La Parole de Dieu à la fête qui fait mémoire De l’exécution de Jean le Baptiste

Je suis Celui Qui est. Je suis la Parole du Père Sabaoth. J’ai maison sur la terre avec toi, peuple de Ma parole! Voilà que de pouvoir a-t-elle Ma parole! Elle vient d’en haut, portée par les nuages et elle accomplit grande œuvre sur la terre. Elle appelle l’homme à Dieu et elle naît d’en haut celui qui se dirige avec foi vers son pouvoir. Amen.

C’est de la naissance d’en haut que Ma parole donne à l’homme. C’est ainsi que Je t’ai donné de la vie de Moi, de Ma parole, pour que Je t’aie comme Ma maison et que Je Me fasse demeure sur la terre entre les hommes, Mon peuple. Les saints se tiennent en grand étonnement face à face avec cette merveille entre Moi et toi, et se nourrissent avec Mon amour à table avec toi sur la terre, ils se nourrissent avec Moi et avec toi à Ma table avec toi, ils remplissent leur esprit de cet amour et ils sont frappés d’étonnement, tout comme ils sont liés à ce qu’ils voient et ressentent ceux qui vont voir et entendre les hommes, qui leur montrent une grande histoire, très bien préparée pour réunir beaucoup, leur offrant vue et nourriture pour l’esprit, et ils restent ceux-ci animés par ce sentiment pendant tout le temps qu’il travaille sous leurs yeux.

Oh, Mon peuple, la fête d’aujourd’hui Me réunit avec les saints à Ma table avec toi, et J’ai Jean le Baptiste célébré entre les saints avec le jour de son rencontre avec le Père Sabaoth et avec tous les saints d’avant lui, et qui jusqu’à lui, ont fini leur voie vers le ciel et ils sont entrés dans les armées des saints, dans ce qu’on ne voit pas, choses du pays d’en haut, le pays de Mes saints, qui ont peiné pour lui sur la terre.

L’homme fidèle doit prendre grand enseignement de la foi de Mes saints. Tout d’abord l’homme fidèle doit frémir quand il prend comme intermédiaire pour lui un saint, qui a vécu en chair sur la terre, et qu’il reconnaît d’être vivant dans le ciel et intermédiaire entre lui et Dieu ensuite. Si ce vif frémissement ne lie pas du saint celui qui le prend de médiateur vers le ciel, alors la liaison entre la terre et le ciel ne se réalise pas avec force, elle ne supprime pas les choses que l’on voit, choses qui arrêtent la voie de l’homme vers Dieu.

Il est grand le mystère de la parole de l’homme avec Dieu et avec Ses saints. Il faut bien fixer cette signification dans la raison de l’homme. Quand l’homme va dans une grande ville célèbre, il se prépare avec l’esprit et avec la chair et il voyage ensuite avec la pensée vers cette ville-là, vers ce qu’il va faire là-bas et vers ceux avec lesquels il va se rencontrer. Plus que cela doit l’homme se préparer quand son esprit le porte vers ceux du ciel, car la séparation entre celles de la terre et celles du ciel est faite par les choses que l’on voit, c’est le corps même de l’homme et celles qui lui appartiennent, le corps que l’homme doit préparer pour le voyage vers le ciel, alors que son esprit ou son besoin le porte là-bas, car c’est le corps qui porte l’esprit et il est l’habitation de l’âme et de l’esprit de l’homme sur la terre.

Oh, Mon peuple, l’homme devrait consacrer beaucoup de son temps sur la terre au service de celles d’en haut, de la patrie céleste et de ses habitants. C’est ainsi qu’il a été le temps et le désir saint et l’œuvre de Mes saints, qui cherchaient chaleureusement attirer vers le ciel ceux qui oubliaient de Dieu et du ciel, dans leur vie en chair sur la terre. Celui qui veut avoir grand service et habitation distinguée et bonheur avec le Seigneur dans l’éternité au ciel, celui-là apprend beaucoup sur la terre pour une bonne note dans le ciel, et il a beaucoup de sagesse et beaucoup de fruit amassé ensuite, et le payement, celui du ciel est semblable à celui d’un homme qui sur la terre amasse beaucoup de connaissance et beaucoup d’influence entre les hommes, par sa grande tenue, gagnée par l’enseignement et par les actions et par de bonnes notes, et ensuite il y en a beaucoup qui prennent de lui préparation et élévation vers de hauts degrés entre les hommes et sur les hommes, et vers le bon service difficilement acquis sur la terre.

Oh, quels grands mots doivent être dits sur le plus grand entre ceux nés de l’homme sur la terre, de Mon parrain, le prophète Jean, fils de Zacharie et d’Elisabeth, Ma parente selon la chair! Si Moi, le Seigneur Jésus-Christ, J’ai pris chair de Ma Mère la Vierge, proche parenté avec Jean et avec ceux qui lui ont donné la vie, alors il est de Ma parenté, de Ma proche parenté, et entre ceux du ciel Nous le sommes de même, trois fois proche parenté.

L’homme ne pense pas à ce qu’il doit être et faire sur la terre, et Je dis à tous que Jean Mon prophète et baptiseur va se tenir face à face avec tout homme né de l’homme sur la terre et qui n’a pas respecté ses devoirs célestes, s’il a été né et s’il a existé.

Je parle avec toi dans le ciel tout comme Je l’ai fait sur la terre, oh, Mon baptiseur, et le ciel est avec Nous ici, où Nous parlons et mettons table de parole sur la terre. Nous enseignons aux hommes Ma soumission et la tienne, car ils ne savent pas ce grand mystère, et ils ne le cherchent pas plus que tout ce qu’ils cherchent. C’est ton jour de fête entre les saints et Nous devons Nous adresser aux hommes de la terre. Nous ne devons pas assortir ceux qui croient ou ceux qui ne croient pas les choses qui travaillent du ciel sur la terre, car la parole celle du ciel naît de nouveau l’homme, or vers la vie éternelle avec le Seigneur, or vers le châtiment éternel, s’il le veut ou pas l’homme, et cette mystérieuse œuvre est réalisée par ceux du ciel, selon que l’homme s’est amassé dans son cœur et dans sa raison sur la terre, le ciel et ses éternelles, ou la terre et ses choses passagères. La parole entre Moi et toi couronne ta fête entre les saints en ce jour, et Nous Nous montrons Ceux qui témoignent du Père, tel que Nous l’avons fait sur la terre aussi, où Nous avons été des voyageurs vers le Père, vers Son pays, celui pour Nous et pour ceux qui ont peiné et peinent comme Nous vers Lui sur la terre. Nous sommes fêtés au milieu du peuple de Ma parole, qui est pour Nous maison et couvert, et Nous mettons pour lui et pour les saints, Nous mettons sur la table, et elle est bénie cette table du ciel sur la terre, à laquelle les saints servent ceux qui prennent d’elle et s’en nourrissent. Amen.

— Grand à été dès le début, celui d’avant les siècles, Ton mystère gardé dans le Père, oh, Seigneur, oh, Fils Unique du Père Sabaoth! Qui est encore né homme sur la terre pour se tenir seulement avec Toi, seulement en Toi avec sa vie sur la terre? De moi et jusqu’à Toi, il y a pas eu encore un homme comme Jean, Ton Baptiseur, comme moi, celui qui ai resté en Toi et dans Ton mystère entre le ciel et la terre, et dans le Père, durant tout le temps de ma chair, qui m’a porté dans son habitation, sur la terre.

Oh, quelle grande œuvre M’as-tu destiné, Seigneur! Mon mystère avec Toi est le Tien avec moi a été grand sur la terre. Ma soumission a permis l’accomplissement de mon œuvre pour Toi au milieu des hommes. Tu pleures beaucoup, Tu pleures longuement face à face avec moi, avec les saints, avec le Père, Tu pleures, Seigneur, car Ton temps d’aujourd’hui est très grand, parce-que Tu es venu de nouveau sur la terre avec Ton œuvre et elle est grande Ta gloire de ces jours, elle est très grande la parole de Ta descente et elle a de la force autant que les sept siècles, sous le sceau des Ecritures, et il n’y a plus de place dans les hommes maintenant pour Toi, tant qu’il y a eu en moi quand le Père m’a préparé même avant ma conception, pour être né entre les hommes et Te confier ensuite mon œuvre, Seigneur, et ma vie en elle, car je me suis tenu devant Hérode avec la loi du ciel, pour condamner le péché sur la terre, le péché d’Hérode, le roi d’Israël, qui ne pensait pas à Toi et à ceux du ciel pendant le temps de son règne, c’est pourquoi il y a eu grande tombée dans le péché, et il n’a pas voulu se placer de Ta part, avec sa vie sur la terre. Ce lourd et déshonorant péché de l’homme a commencé du premier homme, de celui bâti de Ta main de la glaise, oh, Seigneur, et doué ensuite d’esprit et d’âme vive par Ton souffle sur lui, mais il n’a pas compris d’aimer la soumission que Tu lui as enseigné, il en est sorti et il a fait sa volonté l’homme.

Le regard de la femme affole l’homme, oh, Seigneur. Hérode ne m’aurait pas coupé la tête, mais sa volonté s’est laissée affaiblie par la femme et son regard, qui l’a soumis totalement. Il y a eu jadis sur la terre une jeune fille aimante de Christ, elle a fixé de son regard l’empereur qui s’est rempli de désir pour elle, et il a envoyé des serviteurs pour l’amener à lui, car sa pensée a été soumise par son regard, et si elle a vu qu’elle avait commis cette faute, elle a eu peur et a dit que si l’empereur désire ses yeux, elle lui envoie ce qu’il désire d’elle, et elle a enlevé ses yeux de leur place et les a envoyés à l’empereur, demeurant ainsi de la part de Celui qui habitait dans son cœur, de la part du Christ, et elle s’est séparée de ses yeux, pas de Christ, réparant de cette façon la faute commise envers l’empereur, et ensuite la faute de l’empereur envers elle.

Oh, quel grand et minutieux enseignement as-tu donné en ce temps aux fils et aux filles du peuple de Ta parole, Seigneur! L’homme a besoin de grande préparation pour pouvoir Te consoler ensuite, et aussi de grande veille sur lui tout le temps. Contre le péché il faut beaucoup d’enseignement, Seigneur, puisque ceux qui se laissent vers le péché peuvent commettre péché de péché ensuite contre ceux qui découvrent leur péché, en les exhortant vers le repentir pour le péché, et vers le salut de la mort venue de lui. L’homme se cache ensuite face à celui devant lequel il est en faute, tel qu’il a voulu faire Caïn après avoir péché contre Dieu. Celui qui pèche contre ses responsabilités dues à Dieu ou aux hommes pour être accomplies, celui-là se cache ensuite pour ses fautes, il se cache celui qui pèche, il fuit celui dont il se cache et il a une mauvaise conduite envers lui, car il a quelque chose à cacher. Voilà, l’homme caché devient dur avec celui dont il se cache et il se fait menteur envers lui, et la mauvaise conduite découvre celui qui se cache avec ses actions, tout comme Adam a été découvert, et Caïn et Hérode, et tous ceux qui ont eu quelque chose à cacher devant la justice des choses et des faits. Mais Hérode péchaient ouvertement et tout l’Israël connaissait son péché, et il fallait que quelqu’un vienne devant lui et blâmer par l’esprit de la prophétie son péché, par l’esprit qui voit les choses passées, celles présentes et celles qui viennent comme actions de l’homme, mais le regard de la femme n’a pas permis à Hérode de sortir du pouvoir du péché et de se sauver du châtiment pour ce péché ensuite, mais il s’est laissé toujours dans le péché le roi Hérode, plus encore, il a obéi avec soumission à la femme débauchée, qui l’a affaibli vers elle, et le roi m’a donné pour être décapité, pour qu’on n’entende plus devant lui et en Israël la réprimande pour lui et la découverte de son péché.

Plus grand doit être le pouvoir de la soumission de l’homme envers Dieu, oh, Seigneur, plus grand que le pouvoir du péché qui se trouve en lui. Ces deux pouvoirs, celui du péché et celui de la sainteté, que j’ai donnés aujourd’hui comme exemple, tous les deux parlent d’eux-mêmes. Le péché d’Hérode et la sainteté de la martyre, celle désirée de l’empereur pour le péché, sont l’une face à l’autre, et j’ai parlé dans mon jour de fête de ces deux sortes de femmes, comme source d’enseignement pour la voie, sur ceux qui veulent comprendre ce que cela signifie Dieu avec les hommes sur la terre, et que de soumission doivent ils apprendre de Nous, ceux qui Nous Nous sommes parfaitement soumis au Père pour Notre venue sur la terre entre les hommes, et pour Ta gloire ensuite par cette œuvre, oh, Seigneur. Il y a deux mille ans Je suis sorti du désert et j’ai été Ton baptiseur au Jourdain et T’ai annoncé au monde comme l’Agneau du Père, et le Père a entendu mon témoignage et Il a ajouté à voix d’en haut, à voix de tonnerre que Tu es Son Fils aimé, dans Lequel Il a bienvoulu. Ma soumission a été parfaite envers Toi tout le long de mon temps sur la terre, oh, Seigneur, ma foi a beaucoup travaillé, et mon cœur a été toujours et beaucoup en Toi, tout comme la foi, et je n’ai pas eu besoin de preuves pour pouvoir et pour être soumis et pour accomplir la volonté et l’œuvre du Père en ce temps-là. C’est ainsi que Tu as travaillé Toi aussi, c’est ainsi que Tu T’es soumis parfaitement au Père, et à l’homme, et Tu aimerais beaucoup voir que celui qui vient vers Toi comprend qu’il a à travailler et à prouver beaucoup de soumission à l’aide de la foi, et la soumission est bonne et douce, elle est sage par son œuvre, elle soumet l’homme au Seigneur et lui apprend de rester dans la lumière, car celui qui obéit n’a rien à cacher, mais il se fait connu par la soumission et par grand contentement dans le Seigneur tout le temps, tel que je l’ai été moi et mon cœur durant tout mon temps sur la terre.

Je veux qu’il croisse beaucoup Ton peuple d’aujourd’hui dans l’esprit et l’œuvre de la soumission et qu’il apprenne beaucoup de Nous, oh, Seigneur. Notre parole d’aujourd’hui a été désirée et goutée par tous ceux du ciel. C’est une grande joie pour ceux du ciel Ta venue en parole à Ton peuple ici. Que ma parole leur donne son accomplissement en elle, tout comme Ta parole, et que Tu aies de fidélité et de soumission avec amour pour Toi dans les fils de Ta parole d’aujourd’hui, dans ceux nés d’en haut à Ta parole, avec laquelle ils se sont rencontrés pour leur naissance d’en haut et pour Ton séjour en eux ensuite sur la terre, entre les hommes, Seigneur. Moi, Jean, Ton Baptiseur, je témoigne de Toi maintenant du ciel sur la terre, Parole du Père Sabaoth par Laquelle les hommes se baptisent avec le baptême du Saint-Esprit, pour la foi et le repentir et leur vie avec Dieu ensuite sur la terre. Amen.

— Moi, le Seigneur Jésus-Christ, je rends témoignage de toi, Mon baptiseur il y a deux mille ans au Jourdain et Je bénis ta parole et son pouvoir bâtisseur sur les hommes dans ton jour de fête entre les saints. Tu es Jean le Baptiseur et Moi Je suis ton Seigneur et ton Maître. Amen.

Qu’elle vous bâtisse Ma parole et celle de Mes saints, oh, fils des hommes, parce qu’il n’y a personne d’autre à souffler sur vous d’en haut, que Moi et Mes saints, pour animer votre voie vers le ciel. Je viens sur la terre en parole et Je Me porte avec elle au-dessus de vous pour que vous entendiez Ma voix, que vous tressailliez et que vous vous approchiez de Moi, le Seigneur, et Moi de vous, et que Nous Nous retournions les uns vers les autres, car Nous sommes séparés. Le péché qui se trouve en vous vous sépare de Dieu, il Me sépare de vous toujours, oh, fils des hommes. Ecoutez Ma voix, qui vous appelle vers la patrie céleste et donnez-lui du pouvoir sur vous, pour guérir du péché et de son châtiment ensuite. Moi, le Seigneur, J’ai pitié de vous. Je vous appelle en soupirant et Je vous attends vers la résurrection. Je viens avec les saints sur la terre et Je prononce la parole de la résurrection sur vous. Entendez Ma voix, entendez-la! Je Me tiens au milieu du peuple roumain avec la parole de Ma venue et Je veux rappeler à la vie ce peuple tout d’abord, et faire de lui œuvre sur beaucoup d’autres, qui se lèveront du péché.

Paix à toi, peuple de Ma parole! J’ai été à table avec toi et J’y ai mis de la nourriture pour les fils des hommes, ceux qui se rencontrent avec Ma parole pour toi. Apprends la leçon de la soumission devant Moi, Mon peuple. Soumette-toi au Seigneur, tel que Moi et Jean Nous avons été les soumis du Père, car Je suis Maître par l’exemple même de Ma vie, et les saints sont semblables à Moi, car ils M’ont aimé et ils M’ont suivi avec soumission.

Paix à vous, ceux qui prenez de l’enseignement de Dieu, car on vous demandera beaucoup! Paix à toi, Nouvelle Jérusalem! Que Ma tente s’étende et qu’elle trouve ses frontières annoncées par les Ecritures et par les prophètes! Paix à vous, les fils, car Je vous appelle fils, pour que vous travailliez pour ce nom l’œuvre des fils de Dieu, Mon œuvre avec vous, oh, les fils! Amen, amen, amen.

11-09-2012