La Parole de Dieu à la fête qui fait mémoire de la Décapitation de Jean-Baptiste

J’annonce Mon arrivée par la brise de Ma voix, et c’est ainsi que Je frappe, afin que l’on M’ouvre et qu’on M’accueille dans la cité.

J’entre dans le livre en parole, J’en pais au-dessus de la terre, et verge de Pasteur c’est Ma parole, avec laquelle Je pais.

Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit! C’est en ce nom que Je pais d’au-dessus et Je suis compris dans la divine Trinité, car Je suis le Fils du Père, la Parole du Père, Je suis Pasteur et Je prends soin du troupeau du Père, pour lui donner nourriture et tout le nécessaire pour la vie, celle du Dieu pour le troupeau, car sans Moi personne ne peut rien faire, tel qu’il est écrit.

Paix à vous, ceux nourris du ciel, surtout à vous, qui connaissez en ce temps la voix de Ma venue, vous en croyez et vous cherchez la voie pour trouver Ma parole! Oh, Moi aussi Je regards tout le temps vers vous, pour apprendre si elle vous est utile la parole de Ma bouche, car si vous ne l’accomplissez pas, elle ne vous est pas utile, et Moi J’ai très mal quand Je vois Ma semence répandue sur terre épineuse, non sarclée, non soignée pour qu’elle germe la graine une fois semée, et ensuite soignée et arrosée pour qu’elle croisse et produise du fruit.

Et maintenant, paix à vous, à ceux de la cité de Ma parole, et Je Me donne à vous pour que vous ayez la paix, les fils! On a jour de fête, jour marqué à grand signe dans le calendrier chrétien, et Je suis venu avec nourriture sur votre table, dont vous allez partager sur toute la terre, car elle ne diminue pas, mais elle augmente davantage si on en rompt et on en partage partout suffisamment.

J’explique maintenant pour tous le sens du mystère de pasteur, car il doit être connu, du moment qu’il y en a tant de ceux qui se lèvent à apprendre du livre et se mettent ensuite à paître ceux d’autour d’eux, sans savoir aussi les responsabilités de celui qui s’élève pour qu’il soit pasteur, et qu’il travaille selon ce nom. Un tel serviteur ne peut s’engager tout seul, mais si seulement il est envoyé du ciel avec la nomination et la bénédiction de celui plus grand, et qui à son tour est un envoyé.

Quand Moi, le Seigneur, J’ai commencé Mon œuvre de Pasteur, J’ai eu l’envoi sur la terre, car c’est Mon Père Qui M’a envoyé, pour descendre de Lui et naître sur la terre comme l’homme, croître par les choses spirituelles et sortir ensuite sous perfection, avec œuvre de Pasteur pour paître les brebis de Mon Père, celles qui entendent Ma voix, elles M’en reconnaissent et Me suivent, pour les paître avec celles données du Père pour les partager. Je n’oblige personne de venir après Moi, et ils viennent seulement ceux qui entendent Ma voix et ils Me reconnaissent d’après la voix.

On reconnaît un pasteur d’après la vie et ensuite par sa voix, par la nourriture qu’il partage, et surtout par le pouvoir qu’il prouve en parole, par l’accomplissement de la parole, par des signes prouvés, tel qu’il s’est passé avec les disciples envoyés il y a deux mille ans en Mon nom, qui ont travaillé de Moi, pas d’eux, et ils se sont montrée merveilleux par de grandes signes, des pasteurs qui mettaient leur vie pour les brebis.

Oh, mais que personne n’oublie qu’un pasteur a l’apparence de pasteur, qu’on le reconnaît par son aspect, par le vêtement de pasteur, d’apôtre, et surtout par le signe de pasteur envoyé du christ: la croix.

Mais voilà la multitude de ceux qui n’ont pas les signes pastoraux, les voilà ceux nombreux qui sortent moissonner, dissent-ils! Moi, le Seigneur, Je parle pour ceux-ci, et voilà ce que Je leur dis:

Le peuple du Seigneur et tous les travailleurs du Seigneur entre les hommes, cette sorte de peuple n’a jamais été n’importe comment à l’apparence et aux vêtements, mais seulement avec des habits saints et seulement comme Dieu. Qu’ils regardent ceux qui paissent n’importe comment, qu’ils considèrent ceux de l’église de Jésus-Christ les serviteurs des églises, ceux qui ont gardé leur habit donné par Dieu pour les pasteurs, et c’est pour cela que l’on a bâti des monastères et de saintes demeures, pour qu’ils s’y rassemblent ceux qui ont choisi la vie sainte pour eux et l’habit de même. Mais toi, celui qui t’habilles comme les fils de ce siècle, costume et cravate serré autour du cou, Je te demande est-ce la cravate ton signe de pasteur? Oh, où as-tu entendu dans les Ecritures que tu lis tant, où as-tu entendu que les serviteurs et les prophètes et les apôtres de Dieu auraient porté costume mondaine et cravate qui entoure le cou? Voilà, les serviteurs dans les églises, dont tu dis qu’ils t’embarrassent et te font t’éloigner, toi et d’autres par toi, ceux-ci gardent l’habit qui ressemble à celui du Christ et de Ses saints, et toi, tu ressembles aux fils du monde pas aux fils de Dieu. Ils font de la bénédiction selon la tradition, pour tout ce que tu fais au nom du Seigneur pour les hommes, pas de ta tête, tu prends cette bénédiction de Dieu par celui auquel on a donné de bénir, et toi tu dois travailler ensuite pour le Seigneur et pour les hommes, pas pour toi, et pour ton orgueil.

Oh, il est écrit dans les Ecritures, mais l’homme ne lit pas, ou il ne veut comprendre avec de la foi, et c’est en vain qu’il lit, et ensuite il se laisse facilement trompé par l’égarement de ceux qui se lèvent pour tromper par l’esprit de la perte, beaucoup de ceux sans connaissances, et qui ne se tiennent pas sous le conseil, et alors ils viennent des pasteurs étrangers et ils volent de la voie seulement ceux qui ne sont pas fortifiés avec la connaissance pour les chrétiens fidèlement de la part du Christ, et de Son établissement de deux mille ans par l’église, par les saints et par les ancêtres.

Je suis à table de parole avec Jean-Baptiste, avec celui envoyé du Père pour être né sur la terre, oh, est c’est ainsi qu’ils viennent ceux envoyés du ciel, et ils se montrent en habit de fils de Dieu devant les hommes, pas comme les hommes du monde par leur aspect, mais comme pasteur, par ce qu’ils sont avec leur vie et leur apparition, et Jean enseignait à tous comment faire pour que leurs péchés soient remis, afin qu’ensuite ils puissent eux aussi partager le royaume des cieux et ses mystères avec l’homme, et ceux qui n’obéissez à sa voix qui criait: «Repentez-vous», oh, ceux-là ne comprenaient rien de celles venues du ciel sur la terre pour s’accomplir en ce temps-là sous leurs yeux. Ils ne comprenaient pas parce qu’ils ne se repentaient pas ceux qui entendaient Jean en criant: «Repentez-vous».

Voilà, Moi aussi Je crie en ce temps, Je crie depuis presque soixante–dix ans, Je crie aux chrétiens, Je crie à ceux dépourvus de vie de chrétiens par leur actions. Je crie toujours et toujours, car ensuite Je donne libre cours à la colère pour les péchés, afin d’aider les pécheurs à pleurer pour leurs péchés et aider leur repentance celle pour les péchés, car autrement l’homme ne sait faire autre chose que du péché, du petit au grand, du grand jusqu’au petit, et les péchés préparent la souffrance pour le péché, tel qu’il est écrit, mais tous les aveugles et difficiles à remuer pour la foi et le repentir, tous ceux-là ne sentent pas, ne se sentent pas, ne profitent pas de l’appel de Dieu, et jusqu’à la fin ils voient leur égarement, leur manque d’amour, dans lequel ils se tiennent froids envers Dieu et amateurs de péché.

Oh, il n’y a plus de pasteurs ayant pitié de l’âme et de l’éternité de l’âme humaine. La pitié est vide de vie et de repentance pour la vie, c’est cette sorte de pitié que s’offrent les uns aux autres ceux dépourvus de vie éternelle pour l’homme, oh, et Je ne trouve plus d’homme qui M’aide à Me faire place dans l’âme de celui aveuglé par l’amour de soi, et Je cherche et J’attends encore trouver des fils qui aient pitié de Dieu, et des hommes.

Oh, fils qui portez Ma parole au-dessus de la terre, que se serait-il passé si Moi, le Seigneur, J’avais travaillé avec pitié nuisible, en laissant Adam en Eden après la faute de la désobéissance, par laquelle il a choisi d’écouter le diable par la femme celle folâtre et insoumise à Dieu? Et voilà, chrétien, tu ne sais pas faire pitié avec ton frère coupable par l’amour de soi, par le manque d’amour envers Dieu, et tu le laisse mourir quand tu l’aides avec ta pitié de lui, et pas avec le conseil de s’écarter du péché, quand tu le vois en faute face à l’amour de Dieu par sa méconnaissance de soi, le pauvre homme.

Lorsque J’ai vu que l’homme n’est que glaise après lui avoir donné la vie et la connaissance pour qu’il soit demeure céleste pour son Créateur, Je lui ai dit à grande douleur: «c’est de la glaise que tu es». Oh, l’homme a détruit Ma maison, il M’a tourné le dos pour le péché, il s’est rangé du côté du péché et il est resté glaise, seulement de la glaise et il est retourné dans la glaise, puisqu’il n’a pas voulu être avec Dieu et avec le ciel. Il est tombé ensuite tout le genre humain, car il n’a pas eu de pasteurs comme guides vers le ciel, puisque si les tiens voient que tu ne sais pas ce que Dieu veut de toi, et tu ne travailles pas visiblement l’accomplissement et ta vie avec Dieu, alors les tiens ne croissent pas eux non plus, eux non plus n’échappent à la désobéissance envers Dieu, oh, et grand regret arrive au jour de la récompense pour les obéissants et les désobéissants, parce que les uns reçoivent de la joie, et les autres voient ce qu’ils ont perdu.

Voilà, les fils, l’infidélité fait tomber l’homme dans le mépris et il sera méprisé celui sans fidélité, car si tu n’as pas de fidélité envers celui qui te guide et te veille, comment pourrais-tu en avoir envers Dieu? Et si tu n’as pas de fidélité envers Dieu, comment pourrais-tu être constant face à un homme que tu veux à la place de Dieu avec toi? Voilà, le roi Hérode a été porté du bout du nez par la femme de son frère, celle sans fidélité et il a cru, ce roi qu’elle serait autrement pour lui, mais elle travaillait seulement pour son amour de soi dans tout ce qu’elle forgeait par son esprit de femme folâtre, et le roi d’Israël est tombé frappé à ses pieds indignes, oh, et c’est ainsi qu’il se passe avec le péché de l’infidélité, et il est à veiller pour celui qui s’aime soi-même, et qui t’abat par l’infidélité qu’il travaille, et si tu ne veilles pas tu mérites le sort de la chute de Dieu, car tu as aimé la désobéissance à la place de Dieu et tu as travaillé comme Adam, celui sans fidélité, et qui a anéanti en lui le repos de Dieu, par la hardiesse de ne pas aimer l’obéissance envers son Créateur, Auquel il devait la vie.

Et voilà, Jean le Baptiste entend la grandeur de Ma parole en son jour de fête, le jour de son entrée entre les saints, et il prend la décision de prendre place auprès de Moi en parole et de parler à la table d’aujourd’hui sur Mon repos perdu par l’homme sans l’amour de Dieu en Eden, et Je bénis Moi, le Seigneur, sa parole d’aujourd’hui.

— Oh, Seigneur Agnelet, l’œuvre de Ta parole avec Ton peuple d’aujourd’hui c’est Ta victoire celle de la fin de temps, c’est la lutte de l’Agneau avec la bête, qui crie blessée et pousse ses petits à la lutte contre Toi, mais elle vient la fin de la lutte, pas comme celle d’il ya deux mille ans, mais elle vient glorieuse comme à la fin, oh, Seigneur, car l’antéchrist oublie que Tu es la Parole Celle du commencement, où Dieu a été la Parole et quand à Dieu était la Parole et c’est par Lui qu’on a tout fait.

L’antéchrist a essayé de faire sur la terre homme sans péché, disait-il, il essaie de faire de l’homme femme, et il s’est donné et se donne la peine de toute façon pour faire ce que Dieu seul a réalisé, mais son aveuglement est grand et long de sept mille ans, et par orgueil il s’efforce de prendre sa place dans l’homme, mais il sera sous la honte par tous les témoins du ciel, qui l’ont vaincu sur la terre, et ensuite par ceux de la terre, qui resteront fidèles jusqu’à la fin, pour Ta gloire avec eux, soit-elle seulement la souffrance celle pour Toi, oh, Seigneur, vainqueur par la croix, et pas sans croix, car sans croix il n’y a pas de victoire.

Nous veillons d’avance pour votre entrée dans le livre à l’occasion de ma fête entre ceux du ciel, et j’ai pris de la table fraternelle la parole qui fait souvenir de Ton discours, où Tu dis il y a quelques années: «Toi, homme, apprends-Moi ce que Je dois faire pour retrouver Mon jour de repos, car Je l’ai perdu par la tombée de l’homme vers satan en Eden».

Oh, Seigneur, qui peut T’apprendre Toi, qui le peut ? Oh, Tu as perdu le repos, Tu as perdu l’homme, Seigneur,. C’est lui Ton jour de repos, et je Te prie maintenant de faire une descente de parole avec ce mystère perdu entre Toi et l’homme, par son manque d’inclination envers Toi. Et que le peuple de Ta parole apprenne la soumission, Seigneur, qu’il apprenne toujours ce mystère de la foi, et de la fidélité par la foi, car autrement leur foi est en vain, oh, Seigneur.

Et maintenant gloire à Toi entre les saints pour Ta grande parole du jour de mémoire pour ma venue à Toi entre les saints! Et Toi, apprends toujours à Ton peuple la soumission et toujours la soumission, car c’est de cette grâce que Tu reçois Ton repos, Ta consolation perdue par l’homme désobéissant en Eden.

Ce mystère de la soumission, c’est lui qui rend sage l’homme et porteur de Dieu ensuite. Que les fils du peuple de Ta parole marchent avec crainte sur la terre que Tu as choisie! Qu’ils vivent et qu’ils se conduisent avec crainte devant Toi ici, et qu’ils montrent de cette façon leur fidélité et inclination, car moi, je n’ai pas vécu mes jours sur la terre que dans la fidélité face à Toi, plein de modestie et sans de ménagement pour la chair, et Toi, Tu T’es reposé en moi, et Tu T’es montré par moi au Jourdain, témoigné du Père comme Son Fils. Maintenant nous rendons témoignage l’un pour l’autre, et qu’ils apprennent de Nous, travailler comme Nous, car de grands mystères les entourent ici, et qu’ils puissent les comprendre, Seigneur, puisque Toi, Tu as ici une très grande œuvre avec eux, maintenant sur la terre!

— Oh, disciple saint, Mon jour de repos, c’est l’homme qui Me l’a mangé, parce qu’il ne M’a pas laissé Me reposer après qu’il ait péché face à Dieu. Oh, Je ne Me suis reposé ni sur la croix après avoir rendu l’Ame, celle du corps, mais Je Me reposerai, car ils se lèveront de grands saints, et Je Me reposerai en eux, tel que l’homme aurait dû être Mon jour de repos, l’homme bâti de Dieu à la fondation du monde, et alors c’est l’homme qui M’apprendra comment trouver Mon repos perdu et son jour.

Je viendrai expliquer davantage le mystère de Mon jour de repos et Je vais tirer au clair devant ceux de la terre ce mystère, et maintenant paix à toi, peuple qui Me reçoit sur la terre en parole, quand Je viens d’auprès du Père pour Me mettre dans le livre!

Et encore, gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, car c’est sous ce grand nom que Je pais ceux qui croient et qui reçoivent Ma venue en parole, en ce temps de Ma gloire avec vous sur la terre, oh, les fils! Amen, amen, amen.

11-09-2022