toi Qui est l’amour, celui d’entre nous, puisque nous T’avons aimé Toi entre nous, et nous sommes restées dans l’œuvre de l’amour de Toi, après T’avoir connu, et nous sommes demeurés sur le chemin de la gloire de Ta croix, et nous ne T’avons pas quitté, mais nous avons porté et partagé entre nous toute la douleur de Ton Esprit, avec fidélité jusqu’à la fin, Seigneur ressuscité, et Tu nous a confié la confirmation de Ta résurrection, car Tu T’es montré magnifique par la résurrection et Tu as ainsi paré et fortifié notre amour et foi, et nous T’avons donné au monde ensuite, en annonçant partout que Tu fus ressuscité et que Tu fus demeuré avec nous après la résurrection, jusqu’à ce que, sur des nuées de gloire, Tu T’es élevé auprès du Père, à Ton lieu de gloire et de travail pour la terre. Oh, qu’elle a été grande notre douleur pour Toi, et par elle, qu’elle a été grande la foi, Seigneur, et qu’il a été grand l’amour nourri par la foi! Oh, à quoi bon l’amour sans foi? A quoi bon la foi sans amour? Cette question nous la posons à ceux qui ne sont pas restés fidèles jusqu’à la fin, pour leur récompense ensuite. Oh, qu’elle est douce Ta compagnie maintenant, dans les lieux très hauts, Seigneur ressuscité! Oh, qu’elle soit douce pour vous aussi la compagnie du Seigneur sur la terre et dans les cieux ensuite, car vous devez Le connaître pleinement, si vous voulez que satan ne puisse pas vous déraciner d’auprès du Seigneur, fils bien-aimés du temps d’aujourd’hui, temps du Seigneur avec vous. Oh, Seigneur, fais-leur part de Ton salut, mais donne leur de la foi en action, afin que Tu Te reposes après Ton temps avec eux, et que nous nous reposions tous de la nostalgie de Ta gloire, que nous attendons, gloire du jour du repos parfait, Seigneur, oh, Seigneur ressuscité! Amen. — Oh, les fils, les fils, Moi, le Seigneur, Je suis déchaîné par la parole aujourd’hui, mais aussi tous ceux qui M’accompagnent, car ils veulent tous s’inscrire dans le livre, en ce jour de leur mémoire avec Moi, dans l’esprit d’alors, l’esprit de Ma résurrection. Vous, ceux rassemblés sous cette gloire, faites attention à ceux du ciel et laissez-vous être mesurés en ce qui concerne la foi et la fidélité, car la tempête est grande et elle souffle fort de tout part vers vous, pour arracher vos vêtements et votre pouvoir par des tempêtes, et Moi, Je viens chez vous avec les saints et nous vous donnons de l’appui, les fils. Il est grand ce jour, plein de gloire, les fils. Le ciel couvert de la suite céleste est d’une beauté indescriptible, et vous vous trouvez sous cette voûte, qui vous couvre maintenant de son mystère. Soyez les bienvenus à la source en jour de gloire et de fête sainte, vous, les fils voyageurs! Oh, ouvrez vos oreilles et dirigez vers vos cœurs l’enseignement de cette table, pour qu’elle vous soit utile la venue à la source de Ma parole, qui doit porter du fruit et que vous soyez vous-mêmes son fruit ensuite. Oh, il faut de l’accomplissement, il faut de l’obéissance, il faut de la foi pour les deux, les fils, puisqu’à ceux qui n’ont pas d’accomplissement et d’obéissance, on ne tient pas pour foi leur comportement, oh, non, les fils, non. Nous allons faire place maintenant au chant de gloire pour ceux du ciel ici, chez vous, et nous allons rompre au milieu la parole mise sur la table pour ce jour, afin d’avoir du temps pour toutes les choses qui se passeront ici, et nous allons envoyer vers vous la part de la parole avec laquelle nous avancerons, car, voilà, il nous reste de mettre dans le livre les choses qui sont maintenant apportées et proposées pour être accomplies. Maintenant qu’elle soit bénie toute la fête, avec toutes les siennes, en ce jour de la consolation, venue des uns aux autres, avec son souvenir d’il y a deux mille ans, les fils. Nous, tous ceux du ciel, nous nous tenons dans l’espace au-dessus de vous, les bras ouverts en signe d’embrassement, et nous avons tous le regard fixé sur vous et dans vos cœurs et votre stature. Oh, fils porteurs de mystères célestes et qui écrivez dans le livre Ma parole, J’ai dit en ce jour que c’est la conduite entre eux et vous, c’est cela qui compte pour Moi, comme leur conduite envers Dieu. Nous devons maintenant clarifier entièrement ce mystère de leur foi en Dieu, et il n’est jamais arrivé que le Seigneur considère autrement l’amour de ceux qui aiment Dieu, puisque J’ai dit il y a deux mille ans: «Ils ont reçu Ma parole, oh, ils recevront aussi la vôtre» et J’ai dit encore: «Celui qui vous reçoit, C’est Moi qu’il reçoit», mais J’ai dit aussi autrement: «Ils M’ont persécuté Moi, oh, ils vont vous persécuter vous aussi», et voilà celui qui vous méprise, c’est à Moi qu’il fait cela, puisque c’est vous que J’ai entre Moi et eux, vous les fils, oh et regardez bien ceux qui viennent et qui restent, et encore, regardez ceux qui viennent et qui restent et qui partent ensuite et regardez leur pouvoir et répondez-vous et qu’ils se répondent eux aussi, et les uns aux autres, et qu’ils comprennent leur station ou leur départ, et ils vont voir que tout ce que Je dis maintenant s’est confirmé et se confirme précisément. C’est un jour plein d’enseignement, les fils. Mais maintenant, que la paix soit avec vous, le repas avec bénédiction entre vous, et qu’elle porte le fruit d’une évolution sainte pour vous! Nous sommes ici avec vous à table et il y en a aussi beaucoup, beaucoup d’hôtes, puisqu’ils ont été appelés ceux qui attendent la grande résurrection et qui regardent frappés d’étonnement Mes jours avec vous, dont ils prennent de la consolation pour eux. Oh, Père, oh, Mon Père, regarde la consolation et sa gloire qui abondent ici, Mon Père! — Oui, Mon Fils, Ma parole prend place maintenant sur la table ici, et nous allons partager de cette table la consolation et l’accomplissement des deux mille ans, Fils sacrifié sur la croix et ressuscité d’entre les morts ensuite. Oh, Tu as montré la résurrection, Tu as montré qu’elle existe et qu’elle existera, car avant Ta résurrection Tu as ressuscité des morts, et ensuite Lazare, afin qu’ils croient ceux qui viendront après ce temps-là, que Tu es Dieu ressuscité et que Tu donnes à l’homme la résurrection, Mon Fils bien-aimé. Oh, Ta gloire qui vient de Moi est entièrement et toujours présente avec Toi, elle est entourée de son mystère, mais maintenant Je suis assis auprès de Toi et Je Te mets à table ici Mon Esprit, l’Esprit du Père, Fils bien-aimé, et Je dis à ceux qui prennent le Seigneur de ce lieu, Je leur dis: Le Christ est ressuscité! Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, Qui a eu et Qui a toute Ma faveur. Oh, quel bonheur sur vous, les fils, si vous allez vouloir Lui obéir, obéir à Mon Fils, mais jusqu’à la fin, oh, jusqu’à la fin avec Lui et pour Lui, oh, les fils! Amen, amen, amen.
Deuxième partie Moi, le Père, Je parle maintenant avec Toi, Mon Bien-aimé Fils. C’est par Toi que J’ai aimé et que J’aime ceux qui peuvent travailler avec Nous jusqu’à la fin. Il y a deux mille ans, Moi, le Père, J’ai parlé de la nuée et J’ai dit de Toi que Tu as toute Ma faveur, c’est pourquoi ils doivent T’obéir ceux qui Nous aiment, c’est ainsi que Je leur ai dit, car comment serait-il possible que Tu les écoutes quand ils demandent Ton aide dans leurs épreuves, s’ils ne T’obéissent pas toujours et toujours? Voilà que d’amour s’écoule de Nous et de ceux du ciel saint qui Nous accompagnent ici, et que de parole console en haut et en bas les âmes et l’esprit de la fête en ce jour! Moi, le Père, Je reçois beaucoup de consolation de la part de ceux qui T’aiment, inséparablement unis à Toi, dans ce dur travail d’aujourd’hui, Mon Fils Jésus, mais ils sont embarrassés par la quantité de choses nécessaires à Notre marche par eux, et ils sont petits, peux nombreux et sans aide sous la croix de Ta venue maintenant, oh, et l’esprit de la tristesse Nous comble, car Tu as parlé de Ton jour, lorsqu’on va départager ceux qui ont eu pitié de Toi, T’ont assisté et aidé, qui T’ont aimé, de ceux qui n’ont point fait cela, et par la suite ils recevront ceux qui T’ont aimé la joie de Ta bénédiction, et ce qui ne T’ont pas aimé et aidé entendront la parole de douleur, oh, car il arrive qu’ils n’aient pas compris cela, pas même ceux qui ont connu et connaissent la marche de Ta croix d’aujourd’hui, pour le moins l’aurait pu comprendre ceux qui n’ont pas de source de sagesse versée d’en haut sur eux, pour qu’ils puissent choisir la foi prouvé par les faits! Oh, et qu’est-ce que Nous allons faire de ceux qui ont pris connaissance de tant de parole venue de Toi, et qui se sont enfuis, en sortant de sous Ta croix, de sous Ton fardeau d’aujourd’hui, et ils vont entendre Qu’ils ne T’ont pas soutenu, Mon Fils Jésus? L’homme accorde son aide à soi-même seulement et aux siens selon la chair et il veut ensuite être payé par Dieu, mais Je lui rappelle qu’il doit être digne du payement celui qui attend le payement et une place auprès du Seigneur dans les lieux très haut. Quand des temps difficiles arrivent ceux qui savent de Ta présence ici avec ceux qui Te servent, ces gens-là cherchent vers eux par la pensée, pour obtenir Ton aide par eux, ils les épuisent en pensant à eux pour l’aide, mais Moi, le Père, Je leur dis que ceux qui Te servent ici ne peuvent pas les aider, car c’est le Seigneur qui paie, pas eux. Je vous dis donc à vous, ceux qui faites cela et au temps de vos ennuis vous pensez à Nos serviteurs de ce lieu, Je vous dis, Moi le Père, pensez à vous, pas à eux, puisque c’est vous qui devez faire quelque chose pour vous, pas eux. Oh, ne les cherchez pas car ils sont sous Mes charges et ils ont tant de choses à porter et à travailler. Cherchez le Seigneur, puisque c’est Lui que vous avez tant attristé, que vous êtes restés sans son appui et vous avez besoin d’humilité, mais envers Dieu, pas envers l’homme. C’est Notre conseil pour ceux qui cherchent de l’aide ici pour leurs douleurs, Mon Bien-aimé Fils Jésus, car voilà, ils ne Te cherchent pas Toi ceux qui ne T’obéissent pas, bien que Moi le Père, Je leur aie conseillé de T’obéir jusqu’à la fin. Mais les voilà ceux qui T’ont aimé jusqu’à la fin et T’ont suivi en soupirant, mais avec espoir, et aujourd’hui ils témoignent de Toi, Dieu Mon Fils, ils sont pleins du désir de témoignage et ils rendent magnifique la fête et la rencontre de tous maintenant ici. Un murmure, un gros soupir, c’est un gros et profond soupir ici, soupir murmuré parmi les voix de Tes témoins, et Toi, Fils miséricordieux, Tu as toute la gloire du jour, car il y a tant d’amour qui s’accumule pour Toi par l’esprit de témoignage de ceux qui sont venu avec Nous, et aussi de ceux appelés pour venir à table, du lieu d’attente de leur résurrection. Ma bénédiction de Père se manifeste en parole et dit à ceux réunis en ce lieu maintenant: Celui-ci c’est Mon Fils bien-aimé, obéissez-Lui, mais jusqu’à la fin, oh, jusqu’à la fin. Amen. — Oh, Mon Père, J’entends, Mon Père, on entend le soupir endolori. Je l’écoute à grande douleur et Je lui offre l’entrée, Mon Père. Ce soupir est le plus endolori pour Moi, c’est pour celui par lequel J’ai mis Ma vie, afin que Je ramène l’homme à la maison, pour que Je le ramène à Toi, Mon Père. Toi, celui qui soupires, Je te donne de la consolation, car Je suis Celui Qui console, Moi, Celui crucifié, mais aussi Celui ressuscité de la crucifixion, Moi Je te dis: viens et mets ton soupir devant Moi sur la terre, en ce lieu où J’ai Mon siège pour venir. — Après deux mille ans de soupir blessé d’une profonde tristesse, je le fais entendre devant Toi et Tes témoins d’alors, parmi lesquels j’ai été moi aussi choisi par Toi, pour Te suivre jusqu’à la fin, Te montrer au monde, pour T’aimer, Seigneur, et pour T’obéir. Mon sort pourtant a été scellé, et à cause de mon désobéissance, je ne suis pas demeuré avec Toi et auprès de Toi, les mains propres, le cœur sincère, et content d’être moi aussi le Tien. Mon cœur c’est rempli d’envie, du mauvais esprit de la jalousie, Seigneur crucifié par moi, et ce mauvais esprit m’a nourri, m’a travaillé, m’a égaré, m’a porté ça et là, jusqu’à ce que je n’aie plus compris ce que je faisais et ce qu’il pourrait arriver, et s’ils m’ont acheté par leur perfidie les grands des prêtres, oh, je suis tombé par la tromperie, en soupirant je suis tombé. J’ai perdu toute espoir lorsque j’ai vu comment ils T’ont enlevé, et comme Tu T’es laissé prendre pour Te clouer à la croix, et un grand désespoir m’a envahi, mais en allant pour leur dire que j’avais livré un sang innocent, ils se sont totalement débarrassés de moi, ils m’ont jeté au plus grand désespoir et je n’ai point supporté l’idée que Tu fusses monté sur la croix pour mourir et que moi, je puisse rester vivre encore. Je n’ai plus eu la force de rester debout et porter mon péché, j’ai perdu tout appui et je suis tombé au diable, auquel j’ai servi, sans penser qu’il travaillait par les Juifs orgueilleux du temps et moi, je me suis perdu, je me suis perdu face à Ta miséricorde, car j’ai toujours eu une raison faible, comme tout homme orgueilleux et faible, et je suis tombé sous mes ennemis, qui étaient Tes ennemis, Mon bon Seigneur. Depuis ce temps-là tu es passé et encore passé près de moi avec la consolation de Ta pitié, même si je n’eusse pas été digne de Toi et de Tes disciples, et depuis lors je soupire et je soupire encore, car j’ai pitié de Toi, de moi, de tous ceux qui ont souffert pour mon péché, celui par lequel je suis tombé. Oh, celui qui va seul est sous l’œuvre de satan sans qu’il le sache, et quand il se rend compte du mauvais fruit de l’insoumission, de la désobéissance, il se cache des autres avec ce qu’il fait à leur insu, tel que je l’ai fait, Seigneur. Je n’ai aucun mérite d’avoir montré du moins le mal que j’ai fait, mais j’ai le soupir, avec lequel je voudrais dire à ceux qui Te suivent avec fidélité de ne pas souhaiter qu’on leur partage de l’amour, car l’homme est trop pécheur pour mériter quelque chose. Moi, j’ai eu tort en souhaitant cela, et j’ai été puni par mon désir-même, car si je ne partageais pas d’amour, je ne méritais pas qu’on m’en partage, mais je suis tombé malade de bêtise, qui m’a mené vers la jalousie, vers l’envie, qui m’ont travaillé, en temps que c’est Jésus Christ Qui aurait dû avoir le pouvoir sur moi, Lui Qui m’a aimé avec pitié, connaissant d’avance mon sort et la douleur venue de lui. Sa douleur et la mienne, oh, en vain Sa pitié, toujours en vain Sa bonté, puisque moi j’étais toujours attiré en dehors, je cherchais être avec ma famille, mes parents, mes amis, avec mes lamentations, mes mécontentements, avec mon manque d’amour, que je ressentais autour de moi et j’en soufrais, bien que ce fut moi qui allais tout seul, à su et à l’insu, et mes ennemis étaient mes parents et tous ceux avec lesquels je partageais mon temps en dehors de la communauté des disciples, ceux que le Seigneur nous avait recueillis pour aller avec Lui, mais partout et toujours avec Lui, pour nous prouver dignes d’être Ses disciples. Oh, chrétien, ne prend pas d’argent pour livrer le Seigneur, ou ton frère, ou ton prochain. Oh, restez près du Seigneur, seulement près de Lui, vous qui êtes élevés par la gloire de Sa parole, car celui qui a encore quoi aimer après s’être donné à Lui, celui-là perd la dignité de demeurer près de Lui jusqu’à la fin, car Il a dit: «Celui qui ne hait tout, même le père et la mère, frères et sœurs, femme et enfants, parents et amis, richesses et rangs, celui-là n’est pas digne de Moi». Oh, c’est ainsi qu’Il a dit le Seigneur à notre ouïe, mais moi je n’ai pas obéi et je suis tombé en grande douleur, j’ai perdu la pitié et la protection du Seigneur, j’ai perdu mes frères disciples et je me suis perdu moi-même, si horriblement. Voilà donc qu’il n’est pas digne du Seigneur celui qui a encore quelque chose à aimer. Et, alors, de quoi est-il digne un tel homme, qui vient à Dieu, qui ensuite n’obéi pas, et puis il part? Oh, Seigneur plein de pitié, je n’ai pas comment te montrer ma reconnaissance pour Ta pitié envers moi, surtout maintenant, lorsque j’ai parlé à côté des disciples de Ta souffrance d’alors, mais mon soupir, c’est lui seulement qui puisse encore Te rendre gloire. Si Tu peux encore écouter mon soupir, voilà je soupire toujours et je dis: prends garde, prends-garde Toi-même à ceux qui vont avec Toi, et donne-leur l’esprit de l’obéissance envers Toi, car leurs prières devant Toi m’ont gracié moi aussi, elles m’ont apaisé la profonde tristesse et ont calmé la cuisson de mon soupir si long, si pénible. Et maintenant, que la volonté de Ta pitié soit faite pour moi, et gloire à Toi, Celui Qui es ressuscité de la mort, dont j’ai attisé le feu, et c’est dans ce feu que j’ai brûlé, et mon esprit brûle encore, Seigneur, et qu’elle est douloureuse la blessure de mon esprit, c’est de la douleur pour Toi, Mon Seigneur. Amen. — Oh, fils si endolori, bien trop endolori, J’ai dit alors que tout péché commis envers le Fils de l’homme sera pardonné, car tu as péché au temps où tu ne savais pas clairement que Moi, Je suis le Fils du Père céleste et que Je suis plein de Lui et de Son Esprit. Tu as été si désorienté ce jour-là, où tu M’as livré aux prêtres, et Moi, J’ai eu plus de mal pour toi que pour tout le peuple Israël, pour lequel J’étais venu, Je suis mort sur la croix et Je suis ressuscité ensuite, car J’ai dit que Je ressusciterais. Oh, reçois la consolation, fils endolori, mets-la sur ton soupir et que la paix soit avec toi! C’est un jour de grande consolation que voici, oh, paix à toi! Moi et le Père Nous sommes avec la pitié. Amen. Oh, les fils, voilà, c’est un grand secret que vous apprenez maintenant. J’ai dit à ceux qui essayent de Me suivre: qu’ils ne regardent pas en arrière s’ils viennent après Moi, oh, qu’ils ne le fassent pas, afin qu’ils ne pleurent pas beaucoup ensuite, sans consolation, s’ils se perdent de Moi, J’ai dit qu’il n’est pas digne de Moi celui qui partage encore son amour, après qu’il soit venu et qu’il ait frappé pour entrer et aller à Ma suite. Oh, fils, toi qui viens et qui tombes ensuite de la promesse par laquelle tu t’es donné à Moi, voilà, tu n’es pas digne de Moi, si tu viens et tu n’aimes pas, tu ne demeures pas sur place, et de plus tu espères que tu seras auprès de Moi dans les cieux, là où Je serai avec ceux qui Me suivent jusqu’à la fin. Oh, si sur la terre tu n’as pas été capable d’être et de rester auprès de Moi, comme celui qui est digne de Moi par l’amour dans la fidélité, crois-tu que dans le ciel tu sois digne d’être auprès de Moi et avec Moi, si ton amour n’a pas été entièrement pour Moi sur la terre? Oh, être dans le ciel auprès de Moi, cela est un mérite gagné sur la terre, c’est une dignité gardée avec de la fidélité et avec le tout de ta part pour Moi. J’ai dit que dans la maison de Mon Père il y a beaucoup de places, et J’ai dit que je prépare la place pour ceux qui sont dignes de Moi, de sorte que là où Je serai Moi, qu’ils le soient eux aussi. Mais que personne n’oublie que tout, même l’enfer, tout est sous la maîtrise de Mon Père, ainsi que la place que chaque homme mérite selon la conduite de sa vie sur la terre. Et voilà, le Père l’a dit maintenant, encore et encore: «Heureux ceux qui voudront et Lui obéiront, mais jusqu’à la fin». Oh, mais n’oubliez pas l’obéissance, ne vous nommez pas, ne vous croyez pas obéissants n’importe comment, les fils, c’est Moi qui dois vous nommer ou vous croire ainsi, Moi et pas vous, pas vous, Mes fils, et c’est Moi Celui Qui prouve ou non votre fidélité, votre constance, et c’est pour cela que Je vous les mesure toujours et toujours, oh, que vous les ayez en abondance, afin qu’elles vous gardent les Miens jusqu’à la fin, les fils, car Mes disciples, hommes et femmes, qui ont prouvé de la fidélité, sont restés avec Moi et rien et personne n’a pu nous séparer, les fils. — Oh, moi aussi, Seigneur, moi aussi, la première annonciatrice de Ta résurrection, oh, comment aurais-je pu ne pas Te suivre de la terre jusque dans le ciel ensuite, et comment ne T’aurais-je pas aimé Toi seulement, Juge miséricordieux? Tu as pardonné mes péchés, Seigneur, et par cela Tu m’as guéri du péché. En tant que Juge, Tu m’as généreusement pardonné, et les autres m’ont jugée comme des justes, et ils me jugent aujourd’hui encore, mais ce sont eux qui sont jugés par leurs péchés mêmes, car Tu as dit: «Ne jugez pas, pour ne pas être jugés!». Oh, Tu leur pardonnerais aussi, s’ils ne jugeaient pas. L’homme, Seigneur, n’a pas le droit de juger pas même ses péchés, car c’est Toi le Juge, pas l’homme, et moi, Marie de Magdala, Je dis à tous qu’ils ont besoin de pardon et de guérison par le pardon, tout que je l’ai eu de Ta part, Seigneur, mais surtout que l’homme ne juge pas un autre homme, puisque l’homme est si coupable, si loin du visage aimé par le Seigneur, et pourquoi donc cherche-t-il encore d’avoir des mécontentements, des accusations contre les autres à son égard, du moment qu’il est passible de punition pour ses péchés, ou de pitié de Ta part, Seigneur, Juge miséricordieux? Oh, adoucissez vos petits cœurs, ne les endurcissez pas, mais guérissez-les en prenant de la charité du Seigneur, vous ceux qui voulez le suivre, selon Son plaisir. Oh, Seigneur, aide-les en leur donnant de la dignité, pour qu’ils puissent Te suivre, et rends-les dignes de Toi, afin qu’ils soient avec Toi dans les cieux aussi, auprès de Toi, auprès de nous, car nous T’avons suivi jusqu’à la fin, Seigneur. Amen. — Oh, les fils et filles, vous qui M’avez accompagné ici, et qui avez écrit dans Mon livre d’aujourd’hui des souhaits de vos cœurs, en parlant en jour de fête à ceux réunis à la source, en ce lieu, oh, s’ils apprenaient de plus en plus ceux qui Me suivent, comme vous l’avez fait alors, s’ils apprenaient que l’on ne met pas pièce de drap vieux à un nouvel habit, tout comme on ne met pas pièce de drap neuf à un vieil habit, puisque la vie doit être renouvelée , les fils, et ensuite gardée ainsi, pour qu’il soit digne de Moi celui qui vient après Moi avec sa vie. Oh, que de gloire de parole, que de témoignages d’amour, et tous murmurent avec leurs esprits en ce jour de fête pour eux ici, avec Moi et avec vous, fils réunis à la source. Et maintenant, comme chaque foi, les anges voyageurs accompagnent ceux qui viennent chez Moi et chez vous ici, car vous êtes ceux qui accueillent les visiteurs, fils de la cité, et vous leur donnez de la consolation de Ma part et de la vôtre. Nous leur disons maintenant de ne pas oublier l’amour Saint. Nous leur préparons déjà la voie du retour et la fête du Saint-Esprit. Avec la gloire du jour de la Pentecôte, c’est ainsi que nous allons les accueillir dans peu de temps ici, et nous allons parsemer d’en haut la gloire et l’amour et nous allons demeurer au-dessus et tout va flotter dans la gloire. Nous précisons donc pour ceux qui savent et pour ceux qui ne savent pas, nous leur disons qu’en ce lieu on vient avec bienséance dans le cœur, dans la conduite et dans toute manifestation ensuite. En ce lieu on vient avec des habits décents, avec des vêtements de fête, puisque c’est la gloire du Seigneur qui y descend. Moi, le Père et les saints, Nous avons été votre compagnie, les fils, et nous avons parlé. Oh, apprenez du Seigneur de mettre en œuvre les dons spirituels qui vous rendent dignes de croissance sainte, de demeurer auprès du Seigneur et avec le Seigneur jusqu’à la fin, les fils. Déchargez-vous de tout et de toutes, aimez le Seigneur et allez avec Lui et après Lui, mais dans l’amour jusqu’à la fin, les fils, et il doit être veillé l’amour, car c’est l’amour qui obéi, c’est lui qui a de l’humilité, oh, les fils. Amen, amen, amen. 22-04-2018
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