Dès l’aube Je Me tiens prêt avec table de parole pour M’inscrire dans le livre avec le souvenir de ce si grand jour dans le ciel et dans le temps, et Je suis à la veille avec les saints et les anges, fils de la cité de Ma parole, fils qui êtes encore restés avec Moi, oh, et Je suis avec des témoins du ciel et de la terre pour parler et témoigner de Ma venue en parole sur la terre maintenant, après deux mille ans depuis Ma venue en chair, car Je suis venu du ciel envoyé pour M’incarner et Me rendre homme entre les hommes, et pour accomplir la volonté du Père, à savoir de venir après l’homme, pour qu’ils Me voient les hommes et qu’elle reste la vérité de Mon incarnation, car J’ai été Dieu-l’Homme trente-trois ans sur la terre des hommes, et Je Me suis élevé ensuite au Père et Je suis à Sa droite, à Ma place depuis l’éternité, oh, et Je descends de nouveau d’auprès du Père, et Je parle tel que Je parlais avec Moïse, avec Samuel, avec les fils de l’humilité et de la foi en Dieu, avec les doux et humbles de cœur et pleins d’humilité d’esprit, avec Ma Virginie, avec laquelle J’ai commencé Ma parole sur la terre, et après vingt-cinq ans de parole, je l’ai prise au ciel en grand témoin, et il y a trente ans Je suis descendu avec elle et avec d’autres témoins célestes, et J’ai mis la pierre de fondement, le commencement de la cité visible de Ma parole, Ma cité capitale sur le foyer du peuple roumain, oh, et Nous voilà à table de parole, fils avec lesquels Je suis resté après le jour de témoignage écrit au ciel avec des lettres chères à Dieu, le jour de 22 du septième mois de l’année 1991 après le Christ, le jour où le Père, le Fils et le Saint-Esprit ont béni l’apparition de la pierre blanche, annoncée dans les Ecritures, sur la terre, le symbole saint, le témoignage de l’œuvre de Ma parole et de son fruit travaillé par Ma trompette Virginie, la semence du commencement de Ma peine pour élever un peuple pour Moi, seulement pour Moi, et aller en avant, avancer avec Ma venue en parole sur la terre, et voilà, Je marche, et Je vous dis en ce jour de sainte mémoire: Paix à vous, Je vous dis à vous, Mes fils, à ceux avec lesquels Je suis encore resté pour aller et pour que ce sois Moi la Voie!
Oh, c’est Moi la voie, les fils, et ceux qui comprennent suffisamment cela, ce sont ceux qui restent avec Moi sur la voie, et Moi Je reste avec eux et Je marche, et Je marche en parlant, car c’est cela que signifie que Je marche, et Ma marche c’est la parole, Ma parole et vous.
Oh, paix à vous en ce jour de témoignage, les fils! Ma parole et vous, c’est cela Ma marche, c’est cela la voie. Les autres voies ne sont pas la Voie, car la Voie signifie le Christ et la marche avec le Christ, et personne ne peut aller complètement avec le Christ que sur la voie de Ma parole avec vous, et c’est pour cela que J’ai dit: «C’est Moi la Voie». Celui qui choisit une autre sorte de voie pour les pas de sa vie, ce n’est pas Ma voie qu’il choisit, mais autre chose, qui ne mène pas à la vie. La voie, la Vérité et la Vie, c’est seulement sur la voie avec le Christ que l’on trouve, et voilà, il est sans raison tout homme qui tâtonne toute sa vie sur la terre, en cherchant ce qu’il doit faire, et en quelle direction aller avec les pas de sa vie. Mais quand l’homme choisit sa voie, il doit premièrement savoir des choses sur Dieu et comment on va sur la voie avec Dieu, de peur qu’il ne soit vain son choix, et ne pas recevoir ensuite la vie éternelle.
Les fils, les fils, Je dis aux hommes de la terre que cette œuvre de parole c’est la Voie. Je suis venu Moi dans la voie de l’homme pour lui montrer, pour que l’on voie, et que l’homme voie et qu’il ne puisse dire qu’il n’a pas vu, qu’il n’a pas entendu Mon cris du long en large, celui qui dit que c’est Moi la Voie.
Oh, Je cris depuis longtemps déjà pour un peuple qui a entendu Ma parole qui coule à flots de Ma bouche comme la rivière depuis si longtemps, depuis presque soixante-dix ans. Pendant tout ce temps-là J’ai eu un peuple qui M’entende, mais qui ne M’a pas suivi avec les pas de sa vie, puisqu’ils venaient et ils M’entendaient, mais ils partaient toujours pour leurs affaires, et Je n’ai pas pu Me faire des disciples et marcher avec eux. Et maintenant Je cris à tous les hommes de la terre qu’ils ne se tiennent pas sans veille et insouciants quand Je laisse Ma parole et Je Me fais voie avec elle pour ceux qui cherchent la voie.
Oh, elles arrivent des souffrances pour le manque de garde sur la vie et le mystère de la vie. Elles arrivent des douleurs en payement pour la voie quittée par l’homme, la voie de la vie. Pas tous comprennent ce grand mystère, mais ils peuvent tous entendre le Seigneur en venant avec la voie vers eux, si seulement ils aillent sur elle jusqu’au bout de la marche.
Toi, homme, homme errant, toi, celui qui sais ou qui ne sais pas que c’est Moi la Voie, que Je suis Jésus-Christ, Dieu-l’Homme, oh, tu ne peux servir n’importe comment à Dieu avec ta vie, mais seulement telle que Ma vie a été. Je n’ai rien eu de ce monde, et toi tu es du monde, homme, et tu n’as pas Dieu de ta part si tu es dans le monde. J’ai sorti du monde Mes disciples pour qu’ils ne soient pas eux non plus du monde, et c’est seulement ensuite qu’ils sont restés avec Moi sur la voie, car ils ont trouvé la Voie, et c’est ainsi qu’ils sont allés ensuite.
Oh, que feras-tu, monde, toi et tes fils? Je suis sorti avec la voie devant toi, et c’est d’elle que Je parle et Je te la montre, et toi tu ne fais pas le pas, et ton indécision va te faire mal. Elles viendront des souffrances pour ceux qui restent dans l’incrédulité devant la voie de la vie, avec laquelle Moi, le Seigneur Jésus-Christ, Je vais au-devant de l’homme en ce temps d’accomplissement des Ecritures de la fin, et Je cris en long et en large: C’est Moi la Voie!
Ce jour de mémoire a dans le ciel tout son tableau celui d’il y a trente ans, lorsque Moi, le Seigneur, Je suis descendu avec les anges et les saints et avec Ma trompette Virginie, et J’ai mis la première pierre de fondement de la cité de la parole de Dieu, cité de témoignage, prophétisée pour être, et c’est pour cela qu’elle existe, et elle sort peu à peu de son mystère, puisqu’elle est gardée et apparue pour l’éclairement des peuples, tel qu’il est écrit, et c’est d’elle qu’elle sort la rivière de Ma parole, et la parole est la lumière des peuples et elle éclaire dans les ténèbres, comme il est écrit.
Ce jour de joie est aussi jour de douleur, car quelque grande a-t-elle été pour tout le ciel saint la joie d’il y a trente ans, oh, tout aussi grande est maintenant sa douleur entre ceux du ciel et ceux de la terre restés sous Ma croix d’aujourd’hui, celle qui porte Ma parole sur la terre. J’ai devant le trône de la Trinité divine, J’ai la photo du jour où elle a été mise à sa place la pierre de fondation du Saint des Saints de la Nouvelle Jérusalem, et cette pierre a eu liaison avec le commencement de L’œuvre de Ma parole, avec Ma trompette Virginie. Elle a été et elle est la pierre sur laquelle Moi, le Seigneur, J’ai bâti le long de vingt-cinq ans Ma voie vers les hommes, Ma parole sur la terre, premièrement pour un peuple secret, et ensuite, du moment où elle a été enlevée auprès de Moi dans les cieux, il y a eu ensuite Ma marche au-dessus de la terre, des extrémités aux autres extrémités, après avoir fait libre voie pour aller, pour passer les frontières d’ici et pour sonner partout, en M’annonçant Moi-Même comme Voie sur laquelle l’homme peut aller avec sa vie, et avoir comme fruit la vie éternelle ensuite.
Cette photo du jour d’il y a trente ans est maintenant dans le ciel un souvenir douloureux, car ensuite ils se sont séparés d’elle ceux de ce jour de témoignage et ils ont changé la marche de leur vie et la voie, oh, car pas tous ont aimé, et c’est pour cela qu’ils sont partis, et s’ils n’ont pas aimé jusqu’à la fin ils sont finis eux-aussi de la voie et ils n’y sont plus, ils sont loin dans un sommeil propre à eux, choisi par eux pour pouvoir partir de l’œuvre des mystères célestes du travail de Ma parole portée au-dessus de la terre, dont le but ils ne comprennent plus, mais seulement au moment où ils verront le fruit accompli, car Moi, le Seigneur, Je ne parle pas en vain, tel qu’ils aimeraient croire maintenant.
Il est très douloureux ce souvenir mais il est avec consolation aussi pour Moi, puisque Je marche et Je travaille avec ceux qui sont restés et Je fais augmenter le nombre de Mon peuple, auquel Je donne toujours conseil de vie, toujours, toujours Je lui en donne, et Je veille attentivement, oh, et heureux ceux qui veillent eux aussi pour leur vie avec Moi et agréable pour Moi, après avoir vu qu’il est facile de tomber d’auprès de Moi par celui qui ne veille pas, oh, car il y a beaucoup de ceux qui sont tombés, s’ils ont travaillé autre chose plutôt que c’est la vie de ceux qui marchent avec Moi sur la voie jusqu’au bout de la marche, et ensuite jusqu’au fruit pour la marche.
Oh, fils restés avec Moi de ceux présents au témoignage du jour d’alors, oh, Mes fils, Je vous ai dit souvent que vous n’avez personne sur la terre pour vous protéger, pour vous couvrir et vous fortifier pour Mon travail en vous. Vous avez été quittés dès le début, premièrement par le serviteur qui a été près de vous d’entre les prélats de l’église de ce peuple, car il a été guetté par les envieux et il a été forcé de fuir, de ne plus rester de Mon côté et du vôtre, et de ne plus continuer à témoigner pour Moi. Oh, il s’est enfui d’auprès de vous celui qui devait vous garder des loups, il s’est enfui de peur, il s’est enfui, le pauvre, dans la gueule du loup. Il a été forcé de s’enfuir et de vous laisser sans défense, comme le berger impuissant qui ne met pas sa vie pour ses moutons. Mais Moi, J’ai fermé la gueule du loup, et J’ai accompli par vous la prophétie restée de la bouche de Mon prélat, lorsqu’il est parti d’auprès de vous et quand il a avoué que cette œuvre de parole restera en travaillant sur sa voie et avec sa marche, elle persistera et marchera sans lui, car ce n’est pas lui à l’avoir mise sur la voie, mais c’est Moi, le Seigneur, Qui l’ai mise à marcher. C’est Moi Qui l’ai commencée, et c’est Moi Qui marche, oh, et elle s’accomplit cette prophétie.
Les fils, les fils, il s’est enfui le prélat fidèle à Moi alors, il s’est enfui, car les successeurs de la méchanceté de l’église de ce peuple font le jeu de l’antéchrist, celui qui règne depuis longtemps pour gâter les règles saintes et pour qu’il reste lui seul ensuite. Oh, mais Moi, le Seigneur, Je Me suis élevé comme un brave et J’ai Mon œuvre de parole avec laquelle J’affaiblis le pouvoir ennemi, car il est écrit que c’est le Christ le Vainqueur, et pas l’antéchrist, pas satan, et voilà, c’est Moi, oh, et c’est vous aussi, ceux qui vous tenez sous la garde de Ma parole, pour la mettre sur la tête de tous les ennemis, oh, Mes fils, et il n’y auront plus d’ennemis, puisque tous ceux de la terre vont languir après cette eau vive, après le salut venu par elle, et encore un petit peu et on va voir cela.
Les fils, les fils, ceux qui n’ont pas supporté jusqu’à la fin, comme il est écrit de ceux avec Dieu sur la voie, oh, ceux-là n’ont pas compris avec leur raison ce que c’est cette œuvre de parole de Dieu au-dessus de la terre, oh, et ils sont sortis de son accomplissement, qui aura à son bout son fruit, mais aussi sa douleur pour ceux qui n’ont pas souffert avec Moi, pour M’aider sous la croix, pour Me donner des forces sous la croix, oh, car Je suis fatigué d’attente et Je suis endolori, les fils, et Je regarde le portrait de ce jour de mémoire et J’en ai mal, et vous êtes comme Moi et vous mettez grande peine pour que Je puisse Me garder un peuple avec l’esprit de la fidélité envers le Seigneur, et vous veillez pour cela, oh, car on a besoin de beaucoup de renoncement à soi pour qu’il vienne l’amour de Dieu dans ceux qui viennent de leur bonne volonté et pas obligés des cotés pour connaitre, pour aimer le Seigneur par cette parole, car il y a des Ecritures à accomplir, et Moi Je suis peu aidé de la terre, car autrefois Je travaillais par les saints de la terre. Mais maintenant Je n’ai plus de telle richesse, un tel abri, où Je puisse M’arrêter et laisser Mon fardeau, et encore partager l’œuvre à travailler qui ne doit pas s’arrêter de son travail, il ne faut pas que le Seigneur s’arrête du travail, oh, les fils.
Toi, homme errant et sans pays, quand tu ne fais pas au Seigneur de repos en toi, à cause de ta raison et de ton amour de soi, dont tu ne veux te laisser, oh, tu n’as pas de repos toi non plus, car ton repos c’est le Seigneur, et sans Lui tu perds le repos, tu perds la paix, tu te troubles, tu es mécontent, tu cherches de pouvoir agir par le trouble qui est en toi et pour lui, et ensuite tu vois ce que tu reçois, après ne pas avoir laisser le Seigneur se reposer dans l’humilité de ton cœur, dans le travail de ton amour, puisque l’homme qui n’a pas, ou qui quitte l’amour et son esprit, oh, il devient tout étranger de l’amour, de son visage sur le sien, de son mystère, étranger de ceux du ciel.
Oh, Mes fils, aimez le Seigneur par la pauvreté, par le manque d’amour de soi, pour pouvoir L’aimer Lui, et pas vous. Aimez-Le en fuyant le monde et l’esprit du monde, par la non ressemblance avec le monde, oh car si tu ressemble au monde, tu agis comme le monde et tu prends du monde, le Seigneur ne te connais pas, fils chrétien.
Oh, Mes fils, aimez le Seigneur par beaucoup d’humilité d’esprit, car l’homme est pécheur et il a besoin de pardon de la part de Dieu toujours, toujours, et de prière pour le pardon toujours, toujours, les fils.
Oh, Je ne peux, c’est à cause de la tristesse que Je ne peux parler du pouvoir de ce jour-là, jour de mémoire, quand Moi, le Seigneur, J’ai béni sur la terre le mystère et l’œuvre de l’église de Nouvelle Jérusalem, le mystère de la fin de temps, et ses fils, que Je n’ai plus tous, et J’en suis désolé. Je Me console avec ceux qui sont restés, et J’essaie Me consoler avec ceux d’aujourd’hui, peuple de Ma parole.
Vous êtes tristes vous aussi, cachant des soupirs, fils avec lesquels Je suis resté encore dans la cité. Oh, Je suis resté avec vous, les fils, et nous essayons de remplir la place de ceux qui n’ont pas aimé jusqu’à la fin et remettre en place et guérir cette grave plaie, oh, et J’ai pitié de vous tout le temps, et vous avez-vous aussi pitié de Moi et de la douleur resté en Moi après ceux qui se sont perdus.
Je m’incline et Je vous console. Vous êtes restés avec Moi, les fils, et c’est pour cela que Je vous console. La tristesse est grande, mais l’espoir donne de nouvelles forces vers la patience, celle porteuse de fruit pour elle.
Car pas seulement vous, les fils, mais Moi non plus, Je ne peux en ce jour travailler de plus. Elle suffit au jour sa douleur, et Nous allons plus loin pour le travail du Père avec Nous. Nous rappelons notre pensée partie vers la douleur qui provoque de la douleur, et nous regardons au travail du Père, car le Père travaille, les fils. Nous levons vers le Père jour de mémoire du jour de fête et Nous passons vers le travail que Nous avons à porter sur les épaules, et l’amour va Nous aider et Nous consoler, Mes fils.
Paix à vous maintenant et ensuite, de la paix, les fils! Je suis ici, à table avec vous, avec tous les témoins du ciel du jour de mémoire maintenant ici.
Paix à vous! Travaillez toujours la paix sur toute douleur qui vous éprouverait. Je vous porte dans Mon bras divin, oh, Mes fils. Amen, amen, amen.
22-07-2021