J’entre en parole dans Mon livre d’aujourd’hui, J’y fais Mon logis et Je vais ensuite au-dessus de la terre avec Ma parole écrite, et Je soupire par la parole, Je soupire avec le Père et avec les saints, puisque J’ai des raisons de soupirer, et c’est depuis sept mille ans que Je soupire.
Je bénis le pouvoir de ceux qui Me portent en parole vers Mon livre, et que les puissances célestes travaillent du pouvoir pour Ma descente, car elle doit être portée. Il faut qu’il soit comme dans le ciel sur la terre pour Ma descente, et dans le ciel ce sont les puissances célestes qui donnent de l’énergie aux accomplissements qui doivent être réalisés et portés. Moi, le Seigneur Jésus-Christ, J’ai dit à Mes disciples d’il y a deux mille ans de demander au Père en Mon nom ce dont ils ont besoin, et Je leur donnerai n’importe qu’ils demanderont. Elle est grande cette sagesse et elle a besoin de grand accomplissement, car sur la terre on a grand besoin de Dieu et de puissances célestes ensuite, pour l’accomplissement de la parole de la prière venue de la terre vers le ciel, et l’homme doit apprendre parfaitement les lois célestes avec lui sur la terre, tel que Dieu pourra Lui aussi agir avec l’homme par la sagesse de l’homme, car là où il n’y a pas de sagesse pour celles du ciel, il n’y a pas de foi profitable non plus. Oh, il ne faut pas que l’homme s’habitue avec la foi, mais elle doit être toujours bâtie et toujours accompagnée pour son accomplissement par les puissances célestes, car autrement la foi de l’homme est comme la feuille sur l’eau, elle n’apporte pas de fruit et de vérité.
Je Me tiens à table de parole avec ceux du ciel au milieu de toi, peuple doué par Dieu avec tant de nourriture de parole. J’ai à table avec Moi des amis du ciel, de sages serviteurs en leur temps sur la terre et de grands travailleurs de miracles et de parole, des prélats selon le rang chrétien dans l’église de leur époque. A chaque sainte fête, Nous, ceux du ciel, comme ceux de la terre, Nous parlons pour l’esprit de la fête, en lui donnant la parole. L’esprit de l’enseignement saint coule au-dessus de l’homme de cette source céleste, et on a besoin de force venant du ciel et de la terre, force porteuse de Dieu, on a besoin de beaucoup d’aide, car pour Ma parole sur l’homme il faut ensuite beaucoup de parole, beaucoup de sentiments et beaucoup d’accomplissement.
Oh, on a besoin de joie pour le Seigneur et pour l’homme. Je veux que ce soit Moi la joie de l’homme, et qu’il souhaite être lui Ma joie, Ma force pour lui. Toi, homme, voilà ce que tu dois savoir! Si tu es bien rangé, ou si tu es en faute, toi homme, réjouis-toi de ton Sauveur avec humilité douce et sainte, gardant toujours devant toi tes péchés, pour lesquels tu as le Rédempteur, Qui S’est mis sur la Croix pour toi, et toi n’aie pas honte, oh, non, mais humilie-toi et lève-toi pour les punir de tout ton cœur, car tu as de Rédempteur. Oh, qui fait l’homme pleurer? C’est le péché qui peut le faire. Et comment cela? Oui, face à l’amour le péché se soumet, l’homme devient doux et il pleure devant son Sauveur, le Christ, Qui lave les péchés du monde comme un Agneau, et Il fait l’homme dire avec douceur: «Oh, Agnelet plein de pitié, Tu T’es présenté Toi à ma place devant le juge satan, qui m’accuse. C’est moi celui qui a péché, et Toi Celui Qui a expié, et le péché est toujours devant moi, mais Toi aussi Tu es toujours avec moi, Seigneur, mon Sauveur, et Tu as payé pour moi les dégâts que j’ai faits».
Voilà que de douceur et de force pour l’amour peut recevoir l’amour qui se rend compte à tout instant qu’il pèche tant! Peut-il encore se séparer du Seigneur ensuite? Oh, non! Il sent le Seigneur existant en lui, par le brisement du cœur plein de chaleur pour Celui du ciel, son Seigneur et Maître, pour Celui Qui sauve le pécheur par Sa pitié pour l’homme. Oh, qu’il a été doux l’empereur David et combien il se consolait dans sa douleur venue du péché lorsqu’il disait: «Je connais ma faute et mon péché est devant moi sans relâche, car j’ai péché contre Toi seul, j’ai fait ce qui est mal, et Tu es juste dans Ton jugement, mais Tu me purifieras avec de l’hysope et Tu me laveras, Seigneur, et je serai plus blanc que la neige, Tu m’annonceras l’allégresse et la joie, mes os tiendront en humilité devant Toi, Tu vas créer en moi un cœur humble, renouvelant en moi un esprit juste et ferme, Tu vas me rendre la joie de Ton salut et j’ouvrirai mes lèvres pour publier Ta louange, Seigneur».
Je suis à table de parole à côté de Mes prélats fêtés en église dans le ciel et sur la terre en ce jour, et il est grand l’enseignement d’aujourd’hui, il est épiscopal. Oh, allons travailler pour le Père et pour Sa joie venant de l’homme ensuite, Mes chers prélats! Moi en vous et vous en Moi, tout comme entre Moi et le Père travaille ce mystère et unité, et allons nous faire parole et nourriture avec elle. Amen.
— Nous sommes un nous aussi en parole, Seigneur et notre Empereur sur la terre et dans les cieux. Nous devons dire aux hommes la parole de l’Ecriture celle d’il y a deux mille ans qui dit: «Celui qui est né de Dieu ne pèche pas». Oh, comment faire pour qu’ils fassent attention tous les hommes à ce que nous présentons maintenant en vue du renouvellement dans leurs pensées et en vue de l’accomplissement dans les actes de la vie, Seigneur? Oh, il leur faut de l’amour aux hommes. Face à l’amour le péché se soumet et il rend doux l’homme, il l’incline vers Toi, et ensuite l’homme cherche à Te consoler pour Tes blessures venues de lui, il essaie de Te les guérir, et Ta consolation venant de lui devient de la consolation pour lui et de la rédemption, et voilà que de force a l’amour, Seigneur!
Oh, Seigneur, si c’était possible, nous nous lèverions au travail visible et nous marcherions sur nos pieds à la vue, au milieu des hommes au long et en large, et nous leur parlerions de cette consolation qui va d’eux vers Toi, et de Toi vers eux ensuite, car les hommes n’ont pas de consolation, ils n’en ont pas, Seigneur, ils n’en ont pas, puisqu’ils se trouvent condamnés sous le péché, et le péché cache son laid visage et l’esprit du diable, qui se fait péché dans l’homme. Ils se sont fâchés contre Toi quelques-uns de ceux qui ont entendu de Ta bouche en ces jours qu’il n’y a pas d’homme qui n’ait pas de démon en lui, mais c’est seulement celui qui est né de Dieu qui ne pèche pas, oh, Seigneur, et il faut que l’homme sache cela, et qu’il s’humilie beaucoup pour son impuissance, et de son humilité Tu peux ensuite faire naître de la sagesse pour lui, et qu’il s’incline l’homme vers l’esprit doux vis-à-vis de Dieu, de Toi, Seigneur, Celui Qui met en jugement le diable pour l’homme, pour le racheter, afin que l’homme ne soit plus le logis du diable.
Voilà, il y a de la consolation dans la douleur, il y en a pour Toi, Seigneur, il y en a aussi pour l’homme, à condition que l’homme puisse, qu’il veuille bâtir la cité de la consolation. Le mauvais esprit évite l’esprit de la consolation et se tourmente plein de crainte depuis deux mille ans, dès le moment où Tu as promis que Tu enverrais l’esprit de consolation, le Saint Esprit, le Consolateur, afin qu’Il soit sur la terre, pour beaucoup de ceux qui T’aiment à désir saint et qui peuvent Le partager à ceux inconsolés, à ceux affectés par le péché.
Nous sommes à table de parole au milieu du peuple de Ta parole, oh, Seigneur Consolateur. Nous mettons parole sur Ta table avec lui, près de Ta parole déjà mise sur la table. Ton peuple doit prendre lui tout d’abord de la table et partager ensuite, pour que la semence de Ta parole donne du fruit dans beaucoup d’hommes. Nous avons de Toi le travail de bénédiction et de veille et de victoire pour Toi et pour le peuple de Ta parole, et nous nous tenons au milieu de lui pour la bénédiction, Seigneur, et nous ne quittons pas ce lieu, oh, et combien le ciel habite ici par la veille! Il n’y aurait rien et personne sur la terre de Ton choix ici, si les puissances célestes ne travaillaient et ne veillaient sans repos et sans frontière ici, et grande humilité sainte doit s’élever d’ici vers Toi, puisque l’armée céleste habite ici, et elle voit et travaille et entoure de puissances la cité tout le long de la frontière, tout petit coin d’ici.
Oh, de combien de bénédiction on a toujours besoin ici, Seigneur! Mais de combien a-t-on besoin sur la terre, oh, Seigneur? Oh, il faut qu’il faiblisse l’esprit malin, puisque nous, les prélats de notre rang devant Toi et devant les hommes alors et maintenant, nous lançons parole contre l’esprit malin, afin qu’il sorte toujours des hommes avec sa corruption, qu’il sorte et qu’il ne se mette pas avec son travail sur d’autres lieux, mais qu’il laisse affaiblir son pouvoir et s’éteindre, car tout est à Toi, Seigneur, partout, et on doit apprendre aux hommes qu’ils ne donnent plus de force au diable, mais qu’ils Te donnent à Toi la force, qu’ils se laissent en vérité baptisés dans Ta parole, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, et qu’ils ne sortent plus ensuite de cette bain, étant dignes de la nouvelle chemise, du nouvel amour, de vie nouvelle et de nouveaux temps sur la terre avec les hommes, Seigneur. Que le mauvais esprit entende maintenant ce que nous parlons avec Toi à table de parole au milieu de Ton peuple de Nouvelle Jérusalem, dans Ta cité d’aujourd’hui sur le foyer du peuple roumain, là où Toi et nous, Tes saints, nous mettons la parole de l’enseignement de la vie. Il n’y a pas sur la terre d’école, il n’y en a pas, et il y a autre chose sur la terre sur ce nom. L’école pour l’homme c’est seulement le Seigneur, seulement Toi, Seigneur, et celui qui ne se tient pas près et n’apprend pas de Toi, il est à plaindre. Oh, comment venir à cette source les hommes, du moment qu’ils tiennent à leur gloire passagère, comme si elle ne finirait plus? Est-ce qu’ils pensent à ce qu’il se passera avec eux après que leur volonté et gloire et pouvoir soient réduits?
Voilà, le péché est toujours aujourd’hui et il asservit l’homme qui n’est pas né de Dieu et qui ne se laisse pas né d’en haut, pour s’opposer au péché ensuite, et nous nous sommes tenus près de Toi, Seigneur, en ce jour, et nous avons prononcé parole juste, et si la force qui Te porte dans Ta venue avec les saints était plus grande, il y aurait richesse de parole et de sagesse d’en haut comme la rivière, par la parole au-dessus de la terre. Et Toi, Bon et Doux Seigneur, Tu vas leur donner force et consolation et Tu vas renforcer Ta voie, en leur donnant à tous des pouvoirs saints toujours, des pouvoirs pour Toi, Seigneur, car Ta voie est difficile, mais elle est belle pour ceux qui savent supporter tout pour Toi en chemin, pour Ton amour pour eux, pour Ta grande miséricorde et rédemption envers les hommes, envers beaucoup d’hommes, oh, Seigneur. Amen.
— Moi, le Seigneur, Je peux agir dans le ciel et sur la terre pour les Miens, mais si J’ai beaucoup souffert sur la terre, et maintenant dans le ciel, ils doivent savoir aussi ceux qui M’aiment, qu’ils sachent eux aussi, qu’elle est précieuse la vie avec le Seigneur. Qui ne se réjouirait d’une vie faite seulement de bonheur sur la terre? Mais la vie sans épreuve n’a pas de prix, elle ne peut se réjouir sans de peine pour la joie.
Je bénis Ma parole pour la force, pour qu’il ait de la force pour Moi, et que Moi, J’en aie pour lui, et pour beaucoup d’autres par lui, et vous, saints aimants et riches en grâces, restez devant Moi pour Mon peuple d’aujourd’hui et veillez-le du ciel et d’auprès de lui, car c’est cela que Je vous ai demandé. Que l’esprit adversaire à Moi et à eux ne leur fasse plus de mal, mais que seulement l’esprit de la consolation soit avec eux, et qu’ils nourrissent leur amour de Dieu, qui leur apprenne l’œuvre de la consolation, l’œuvre de l’humilité d’esprit, par lequel l’esprit de la consolation se verse en eux en toute sa largeur. Amen.
J’ai fait conseil avec vous, à table avec vous, oh, Mes chers saints, et grands par l’œuvre sainte d’ici. J’ai été avec vous à table de parole au milieu du peuple de Ma parole d’aujourd‘hui. Tout le ciel prend Ma parole de cette table, la parole de la consolation. Tout le ciel est Mon témoin quand Je viens ici, quand Je viens en parole au-dessus de la terre. Amen, amen, amen.
12-02-2013