La Parole de Dieu au jour de Fête du Saint Martyr thaumaturge Pantelimon

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, en ce nom, Moi, le Seigneur, Je Me fais place en parole dans Mon livre d’aujourd’hui par vous, fils qui vous tenez devant Moi pour accueillir Ma parole à l’occasion des jours de fête des saints dans Ma cité avec vous, ici, sur le foyer du peuple roumain, dans Mon pays de venue du Père avec la création de nouveau du monde, et le Père a maintenant à travailler par Moi le renouvellement de tout, et Il a commencé avec vous et de vous cet accomplissement de l’Ecriture, que J’ai annoncée il y a deux mille ans, pour l’accomplir et faire de nouveau toute chose, tel que les prophètes aussi ont eu du Seigneur à annoncer, et que tout se fasse de nouveau à la fin, oh, car tout est vieilli, tout s’est gâté, tout s’est ébranlé à cause des péchés des hommes et de l’infamie de toute sorte, et Moi Je travaille entre vous et avec vous et Je parle et J’accomplis par parole prononcée, et Je travaille toujours avec la parole comme au début, oh, et Je prends soin de vous tout le temps, du lever jusqu’au coucher du soleil, et de l’ouest à l’est, et Je n’ai pas d’aide de la terre pour vous, Je n’en ai plus, mais ce n’est pas que vous que J’ai encore, vous et Mon lieu de chez vous, les fils.

J’ai la nostalgie de la paix entre Moi et l’homme entre l’homme et Moi et Je n’ai pas d’apaisement. Tout homme de la terre s’est éloigné de Moi. Personne n’est plus de Ma part. Il n’y a plus de saints par lesquels Je puisse encore travailler au-dessus de la nature et faire honte à tous les adversaires de Dieu.

Personne de la terre n’a plus la nostalgie du ciel, personne, les fils. Je suis avec les saints martyrs à table de parole avec vous en ce jour, car aujourd’hui c’est le martyr Pantelimon qui a la joie du jour de sa venue entre les saints, travailleur d’en haut maintenant sur la terre, après son cruel supplice souffert de la part des grands païens de son temps, quand Moi, le Seigneur, J’ai eu l’occasion de montrer Mon œuvre par celui plein de Dieu, et qui n’a pas battu en retraite à cause de l’agenouillement reçu de la part des dieux d’alors, qui ne pouvaient pas entendre ou regarder les si grands miracles de Dieu faits par le fils fidèle de l’église d’alors, fils soumis à un maître fort d’esprit, fils qui est allé avec son témoignage jusqu’à la décapitation, sans battre en retraite, et Me voilà avec lui à table ici chez vous et avec vous, et il vous donne d’auprès de Moi le salut céleste, que Je laisse sur vous alors que Je vous dis de M’ouvrir et de recevoir Ma parole.

Oh, paix à toi, fils chrétien, fils fidèle à Moi et à ton maître pour ta voie avec Moi de la terre vers le ciel! Je fais ton entrée, parle-leur!

— Paix à vous, oh, paix à vous! Avec le salut du Seigneur, c’est Son salut que je vous présente moi aussi pour entrer chez vous, avec la parole de mon jour de joie entre les saints.

J’ai cherché la consolation pour m’aider avec elle, après que ma mère fut allée au ciel au Seigneur, et mon père m’a donné aux païens pour apprendre à lire et écrire et des métiers, oh, et je n’avais aucune consolation pour apaiser mon âme inconsolée. Il y avait beaucoup de paganisme sur la terre et beaucoup d’opposition contre ceux qui auraient cherché une lumière, une vérité, une voie plus propre d’aller dans la vie, et moi, en tant qu’enfant, je pleurais inconsolé, oh, mais Il m’a fait grâce Jésus-Christ, Celui charitable et doux et Il m’a offert un maître, Son témoin saint, et j’ai trouvé la voie vers la consolation que j’attendais venir de quelque part.

Ensuite le Seigneur m’a habillé dans l’esprit du témoignage et je n’ai plus laissé la foi et l’amour qui m’avaient pris vers le Christ et Il a travaillé avec moi de très grands miracles, qui ont frappé l’orgueil de ceux qui me torturaient, pour me déterminer de me laisser de ma consolation du Christ, le bien cher de mon âme d’enfant inconsolé jusqu’alors, oh, et je suis allé ensuite entre Ses saints, et j’ai désiré d’avoir auprès de moi et auprès de Lui mon maître avec tous ses disciples, et me voilà depuis lors jusqu’aujourd’hui dans la gloire des saints qui témoignent, dont les chrétiens ont pu apprendre comment c’est la voie avec Dieu, s’ils veulent commencer la vie éternelle dès la terre, et la marche vers le ciel avec une joie comme la mienne, qui laisse derrière toutes les souffrances pour elle, car la joie était grande, beaucoup plus grande que les souffrances de la chair, et elle était pour moi rapide remède des blessures du corps reçues au temps du martyre et ils s’émerveillaient les chrétiens de ce temps-là du pouvoir du Seigneur, et le pouvoir et l’amour du Seigneur allaient croissant en beaucoup d’hommes.

Mais aujourd’hui, voilà, Il soupire le Seigneur, Il soupire parce qu’il n’y a plus d’hommes saints par lesquels Il puisse témoigner de Lui devant les incrédules du temps, et je souhaite en ce jour vous exhorter, vous, ceux nourris avec tant de consolation de parole sortie de la bouche du Seigneur, et je Le prie pour grand renforcement sur vous, pour que vous soyez Sa consolation, oh, chers frères. La consolation que le Seigneur vous donne, retournez-la et consolez-Le, car vous faites grande pitié avec Lui, parce qu’Il est inconsolé le Seigneur depuis plus de sept mille ans, et nous, Ses saints, nous savons cela et nous en avons mal, et nous en souffrons, et qu’il est difficile de chercher consolation et n’en trouver nulle part sur la terre, et dans le ciel, c’est de la terre que vient le soulagement, car c’est sur la terre que le Seigneur a de travail depuis qu’Il a perdu l’homme du paradis.

C’est depuis sept mille ans que l’homme se console avec le péché, l’adversaire de Dieu dans l’homme. Oh, pauvre homme, la consolation venue du péché te trompe toute ta vie sur la terre. A qui te dire la vérité sur ton péché? Le péché c’est le diable qui te donne de l’enfer pour te garder sous ce maître cruel, le diable, l’ennemi de Dieu et de l’homme dès la vie en Eden, pour que le Seigneur n’ait plus l’homme de Sa part, de la part de la sainteté, puisque le Seigneur est saint, et l’homme devrait être lui aussi comme le Seigneur, s’il veut encore appartenir au Seigneur.

Oh, fils de la cité de la parole de Dieu, faites la charité pour avoir dans l’éternité ce que vous faites et que vous donnez. Si vous voulez avoir consolation dans le ciel, faites charité en consolant, et vous serez les consolés au siècle des siècles. Ce que vous voudriez avoir dans l’éternité, c’est cela que vous devez faire dès la vie sur la terre, car ce que vous faites et donnez les uns aux autres, c’est cela que vous aurez, et ne va pas se perdre.

Faites charité des joies saintes. Faites des joies saintes les uns pour autres, et vous les aurez comme vie éternelle entre ceux du ciel. Selon votre conduite ici, vous trouverez accumulé là-bas, oh, frères bien-aimés.

Et Toi, Seigneur, garde-les avec Ta venue à eux en parole douce, et donne-leur santé, donne-leur guérison toujours, car c’est pour Toi que Tu leur donnes, pour qu’ils Te portent Tu leur donnes, oh, Seigneur. Oh, écoute ma prière et donne leur de la consolation, car moi, je leur dis de nouveau maintenant, consolez le Seigneur, et vous serez consolés par Lui, comme ceux qui partagez de la consolation, joie et consolation! Amen.

— Voilà l’exhortation du martyr Pantelimon, celui qui guérissait gratuitement, oh, les fils! Et Moi, le Seigneur, voilà ce que Je vous dis: Oh, réjouissez-vous, réjouissez-vous, les fils, réjouissez-vous pour que Je prenne de votre joie et que Je Me console avec elle, et que Je Me réjouisse de vous et de ce que vous faites, car elles Me manquent tellement les joies, oh, Mes fils!

Réjouissez-vous! C’est la parole que J’ai laissée il y a deux mille ans, afin d’être accomplie pour Moi. Oh, réjouissez-vous, les fils, réjouissez-vous les uns les autres avec des joies saintes, car autrement, voilà, l’homme est maussade, il est difficile à porter de ceux d’autour de lui, qui ne peuvent eux non plus travailler la joie. J’éprouvais alors des difficultés aussi de la part de ceux qui ne se faisaient pas eux-mêmes de joie aux rencontres entre Moi et eux, et Je leur disais: Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse et amassez-vous dans le ciel des joies pour l’éternité!

Oh, réjouissez-vous, d’être les Miens, et parce que vous êtes les Miens réjouissez-vous, pour qu’on se rend compte à qui vous appartenez, et c’est de cette joie que vous devez vous réjouir!

Oh, à qui d’apprendre à l’homme la joie et ses secrets? Où sont-ils les maîtres qui devaient apprendre aux hommes la vraie joie? Oh, homme, te nourrir avec toi-même ou avec quelqu’un qui te plaît, cela signifie l’ennemi de ta joie et te rappelle l’amour de soi, et Moi J’ai dit qu’il se renonce celui qui veut avoir le Seigneur comme sa joie, et Le suivre ensuite.

Ils n’ont pas de joies ceux qui ne se renoncent pas, ils n’en ont pas, et s’ils n’ont pas, ils sont les hypocrites, ils ont comme œuvre l’hypocrisie, dont ils ont besoin pour leur manque de renoncement à soi.

Oh, fils qui vous réjouissez de Moi et M’apportez des joies, elle vient la fête de la Transfiguration du Seigneur, et Moi, le Seigneur, Je vous dis que ce n’est pas Moi, mais Mes disciples qui se sont changés alors, tel qu’ils ont pu Me voir dans Ma gloire, celle venue du Père, et ils ont témoigné de cette joie, même si pour un instant ils ont été effrayés et ils sont tombés à terre sous l’éclat de Ma gloire.

Oh, elle vient ensuite la fête suivante, la fête de Ma Mère, et Je vous souhaite d’être Ma joie, et de travailler des joies, les fils. Réjouissez-vous du fait que Je vous parle et que vous ayez la chance d’une telle grâce, d’une telle miséricorde et consolation, Mes fils. Affermissez votre foi dans Mon œuvre avec vous, car J’ai parlé à Adam, et on a écrit Ma parole avec lui et elle est restée en témoignage! J’ai parlé à Moïse et il a écrit Ma parole avec lui pour le peuple d’alors. J’ai parlé à Elie le prophète et il a laissé écrite toute la parole et Mon œuvre d’alors avec lui, et il a continué d’être Mon prophète entre la terre et le ciel, tout comme Moïse, oh, les fils. Et maintenant Je parle avec vous et vous écrivez Ma parole, et elle existe sur la terre, en témoignant de Dieu la Parole, en parlant pour les peuples, des extrémités aux autres extrémités.

Qu’ils prennent des forces donc ceux qui se nourrissent avec cette parole, qu’ils affermissent leur foi dans Mon œuvre avec vous, les fils, puisqu’alors que la foi existe, elles arrivent ses actions, et Dieu s’avère par ceux qui Lui sont fidèles sur la terre, et Je continuerai avec vous Mon œuvre celle confirmée par le Père, pour la mettre sur la terre, pour qu’il se montre peu à peu le renouvellement promis de venir, et il vient, oh, les fils.

Je vais Me laisser sur vous avec une parole explicite pour vous et pour l’église du peuple roumain et celle de partout non séparée de Moi encore, et cela se passera à la fête suivante.

Et on va prononcer la bénédiction pour la fête de Ma Mère et l’ordre de cette fête-là, puisque les chrétiens qui prennent de vous nourriture de parole ne se s’élèvent pas , oh, non, les fils, car ils se sont trop habitués avec le non accomplissement de Ma parole, et ils ont foulés aux pieds Mes conseils, car l’amour pour le Seigneur est petit, tout petit, et la crainte de la punition de la désobéissance est encore plus petite, et toujours plus petite, oh, et J’ai pitié de vous, car vous êtes jugés par les chrétiens, si vous restez de Ma part, et pas de la leur. Mais Moi Je vais parler pour tous et Je vais leur dire et Je vais les demander pourquoi n’accomplissent-ils Mes conseils, pour que Je Me réjouisse, et ne pas pleurer à cause d’eux.

Maintenant Nous laissons la plume et Je regarde votre travail d’aujourd’hui et Je Me tiens avec ceux du ciel à table avec vous, pour qu’ils voient eux aussi comment vous travaillez, oh, Mes fils, sur le peuple de Ma parole, celui près de vous dans les fêtes ici, et paix à vous, oh, paix à vous, les fils, à la fin de Ma parole pour vous. Amen, amen, amen.

09-08-2023