Je fortifie ceux qui Me servent de portes pour M’ouvrir et que J’entre dans le livre avec Jean le Baptiste, car il a envie céleste, il veut te parler sur l’esprit de l’humilité, sur l’esprit de la patience des saints, Mon peuple, car l’homme se sent lésé dans ses droits, mécontent, et il se sent grand, il a des prétentions et il oublie, le pauvre, qu’il n’est pas plus grand que les saints que J’ai auprès de Moi dans le ciel, grâce à leur vie vécue pour Moi sur la terre. Oh, l’homme ne peut être plus grand et plus précieux que Jean le Baptiste, le saint ermite, que le ciel a élevé depuis l’enfance et jusqu`à son apparition au Jourdain, pas quelqu’un de la terre, et personne n’a pas pris soin de lui mais seulement le ciel et ses habitants.
C’est le jour de fête de Jean le Baptiste, placé près de la fête du Baptême, Mon peuple. Nous sommes à table avec lui, à table de parole, les fils, car à table avec Moi ils viennent des hôtes célestes, les anges et les saints, qui se rafraîchissent l’esprit en attente, par leur parole près de Ma parole, lorsque Je descends avec eux près de toi, pour écrire Ma parole dans le livre. Je suis resté auprès de toi avec la fête de Baptême et le ciel s’est réjoui de Moi et de toi et il a vécu l’esprit de la consolation, Mon fils. J’ai consolé ceux venus des quatre vents, par voie avec des anges, à la fête du Baptême, et Je suis heureux dans Ma douleur quand Je vois venant des consolateurs vers Moi et vers toi, pour que Nous prenions des uns aux autres de la consolation, Mon fils, et surtout ceux de ton milieu, écrasés sous Ma charge d’aujourd’hui. Allons faire, donc l’œuvre de ce jour de parole sainte et qu’elle reste écrite dans le livre. Amen.
Oh, c’est jour de fête pour toi, que les saints et les pères de l’église ont fixé près de la fête du Baptême, oh, Mon Baptiseur. Allons, donc, mettre la table de parole, car ton désir maintenant est d’exhorter Mon peuple et tout homme qui prend de cette table, l’exhorter vers l’humilité et vers grand enseignement pour l’esprit d’humilité de l’homme devant Moi. Qu’il soit béni ton sacrifice enseignant pour les fils de Ma parole d’aujourd’hui, et pour ceux qui reçoivent d’eux, ou ils se procurent du magasin nourriture pour l’âme et l’esprit, nourriture de Ma table de parole avec Mon peuple d’aujourd’hui et avec les saints du ciel, table de l’enseignement, table de la consolation. Amen.
— Oh, doux Agnelet et bon Maître pour les fils, il n’y a pas d’homme qui mérite la consolation puisque ses péchés sont nombreux et grands et ils pèsent sur Ta douleur venue de la perte de l’homme du paradis par sa désobéissance envers Toi, mais c’est la douleur qui mérite la consolation, oh, Seigneur. La seule consolation sans mensonge est celle qui vient du ciel sur la joie de l’homme, ou sur sa douleur. Celle pour la joie est celle qui partage la joie avec joie, et la consolation pour la douleur est celle qui partage de l’espoir et des pouvoirs saints du ciel sur l’homme.
Oh, la douleur brise mon cœur dans le ciel et sur la terre, quand je vois l’homme qui désire et qui cherche de la consolation pour lui, se considérant lésé dans ses droits. Elle est tombée trop bas la sagesse de l’homme, Seigneur. Oh, comment se fait-il que l’homme ne comprend pas combien nombreuses doivent être ses douleurs pour qu’il ne perde pas sa sagesse, mais, par contre, l’enrichir par des douleurs, puisque par les joies l’homme n’apprend que l’éloignement de Dieu et le manque de veille pour la vie, le pauvre? C’est sur cela que je veux parler à Ton peuple dans mon jour d’assemblée entre les saints, et qu’il donne ensuite à beaucoup d’hommes ce que je descends en guise de cadeau saint pour ceux qui aiment le ciel sur la terre.
Sur la terre il y a des hommes et des hommes, mais c’est un grand péché que l’homme commet quand il se considère injustement traité et il est mécontent, Seigneur. Oh, qu’il est grand dans l’homme ce péché impardonnable envers Dieu dans l’homme, car où se dirige la flèche de ce péché si non contre Dieu, Que l’homme considère toujours obligé envers lui pour l’aider en tout et pour lui donner du tout, par beaucoup de voies Du Seigneur vers lui?
Tu as mis grande, grande sagesse, Seigneur, grande sagesse dans les fils, ceux des portes, et ils essayent de ne pas sentir et voir comme l’homme, mais ils pensent seulement comme Toi, et tout aussi ils essayent d’accomplir, face à la sagesse si coupable de l’homme, puisque l’homme voit et il sent humainement, seulement ainsi, pour sa punition et celle de Tes justes, Seigneur. On a jour d’enseignement précurseur pour la sagesse celle du ciel, pour qu’elle travaille sur les fils de la désobéissance, oh, Bon et miséricordieux Seigneur, mais Ta miséricorde travaille pour le salut de l’homme, et la sienne travaille tout à fait mal et contre son salut et celui de ses semblables. Je demanderais à l’homme : qui M’a consolé, moi, au temps de Mon enfance et jusqu’au temps de mon apparition au Jourdain, quand j’avais à peine passé les trente ans de ma vie selon la chair? Oh, qui m’a allaité, qui m’a baigné, qui m’a nourri, qui m’a fait des vêtements pour m’habiller? Je demanderais à l’homme, qui m’a accordé de la consolation, orphelin que j’étais de tout aide et caresse et garde? Est-ce que Dieu a été sans pitié envers moi s’Il m’a fait part d’une telle vie sur la terre?
Oh, Seigneur, je vois aux hommes de la pitié l’un pour l’autre. Est-ce qu’ils méritent tant ce de quoi je n’ai pas eu part sur la terre? Ils se lament les hommes de disette de vivres, de malheur, de solitude, du manque d’aide, bien qu’ils aient des mains, des pieds, et beaucoup de choses à leur portée sur la terre. Oh, si Tu as donné la femme comme aide à Adam, est-ce qu’elle l’a aidé à quelque chose de bon, sauf la caresse pleine de péché?
Moi, le baptiseur Jean, grand prophète levé sur la terre selon le projet du Seigneur, je parle maintenant, après deux mille ans de l’apparition au Jourdain du Seigneur et de la mienne, je parle à l’homme mécontent de son sort et je le demande: devant qui portes-tu ton mécontentement, homme méchant? Qui est obligé envers toi, pour que tu sois mécontent? Oh, qui es-tu, homme mécontent? Voilà ce que je te dis: j’ai été grand devant le Seigneur et seulement devant Lui, et c’est pour Lui que j’ai été et que j’ai travaillé et je n’ai pas goûté du péché du mécontentement envers la vie.
J’ai entendu l’autre jour, à la fête du Baptême, j’ai entendu grande parole sortie par les portes, parole qui disait qu’il ne faudrait pas que l’homme se dirige seul la vie. Oh, il est sans Dieu un tel homme et il est plus tombé qu’un homme quelconque qui entre sous un maître pour qu’il lui donne du travail, le soumettre et avoir soin de lui en lui assurant le coût terrestre pour sa vie. Pas même les adorateurs des idoles ne peuvent se tenir sans quelqu’un au-dessus de leur vie, et ils se lèvent et se font une idole et le mettent comme chef sur eux. Voilà, celui qui se dirige tout seul la vie, il est fou et il n’a pas de maître à cause de sa folie. Celui qui veut être sans Dieu sur la terre, c’est ainsi qu’il travaille.
Oh, assagis-toi bien et toujours mieux, peuple chrétien. Prends des fils de la parole céleste de la sagesse pour la vie, car si la vie n’a pas de sagesse dans l’homme pour elle, il perd sa vie l’homme. Celui qui foule aux pieds la parole de Dieu pour ne pas l’accomplir, cet homme foule aux pieds sa vie et l’écrase en marchant peu à peu. Oh, gardez-vous de ceux qui tuent leur vie et le Seigneur Qui S’y trouve, par l’insoumission et par la désobéissance face à un maître, de peur qu’ils ne vous fassent mal à vous aussi. Voilà de la sagesse de vie venue de Jean le baptiseur et le prophète du Seigneur, qui réveille maintenant votre sagesse, pour la remplir avec celle d’en haut!
Oh, Seigneur, mon Maître, parle Toi aux hommes de celles d’en haut pour eux sur la terre. Parle leur de moi et de Toi, car Tu as dit que celui qui aime sa vie, celui-là va la perdre, et celui qui la méprise, celui-là va la gagner de Toi, Seigneur. Oh, dis aux hommes que Tu as été Dieu sur la terre avec eux au temps de Ta chair vue, et Tu n’as pas eu ce qu’ils ont, eux, mais Tu as été pauvre et persécuté et haï entre les hommes. Demande-leur, est-ce qu’ils sont plus que Toi, plus grands, plus méritoires que Toi, s’ils désirent toujours tant de bien pour eux sur la terre ? Mais dans le ciel qu’est-ce qu’ils amassent pour avoir et trouver après avoir fini leur marche sur la terre ? Oh, avec le bien qu’ils désirent sur la terre ils n’amassent rien, rien dans le ciel, mais les hommes ne pensent pas à leur vie celle du ciel, à celle qui vient après leur vie sur la terre, et c’est pour cela qu’ils n’ont pas le bonheur accompli et en paix. Oh, Tu as de grands mots sur Toi et sur moi. Dis-les aux hommes ces mots qui parlent de nous, mon Maître, le mien et Celui de ceux qui veulent comme Maître Dieu sur leur vie, tel que moi, j’ai voulu et je L’ai eu ! Je Te prie de parler aux hommes de moi en mon jour de fête, de ma vie sur la terre, oh, Seigneur. Amen.
— Oui, Mon Baptiseur, mais Je ne veux qu’elle soit pour leur jugement ta vie sur la terre face à face avec leur vie, mais Je veux qu’elle soit enseignement céleste pour eux Ma parole sur Ma vie et la tienne, sur l’obéissance et ta soumission et la Mienne, sur Mon pouvoir et le tien devant le Père et devant les hommes. Amen.
Oh, Mon peuple, que tu ne cherches pas, Mon fils, de la consolation, mais que tu cherches la sagesse de la vie pour ta vie, car la vie c’est la lumière des hommes, lorsqu’elle vit vraiment dans l’homme, entre les hommes qui ne comprennent pas ce qu’ils ont à faire avec leur vie sur la terre. Oh, Mon fils, Dieu a envoyé Jean le Baptiste sur la terre en même temps avec Moi. Moins de deux cents jours ont été entre lui et moi, pour notre naissance sur la terre. La persécution d’Hérode les a séparés, et Je parle de Zacharie et d’Elisabeth, les parents selon la chair de Jean, et de lui, le fils issu d’eux. Nous avons été dès l’enfance persécutés par Hérode, qui a envoyé des serviteurs cruels pour tuer les petits enfants pour Nous tuer Nous aussi entre eux. Mais le Père ne Nous avait pas mis sur la terre pour Hérode, mais pour Lui, et Il Nous a mis alors sous garde. Mais J’ai été porté par les parents en Egypte, et lui il est parti dans les montagnes avec Elisabeth, sa mère, et il est resté là-bas jusqu’à son apparition au Jourdain. Quand les tueurs envoyés par Hérode en courant après eux les ont pris dans les montagnes, la prière de sa mère a coupé en deux une montagne, qui les a reçu et gardé de la mort venue d’Hérode, et ensuite, dans quelques jours, Elisabeth a été prise entre les saints, et l’enfant Jean est resté petit enfant dans les montagnes, grandissant ensuite jusqu’à l’âge d’homme parfait, quand il est descendu est s’est montré au Jourdain. Oh, qui a eu soin de lui? Qui lui a appris la langue de son peuple? Personne ne l’a caressé, personne ne l’a baigné, personne ne lui a donné à manger, personne ne lui a fait des vêtements ou des sandales, personne n’a guéri les plaies et la pauvreté de cet enfant orphelin sur la terre. Après s’être montré aux hommes, personne ne l’a entendu se plaindre de sa vie, mécontent de sa charge, mais il a été juste envers le Seigneur, Qu’Hérode déshonorait trop, à cause de son long repos sur le trône de roi, d’où il poussait le peuple vers une vie avec des faiblesses pour sa vie, celle sans maître pour elle. Jean est allé au devant d’Hérode et il lui a dit de ne pas travailler des choses pas permises de la part de Dieu, mais Hérode n’a pas fait attention, grisé par le péché et le vin, et alors il a mis Jean dans le noir de la prison, le cachant à la vue des hommes, après avoir baptisé beaucoup d’entre eux, les confiant à Dieu pour le baptême avec le Saint-Esprit ensuite.
Est-ce que Jean a été un homme qui ne mérite rien de ce que les hommes ont pendant leur vie, et ils prennent de la vie sur la terre? Il a été ermite de sa vie et il habitait dans le désert avec les anges de Dieu au cœur de la montagne, qui s’est défaite pour le recevoir et le protéger de la persécution d’Hérode. Il n’a pas eu part ni de mère ni de père, pour le soigner et l’élever et le caresser, car sa mère et son père aussi ont été sacrifiés alors à Dieu, elle entre les montagnes, peu de jours après son arrivée sans le désert avec son fils tout petit, et Zacharie, son père, mis à mort entre le temple et l’autel par les tueurs du roi Hérode. C’est le désert qui a été pour Jean mère et père et tout dont il a eu besoin afin de croître pour Dieu sur la terre, jusqu’à ce qu’il s’est montré au Jourdain plein de grâce, plein de Dieu, plein de parole et de l’esprit du témoignage et de la sagesse, celle pour les hommes, celle pour la connaissance des hommes et de leurs faits. Voilà un tableau de sainteté de la vie sur la terre dans l’homme: Jean le Baptiste.
Oh, regarde Jean, Mon peuple, élevé maintenant avec Ma parole, comme Jean dans le désert, Mon fils! Ma parole sur lui l’a élevé dans le désert, dans son paradis désert d’hommes. Ma parole sur lui l’a appris à parler, et à s’assagir. C’est Moi Qui l’ai appris à parler. Ma parole a toujours été au-dessus de lui et lui a tenu la main comme un père, tout comme J’aurais dû faire avec Adam aussi en Eden, mais Adam n’a pas été né, et Jean l’a été, il a été petit enfant et il a obéi et ensuite il a grandi comme Adam en âge, jusqu’à la mesure de l’homme de trente ans accomplis, parce qu’Adam a été fait de Ma main comme l’homme à l’âge de trente ans, tel que Jean a eu sur la terre et Moi aussi, le Seigneur, quand J’ai commencé M’annoncer Moi-Même comme Messie venu du Père, né de Vierge entre les hommes, tout comme elle a été la prophétie, et ensuite, après quarante –deux mois d’annonce du royaume des cieux sur la terre, Je Me suis laissé sacrifié sous la main de l’homme ennemi de Dieu, et plein de lui-même devant les hommes, pour qu’il puisse accomplir l’Ecriture de la crucifixion, et de Ma résurrection d’entre les morts.
Voilà comme elle l’est la patience des saints, mais l’homme ne veut voir et apprendre ainsi. Moi et Jean le Baptiste Nous avons montré devant le Père de l’obéissance et de la soumission, et aux hommes Nous avons montré la patience des saints. Moi et Jean Nous sommes le modèle selon lequel l’homme devrait vivre sa vie sur la terre. Amen.
Heureux ceux qui sont persécutés pour Dieu! Ce sont eux les heureux. La persécution a été Notre bonheur sur la terre et elle Nous a appris l’esprit de la patience, celui qui est l’esprit des saints. Oh, il n’y a pas de place pour le Seigneur sur la terre avec l’homme. Il est persécuté le Seigneur sur la terre. Lui, le Maître du ciel et de la terre, Il est persécuté par les descendants de l’homme bâti par Dieu il y a sept mille ans, mécontents sur la terre tout comme Adam le premier bâti. Que va se passer avec les hommes qui ont persécuté et qui persécutent le Seigneur sur la terre? On va prendre d’eux la domination volée, et encore on va leur demandé réponse, et le Seigneur accordera Son royaume à tous ceux qui l’ont aimé avec eux et en eux sur la terre. Amen.
J’entre par les portes en parole dans le livre quand Je commence à parler, et Je sors toujours par les portes, et Je mets Mon nom sur toute Ma parole exprimée et placée dans son livre.
Je suis le Seigneur Jésus-Christ, né sur la terre il y a deux mille ans de mère Vierge, et baptisé dans l’eau du Jourdain par la main de Mon serviteur Jean –Baptiste, lorsque Moi et lui, Nous Nous sommes montrés aux hommes en ce temps-là, pleins de grâce et de vérité. Amen, amen, amen.
20-01-2011