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La Parole de Dieu à la fête de Sainte Virginie, la trompette de Dieu Je prends place devant toi avec table de parole, avec l’esprit d’enseignement de vie éternelle, Mon peuple. Nous en mettons sur la table en abondance, Moi et Ma trompette, nous mettons de l’enseignement important, car on a partout besoin de lui, et que le peuple de cette parole s’attache de tout l’accomplissement de l’enseignement d’en haut, qu’il assure Dieu qu’il sera reçu et accompli tout le conseil, tout l’accomplissement, celui du ciel sur ce peuple. Amen. Paix à toi, Mon peuple, en jour de fête patronale sainte pour toi, car Nous fêtons en ce jour Ma trompette, Virginie, la porteuse de Dieu dans son temps sur la terre. Moi, le Seigneur, Je bénis ton cœur, ton oreille, ta volonté et ton obéissance, peuple de Ma parole, pour que tu prennes de Moi et que tu l’accomplisses ainsi. Tout d’abord tu dois M’aider d’avoir confiance en toi jusqu’à la fin, pas seulement pour un temps, car elle est très difficile Ma lutte pour Ma victoire entière, alors que Je ne peux compter sans réserve sur ceux qui se donnent à Moi pour Mon travail avec eux, et Moi, Je suis Dieu, Mon peuple, Je ne suis pas de la terre, mais c’est du ciel que Je suis venu. Sur la terre se passe autrement avec un outil que l’homme se procure pour lui, après l’avoir pris de celui qui l’a fabriqué, et qui lui accorde une garantie, parole utilisée sur la terre exprimant la confiance pour un temps dans l’outil travaillé et mis en vente pour être utilisé par l’homme, et ensuite elle finit la responsabilité de celui qui fabrique et vend le travail de ses mains à ceux qui s’en servent. Oh, mais, Moi, le Seigneur, Je Me demande, comment faire lorsque l’homme vient à Moi et se confie à Moi, ou au moment où quelqu’un aide un homme à comprendre Dieu et Le suivre ensuite? Il faut le prendre de la main de celui qui l’a dirigé vers Moi, est-ce que Je peux demander alors à celui–là un acte prouvant qu’il sera fidèle celui amené à Moi? Voilà, on a besoin d’une garantie pour avoir confiance dans l’homme, et qu’elle soit apportée de sa part, pour pouvoir ensuite le donner au Seigneur et ne pas avoir mal de lui devant le Seigneur ensuite. Je suis avec Ma trompette Virginie avec fête entre les saints, Mon peuple, et Nous allons beaucoup travailler, beaucoup mesurer, beaucoup de choses, et il sera jour d’enseignement pour toi ce grand jour, quand Ma trompette a pris sa place entre les saints, se débarrassant de la chair de sa souffrance, et elle s’est établie dans le ciel avec l’esprit de la veille céleste pour la continuation de son travail avec Moi, travail laissé sur la terre pour son entrée, lorsqu’elle est venue dans l’armée des saints, pour travailler entre ceux du ciel. Dans le peuple de cette parole il y en a eu beaucoup, ils ont été et ils sont passées ou ils sont restés jusqu’à la fin sur la voie de Ma lutte pour l’édification d’un peuple, pour que le Père l’ait comme le Sien sur la terre, par Mon action de claironner sur lui, par la voix de Ma trompette, de laquelle c’était Moi Qui parlait, Moi et pas elle, car par les prophètes c’est Moi Qui ai parlé, Moi et pas eux. Je lutte en supportant et en pleurant comme un Dieu et Je travaille depuis presque soixante ans, Je lutte pour achever Ma victoire et les Ecritures des jours de la fin, dans lesquelles il est écrit de Ma venue, avec sa voix pour les vivants et pour les morts. J’ai eu et J’ai toujours besoin de confiance dans ceux sur lesquels Je Me suis appuyé et Je M’appuie, car autrement Je M’en appuie seulement au gré de l’homme, et il reste coupable face à Dieu celui qui se conduit ainsi, et la faute attire son châtiment. Ni Moi, le Seigneur, ni ceux qui travaillent pour Moi par Mon choix, Nous ne pouvons pas avoir confiance en celui qui reste libre du Christ et de la veille pour lui sur la terre, car un tel homme peut faire beaucoup de mal à Dieu, et à Son travail, et il utilise ensuite beaucoup de dessous, surtout si cela fait parti de son caractère, à savoir la dissimulation face à Dieu et aux hommes, en passant de dissimulation en dissimulation, provoquant hostilité et séparation entre lui et ceux qui le voient travaillant ainsi et méprisant ainsi les frères. Oh, quand personne ne peut plus garantir pour toi, qui pourra donner une réponse pour toi devant Dieu, au moment où le Seigneur attendra cela pour les troupes dont ils doivent rendre compte ceux qui se présentent avec elles au Seigneur, puisque le Seigneur n’interroge pas chacun à part, cela n’existe pas dans le ciel, mais il est écrit que chacun se tiendra au rang de sa troupe. Oh, elle est grande la douleur en Moi pour tous ceux qui ont été et sont passés par cette œuvre de parole, qui bâtit l’homme nouveau, et ils n’ont pas accompli en eux cette parole, ils n’ont pas aidé le Seigneur afin d’avoir confiance en eux jusqu’à la fin, et c’est la même chose avec ceux qui ont montré pour un temps beaucoup de fidélité envers Ma table céleste avec un peuple sur la terre, et cette confiance perdue pour ceux qui n’ont pas eu de fidélité sans fin, elle aurait besoin de grande repentance, afin de pouvoir obtenir le pardon, pour avoir quitté Dieu et le corps de cette œuvre de parole, qui bâtit un peuple. Ma trompette, Virginie, se tient à Ma bouche et console sa grande tristesse quand elle Me voit travaillant en ce jour à l’œuvre de Ma parole. Je lis toujours et toujours vos cœurs et votre esprit, oh, et il y en a beaucoup qui Me font mal par le levain qu’ils portent. Je vous assemble sous la gloire de l’enseignement d’aujourd’hui tous ceux qui avez été et qui êtes maintenant sous cette parole. Prenez et apprenez d’elle, les fils. Prends Mon fils, mesure-toi de la tête aux pieds et considère-toi, toi-même, face à Ma parole. Oh, si toi, chrétien, tu n’es pas pur en parole, en sentiment et en action face à ton frère, crois-tu qu’on puisse te juger autrement envers Moi, le Seigneur ? Oh, c’est ainsi que Je te vois face à Moi, et Je te considère d’être pour Moi, tout comme tu l’es envers ton frère, ce n’est pas autrement chez Moi, et elle n’a jamais été autrement Ma face dans Mon église, sous Mon œuvre. Voilà, il se trompe celui qui croit qu’il se présente autrement au Seigneur, qu’il le fait face à l’homme, face à celui qui est près de lui, frère du Christ, puisque Je ne demande pas à l’homme de parler de soi, mais Je demande à celui qui se tient face à face avec lui, et personne ne peut entrer à Moi pour répondre de son droit, car Mon œuvre pour l’homme est sur témoignage par des témoins construite, et autre sorte de travail pour le ciel n’existe pas pour l’homme. Il n’est pas honnête de se mettre bien avec l’homme de Dieu si on n’est pas bien avec le Seigneur, puisque l’homme de Dieu sent de Dieu, ce n’est pas sa capacité de lire ceux qui se trouvent devant lui. Quand l’homme se cache des yeux des autres, il pèche par cela, car il le fait pour le péché, pour le dissimuler, pour qu’on ne voie pas ce qu’il fait, et ensuite c’est avec difficulté qu’il échappe à ce piège, à la chaîne de ses dissimulations, s’il s’en échappe encore, car il a honte ensuite de rompre ses liaisons sous le péché, puisqu’il est fier de sa stature visible, fierté née du péché, car sa stature invisible lui ferait honte devant ceux qui le connaissent, qui connaissent son extérieur, et voilà ce que fait le péché dissimulé de l’homme qui se cache pour faire le péché, et il a besoin de se cacher ensuite avec son visage inconnu de ceux d’autour de lui. Oh, Mon peuple, quand l’homme va seul et il cherche d’aller tout seul, c’est le diable qui le reçoit et l’homme fait des actions cachées, s’il est libre des yeux qui pourraient le voir, mais ceux du ciel le voient, et l’homme ne peut se cacher nulle part de la face de ceux du ciel, il ne peut se cacher de l’œil de Dieu, de Sa poursuite, car le Seigneur c’est le Tout voyant, Mon peuple. Voilà, les chrétiens de cette parole n’ont pas échappé, eux non plus à ces sentiments cachés et à leurs actions ensuite, des désirs, des faiblesses amenées au fait par le travail dans l’obscurité, les fils. Et il y a encore un péché, car tel que le chrétien est ou il a été, son cœur le pousse ensuite vers le mépris, vers l’inimitié envers ceux d’auprès de lui, et c’est l’esprit de l’orgueil, cela, les fils, pendant que les fils de cette parole devraient être comme les fils du ciel, en s’humiliant eux-mêmes au moment où ils voudraient être appréciés par les autres, mais voilà qu’ils oublient tout cela, ils oublient combien le Seigneur leur a enseigné et combien Il leur a pardonné, c’est pourquoi ils ne devraient plus concourir sur le trône du jugement, celui pour les frères. Oh, celui qui ne peut être pur de cœur et de parole envers vous, fils par lesquels Moi, le Seigneur, Je lis Mon peuple, celui-là est reconnu à la ligne de son visage et de son action, à sa marche ou à son manque, ou le reconnaît d’après ses paroles ou leur manque, d’après sa conduite bavarde ou non, et toutes ces choses-là peuvent être lumière ou ténèbres, obscurité ou lumière, Mes fils, car au moment où, par Mon Esprit, Je vous donne à lire Mon peuple, c’est alors que vous voyez s’ils sont de la lumière ou de l’obscurité, si elles sont obscurité ou lumière les choses de leur travail, et beaucoup de douleur descend de Moi en vous, à cause de ce qui se trouve à l’intérieur de chacun de ceux qui se tiennent avec l’esprit ou avec la chair dans ce peuple. Je parle pour tous ceux qui se nourrissent de cette parole et Je leur dis cela: Ne sortez pas de sous la veille! Ne vous cachez pas de ceux d’auprès de vous, car si vous le faites, vous n’allez pas échapper au diable et au péché, car le diable aime l’homme qui se cache, et ensuite il peut agir par cet homme. Oh, Ma Virginie, oh, Ma trompette, voilà ce que Je leur dis: Demeurez en Moi, pour que Je demeure Moi aussi en vous, Moi Je suis lumière et ils ne se cachent pas les fils de la lumière! Oh, ne demeurez pas les uns dans les autres! Demeurez en Moi, car autrement satan vous pousse les uns vers les autres et vous oubliez de demeurer en Moi. Demeurez dans Mon amour, Mes fils, afin que Je demeure Moi aussi dans votre amour, et qu’il vous suffise comme votre amour, car autrement vous pouvez tomber à vous aimer entre vous et vous allez Me quitter pour l’amour. Oh, Ma trompette comblée de douleur, ta grande tristesse pour ce que tu as souffert sur la terre, elle est avec toi dans le ciel. Celui que Je t’avais donné, Moi, le Seigneur, pour t’accompagner dans toutes tes douleurs celles pour Moi, pour la naissance d’un peuple, on l’a arraché de ta protection dans peu de temps, puisque celui qui apprécie l’homme et il lui montre cette appréciation, celui apprécié perd tout le prix, qui lui est volé et mangé et il est entraîne vers le bas ensuite, dans le péché du mépris envers Dieu, et ensuite dans le péché de la dissimulation, car l’homme tombe vers l’amour et la joie cachée de son âme enchantée, et il perd la crainte de Dieu et la pensée de la découverte de ses faits, il perd la honte et il comble de honte le Seigneur. Oh, Ma chère trompette, il n’avait pas besoin de l’amour d’une femme ton accompagnateur, mais en sortant de sous la veille, il a été pris de faiblesse et tiré vers le péché. Quand J’annonçais que Je voyais son péché, il se fâchait contre Moi et devenait de plus en plus en cachette, le pauvre, tout comme Adam en Eden, car malheur à celui qui fuit la veille pour être libre d’elle. Voilà, Moi, le Seigneur, Je ne peux prendre l’homme à Mon service à titre d’emprunt. Mais lui il fait cela s’il Me quitte ensuite pour se donner au diable avec ses actions, avec l’obscurité aimée du diable, car celui qui se donne à titre d’emprunt, celui-là est inconstant et il change souvent de place, il va après Dieu et ensuite après mamona et il va après satan aussi, car mamona c’est l’œil du diable, selon les paroles de celui qui a eu mal sous cet œil, et l’homme se dirige vers ce désir et va toujours ainsi, puisque mamona mord son cœur et le porte vers lui. Oh, il y a beaucoup de péché sur la terre, et grand mélange pour le péché. Oh, si seulement l’homme ne serait-il pas dans le monde! La méconnaissance du péché punit l’homme lourdement pour le péché et le cache sous le péché. Ne vous fâchez pas, les fils, si Je vous parle du travail du péché sur la terre. Oh, il n’y a pas de maître ayant servante et ne pas la soumettre au plaisir de ses sens. Il n’y a pas de maîtresse qui, ayant serviteur ne l’attire pas vers le plaisir de sa chair pour le péché. Tout aussi il n’y a pas de grand homme sur la terre qui ne tire pas sous le péché de sa chair ceux qui se trouvent sous lui, en péchant de différentes façons entre eux, et voilà pourquoi J’ai tant conseillé le peuple de Ma parole de sortir du milieu des fils et des maîtres du monde, car Je veux avoir l’homme pur, mais on a beaucoup à travailler et à vieillir, beaucoup et toujours, et à corriger beaucoup les choses qui se gâtent et ne se tiennent pas sous la veille pour leur correction, puisque le diable est terriblement fâché lorsqu’il voit que Je prépare un peuple saint, et qu’il perd des âmes et des chairs à cause de Mon enseignement toujours, et à cause de la veille perpétuelle de Ma part sur un peuple conseillé, qui doit comprendre sa mission et lutter pour une vie sans péché, et il faut de grand souci pour ne pas laisser tomber dans la tentation ce peuple, pour ne pas devenir de la tentation les uns envers les autres les fils et les filles de ce peuple, puisque dans le monde l’homme tombe vers le péché et vers la faiblesse pour le péché par un regard seulement, dirigé vers lui expressément, il tombe par une parole séduisante, il tombe par un mouvement malséant et il s’abandonne au péché ensuite, et Moi, le Seigneur, J’ai dit par les prophètes et Je le dis encore maintenant: Sortez du monde, Mon peuple, sortez de lui pour ne pas goûter de son vin, de son ivresse menant vers le péché, et sans annoncer le Juge va venir et on découvrira les faites de chacun, car c’est toujours de la nuit et des péchés toujours sur la terre, et le péché c’est de la nuit, et c’est pendant la nuit qu’il est commis, et l’homme ne ressent pas la séparation de Dieu au temps de son péché, car il a du pouvoir le péché de rendre esclave l’homme, et il est vieux ce refroidissement envers Dieu, étant provoqué par le péché, car Adam s’est refroidi de Dieu au moment où il s’est uni avec la chaleur venue du péché, et il a vu plus tard cette douleur, la chaleur pour le péché s’est tournée contre lui et il a amèrement payé le plaisir du péché. Voilà, il n’est pas difficile que l’homme entre dans ce peuple, mais il est difficile qu’il soit constant dans la sainteté et pour le Seigneur, Celui Qui est Saint et Il est le Saint des saints. Oh, Mes fils de partout, oh, vous, ceux qui vous nourrissez de cette parole de Ma nostalgie envers l’homme, Moi, le Seigneur, Je vous exhorte à une grande œuvre, à une grande protection pour vous. Ne ménagez pas vos corps, puisqu’ils ne vous ménagent pas des fautes qu’ils commettent, mais, au contraire, ils vous aident, ils vous poussent les faire contre vos âmes, qui vont durer éternellement avec Dieu, ou avec satan. D’une descente à l’autre de Ma parole, maîtresse et stimulation pour vous, vous devenez lourds de cœur et d’esprit, toujours plus lourds, et Je dois vous réveiller vers la fidélité, les fils, Je dois toujours le faire. Oh, n’imitez pas les habitudes que vous avez et vous montrez les uns aux autres. Votre liaison avec ceux par lesquels Je vous donne de la nourriture du ciel, elle est froide cette liaison elle est éteinte, ……….., car vous n’avez pas cherché de comprendre à temps et toujours ce que Je fais par eux sur la terre et sur vous ensuite, et J’aurais voulu que vous ayez éclat céleste l’un face à l’autre, mais vous n’avez pas totalement reçu en vous l’explication entière de Ma descente vers vous. Les travaux manuels, malheur à vous, si vous n’aviez pas toujours de travail! Je vous regarde, les fils, les uns d’entre vous combien vous vous laissez comme des morts pendant les jours de fête, quand vous n’avez pas de vie en vous, de la vie pour Moi entre vous, de la vie avec Moi, les fils. Que se passerait-il avec vous pendant les jours ouvrables si vous n’aviez pas du moins de travail manuel, car c’est seulement au temps du travail soit avec l’esprit, soit avec le corps, c’est seulement alors que l’homme est vivant, et malheur à vous si vous seriez toujours plus morts que vivants, et si vous ne comprenez pas le grand besoin de mouvement du cœur, de la raison et de la chair, accompagné de foi et de volonté, et quel besoin avez-vous de tout cela pour ne pas être en faute envers Dieu, les fils. Oh, vous ne devez pas chercher dans la vie des saints pour votre vie, puisqu’ils vous regardent et ils sont étonnés de Mon séjour au milieu de vous et de votre séjour avec Moi, les fils. Ce que Je fais Moi avec vous et pour vous est plus que toute grand-peine que vous auriez face à Moi, car vous ne vous rendez pas compte de la mission que Moi, le Seigneur, J’ai maintenant sur la terre avec vous. Oh, combien grands vous devez être, les fils! Vous avez besoin toujours de fidélité dans Mon travail avec vous, car Je souffre quand satan arrache d’auprès de Moi celui que J’ai engagé à Mon travail d’aujourd’hui. Oh, quoi faire? Le faire souffrir lui aussi tout comme Moi pour l’acte de sa séparation de Moi et de Ma parole d’aujourd’hui au-dessus de la terre? Oh, les fils, un petit animal ou un autre plus grand qui vit auprès de l’homme prouve beaucoup de fidélité, beaucoup d’amour et désir de rester près de son maître qu’il connaît, et il a ensuite beaucoup d’obéissance, de reconnaissance et de gratitude puisqu’il a un maître. Il va à gauche ou à droite selon la commende de son maître, il sent son maître, il l’aime et il se réjouit de lui avec fidélité et plaisir. Il désire la présence du maître et quand celui-ci le réprimande plus sévèrement, il connaît l’âme de son maître et il ne se fâche pas de tout, mais il se soumet et il apaise son maître, il lui montre de l’affection et sa fidélité envers lui. Voilà donc exemple et enseignement par lui, les fils. Oh, ma trompette, tu attends. Tu attends de mettre ta parole d’amour sur la table. C’est un grand jour d’enseignement, et J’en ai mis beaucoup sur la table. C’est ta fête patronale, c’est ton jour de fête et de désir saint, et Nous allons mettre encore sur la table, oh, Ma trompette, Amen. — J’ai grande envie d’entendre ta parole, oh, Seigneur. Ceux du ciel ressentent profondément le désir saint que Tu parles au-dessus du peuple de Ta parole, qu’ils entendent Ta parole, et qu’ils se nourrissent de sa consolation. J’aime tant voir combien Tu Te sacrifies par Ta parole pour la vie de Ton peuple d’aujourd’hui. Je voudrais reposer un peu ceux qui Nous mettent en parole dans le livre, car j’ai pitié d’eux sous tant de fatigue, et revenir ensuite avec ce qu’il y a encore à dire dans mon jour de fête entre les saints, avec lesquels je suis descendue ici, où Tu as Tes jardins et le peuple mis à la veille et au travail pour eux et pour Toi, lorsque Tu Te réunis avec du peuple à la source. Oh, petit peuple, ne cherche pas d’être grand en nombre mais pas l’action de la foi, les fils, et par ton sacrifice pour ton Rédempteur. C’est ton action qui prouve ta foi et ta fidélité, pas le grand nombre de fils. Oh, comment serait il possible d’être petit pour cela, du moment qu’elles sont si grandes dans le ciel l’œuvre et l’attente de toi pour ton Seigneur? Ma joie d’aujourd’hui est mêlée avec grande tristesse. Ma parole avec peu de travail au milieu de toi, a donné lieu à mon cher Seigneur Jésus-Christ, Celui Qui te donne toujours de Son enseignement pour que tu existes et pour qu’Il t’ait le Seigneur. Oh, prends soin, tu as besoin de fidélité ! Moi j’ai montrée que j’en ai eu, et je ne me suis pas ménagé, mais j’ai souffert pour le Seigneur, et la souffrance a été mon amour. Oh, il est difficile pour celui sans souffrance d’aimer le Seigneur. C’est pourquoi on a besoin de désir saint toujours, et qu’il soit Lui votre souffrance, les fils, et le zèle pour notre Seigneur, Qui vous aime. Maintenant passez avec paix mon jour de fête et nous allons le finir toujours avec parole du ciel. Paix à vous, les fils! Amen. — Oh, paix à toi, Ma trompette! Que Mon peuple te montre le cadeau pour ton jour de fête, et que tu te réjouisses de lui, que tu te réjouisses avec lui et de lui, car Notre joie c’est lui, oh, seulement lui. Amen, amen, amen.
Deuxième partie Nous entrons de nouveau en parole dans le livre, oh, Ma Virginie. Mon peuple t’a consacré prières, hymnes et consolation. Moi, le Seigneur, Je l’ai regardé, et les armées de saints venues avec Nous pour la fête patronale écrite pour Mon jardin de parole, elles regardent comme Moi, elles te regardent, toi, celle fêtée aujourd’hui et elles honorent Mon don porté par toi sur la terre à la fin de temps et elles n’enivrent d’étonnement saint, comment a-t-il été possible tant de braise portée par ton corps aussi longtemps, pendant Ma descente par toi sur la terre en parole, oh, fille prophétisée comme porteuse du Christ-la Parole, Qui passait par toi avec Sa parole! Tu es établie avec fête patronale dans le jardin plein de parole, là où Moi, le Seigneur, Je descends sur les nuages au-dessus de lui, et Je parle, afin qu’on écrive Ma parole sur la terre. Je Me suis glorifié en toi et J’ai gardé entier ton corps, et tu n’as pas fondu sous Ma grande chaleur, car c’est ainsi que J’ai bienvoulu, mais ta souffrance a été très grande, puisque J’ai tellement la nostalgie de l’homme et Je suis venu après lui, et toi, tu as été Ma demeure. Paul l’Apôtre a vu la lumière qui enveloppait Mon corps pendant que Je lui ai parlé sur la voie de Damas, et ses yeux ont faibli de vue à cause de Mon éclat devant lui sur la voie, et il est resté ce signe sur le corps de celui choisi Apôtre ce jour-là, et Mon Esprit et Ma grâce est resté aussi sur lui, pour qu’il annonce la gloire partout où il racontait l’histoire de Mon apparition devant lui. Mais en toi J’entrais et Je travaillais au moment de Ma parole prononcée par la voix de ta bouche, face à face avec ceux qui écrivaient Ma parole pour qu’elle reste, et il n’y en a pas eu une telle œuvre de Moi sur la terre jusqu’à toi, et il n’y en aura plus. Oh, Ma trompette, oh, Ma Virginie, qu’elle a été grande ta soumission! Tout aussi a été ta crainte de Dieu et tu tremblais à Ma parole et tu te soumettais sans protester, et Mon don établi sur toi grand et lourd à porter, et cela a été ton sacrifice pour Moi, ton corps, dans lequel l’Esprit de Ma parole entrait, tout comme J’entre dans l’homme au temps de la sainte eucharistie, et je te passais de la chair en esprit, oh, Ma trompette, et de l’eau coulait de toi, car J’étais fournaise en toi, et c’est merveilleusement que Je travaillais si tu ne te consumais pas. Oh, c’est seulement avec des douleurs que tu t’es nourri avec la chair et avec l’esprit, et tu n’as pas eu de joies sur la terre, mais c’est une seulement que tu l’as eu, celle que tu as pu porter Ma venue en parole sur la terre, pour que Je puisse préparer ensuite la foi d’un peuple, qui devais s’élever après toi, et avec lequel J’établis sur la terre un lieu pour le Seigneur, ciel nouveau et terre nouvelle, mais pas à la manière du monde et de ses prêtres, des églises pour le monde; oh, pas ainsi, mais pour Moi et pour ceux qui renoncent au monde en sortant de lui en se consacrant à Moi, sacrifice de fidélité et de constance pour l’accomplissement des Ecritures de la fin avec eux, car le Seigneur a besoin de mains et de pieds et d’amour dans le service de la fin de Sa parole, qui vient sur la terre. Nous avons souffert Moi et toi aussi des années et des années, en attendant l’amour du peuple nourri par toi avec Ma parole, Ma Virginie, mais ce peuple-là a peu aimé, il a aimé pour lui, pas pour Nous, ceux qui Nous Nous tenions devant lui pour sa grâce, pour la lumière de sa vie. Nous Nous tenions après lui et Nous lui apportions l’amour et des joies Nous lui donnions, mais Nous n’avons pas pu cueillir de fruit du peuple de jadis. Je t’ai prise en haut ensuite, entre les saints, et Nous avons travaillé d’en haut et Nous avons préparé des fils consacrés à Nous, tel que Nous avons pu dresser Ma table de noce et y mettre en abondance de la trésorerie de Ma parole, et de la parole toujours fraîche, Nous annoncer beaucoup et avoir des convives, Ma Virginie, et Nous avons commencé à faire des pas, selon Mes promesses pour le peuple du temps où tu étais Ma trompette sur la terre. Oh, quels sortes et grands accomplissements pour la petite raison de l’homme qui ne considère pas qu’il est un homme et c’est tout, qu’il ne compte pas comme Dieu! Il devrait être grand l’amour de Dieu dans l’homme. C’est pour cela que J’ai bâti l’homme et c’est pour cela que Je travaille au-dessus de la terre en parole, et Je Me donne aux hommes pour qu’ils comprennent les choses d’en haut avec eux, mais la chair et le monde ne laissent pas l’homme s’échapper vers Dieu, tout comme un prisonnier ne peut s’enfuir de la prison pour s’en sauver. Allons Nous rappeler de Mon temps avec toi sur la terre, oh, Ma Virginie, car il y a à apprendre au peuple jeune d’âge, acquiert par l’esprit du témoignage, peuple qui doit bien apprendre à cette école et qui doit faire lui ce qu’il n’a pas voulu faire le peuple du début et celui du milieu de la descente de Ma parole sur lui. Oh, Nous allions souvent dans les maisons des chrétiens, et pas n’importe où, car le Seigneur est frêle comme une colombe avec Son saint Esprit, et Il ne peut demeurer dans des lieux défavorables pour Lui et la gloire avec laquelle Il Se porte entre le ciel et la terre. Nous allions chez les chrétiens, Je descendais en toi et Je parlais à cette maison-là et à ceux qui se rassemblaient à Ma parole. Nous allions chez les chrétiens. Il était difficile pour Nous chez beaucoup d’entre eux, puisqu’elle n’était pas agréable pour Nous la vie et la propreté de la maison. Nous allions chez les chrétiens pour qu’ils prennent dans leur cœur le désir d’apprendre et de se préparer pour Ma venue chez eux, et pour renouveler leur vie et leur maison et leur corps et tout leur état, oh, et Nous ne trouvions pas de beau presque nulle part et Ma gloire souffrait beaucoup et s’humiliait beaucoup, et Je Me tenais en toi avec Ma souffrance, pour que Nous souffrions ensemble toute la douleur venue de Notre attente après eux. Nous rependions avec grande pitié des odeurs enivrantes, qui souffraient elles aussi dans les maisons des chrétiens, car elles étaient du paradis et elles Nous accompagnaient et parfumaient le lieu où Nous descendions, pour qu’il s’humilie et non pas se réjouir le chrétien peu aimant de Dieu. Mais il se ventait ensuite que le Seigneur avait été avec Ses odeurs célestes chez lui avec Sa trompette, à table de parole dans sa maison, et pas sujet de repentir, d’humilité, de relèvement du péché et de l’odeur du péché, puisqu’ils étaient tous adeptes de la bonne vie et ils ne renonçaient point à leur joies. Oh, à quel point Je souffrais à cause de leur manque d’amour envers Nous! Pas même les signes célestes avec lesquels Nous Nous montrions à eux ne les menaient pas vers le repentir après le péché, pour se rendre saints ensuite pour le Seigneur. Oh, à quel point Nous souffrions! Oh, à quel point ton corps a souffert, Ma Virginie! Le peuple aimait la nourriture mondaine et s’en réjouissait, et le chrétien n’était pas saint avec sa nourriture et ses habitudes, et Nous souffrions et Nous souffrions. Ils venaient chez toi les chrétiens pour leur donner du ciel, ils se déchaussaient à la porte, ils entraient et ils laissaient mauvaise odeur dans la maison, et J’ai décidé ensuite de te protéger et ne pas laisser le chrétien entrer n’importe comment dans ta petite maison, car J’avais pitié de toi et des anges toujours auprès de toi, sans dire que Je n’avais pas que choisir en vue de prendre auprès de toi des âmes chères pour Moi et pour toi par leur vie avec Moi, des appuis dans ta grande tristesse pour le ciel qui souffrait en toi, Ma trompette. Allons enseigner à ceux nées sur la voie, toujours enseigner, et les appeler à l’obéissance aussi ceux qui veulent s’habituer avec la vie sainte, puisque c’est avec la sainteté en lui que l’homme peut arriver au ciel, mais pas avec la science, car il n’échappe pas à l’esprit de l’orgueil celui qui se manifeste avec sa science, s’il n’a pas en lui de la souffrance pour l’amour de Dieu. Oh, Je ne parle pas seul maintenant, mais Je parle avec toi auprès de Moi pour ceux qui Nous écoutent en parlant, et voilà, Nous leur parlons. Oh, les fils, ne soyez pas Egyptiens, car Moi, le Seigneur, J’ai besoin de tous vos membres visibles et invisibles, de tous vos sens et ce n’est pas beau au ciel ni sur la terre avec vous, ce n’est pas beau que vous ne rependiez une odeur céleste et agréable pour ceux du ciel et pour ceux de la terre avec vous. Oh, soyez attentifs à ce que vous mangez, les fils! Ne mangez pas comme les Egyptiens, dont la chair et le souffle de la bouche sentent l’oignon et l’ail, la rance, l’aigre, le piquant, mais ayez soin de rependre les odeurs du ciel, où il n’y a plus de pouvoir pour les corps et l’odeur qui rendent les corps laids et toujours plus laids et de mauvaises odeurs, car Moi, le Seigneur, J’ai promis que Je vais Me planter un peuple et J’ai écrit que Je remplirai la terre avec des milliers et de milliers de lys et de roses, pas d’oignons et d’ail, pas avec des goûts mondaines sur la voie avec l’homme. Oh, obéissez aux signaux que Je laisse entre vous, tel que Je peux le faire, et accomplissez comme au ciel Mon conseil pour vous, car voilà, le monde met des odeurs sur les odeurs de leur chair et il fait ce péché, puisque les odeurs saintes sont du ciel et elles viennent de l’intérieur de l’homme lorsqu’elles existent, elles ne viennent pas des choses de la fausse science, oh, non, les fils, non. Oh, mangez des plats douces, les fils, car vous n’êtes pas du monde pour chercher des goûts et de l’odeur de toutes sortes pour les plats, mais vous êtes des fils du ciel et vous devez vous montrer comme des aromates pour les anges et les saints. Oh, pourquoi apportais-Je des aromates du ciel et Je remplissais la maison où J’entrais et Je claironnais de Ma trompette? Je le faisais pour aider le chrétien à faire la différence et à comprendre Mon désir saint de lui, car il était envahi de l’odeur céleste dans laquelle Moi, le Seigneur, Je M’entoure de toutes côtés entre le ciel et la terre et c’est ainsi que Je voyage, et c’est de tels lieux que Je veux trouver pour Mon arrêt chez les fils sur la terre, tel que J’aimais spécialement le lieu de la Béthanie, où on préparait Mon accueil et des aromates pour Mon entrée chez eux, car ce peuple était beaucoup habitué avec des aromates à grand prix pour le Seigneur, et ils avait pour lui la loi du lavage de tout ce qui n’est pas agréable au Seigneur, et s’il ne s’était pas tellement aimé soi-même ce peuple, il aurait eu de la grâce et il aurait été pris par l’amour de Dieu, tout comme ceux de la Béthanie, chez qui Moi, le Seigneur, J’avais fait Mon arrêt sur Mon chemin vers ceux accablés de douleur et de tristesse, et sur Ma voie vers le Père ensuite. Oh, fils de Ma source de parole, soyez des maîtres pour ceux doux de la terre, qui n’ont pas Mon enseignement qui est sur vous. Donnez-leur Ma parole et suppliez-Moi que Je lui ouvre voie avec fruit vers eux, et soyez des lys et des roses, oh, les fils. Voilà, Ma Virginie est tout un esprit de consolation à sa fête avec Moi et les saints auprès de vous. Elle veut que Je parle Moi, car c’est ainsi qu’elle était habituée que Je fasse. Oh, Ma Virginie, tu dois leur donner toi aussi, puisque tu es Ma trompette dans le ciel aussi, et tous ceux qui arrivent selon leurs dons dans le ciel, ils continuent sur la terre. Amen. — Tu leur as parlé, Seigneur, sur ce qui Nous fait le plus mal, pour que l’on trouve ici l’enseignement pour ceux qui cherchent avec leur amour vers le ciel. Il faut que leur état et leur être soient comme dans le ciel, tout comme dans le ciel doivent être renouvelés Tes lieux avec eux, car tous les fils des hommes sont des Egyptiens et ils sont partout, et ils rependent des aromates sur de la nourriture, ils sont les fils de l’hypocrisie, mais ceux qui T’aiment doivent avoir comme Toi, doivent être comme Toi, pour que Tu puisses Te montrer, Toi, aux hommes, à ceux qui les connaissent comme les Tiens, et qu’ils témoignent aussi de Toi. Amen. Apprenez, les fils, et soyez obéissants à toute parole du Seigneur pour vous, car le mot église est le plus parfumé des mots, c’est la place où le Seigneur passe le temps avec les Siens, compagnie comme dans le ciel, comme dans le paradis, comme entre les aromates célestes, oh, les fils. Le mystère de cette parole prend chair sur la terre et on l’apporte au Seigneur par son œuvre le mystère de l’église. Oh, prenez soin de nourrir l’amour entre vous, qu’il soit toujours au milieu avec tout ce qu’il signifie, avec tout ce que signifie Dieu et Son travail sur l’homme, car ceux qui n’obéissent pas sont ceux qui ne nourrissent par l’amour, ils sont ceux qui sont fatigués d’eux-mêmes et ils se tiennent sans du travail céleste ensuite, et ils sont seulement de la chair. Mais vous, passez en tout moment de la chair en esprit, et que vos corps soient des lys et des roses, afin qu’ils se donnent au Seigneur par leur parfum. Si les Egyptiens, les fils du monde, ils ont dans leur nature l’œuvre des aromates pour leurs idoles, oh, ceux qui appartiennent au Seigneur sur la terre doivent avoir beaucoup plus dans leur nature l’amour du Seigneur et le mystère de la Béthanie avec eux. Le Seigneur vous a parlé dans le jour de la fête patronale de Son jardin avec vous, et Il vous a raconté de ma souffrance et de la Sienne, celle venue des plaisirs des chrétiens beaucoup de temps nourris avec de la manne du ciel, prenant la source de ma bouche et de Son Esprit coulant. Oh, à quel point J’ai souffert, oh, quelle honte face au Seigneur, honte venue de ceux qui ne pouvaient pas se passer de la primauté de la chair! Oh, les fils, que d’amour et que de sagesse et d’obéissance le Seigneur attend de ceux écrits auprès de Lui sur la terre et avec Lui dans Son œuvre! Réjouissez-vous que le Seigneur vous a parlé Lui, plus que moi, dans mon jour de fête entre les saints. Moi en Lui, et Lui en moi, c’est ainsi qu’on a parlé. Oh, soyez sages, les fils! Soyez obéissants, pour être sages! Soyez chauds, soyez calmes, soyez doux, ayez beaucoup d’humilité. Mangez des plats doux comme des saints, car cela c’est le devoir pour les saints. Celui qui veut aimer le Seigneur doit apprendre tout cela. Amen. Oh, le Seigneur a eu beaucoup d’aimants par cette sorte de grâce et il y a eu beaucoup de vainqueurs contre leur chair, car l’homme c’est ce qu’il mange et pas autre chose n’est-il, et on peut l’observer tel qu’il est. Mangez doux, mangez ce qui vous fait doux et agréables et légers et saints, sentant des aromates célestes et à table avec le ciel, puisque le ciel est avec vous à table, les fils, et vous n’êtes pas comme tous les hommes de la terre, mais vous êtes la Béthanie du Seigneur, Sa maison d’aujourd’hui. Oh, n’oubliez pas d’être beaux pour Dieu, car tout comme vous êtes pour Lui, tout aussi vous l’êtes pour ceux d’autour de vous, puisque la mesure est du ciel. Paix à vous ! Que vous soyez de la consolation il souhaite de vous. Amen. — Oh, Ma Virginie, Je souhaite qu’ils soient Ma consolation. Paix à toi en jour de fête sainte pour le jardin que tu as sous veille céleste! Oh, ne pleure pas! C’est la fête patronale maintenant. Cachons Nos larmes en ce jour. Tu as des disciples qui t’ont suivie et t’ont portée et t’ont gardée, et ils portent ton amour, ils se tiennent devant Moi et ils M’écrivent la parole dans le livre, lorsqu’elle se laisse avec sa voix sur son jardin, et il va le mystère de la nouvelle création, et elle a du pouvoir Ma parole. Allons espérer! La terre Nous attend avec le ciel au-dessus d’elle en grande œuvre et il viendra le jour où Nous ne pleurerons plus Nous. Amen. Je souhaite que vous soyez de la consolation, oh, les fils, et que le mystère de la Béthanie vous Me le portez avec l’esprit de la chair, car Je n’ai personne sauf vous. C’est votre humilité qui peut toujours faire de vous Mon appui, Ma consolation, et c’est avec timidité sainte que vous devez Me porter sur vous et sur la terre avec Ma parole laissée à vous, oh, les fils! Amen, amen, amen. 14-12-2012
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