Encore et encore Mon amour se fait parole au-dessus de la cité de Ma parole et au–dessus de la terre. Je suis le Pasteur Celui avec la croix, Jésus-Christ. C’est Ma voix cette parole. Je parle d’au-dessus, et l’oreille et la main de ceux qui Me servent ici, sous la gloire de Ma parole au-dessus de la terre, Me placent dans Mon livre d’aujourd’hui sur le foyer du peuple roumain, où Moi, le Seigneur, J’ai trouvé demeure et arrêt.
Je Me porte sur les ailes de chérubins dans les airs entre la terre et le ciel, et les anges invisibles de la gloire de Ma venue Me couvrent le corps et la marche et la parole avec ceux de la terre, et il est grand l’éclat de Ma venue de ce temps difficile de l’infamie, qui va se multipliant, qui va grandissant et s’efforçant de couvrir la raison et la vue de l’homme avec son obscurité, toute étrangère de Dieu pour l’homme.
Je M’incline jusqu’au petit pouvoir de l’homme, selon sa possibilité de Me tenir, car Ma gloire et son éclat sont très grands, et voilà, Je laisse entendre Ma marche, Mon frémissement et Ma voix. C’est sur vent léger que se porte Ma voix jusqu’à ce que J’arrive avec la parole dans le livre, pour être mis ensuite sur la voie, pour nourrir de Ma bouche ceux qui ont appris Ma venue et Ma parole et Mon amour, avec lesquels Je conduis l’homme à Mon Père, à l’amour de Dieu, oh, et J’ai un peuple avec lequel Je Me mets à table de parole pour l’élever avec des choses du ciel, oh, et J’ai une cité élevée vers le ciel à Ma parole, prononcée pour son être visible, et Je la bâtis peu à peu, selon le pouvoir humain du temps d’aujourd’hui, car le temps est difficile, oh, et J’ai des fils fidèles et constants dans la cité, Je les serre toujours contre mon cœur, et Je fais place à Ma voix et parole dans le livre et sur la voie ensuite, et elle doit aller Ma parole des extrémités aux autres extrémités, tel qu’il est écrit dans les Ecritures sur Mon avant-venue, afin que Je vienne ensuite jeter dehors le reniement de la foi, qui est arrivé pour Me faire opposition, comme il est écrit, que Je montre la vérité que c’est Moi le Fils de Dieu le Père et le Fils de l’Homme, que Je suis l’Envoyer Celui du Ciel après l’homme, et qu’il prenne ensuite son châtiment l’adversaire de Dieu, l’homme antéchrist et tout son tissu satanique, et qu’il finisse son œuvre sous l’éclat qui vient avec Moi, devant lequel les ténèbres ne peuvent pas agir, ni le mensonge et son travail, l’infamie et ses serviteurs, les mauvais esprits des airs et des abîmes, et Moi, le Seigneur, que Je puisse apprendre à l’homme que Dieu existe, Celui Qui aime, Celui Qui pardonne, Celui Qui est, et qu’ensuite Je lui demande le cœur, et qu’il Me l’accorde.
Oh, paix à vous, fils de la cité de Ma parole, et à vous, fils de Mon peuple nourri de cette douce parole d’amour du ciel ! Oh, paix à vous en jour de sainte fête, la fête de la sainte croix, croix que J’ai reçue comme Ma demeure, celle de Mon corps rejeté il y a deux mille ans par les grands du temps de Jérusalem, terriblement effrayés en voyant Ma gloire, avec laquelle Je travaillais par endroits sur la terre pour Me prouver vrai Dieu de vrai Dieu, mais ils n’ont pas voulu Me recevoir, oh, et ils M’ont cloué sur la croix, sur le plus saint autel, que J’ai mis comme fondement à Mon église, pouvoir invincible pour les fils de Dieu.
Quand le corps de l’homme prend forme petit à petit dans le sein qui va le naître, Moi, le Seigneur, Je crée tout d’abord le cœur et un siège dedans, la croix, l’autel que Je mets dans l’homme pour que J’habite en lui. Je dis cela afin que tout homme sache qu’il est voleur et qu’il se fait maître sur ce qu’il ne fait pas, il ne peut pas faire, il n’a pas fait, puisque c’est Dieu Qui l’a fait pour chaque homme, pour que personne ne puisse dire dorénavant qu’il ne sait pas que Ma place dans l’homme c’est le cœur de l’homme, et l’homme s’y range lui, oh, et il y reçoit aussi ceux qu’il veut, et Moi Je reste sans maison dans l’homme et Je suis mis à la porte. Oh, les fils, Je veux habiter dans le cœur de l’homme, mais l’homme ne Me prend pas chez lui, car il dit que c’est sa maison, et Moi, Je suis méprisé de l’homme, et il ne comprend pas cette douleur qu’il Me provoque. L’homme s’est perdu, et Moi J’ai perdu l’homme, et Dieu pleure depuis sept mille ans après son repos perdu, car l’homme devait être Mon jour de repos.
Je Me suis tenu les bras tendus prêts d’embrassement il y a deux mille ans. J’ai été tendu sur la croix, et c’est ainsi que Je suis resté jusqu’au Père, et J’ai rendu grâce à Mon Père de M’avoir aidé à Lui obéir, pour l’œuvre du salut de l’homme perdu, et la croix c’est depuis lors et jusqu’aujourd’hui le signe de Mon embrasement, Mes mains tendues, avec lesquels J’embrasse tous, et surtout les affligés et dépourvus de pain, de vêtements, et que Je prenne sous Ma croix, puisque ceux vêtus d’habits moelleux habitent des maisons riches, tandis que Ma place est sur la croix, car c’est là qu’ils ont décidé que Je loge, ceux avec des rangs et des vêtements soyeux. J’ai vécu dans la pauvreté sur la terre, car J’étais Dieu, et Je devais rester très humble, parce qu’Il n’est pas autrement Dieu. Oh, regarde-toi un peu, homme de la terre, vois que tu te tiens plus grand que Moi devant Moi et devant toute Ma création, et tu te construis des maisons et tu les combles de beaucoup de choses, de tout, oh, et ceux ne sont que des choses vouées à la perte, et Moi, tu ne peux Me garder dans ta maison, car Je ne peux vivre dans ton luxe, entre tout ce que tu fais selon ta volonté, et voilà, tu ne fais que pécher, à ton bon gré tu le fais, et Mes choses tu ne peux les faire s’il te manque l’amour pour Moi, homme.
Oh, qu’est-ce qu’elle signifie encore ta vie dans tes occupations, du moment que tu ne prends pas de Ma main, de Mon Esprit, tu n’en prends pas pour faire, et pour avoir œuvre qui peut délivrer, pour que le Seigneur puisse travailler avec toi et qu’il n’y ait pas de séparation entre l’homme et Dieu?
Voilà, Je pleure pour que tu M’entendes, car tu Me tiens loin, homme, loin de toi puisque tu ne M’aimes pas avec ton cœur et ton œuvre. C’est une source de pleurs Ma parole, oh, et combien J’aimerais qu’il s’allume pour Moi celui qui entend le soupir de Mes larmes, car Je vais en pleurant à la suite de l’homme, puisqu’il ne Me laisse pas aller devant lui pour le guider.
Oh, tu as amassé des trésors, homme, mais ils te mettent hors de Dieu, parce-que ton cœur s’en est attaché, à ceux que tu ne peux garder, car tu as amassé sans Moi, puisque Moi, Je n’ai pas besoin d’amasser sur la terre, du moment que Je n’ai rien en ce monde, mais tu en as, et tu es du monde, oh, et c’est ainsi que tu te perds de Dieu.
Oh, fils de Ma parole d’aujourd’hui, Je vous ai pris sous Mon enseignement et Je vous ai appris de ne pas orner vos maisons, votre corps et vos vœux, car Je vous ai voulus les Miens, Me ressemblent en tout, pour pouvoir être les Miens. Oh, combien de choses Je vous ai apprises durant ces difficiles années depuis que Je descends sur la terre en parole! Satan et son œuvre étalent devant vous toutes les choses qui ne sont pas de Dieu pour vous, et Moi Je Me tiens en attendant de certains d’entre vous, J’attends que vous vouliez agir comme Dieu et que vous aimiez les choses qui ne passent pas, que vous soyez doux et humbles comme Moi, que vous soyez toujours contents, et participants toujours actifs à Ma gloire, par le mystère, l’action et les vœux, de peur que, vous ne vous sépariez pas pour une autre sorte de conduite ou d’occupation pour la vie passagère, et que vous n’oubliez pas que vous deviez orner votre vie avec le Seigneur, la vie éternelle, Mes fils, et voilà, ils M’ont quitté tour à tour certains de ceux qui ont entendu Ma voix pendant toutes ces années de parole.
Oh, enfant nourri du ciel, Je t’ai conseillé tant d’années et Je t’ai si longuement, si chaudement parlé! Et voilà Je dis encore: Ne travaille plus les choses qui te séparent de Dieu, avec lesquelles tu te caches ensuite puisqu’elles sont du diable et c’est toujours lui qui t’apprend à te cacher avec elles , à ton détriment, oh, et c’est ainsi que es tombé, c’est ainsi qu’il t’a poussé pour tomber de Dieu vers lui, et pour que Je pleure maintenant par pitié, quand Je te vois étranger face à la vie sainte et languissant après celles que tu as perdues.
Oh, travaillez, fils nourris de Ma bouche comme de petits enfants, en croissance. Travaillez les choses qui peuvent être montrées, pour n’avoir pas besoin de mentir pour les choses que vous devez couvrir, car les choses de Dieu sont elles-mêmes de la lumière, ce sont elles qui sortent pour se présenter en lumière et qu’on les voie, et voilà, Je vous donne saint conseil pour le travailler sur votre voie avec Dieu, oh, et qui pourrait encore enseigner aussi saintement, peuple nourri du ciel?
Oh, fils chrétien, Je suis descendu et J’ai dit qu’on t’annonce de Ma part, pour que tu te demandes depuis quand tu n’as plus parlé avec Dieu? Oh, parle avec le Seigneur, parle davantage. Prends l’habitude de parler davantage avec le Seigneur sur toi, sur tes problèmes, sur tes difficultés. Parle au Seigneur comme à un ami, bon, chaud et miséricordieux ami, comme à un Père, comme à un doux Pasteur. Raconte-Lui toujours de toi, de tes états d’âme et événements, de tes douleurs d’âme et de chair. Saches que tu seras entendu. Il y a eu tant de ceux qui ont fait des prières en Israël pendant les temps de détresse: David, Daniel, Isaïe, et ils ont été entendus et aidés, ils ont reçu la réponse désirée.
Oh, parlez vous aussi avec le Seigneur pour le temps d’aujourd’hui, pour vous, pour les frères, pour Ma victoire, les fils. Prenez place pour Me parler et que Je vous écoute. Asseyez-vous pour parler avec le Seigneur. Dites les prières de début et racontez ensuite au Seigneur, montrez Lui votre cœur, les besoins, le temps et son état, les événements que vous traversez, les problèmes difficiles, vos craintes, les troubles qui vous frappent, les fautes que vous commettez, Mes fils, car peut-être c’est à cause d’elles qu’elles vous viennent et vous pèsent des épreuves et des embarras. Connaissez ensuite que si vous vous mettez dans les bras du Seigneur avec tous vos affaires bonnes et mauvaises, vous allez voir tout de suite, du soulagement et du serein dans les âmes, du changement, de la paix, du calme, de la bonté de cœur, de l’espoir, les fils. Oh, suppliez le Seigneur pour les bons et pour les mauvais, et le Seigneur va travailler et va faire grâce d’un côté et de l’autre, s’Il voit que vous pensez aussi à l’état des autres, pour lesquels vous criez vers le Seigneur, qu’ils soient des proches, ou des ennemis, et le Seigneur va rafraichir, va assagir, va éclairer partout avec Son Saint-Esprit, oh, Mes fils.
Voilà, dites comme il suit: «Notre Père, Seigneur, viens près de moi, prends-moi toujours près de Toi, car je suis faible. Donne-moi de Toi la sagesse, donne moi Ta patience, celle que Tu as eue sur la croix, donne moi Ton amour que je le porte et je le travaille, accorde moi que je Te ressemble et que je n’aie rien de ce monde, mais seulement de ce que Tu me donnes de Toi, de peur que je ne me perde pas, que je ne Te perde pas, oh, et aide ma foi, afin que je me garde près de Toi par ses actions, et aide mon amour pour Toi, pour que Je fasse par elle Ta volonté et non pas la mienne. Amen».
Oh, Mes fils, soyez doux, soyez timides face à Dieu et les uns devant les autres, pour être beaux quand il s’agit de la charité et de la conduite, puisque le ciel, celui plein de Ma volonté vous mesure, les fils. Ils vous viendront en aide les péchés que vous avez commis, vous allez vous tenir plus gênés dans votre conduite et raison et parole et vous allez vous échappes à l’œuvre de la présomption, les fils, et vous allez persévérer ensuite pour une édification sainte l’un devant à l’autre et vous serez timides, vous aurez honte devant le Seigneur, et vous allez vous corriger avec humilité, et le Seigneur verra cela et vous allez échapper au châtiment des péchés commis et de ceux que vous pourrez toujours commettre si vous n’avez pas le cœur soumis et la raison en veille et en souffrance à cause de votre manque de diligence, oh, et voilà venir l’occasion d’accomplir Ma parole, pour ceux qui veulent venir après Moi en prenant leur croix et en la portant à Ma suite! Oh, Moi, le Seigneur, J’ai souffert crachats et honte, affronts et mise en croix ensuite pour votre salut, et si Je vous voyais toujours distraits, toujours en riant, Je serais comblé du mépris, celui venu de vous pour Ma souffrance de sous la croix et celle de sur la croix, pour Ma douleur d’alors et celle présente, venue de tout homme qui oublie de Dieu en servant au diable.
Oh, Mes fils, en quelle beauté Je vous pais! Je veux que vous Me ressembliez dans l’amour avec de la souffrance pour lui, car sur la terre, si tu ne portes pas de croix, tu perds la gloire de la vie éternelle. Ils perdent le ciel ceux qui ne portent pas de croix sur la terre, et la croix signifie l’amour et sa souffrance, signifie la patience, l’humilité, elle signifie le mépris et la haine de statan tout autour, la haine de ceux sans croix sur la voie, puisque le monde aime et loue seulement ceux qui n’ont pas de croix et de voie avec le Seigneur et comme le Seigneur, et J’ai vécu avec beaucoup d’humilité sur la terre, avec le fardeau qui serre l’homme près de Dieu, car voilà, celui qui possède quelque chose sur la terre ne m’aime plus, ne M’a plus, car il a quelque chose à faire, il a autre chose, et le souci de ne se pas séparer de Moi et de ma gloire, il ne peut le porter, oh, et sans l’amour envers Moi, l’homme perd sa raison celle du ciel, il perd la place où Je veux Me tenir avec lui, être son Dieu et Maître, parce-que les constructions bâties pour la prière et ornées comme dans le monde, oh, ce ne sont pas pour Moi, ce ne sont pas pour Mes chrétiens, ceux vivants, car ce n’est pas de telle manière que les chrétiens ont commencé l’œuvre de l’église du Christ, oh, car ils étaient très humbles, ils étaient en secret, ils aimaient le renoncement à la gloire, ils se réunissaient en compagnie de Dieu et ils oubliaient de leurs chair, des choses pour la chair, car ils aimaient beaucoup et ils aimaient comme Marie, la sœur de Marthe, et ils se tenaient dans les choses humbles et ils persévéraient, oh, et Je n’ai pas aimé, Moi non plus de M’arrêter dans les temples, et entrer dans les palais et des richesses terrestres, mais J’ai aimé être au milieu de la création de Dieu, la maison de l’homme, Ma maison, oh, et voilà ce que l’homme fait et où veut-il chercher Dieu, pendant que Moi, le Seigneur, Je le cherche et Je l’attends à Me trouver là où Je peux habiter, car il M’a demandé un disciple: «Seigneur, où habites-Tu?» et J’ai répondu: «Viens voir!», c’est ainsi que Je lui ai dit: «car les renards ont des tanières, les oiseaux ont des nids, les chiens ont leur coin, mais le Fils de l’Homme n’a pas où reposer Sa tête», c’est ainsi que J’ai dit.
Les fils, les fils, pour porter la croix il faut que vous parliez beaucoup à Dieu, beaucoup et toujours, car autrement l’homme n’est pas en Dieu avec son lieu, et le Seigneur n’est pas dans l’homme avec Sa présence à la direction de sa vie. Celui qui parle beaucoup avec Dieu, celui-là a une belle parole avec ceux de son entourage, il sait comment se conduire, car il a de Dieu la belle conduite, il en a, les fils, puisque de la manière dont tu te conduis envers Dieu, c’est de la même manière que tu te conduis avec l’homme, et tel que tu te conduis avec l’homme, de même façon tu le fais avec Dieu, c’est cela ta conduite, oh, et l’homme ne sait pas cela, il ne sait pas travailler ainsi, pour qu’il soit vrai, l’homme.
Oh, les fils, apprenez de vous tenir en Dieu et faites une crèche au Seigneur en vous, car Il se plaît entre les choses humbles, Il aime l’humilité, Il se plaît entre les humbles tout comme Lui.
Je vous apprends d’avoir une conduite angélique, les fils, pour que vous ayez part avec les anges, et ensuite nous allons affermir les frontières avec les nomes des anges de Dieu et avec la force de la croix.
Maintenant J’ouvre Mes bras comme sur la croix et Je vous embrasse dans Mon amour, dans Ma miséricorde pour vous, car vous êtes sur la terre, les fils. Oh, aimez d’obéir à Ma parole, pour que vous soyez Mon peuple!
Je Me réjouis avec vous ici dans les fêtes, les fils. J’ai Ma maison chez vous et avec vous, J’ai où venir, J’ai d’où M’en aller et où rentrer et travailler par la parole.
Je vous embrasse tous et Je vous serre à Mon sein, plein de désir saint. Tout ce que vous faites ici c’est votre consolation pour ceux du ciel, et vous êtes et vous serez consolés, les fils.
C’est de la consolation que Je vous donne, le Saint-Esprit le Consolateur en travaillant chez vous et avec vous, et vous êtes les fils de la consolation, c’est la demeure de la consolation que vous êtes, oh, les fils. Amen, amen, amen.
27-09-2021