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La Parole de Dieu du premier Dimanche après la Pentecôte, le Dimanche de Tous les SaintsTout est dans l’attente du début de la fête de ce jour dans le jardin de Ma parole. Les portes restent levées depuis une semaine, depuis Mon entrée avec les saints dans le jardin, mais aussi avec les endormis depuis le commencement du monde jusqu’aujourd’hui, une multitude sans nombre, oh, les fils du jardin, et Moi, le Seigneur, Moi et Ma trompette Virginie, Nous sommes attendus avec Notre parole pour ceux rassemblés à la fête ici, puisqu’il est grand, très grand ce jour de fête, tellement grand que c’est seulement ceux du ciel qui puissent le savoir, et voilà, Nous sonnons de bénédiction pour le commencement de la fête, et il est béni ce jour de Saint-Esprit dans le jardin, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, et qu’ils soient bénis les cœurs rassemblés à la fête! Paix à vous, à tous ensemble! Paix à vous, à ceux du ciel avec ceux de la terre d’ici! Paix à vous, à ceux d’ici de la terre, auprès de ceux du ciel, à la fête sainte maintenant dans le jardin! Je dirais aussi à la multitude d’esprits de satan, Je leur souhaiterais la paix, mais la paix n’est pas leur part, et voilà, ils sont en plein tourment satan et ses serviteurs en chair ou sans chair, et leurs plaintes épouvantent la demeure de l’enfer, l’ébranlant de toutes ses cotés maintenant, en temps que Moi, le Seigneur, avec les suites célestes Nous fêtons ici les cent ans de mystère céleste sur la terre roumaine, l’anniversaire de la naissance entre les hommes de la trompette de Ma parole, l’apparition de Virginie entre les terriens, de laquelle Moi, le Seigneur, J’ai bâti pour Moi parole et appel au-dessus de la terre depuis l’année 1955, après l’avoir préparée pour être Ma voie de retour d’auprès du Père aux hommes après deux mille ans, depuis Mon élévation auprès du Père. Ma vie sur la terre avec Virginie a été toujours persécutée, toujours contrôlée minutieusement et pleine d’ennemis de toute sorte, dont on n’a pas su jusqu’aujourd’hui, car ils ont été cachés avec leur œuvre, celle amassée peu à peu et mise sous garde, mise au noir, pour qu’elle ne soit pas connue, elle et Ma marche si difficile par un temps de lutte pour pouvoir marcher, oh, et Je vous ai élevés vous, ceux d’aujourd’hui Mes serviteurs, et Je vous ai envoyés pour M’apporter ce qu’on a recueilli à la suite de Ma marche avec Virginie et avec Ma grande quantité de parole par elle, et vous vous êtes soumis et vous M’avez apporté ce témoignage écrit peu à peu, vous en avez cueilli ensuite et vous avez bâti un livre, Mon livre avec Ma trompette et avec le temps où J’ai claironné par elle, et voilà, il apparaît sur la terre roumaine ce livre de témoignage: Virginie, la trompette de Pucioasa. Je suis ici et Je Me tiens avec vous en parole tout le long du jour de fête, les fils, et nous allons prononcer la bénédiction de la croix-colonne de croix, élevée sous la tente blanche, travaillée ici par vous en témoignage de cette fête, comme signe d’évocation de ce grand jour dans le ciel est sur la terre en même temps, Mon désir saint connu seulement par Mon Esprit et Celui de Mon Père, et que J’ai placée, accompli maintenant, ici près de Mes fêtes avec vous dans le jardin, et voilà, les fils, Nous commençons la fête et Nous élevons au Père en même temps que la prière de cette fête, Nous élevons tous, vous et Nous, prière adressée au Père, pour ceux qui ont frappé Ma voie avec Virginie et avec son peuple de la terre, oh, car ils sont inconsolés maintenant, les fils, mais ce jour leur accorde grande pitié, et Me voilà en parlant pour eux: Oh, approchez-vous de Ma voix celle pour vous, vous ceux défunts maintenant et qui avez haï et frappé et livré le peuple de Ma parole, Ma trompette, par laquelle Je nourrissais Mon peuple! Moi, le Seigneur, J’ordonne à Mes anges serviteurs de ce festin, qui témoigne de Mon livre avec Virginie, J’ordonne qu’ils vous amènent près d’ici, à la bouche de Ma source de parole, ici, dans la cité de Ma parole sur la terre du peuple roumain. Nous vous accordons de la consolation. Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit ces enfants qui Me servent pour vous, pour tous ceux de la terre défunts ou vivants, ces enfants sont choisis pour la prière de la rémission des péchés commis contre Ma venue en parole sur la terre par Ma trompette Virginie, et ensuite par son peuple continuateur, puisque ces derniers Je ne les ai plus laissés pour la persécution, car J’en ai besoin pour vous et pour ceux qui frappent et qui vont frapper encore Ma venue et ceux qui Me portent pour venir. Voilà, on élève maintenant ici demande de pardon de la part du Père pour ceux d’il y a deux mille ans qui M’ont chassé de la terre, et pour ceux d’aujourd’hui qui M’ont de nouveau persécuté, tout comme ceux d’alors, car J’ai été Moi et Je le suis toujours cette parole de désir saint, avec lequel Je Me laisse au-dessus de la terre par Mes porteurs, par les plus petits disciples de Virginie. Nous vous donnons maintenant des chemises blanches, de lin tout comme celles de Mes saints, tout comme Ma chemise, pour que vous puissiez vous tenir devant Mon autel de feu d’ici, de Ma cité de parole, où J’ai Ma chaise de jugement, car ce jugement pour vous maintenant finit par l’absolution, par la réconciliation avec le Père, avec la consolation pour vous, car Je suis Consolateur, tout comme alors sur la croix, lorsque Mon regard a caressé ceux qui se trouvaient sous la croix, mais surtout celui qui M’a donné pour être sacrifié, car c’est lui qui a avoué ensuite sur toute la terre Ma résurrection. Vous avez accompli vous aussi, au temps de la fin l’Ecriture de la persécution du Christ, et du mépris que vous M’avez accordé, pour qu’ensuite Je vienne en parole et que Je sois votre Rédempteur, le vôtre et à ceux qui M’ont percé au cours de tous les temps de Mes œuvres avec l’homme, et maintenant vous êtes déliés de tout ce qui vous avez péché contre Dieu et Ma marche avec Ma trompette, mais elle est pleine d’amour pour vous et elle vous embrasse maintenant, comme des fils de Dieu. Amen. Et maintenant, fils serviteurs pour Moi dans le jardin, élevez vers le Père prière d’absolution pour eux, et ensuite Nous bénissons la croix-colonne de croix, oh, et Nous Nous réjouissons ensuite en doux festin tout le temps de la fête, et Moi, Je Me tiens avec vous en parole tout le long de la journée. Et maintenant on va se mettre à table, et ensuite on élèvera le livre vers le Père pour sa bénédiction et sa distribution aux frères, et puis de nouveau Ma parole se tient avec vous et elle prend place dans son livre en témoignage, avec tout ce qu’il y a à travailler et à bénir en ce jour.
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Nous prenons place de nouveau devant le Père et Nous élevons les cœurs et le regard pour la bénédiction du livre, oh, les fils, pour que le Père ne l’accorde et que Nous le partagions ensuite. Vous avez durement travaillé sans repos, pour apporter au Seigneur l’histoire de Ma parole avec Virginie. On n’a pas pu écrire au milieu de Mon peuple toutes les paroles que J’ai prononcées par Ma trompette, car il n’y avait pas toujours qui les écrire et recueillir alors que Je descendais en parole, mais alors que Ma parole coulait par Virginie devant ceux qui la torturaient dans des hospices et dans les lieux noirs des dominateurs, qui la brutalisaient pour entendre les mots qu’elle prononçait, oh, ceux-là ont eu part de beaucoup de parole, et ensuite, ils avaient leurs serviteurs qui leur portaient de Moi pour amasser tout à la direction, et ceux-là amassaient, ils amassaient toujours, et il y a des dizaines de milliers de pages écrites, qui témoignent toutes que l’œuvre de Ma parole était amassée pas à pas, elle était vendue, elle était portée à la direction, avec tout ce qui se passait entre Moi et le peuple, entre frère et frère, oh, et peu de ceux qui étaient enquêtés sous des menaces terribles, peu d’entre eux ont gardé la raison et n’ont pas livré la Seigneur et les frères, puisque la peur devenait de plus en plus grande dans tous les chrétiens, en même temps que la cruauté avec laquelle les serviteurs de la loi soufflaient sévèrement sur ceux vendus pour rien par les frères vendeurs. Ce livre sort maintenant et il fait de la lumière, et il fait place à la pitié et au pardon, par la prière adressée au Père pour ceux qui ont péché par méchanceté ou par la faiblesse ou par crainte. Que personne ne s’afflige dans le ciel, et sur la terre des chrétiens du peuple de Ma parole, si quelque descendants trouvera dans le livre des parents ou des frères qui ont soumis les porteurs de grâce au jugement, à la trahison, à la prison, puisque ce temps-là a été beaucoup trop difficile, et la fidélité était faible en tous. Maintenant Nous levons le regard vers le Père et Nous demandons la bénédiction du livre et sa distribution et Nous disons au Père: Notre Père, pardonne-leur à tous qui ont été faibles et petits d’âme et accorde-leur la paix avec Toi, et donne à leur descendants le relèvement vers la sainteté, pour eux et aussi pour ceux qui ont péché au temps de la marche de la parole. Oh, Père, lève-Toi et bénis ce livre de témoignage et donne-le-Nous pour que Nous puissions le distribuer, mais envoie devant lui l’esprit de la sagesse et de la foi sainte vers ceux qui vont l’ouvrir et le connaître. Et maintenant, bénis, Notre Père!
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Oh, les fils, les fils, table de noces est Ma table avec vous, et il faut qu’ils aient vêtement de noce ceux qui y prennent place. Quel vêtement de noce? Voilà, par l’obéissance, les fils. Il faut que le chrétien obéisse à Ma parole de préparation pour un peuple qui, voilà, il M’accueille quand Je viens à table de parole. Maintenant, Nous disons à ceux qui voient dans Ma parole le mystère du vêtement de noce, Nous leur disons que ce vêtement est pour un peuple qui se tient devant Moi pour recevoir et distribuer Ma parole, et cette préparation ne l’ont pas choisie pleinement ceux qui désirent eux aussi être auprès de vous de temps en temps, mais ils sont arrêtés à une douane ou deux, car voilà, ils ne se donnent pas tous la peine d’accomplir toute la préparation demandée pour cette table, les fils. Oh, J’ai toujours eu mal car il n’a pas voulu le peuple qui M’a connu dans cette parole, il n’a pas voulu se donner entièrement au Seigneur et avoir ainsi grand peuple maintenant, car voilà, quand le chrétien frappe à la porte pour venir à Ma table d’ici avec vous, oh, il ne se prépare et il n’est pas préparé et il ne se rend pas compte de ce qu’il Me demande alors qu’il frappe pour venir à cette table de parole placée entre Moi et vous, et Moi Je dois retarder les accomplissements qui frappent à la porte eux aussi pour entrer, et voilà, J’aurais une prière pour tous ceux qui connaissent bien le mystère et la place de cette parole découlée du ciel, et Je leur demanderais de chercher de bien pénétrer le mystère du vêtement de noce pour cette table, oh, car c’est pas de blague la présence auprès du Seigneur, du trône de Sa parole d’ici. Oh, chrétien, Je ne peux agir sans toi pour toi, si tu ne peux agir pour Moi. Le diable se tient contre Moi de l’intérieur de l’homme, car s’il le faisait de l’extérieur de l’homme, Je pourrais Moi, pour celui qui veut être avec Moi, mais lorsque l’homme ne Me permet pas d’agir pour lui de son intérieur, car il a sa propre volonté, alors ce n’est pas Moi le maître de l’homme, mais Mon adversaire l’est, c’est le diable, celui qui a pris l’homme dans ses volontés, et voilà, les chrétiens s’arrêtent à une douane ou deux et ils ne peuvent se diriger vers la sainteté à cause de l’amour du péché et de la désobéissance par le péché, et le péché signifie désobéissance envers Dieu. Vous, les fils de la cité de Ma parole, vous souffrez pour ceux qui ne peuvent accomplir ce que l’on demande pour cette table de Ma parole. J’en ai mal Moi aussi, et le temps du dehors pèse sur le chrétien, et les chrétiens sont dans le monde, les fils, et ils sont abattus du dehors et de leur intérieur par l’esprit du monde, oh, et Je ne peux croître Mon peuple, Je ne le peux, les fils, puisqu’il est venu le paganisme sur la terre sur les hommes, il est venu aussi dans Mon pays d’aujourd’hui, dans Mon pays roumain et ils se sont pervertis tous, hommes , femmes, enfants, ils se sont tous pervertis en ce qui concerne la conduite, la tenue, la nourriture, les habitudes, la foi, les fils. Oh, J’ai tenu de beau et cher le costume du peuple Israël de jadis, mais il a gâté le peuple ce costume agréable au Seigneur, oh, et tous les hommes se perdent à cause de l’orgueil et ils ne se cachent plus avec leurs fautes, et voilà, des douanes pour les défunts, des douanes et encore de douanes auxquelles ils restent aussi ceux vivants sur la terre, et la préparation sainte, oh, à qui pourrais-Je encore la faire, pour Me former un troupeau doux et beau selon la parole, selon la tenue, selon l’amour saint pour Dieu? Je vous ai vous, c’est seulement vous que J’ai encore, les fils, et Je vous garde les Miens ici, et les chrétiens souhaitaient être de temps en temps près de vous, mais tout aussi non préparés pour le Seigneur comme ils le sont, oh, et ce n’est pas possible, elle n’est pas possible la vie avec du service à deux maîtres, mais y a-t-il encore quelqu’un à croire cette vérité? Je Me réjouis maintenant de vous avec ceux du ciel, Nous Nous réjouissons de cette grande et chère fête, oh, les fils! Il y a ici chez vous pour voir Mon travail avec vous, il y a quelques chrétiens venus pour la première fois, et peut-être pour la dernière fois, du moment qu’ils ne peuvent ou ne veulent pénétrer suffisamment le mystère de ce lieu et l’œuvre de la foi, qu’ils doivent prouver en fait ceux qui veulent faire part de Mon troupeau, mis de côté pour Ma gloire, pour le salut d’une multitude, oh, les fils. Je souhaite à ceux qui ont fraîchement pris connaissance de Mon travail avec vous, Je leur souhaite un cœur plein d’amour saint, avec lequel ils puissent vaincre tout ennemi placé entre eux et Moi, oh, car il n’y a pas de temps plus beau et plus doux que le temps du chrétien qui accomplit ce qu’il faut, pour faire parti du peuple, mis à part pour Ma gloire, mais le temps du dehors est si mélangé, et il retient en lui ceux qui croient au mystère de Mon œuvre avec vous, et cet esclavage prouve qu’ils sont adeptes des ténèbres de ce siècle passager, duquel c’est difficilement de pouvoir sortir pour celui qui voudrait sortir du noir à la lumière. Moi, le Seigneur, Je Me réjouis avec vous et de vous avec des jours de noce céleste, oh, les fils, car c’est seulement vous que J’ai encore pour de vrai. Musique, danse et bonne disposition, c’est ainsi à la noce et Nous Nous réjouissons maintenant avec vous ici, et Nous vous regardons enchantés, les fils. Les chrétiens qui connaissent l’œuvre de Ma parole et ils n’y sont pas rangés selon l’obéissance celle d’en haut, Je les laisse à leur volonté, Je les laisse choisir ou non Dieu comme leur vie, car ils ont la parole comme guide, mais ils ont encore besoin de la crainte de Dieu, et plus que tout de l’amour, oh, les fils, car l’amour guérit l’homme de péché, lui seulement, oh, seulement lui. Pouvoir en tout avec la volonté de Dieu, cela est une grande merveille, qui peut témoigner, les fils. Mais le temps enchante avec ses choses les chrétiens et il y en a beaucoup d’entre eux qui se sont soumis au temps, et ils Me font pleurer en les regardant à quel point ils ont emprunté des choses du temps actuel, car s’il y a quelque temps Je disais: «Oh, chrétien, ne portes pas de montre-bracelet pour ressembler au monde, et que Dieu ne puisse plus te reconnaître entre ceux du monde», oh, mais maintenant est-ce que Je peux dire encore quelque chose de la sorte, pour la non ressemblance avec le monde de celui qui sait de Ma parole, avec laquelle Je Me tiens tout le temps sur la terre entre les chrétiens et entre les hommes, pour Me faire des fils et les donner au Père, bien élevés par Ma parole de Pasteur? Oh, chrétien, tes ressemblances avec le monde t’ont éloigné de la face de ta ressemblance avec Dieu et avec tes ancêtres, et Ma nostalgie de toi prouve que tu es loin de Dieu. Et voilà Mon appel: Reviens au premier amour, au jour où tu as connu Ma parole, et tu t’es bâti par elle et tu es venu pour être le Mien ensuite, mais voilà, maintenant tu baisses et tu baisses toujours par des habitudes étrangères à la gloire du Seigneur avec toi, chrétien, Mon enfant, au temps jadis le Mien. J’ai de la nostalgie, Je reste avec la nostalgie et le temps Me blesse. Mais maintenant Je Me réjouis avec la joie du jour d’aujourd’hui en fête ici, dans le jardin, et Je parle avec Ma Virginie maintenant, avec Ma trompette, et Je lui dis: Voilà, Ma Virginie, jour de gloire de Mon œuvre avec toi. Prends la trompette et laisse sa voix sur le peuple rassemblé! — Pour Toi et pour Moi, Seigneur, aujourd’hui c’est la fête de cent ans de mon existence entre la terre et le ciel, entre le ciel et la terre, oh, Seigneur. Ma joie d’aujourd’hui c’est Ta parole d’aujourd’hui à la table avec les frères, avec le peuple de la cité et avec ceux qui, maintenant, sont assis à Ton festin de noce avec ceux qui servent de Toi et pour Toi maintenant ici. Mon livre avec Toi, Ton livre avec moi c’est l’histoire de Ta chanson nostalgique sur un peuple obéissant ou désobéissant à la voix de Ta parole de ce temps sur la terre. Je M’incline en priant les fils porteurs de grâce, Je leur demande qu’ils expliquent au peuple rassemblé au festin l’histoire de Mon livre avec Toi, oh, car il y a beaucoup de parole mise sur la table en ce jour, et Nous pensons à ceux qui Nous portent pour que Nous parlions, puisqu’ils sont impuissants, les bien chers, oh, Seigneur, et personne ne sait cela, plus que Nous le savons, Nous. C’est pourquoi dans les jours qui viennent Nous pouvons encore parler au peuple rassemblé maintenant, et qui cherche par la fenêtre la parole de Ta bouche, mais à présent la fête est chargée de grâce, et alors je vais faire conseil avec le peuple de partout, je lui vais lui envoyer lettre par les jours qui viennent, et Nous ne Nous arrêterons pas, oh, Seigneur, car il y a beaucoup de travail. Mais maintenant, avec grande bénédiction, allons distribuer le livre et lui ouvrir la voie, afin qu’il aille et qu’il travaille, et inclinons-Nous maintenant avec douceur et consolation devant ces enfants qui Nous servent, ceux qui ont mis en ce jour sur la terre mon livre avec Toi, Ton livre avec moi, oh, Seigneur, et son travail sur la multitude. Amen. — Oh, les fils, les fils, soyons en fête céleste, restons y, laissons aller la fête de ce jour, et ceux qui ont été sous la charge libérons-les, et disons sur ce jour de rencontre sainte: Paix à vous, à ceux rassemblés à la table de noce du Christ avec le peuple de Sa parole! Et maintenant, paix à vous, à ceux de la cité de Ma parole et à ceux approchés à vous pour votre travail avec Moi, de la paix, les fils, et soulagement des charges maintenant, car vous avez bien fini les œuvres commencées pour cette grande et sainte fête, et la croix de la colline a un jour préparé pour sa consécration et Nous allons prononcer parole à part, tel que Moi, le Seigneur, Je vais organiser chez vous et avec vous! Allez réjouissez-vous maintenant, allez, Je suis ici avec vous, avec tous ceux du ciel! Réjouissez-vous et égayez-vous, les fils, chantez et dansez et soyez gais, car c’est ainsi qu’il est à la noce. Qu’ils tressaillent de bonheur les cœurs de ceux rassemblés près de vous en ce jour! Je M’inscris avec Mon nom sur le livre de Ma parole d’aujourd’hui avec vous, et sur le jour de fête. Je mets de nouveau Mon nom, et Je finis maintenant Ma parole, oh, les fils. Je suis Jésus-Christ, la Parole du Père Sabaoth. Amen, amen, amen. 11-06-2023
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