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La Parole de Dieu au Jour de fête qui fait mémoire de la Décapitation de Jean – Baptiste
Le parler du Seigneur avec le troupeau de l’église. Jean Baptiste prophétise le renouvèlement de L’église et le feu qui va sortir de son milieu.
Je fais Ma descente par la parole d’auprès du Père, près du peuple de Ma parole d’aujourd’hui, au milieu du peuple roumain, car on a fête dans le ciel, fête de l’ange du Père, puisque Mon Père Sabaoth a envoyé Jean-Baptiste, Son ange, comme il est écrit, pour préparer la gloire de Ma voie vers les hommes, après M’avoir baptisé dans la rivière de Jourdain, afin de Me montrer ensuite aux hommes comme vrai Dieu, témoigne du Père, Celui Qui M’a envoyé avec ange annonciateur allant au avant de Moi. Je suis le Seigneur Jésus-Christ et Je viens à toi avec l’ange du Père, Mon peuple, et Je dis à tous que le Père Sabaoth a dit et a écrit de Moi et de Jean: «Voici, J’envoie devant Ta face Mon ange, qui va préparer Ta voie devant Toi», et Moi, le Seigneur Jésus –Christ, Je dis cela: Voici, J’envoie Mon ange, Mon peuple, devant Ma face, peuple qui prépare Ma voie devant Moi. Amen. Oh, Mon peuple de la source, tu es la suite qui M’accueille quand Je viens du ciel avec les saints en parole de Saint-Esprit, et tu Me rends les honneurs comme à Un Empereur, tu M’accueilles par ta foi en Ma venue d’aujourd’hui, et Je Me partage ensuite aux hommes qui croient pour les nourrir, car ceux-là se nourrissent avec toute la parole qui sort de Ma bouche et ils l’attendent avec désir saint, et voilà, Je te nourris toi, et Je leur fais part à Ma table avec toi, et ils mangent avec Moi et avec toi à table, oh, Mon peuple. Oh, elle est douce Ma parole quand Je viens te parler! Comme un doux parent Je parle avec toi et ils s’étonnent les obstinés de Mon parler avec toi, ils ne finissent pas de s’étonner du fait que Je parle avec tant de douceur avec toi, mais qu’est-ce que Je peux faire s’ils sont des incroyants, s’ils oublient que J’ai laissé écrit dans les Ecritures que Je consolerai près de Mon cœur, dans Jérusalem, ceux qui se réjouiront de la source de Ma venue à la fin du temps, lorsque le lit de Ma parole débordera de sa gloire, de Ma venue dans la gloire de parole de Saint-Esprit, pour nourrir ceux qui redeviennent enfants pour venir à Moi, car c’est à ceux comme ceux-ci que Mon royaume est prêt à se montrer et leur appartenir. Je Me glorifie en parole de fête, car l’esprit de l’homme fidèle a besoin de beaucoup de bonne nourriture pour que Dieu croisse dans son cœur. Les hommes vont aux monastères et aux églises, ils y vont en hâte, mais ils ne trouvent pas ce qu’ils trouvent à Ma table d’aujourd’hui avec Mon peuple, cueilli par Moi d’entre les Roumains, pour être Mon peuple à Ma venue d’aujourd’hui en parole sur la terre. A vous qui Me cherchez pour Me trouver en courant partout où vous entendez qu’il arriverait que Je montre ma gloire ou que Je travaille avec plus de force, Je vous parle maintenant par cette parole et Je vous dis que J’ai grande pitié de vous. Vous allez aux monastères, aux églises, aux lieux connus des uns aux autres que c’est Moi Qui J’y travaille, mais vous ne trouvez pas ce que vous trouvez ici, à Ma table avec Mon peuple, et vous partez de là, l’âme toujours très fatiguée, toujours brûlés de soif, toujours sans secours, et plus que cela, vous êtes enchantés de la facilité avec laquelle ils font semblant qu’ils sont de Ma part, ceux qui sucent votre âme pour leur gloire, venue des hommes en abondance dans leur bourse, car vous êtes leur contribuables et vous payez l’impôt au César aussi, l’impôt aux églises aussi, car seulement leurs fils sont exemptés d’impôt, mais vous non. J’ai pitié de vous comme des brebis sans pasteur, sans adoption, et Je vais au-devant de vous avec nourriture du ciel et avec consolation paternelle, à condition que vous soyez fidèles à Ma parole, qui vous console, vous qui cherchez le Seigneur pour Le trouver. Je dis aux serviteurs d’églises qu’ils n’ont pas pitié de vous, ils n’ont pas pitié de ceux qui cherchent Dieu, l’âme brûlée d’envie sainte. Mais plus que cela, ils ont pour ceux-ci un cœur encore plus mauvais, car ils ont besoin de sujets, de contribuables pour toute aide donnée aux hommes. Je frappe à votre porte avec Jean, Mon Baptiseur, oh, serviteurs d’églises! Ouvrez-Nous! Je suis sorti du livre pour affermir et renouveler le monde, avec toute la parole sortie de Ma bouche et qui s’accomplit. Je suis sorti du livre et Je parle encore plus, car Ma parole dépasse le livre des Ecritures. Vous vous trompez si vous ne voulez pas croire cela et vous le dites les uns aux autres. Je suis sorti du livre et Je parle beaucoup, car le livre ne pouvait pas Me comprendre en lui avec toute Ma parole, puisque Je parle toujours et Je parle beaucoup, comme la rivière qui ne s’arrête pas de Sa source, rivière ainsi crée du Père afin de ne pas s’arrêter de son long cours, comme le filet qui coule de l’eau de pluie, oh, pas ainsi, puisque Ma rivière de parole prend sa source du ciel, de la bouche de Dieu, car le Seigneur est source qui coule, Il n’est pas eau stagnante, comme vous voudriez endiguer la parole de Mes Ecritures, pour que Je ne parle plus davantage, plus que cela sur la terre. Voilà, J’envoie Mon ange, le peuple de Ma parole d’aujourd’hui, Je l’envoie avec une lettre pour vous, car c’est au milieu de lui que Je laisse Ma parole d’aujourd’hui au-dessus de la terre. Que vous voulez ou pas, que vous croyez ou pas, écoutez Ma voix d’au-dessus de vous car Je vous demande de la vie de Mes brebis. Soyez sages, car Mes brebis sont celles qui entendent Ma voix et qui vont après Moi, et vous les frappez du bâton pour ne pas obéir, pour ne pas croire, pour ne pas venir après Moi. Mais Moi Je les nourris, Je ne les écorche pas comme vous le faites, mais Je console leur douleur, Je leur accorde le don de la foi et Je prends soin de leur vie de leur rédemption, car Je suis venu alors et maintenant dans le monde pour que les brebis aient de la vie, et en abondance, parce-que Ma parole a de la vie en elle, toujours de la vie, toujours de la nourriture pour la vie. Oh, elle ne va pas arrêter de couler la source de Ma parole et elle va inonder de joie et de consolation beaucoup de cœurs brisés du temps et des douleurs, et à vous on demandera dur compte pour ce que vous avez été sur la terre, et combien vous avez travaillé selon ce que vous avez choisi d’être. Oh, c’est dommage que Mon amour coule par terre et vous ne vous penchiez pas pour qu’il ne se perde pas lorsqu’il vient se donner à vous pour la rémission des péchés! C’est dommage pour vous car vous avez choisi de vous nommer serviteurs de Dieu et vous n’essayez pas de comprendre ce qu’il attend de vous un tel service! Je vous regarde en élevant toujours des maisons de prières pour les hommes, afin qu’ils voient où doivent-ils venir vers vous, mais Moi, le Seigneur, Je vais vous demander de la vie des brebis, pas des constructions pour elles. Il vient le jour où vous devez rendre ce que vous avez pris de vous soumis, de vos débiteurs en nom d’œuvre d’église, et vous n’auriez pas le temps que Zachée a eu, afin de vous vous laver du péché. Oh, qu’allez-vous faire? Oh, qu’allons-Nous faire, Mon Baptiseur? Comment amener à la crainte de Dieu ceux qui ne se soucient point de cette réponse devant Moi? — Oh, Seigneur Agnelet, oh, Seigneur miséricordieux, je crie comme alors, et je parle toujours comme alors: «Voilà, la cognée est mise à la racine des arbres, et tout arbre qui ne produit pas de bon fruit est coupé et jeté au feu». Amen. Voilà, les serviteurs d’église ne portent pas de fruit, Seigneur, pour Toi, ils n’ont pas des disciples saints pour Toi, mais ils ont des disciples tout comme eux, mais les fils travailleurs pour Toi, fils du peuple de Ta parole d’aujourd’hui, ils ont pour Toi de beau disciples, nourris de Ta bouche avec Ta douce parole, et Tu as bon fruit d’eux, et Tu fais avec eux Ton œuvre selon la vérité, car par les serviteurs d’église Tu n’as pas eu quoi recueillir, pour mettre à part un peuple élu. Notre douleur trouve son apaisement au milieu des fils de ton peuple fidèle à Ta venue d’aujourd’hui, car si Nous ne les avions pas, d’où pourrions-Nous espérer d’avoir du fruit et de bien aller jusqu’au bout avec l’œuvre du Père, avec le renouvellement de tout d’un petit pépin, d’une semence nouvelle, du peuple de Ta parole, Seigneur? Nous n’avons plus que faire et que donner encore aux serviteurs d’autels. Nous les avons toujours appelés, Toi et nous Tes saints. Ils ont autre travail à faire, et nous, il faudra que nous remettions à neuf Ton église et ses fils, pour lesquels Tu as fait nouvel ensemencement, car nous ne pouvons pas coudre une pièce de drap neuf à un vieil habit, ni une pièce de drap vieil à un nouvel habit, mais tout sera neuf, car c’est ainsi qu’il est écrit. Oh, nous ne pouvons pas mettre du vin nouveau dans de vieilles outres, non lavées et non réparées et renouvelées, mais nous mettons dans de nouvelles outres le vin nouveau, car c’est ainsi qu’il est écrit, et un feu sortira du milieu des serviteurs d’autels et il va les consumer ce feu, ceux d’entre eux qui s’échapperont par le feu, ceux-là seront purifiés s’ils se renouvèleront et ils renouvèleront beaucoup d’hommes, mais il y a encore quelque peu à patienter et à attendre jusqu’à ce qu’elle sera remplie entre eux la coupe de l’infamie, qui va verser et montrer son levain, et ils s’étonneront beaucoup d’entre eux du fait qu’ils n’ont pas voulu recevoir de Ta part la main tendue après eux, pour les lever de leur perte, du mensonge sous lequel ils essaient de Te cacher Toi, pour se montrer eux aux hommes, comme les Tiens. De Mon temps, quand j’ai préparé Ta voie pour Te montrer ensuite Dieu en toute gloire, j’étais pieux en parole avec les pieux et je les conseillais vers l’esprit de la justice et de l’espoir et de la foi et de l’amour de Dieu, mais j’étais dur et juste avec les hypocrites et je disais aux menteurs par leur visage extérieure, je leur disais qu’ils étaient races de vipères et serpents, qu’ils ne suivaient pas Abraham avec lequel ils se ventaient, car s’ils l’avaient suivi, ils T’auraient connu alors tout comme Abraham T’avais connu et suivi lorsque Tu lui avais parlé du ciel, car Tu parlais avec lui tel que Tu parlais avec moi au milieu du désert, et Tu M’enseignais tout, de la même manière que Tu as voulu parler avec Adam en Eden, mais il T’a trompé, tel qu’ils Te font tous les serviteurs d’église, qui bernent le monde de mots, car ils ne sont pas de pasteurs de moutons, parce que l’œuvre de pasteur signifie et travaille toute autre chose. Oh, quel beau paradis j’ai eu au cœur du désert, Seigneur! C’est du jugement écrit que je mets maintenant dans Ton livre pour tout homme qui ne veut croire que n’importe qui peut se nourrir avec toute parole qui vient de Dieu pour lui. C’est Ton Esprit Qui m’a tout appris, comme il s’était passé avec Adam dans l’Eden. Tu as déifié mon être selon Ta volonté et j’ai nourri ma chair comme un homme, toujours selon Ta volonté, oh, Seigneur, mais c’est comme dans l’Eden que je l’ai nourrie, pas comme sur la terre, et je suis arrivé avec Mon travail pour Toi jusqu’à Ton baptême au Jourdain et jusqu’à mes disciples et les Tiens ensuite, et puis jusqu’à Hérode, oh, Seigneur, et ensuite de nouveau à Toi, dans le ciel, servi toujours par les anges, car je n’ai pas eu d’autres compagnons, parce-que ma vie d’homme a été une vie d’ange, et c’est avec les anges que j’ai vécu, et ils ont été mes frères. Je dis à tous les hommes que la nourriture qu’ils ornent toujours avec du tout, elle ne les nourrit pas, mais elle leur provoque la faim, pour qu’ils en mangent sans cesse et pour qu’ils perdent le temps en mangeant. Oh, petits pauvres, comment vous aider pour que vous sachiez ce que c’est la vie? Voilà ce que Je vous dis: cherchez d’abord le royaume de Dieu, et seulement ensuite les autres, car autrement vous n’échapperez pas à la fatigue, celle pour la nourriture, qu’après avoir quitté la chair. Il est arrivé sur la terre le temps d’avoir besoin de Dieu, pas de nourriture, et vous ne comprenez pas cela. Voilà le Seigneur, Il vient en parole sur la terre à vous, et vous ne comprenez pas cela, puisque les pasteurs qui vous conduisent vous tiennent sous leur bâton d’asservissement car vous êtes leurs débiteurs, mais le Seigneur a comme bâton de pasteur Sa douce parole et Il vous donne de Sa bouche, de Son Esprit, pour apprendre par Sa voix de pasteur et pour gagner l’espoir. Soyez sages pour savoir reconnaître le Seigneur, Qui vient nettoyer Son aire, amasser Son blé et bruler la paille, oh, et il y a peu de blé, mais le Seigneur a fait s’accroître sa quantité et il y aura ensemencement nouveau et saint, et le Seigneur ne sera pas dépourvu de fruit. Enfants sans pasteur, Je vous dis : cherchez de prendre le Seigneur comme Pasteur, car Il vient du ciel à vous pour vous nourrir, puisque la nourriture que vous préparez pour manger vous donne plus de faim. Oh, si vous appreniez du Seigneur comment nourrir vos corps! Oh, si vous appreniez de moi mon moyen de me nourrir, car j’ai mangé nourriture propre et pleine de vie, qui me nourrissait et me reposait de nourriture, car je ne fatiguais pas mon corps en lui donnant toujours de la nourriture, car le corps a une loi sainte par sa création celle de Dieu, mais l’homme l’a foulée aux pieds et l’a écrasée, et la nourriture qu’il mange lui provoque la faim, elle ne le nourrit pas. Quand le corps puisse-t-il manger tant de nourriture que l’homme lui donne? Voilà, la nourriture met au travail l’homme, car il n’a pas la sagesse de comprendre la loi de sa vie, celle de Dieu. Je parle au milieu de Ton peuple, Seigneur, et je dis à tous que l’homme est trop fautif, qu’il est toujours en faute, le pauvre, et qu’il a besoin de grand remède pour guérir, de réprimande, toujours réprimande, mais il n’aime point cela, oh, il n’aime pas et elle ne lui fait pas de bien la réprimande, et malheur à ceux sans réprimande toujours sur eux, malheur à ceux qui ne cherchent pas quelqu’un qui leur ajuste toujours la vie, toujours leur conduite, leur faute, pour la punir et pour qu’ils connaissent leur vanité devant Toi! Il est plus sage le petit enfant, celui qui se soumet à ceux qui lui donnent chair sur la terre , il est plus sage un tel enfant que l’homme qui grandit et se fait son propre adversaire car le petit enfant est sevré ensuite par ceux qui lui ont donné la chair, mais l’homme qui grandit par le péché ne se laisse plus sevré, il ne se laisse plus délivré du péché, il n’a plus de créateur qui lui apprenne à sevrer sa chair et son péché, pour que le péché ne suce pas de lui, et lui du péché, et le royaume de Dieu attend auprès de l’homme pour l’embrasser, pour le naître du ciel, pour le faire nouveau-né, puisque l’homme est tourmenté par le péché et il a besoin de naissance de nouveau. Quelle punition faut-il encore à l’homme? Le péché ne le punit-il pas suffisamment? Toi, homme, cherche d’échapper au péché, cherche le faire tant qu’il peut encore agir sur toi, lutte pour le vaincre, homme, et offre-toi au Seigneur pour ta résurrection! Amen. Oh, Seigneur, sauve l’homme du péché! Enlève cette mort de la terre et de l’homme, de la raison et du cœur de l’homme et de tous ses désirs! Romps de Toi et donne aux hommes, pour qu’ils soient de Toi, et comme Toi ensuite, car voilà combien l’homme est flagellé par le péché! Que Ta volonté soit faite sur les hommes, sur la terre comme aux cieux, car c’est moi qui Te la supplie, et ma prière a le visage le plus pur devant Toi! Amen. — Moi, ton Seigneur et Maître d’en haut, J’écoute ta voix pure, Mon Baptiseur, car tu as découvert alors aux hommes que l’eau lave du péché le corps de l’homme, mais Mon Esprit et Mon sang lavent du péché son âme, tout comme le feu purifie et brûle tout chose dégradée ou desséchée de la terre. Moi, le Seigneur, J’ai parlé en ce jour au milieu de toi avec Jean Mon Baptiseur, oh, Mon peuple. Prends, Mon fils, cette parole et partage-la à tous qui se nourrissent du ciel avec toute la parole qui sort de Ma bouche au milieu de toi pour nourrir leurs âmes et purifier leurs corps. Oh, Mon peuple, l’homme a besoin de beaucoup de réprimande, Mon fils, de beaucoup d’enseignement, de beaucoup d’observations, car il est toujours en faute, mais cette bienfaisance ne lui plaît pas et ne fait pas de bien à son cœur, et malheur à ceux sans réprimande toujours envers eux, et qui ne cherchent pas quelqu’un pour les purifier de leur faute et la punir! Oh, ne fuis pas la réprimande, le fils, car c’est plus facile ainsi, c’est mieux comme ça pour toi, que lorsqu’elle viendra la grande douleur sur beaucoup d’hommes. Paix à toi, Mon peuple, il faut que tu aimes la justice car elle est la Mienne la justice, puisque l’homme ne l’a pas ni au moment où il a l’impression d’avoir raison contre un autre homme fautif! Paix à toi, Jérusalem, occupe-toi de la gloire de ce nom et de son œuvre, car il est grand le nom que Je t’ai donné à porter. Oh, paix à toi, Mon peuple, paix de Mon Esprit et de Jean le Baptiste, Mon disciple le plus saint, le plus vivant, le plus céleste entre le ciel et la terre, duquel tu dois apprendre Ma vie en toi, ta vie en Moi, la vie, Mon peuple, car tout comme J’ai parlé avec lui dans le désert et Je l’ai préparé et Je l’ai enseigné pas à pas la sagesse et le parler et tous les mystères, tout aussi Moi, le Seigneur, Je parle aujourd’hui avec toi, et Je te donne pour savoir et pouvoir comme Dieu, et que tu puisses toujours plus, que tu puisses être Ma joie et Ma consolation et Mon espoir celui pour le Père, car le Père travaille avec toi par Moi, et il faut que tu sois comme Moi entre Moi et l’homme, pour amener au Père beaucoup de fruit, fruit vivant, fruit nouveau, car toutes, toutes choses deviendront neuves, oh, Mon peuple, oh, Nouvelle Jérusalem, Ma sainte demeure d’aujourd’hui, vers laquelle les anges et les saints viennent lorsque Je viens à toi. Amen, amen, amen. 11-09-2011
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