La Parole de Dieu du Dimanche après la Fête de la Croix Glorieuse

J’entre dans le live en parole. Voix de Pasteur du ciel sort de Ma bouche. Je suis le Fils du Père Sabbaot et Je suis Pasteur. Tel que la rivière ne s’arrête pas en s’écoulant par son lit, tout aussi Ma parole ne s’arrête pas de son œuvre, car après l’avoir prononcée elle travaille, et c’est pour cela que Ma parole doit être mise sur la terre dans son livre. L’homme ne veut l’accomplir et la parfaire dans sa vie, mais Ma parole travaille sur la terre, tel que l’homme ne s’imagine pas. Elle répare ou gâte là où l’homme ne l’accomplit pas, mais Ma parole prononcée répare les choses gâtées par l’homme et détruit les choses bâties de l’homme contre Moi, et l’homme ne peut s’opposer à Ma parole prononcée, tel qu’elle ne soit pas accomplie. L’homme est endurci et il ne voit plus, il n’est plus capable de voir celui endurci, ou de comprendre les œuvres de Dieu, mais Moi, le Seigneur, Je répare toutes les choses gâtées de l’homme par son opposition face à Dieu, Celui Qui fait tout et range tout selon Sa volonté.

Maintenant Je mets dans le livre la parole prononcée à son temps, car Je suis venu, les fils, il y a deux semaines avec la parole et Mes saints, Je n’ai pas trouvé la porte ouverte pour entrer dans le livre, et J’ai fêté dans le ciel entre les saints en ce jour-là Siméon le Stylite, celui qui a bâti pour lui escalier vers le ciel, et il y est resté jusqu’à son départ au ciel entre les saints, et en ce jour-là il y avait le début de l’année, tel que ceux qui se nomment d’eux-mêmes des chrétiens ne savent plus et n’ont plus cette habitude.

J’avais préparé alors Ma parole pour la mettre dans le livre et pour en parler au-dessus de la terre, Moi et Mes saints, mais puisque Je n’ai pas trouvé la porte ouverte, Je vous ai priés de M’aider à mettre dans son livre la parole qui attend depuis lors, pour être transmise sur la terre et y travailler pour beaucoup de gens ensuite, travailler comme l’eau qui n’arrête pas sa source et qui s’écoule et lave continuellement le lit par où elle s’écoule, en la rafraîchissant toujours.

Je suis l’Eternel, Je suis la Voie, La Vérité et la Vie. Je suis la vie de l’homme. Il Me fait mal le refus de l’homme de savoir que c’est Moi sa vie. Ils ont mal les saints parce que tous les hommes oublient de les voir et de regarder dans leur vie passée au milieu des hommes. Il y a grande douleur au ciel à cause des hommes qui oublient ceux du ciel, ceux venus de la terre au ciel. On a mal au ciel puisque les hommes ne connaissent pas le commencement de tout et la fin de tout commencement, pour recommencer ensuite et que son œuvre ne s’arrête pas, œuvre qui commence.

Les hommes ont osé de s’atteindre des choses écrites pour qu’elles existent, de changer les choses qui ne peuvent être changées. Fête de nouvelle année chrétienne on présente au Seigneur au début de ce mois, mais il est venu l’homme orgueilleux et il s’est mis à compter et à changer de lui, tel que le peuple ne connaisse plus sa fête du début de l’année, et il l’a mise dans un autre temps, en se procurant occasion de distraction pour la fin et le début de l’année à son compte, et cela ne serait pas si nuisible, s’il ne s’atteignait pas à celles inchangeables de leur place dans le temps. Et voilà ce que l’homme a fait! Il a déplacé l’homme orgueilleux les fêtes des saints, il a changé de leur place dans le temps les traditions, les jours et tous leurs mystères et pouvoirs, il les a pris et en entier et les a mis dans un autre lieu temporellement plus avancé, et il n’a pas bien fait l’homme s’il a cherché de gâter.

Oh, Il est venu sur la terre Dieu la Parole et Il a réparé avec Sa parole prononcée l’œuvre nuisible de l’homme, adversaire à Dieu par cette œuvre. Je t’ai préparé toi, Mon peuple, et Je t’ai fait savoir que nous devons remettre à leur place dans le temps celles que l’homme avait déplacées. Tu M’as reçu et tu M’as obéi et nous avons réparé Nous et vous, Nous avons remis à leur place dans le temps les jours des saints, et Je viens maintenant avec les saints et Nous remettons sur la terre les jours de fête sans changement, et voilà quelle force a Ma parole, qui se fait place pour parler sur la terre et pour réparer les choses gâtes par l’homme, et depuis lors tu M’as obéi et Moi Je t’ai obéi, et Nous Nous recevons les uns les autre quand il s’agit d’obéissance envers Dieu.

Oh, ils ont mal les saints au ciel, car là où il n’y a pas d’obéissance envers Dieu sur la terre, on gâte beaucoup et on répare, difficilement ensuite. En ce jour de début d’année de l’église chrétienne, ils viennent les saints pour parler aux hommes sur l’œuvre de la rédemption. Mes saints fêtent aujourd’hui au milieu d’eux Siméon le Stylite, selon son nom d’église et selon l’œuvre de sa vie sur la terre, puisqu’il a quitté la maison de ses parents au temps de sa jeunesse et il a construit son habitation sur un mur mince et haut, en ajoutant toujours à sa hauteur six coudées, ensuite encore six, ensuite dix et quatorze et tout le reste jusqu’à quarante coudées au-dessus du monde, au-dessus de la terre des hommes et de là il élevait des prières plus haut, et il guérissait beaucoup des gens seulement par la parole, après avoir présenté sa prière à Dieu. Ils s’étaient écoulés plus de quatre cents ans de Ma venue en chair sur la terre par Ma naissance de mère Vierge, lorsqu’il est venu sur la terre avec sa vie Mon disciple Siméon le Stylite, celui qui a vécu plus de cent ans dans ce monde, et il a cherché toujours la voie du salut, qu’il avait demandé en prière dès sa jeunesse, et il s’est vu ensuite en creusant pour la fondation d’un bâtiment, et ensuite pris de fatigue, en se reposant, il a entendu voix céleste parlant d’au-dessus de lui: Creuse, creuse plus profondément! Il a creusé encore et encore ensuite, jusqu’à ce qu’il a entendu voix ordonnant d’en haut: «Assez! Bâtis maintenant, car sans persévérance personne ne bâtit rien».

Quand l’homme va à une grande fête beaucoup souhaitée et attendue de lui, il y va en force, le cœur frémissant, mais quand il sait qu’un jour il va se trouver face à face avec le Seigneur de ses jours, l’homme n’a plus la même envie et vive émotion. Et voilà combien cet homme saint a pensé au jour où il allait se présenter devant le Seigneur avec sa vie et son œuvre! Il s’est élevé au-dessus du monde et au-dessus du péché qui attire l’homme sur la terre, car il a vu comment l’homme du début s’est laissé attirer vers le péché et comment elle était arrivée ensuite sa séparation de Dieu, Celui Qui tient tout dans Sa main. Mes saints ont été ceux qui ont pris conseil des choses expliquées par les Ecritures et ils ont cherché ensuite de lutter pour leur vie avec Moi entre les hommes, car la vie sur la terre est dure et menacée par le péché, et cela parce qu’au début du monde elle s’est laissée sur l’homme la passion de la débauche, l’amour diabolique entre homme et homme, et toute cette dégradation est venue sur la terre à cause de la désobéissance à Dieu de l’homme du commencement, et Mes saints ont pleuré sur la terre pour cette dégradation de l’homme, et ils ont beaucoup peiné contre elle, tel que il y a eu de ceux qui ne se lavaient pas toute leur vie, et faisaient cela pour se défendre contre cette passion, qui tache de la part de l’homme le Seigneur, Celui pur, Celui Saint, Celui Qui souffre de l’homme depuis sept mille ans cette tache noire d’entre l’homme et Dieu.

J’ai dit il y a deux mille ans et Je le dis de même aujourd’hui: «C’est de la pitié, pas du sacrifice que Je veux de l’homme». Oh, c’est de la pitié que J’attends de l’homme. Que l’homme ait pitié de Moi, de Ma douleur venue de son péché, car J’ai perdu l’homme à cause de son envie pour le péché. Oh, tu as envie du péché, homme, tu en as envie toujours, mais de Moi tu n’as pas pitié, tu ne t’en souviens pas pour la mettre au travail entre toi et Moi, car Je pleure depuis sept mille ans pour ton péché, par lequel tu trompes Dieu et l’homme. Oh, prends conseil de Moi et lutte pour t’échapper du péché, puisque le péché te vainc toujours, et tu ne luttes pas comme les saints qui ont cherché tout le long de leur temps sur la terre la voie du salut, la voie du Seigneur, sur laquelle il y a de la sainteté et pas de péché.

Oh, si tu veux, homme, lutter et te garder du péché qui guette partout pour t’attirer de la part de son maître, de la part du diable, prends soin à ta marche au milieu du monde, prend soin, toi homme, qui cherche le salut, toi qui choisis de lutter. Oh, si tu marches, et surtout si tu marches parmi les hommes, près des hommes, garde toujours quelqu’un auprès de toi, pour avoir la chance contre le péché de la débauche, pour lequel on se cache pour le faire. Oh, écoute Mon enseignement car si tu vas seul le diable te donne du travail, il va au-devant de toi et il donne du travail à ta raison et à ton cœur ensuite, tel qu’il l’a fait à ceux du début, qu’il a mis à l’épreuve avec la permission du Seigneur, pour qu’Il voie leur choix, mais ils ont choisi la désobéissance envers Lui, et ils se sont retirés avec elle dans l’obscurité, ils se sont cachés ensuite de Dieu, car ils ont senti en eux le fruit de la désobéissance, le péché, et ils ont établi alors sur la terre la passion de la débauche, avec laquelle ils ont lutté le long des siècles Mes saints, ceux qui ont puni dans leur propre chair cette passion humaine et diabolique.

Ils avaient de l’humilité devant Dieu Mes saints. Ils se faisaient tout petits pour faire leurs nécessités sur la terre après avoir manger. Ils se mettaient à l’abri des regards de Dieu, des anges, et des hommes, ils s’abaissaient le plus possible, ils se couvraient et ils ne touchaient pas leur corps. Oh, ils ne faisaient pas tel que le font tous les hommes sans honte face à eux-mêmes et face au Seigneur, mais ils se gardaient Mes saints contre la passion qui gambade dans les hommes, et ils transmettaient des uns aux autres cet enseignement saint, et personne ne savaient ce saint mystère, qu’ils se partageaient pour en être gardés du péché. Les saints s’abaissaient et les hommes restent debout, et ils ont pris cette mauvaise habitude pour faire cette nécessité sur la terre, celle qui porte tous les péchés et toutes les mauvaises conduites de l’homme face à la terre et face au ciel. Il y a eu entre les saints beaucoup de grands endurants parmi ceux qui ne se lavaient pas toute leur vie, pour ne toucher pas leur corps, pour ne pas se voir ou se savoir nus devant le Seigneur, et ils luttaient, les pauvres, ils luttaient avec le diable, ils luttaient avec la chair et avec le diable, car le diable luttait contre eux, parce qu’ils étaient Mes saints, Mes bien-aimés, et parce que J’étais leur Bien-Aimé, leur Maître, effrayant à voir à cause de Ma grande gloire, que tant de saints ont eu la chance de voir. Oh, qu’ils étaient sages! Quelle sagesse avaient-ils face à Dieu, à Celui Qu’on ne voit pas! Oh, où puissé-Je encore voir pour Moi ce grand soin de l’homme contre le diable, celui qui lutte contre l’homme qui choisit d’être avec Moi sur la terre?

Oh, quelle douleur de voir comme dans les églises servent à l’autel des pharisiens! Il y a beaucoup d’établissements sur la terre, et les hommes ont bâti partout des églises où ils se réunissent pour Dieu. Je vois avec douleur des vieux, des enfants et des veuves, qui eux seuls s’approchent de la sainte eucharistie, mais pas les jeunes, car ceux-ci connaissent la tradition, et ils ont peur ceux attirés vers le péché charnel, ils ont peur de s’approcher avec leur jeunesse. Mais Moi, le Seigneur, Je demande: Je te demande, prêtre, toi qui te tiens à l’autel la coupe à la main, est-ce que toi, tu es ce qu’ils ne le sont pas ceux qui ne viennent pas à l’église parce qu’ils n’ont pas la vie rangée selon les choses saintes de Dieu? Et si tu n’es pas non plus rangé, toi, comment fais-tu d’y aller? Voilà, tes chefs te demandent de te marier avant de recevoir le service de prêtre de leurs mains, des grands qui sont comme toi, et tu vois comme ceux qui ne sont pas vieux ou enfants ou des veuves ne viennent pas à l’autel, mais toi, tu y es. Oh, qu’est-ce que tu as à dire lorsque Je te pose cette question? Qu’est-ce qu’ils ont à dire ceux qui ne vont pas à l’autel à cause de leur manque de préparation? Voilà, ils sont plus saints ceux qui se reconnaissent des pécheurs et sans des vertus, plus saints que ceux qui se montrent seulement être capables d’accomplir les œuvres saintes du Seigneur. Et alors comment faire le calcul? Qui le fait sur la terre entre homme et homme pour qu’il y ait la justice?

Oh, voilà, l’homme a besoin de grâce de la part du Seigneur pour se faire saint et garder cet état, pour en lutter tel que les saints l’ont fait, et en pleurant ils ont lutté, et ils avaient la grâce ceux qui aimaient ainsi. Mes saints ont en fête dans le ciel le saint Siméon celui connu dans l’histoire comme le premier habitant sur un pilier, celui qui s’est séparé du monde en montant au-dessus de lui, et passant ainsi sa vie. Les saints désirent ardemment de parler, au-dessus de la terre maintenant, par la voix de celui fêté en ce jour entre les saints. Qu’elle soit bénie la parole de Mes saints par le porte-parole des saints, de ceux du ciel. Amen.

— Nous nous tenons devant Toi, Seigneur, nous nous tenons tout comme sur la terre devant Toi, avec humilité nous nous tenons dans le ciel aussi devant Toi, car elle était avec de l’humilité notre conduite face à Toi sur la terre, Seigneur de la gloire. Elle est effrayante Ta gloire, car elle est grande, Seigneur, et ceux qui en ont vu se sont effrayés et c’est ainsi qu’ils ont vécu sur la terre devant Toi, et ils ont lutté pour ne pas ombrager Ta gloire entre eux et Toi, ils ont lutté de toutes leurs forces, mais ils ne se sont pas séparés de Toi, pas même pour leurs péchés, oh, Seigneur.

J’ai été guidé de Ton Esprit sur la terre pour laisser un exemple entre les hommes. Dès ma jeunesse j’ai cherché la voie du salut, car je n’ai pas aimé le monde, oh, je ne l’ai pas aimé, Seigneur, puisque c’est cela que Tu as voulu pour moi sur la terre. Je ne savais pas où chercher: en haut ou en bas, je ne savais pas comment me faire plus agréable pour Toi. J’ai commencé à creuser et m’humilier en creusant la terre comme un homme, et Tu m’as touché de Ta grâce au temps de ma peine et Tu m’as conseillé de creuser en haut, de bâtir ce que j’ai creusé en bas, et que je travaille avec la même peine. J’ai monté vers le haut ensuite, après avoir bâti vers le haut ce que j’avais creusé vers le bas, et j’y ai resté toute ma vie, et Toi, Tu m’as protégé et Tu m’as montré aux hommes de mon temps, qui frémissaient en voyant à quel point je m’abaissais, pour T’élever Toi en moi, mon bon Conseiller, le généreux Maître de mon humilité. Oh, il doit beaucoup, beaucoup travailler l’homme pour la voie qui peut le sauver du monde et de la chair, oh, Seigneur. Oh, et peu, très peu travaille l’homme pour Toi, pour que Tu lui donnes ensuite la rédemption aussi.

Tu m’as fait apôtre entre les hommes par ma vie, celle bâtie pour Toi avec ma grande peine devant Toi, Seigneur. Oh, comment conseiller plus saintement l’homme pour qu’il prenne vigoureusement et dans la crainte de Dieu son œuvre avec Dieu et pour Dieu? C’est pour Toi que Tu as bâti l’homme, pas pour lui l’as-tu bâti, Seigneur. L’homme a laissé dès le début sa destinée venue de Toi et il s’est fait le serviteur du péché logé en lui, né par sa désobéissance envers Toi, Créateur de tout, des visibles et des invisibles, tous ceux qui existent.

J’ai été le premier entre les saints logeant sur des piliers, j’ai été sur la terre devant les hommes, et je suis venu à Toi et aux saints du début de l’année chrétienne et spirituelle, au premier jour du premier mois de l’année. Je suis venu fruit mûr et Tu m’as mis à Ta table avec les saints.et je vois du ciel sur la terre maintenant avec Tes saints, avec tous ceux qui voient avec Toi du ciel sur la terre partout.

Oh, elle est grande Ton œuvre d’aujourd’hui, grande, Seigneur, et ils frémissent les saints à la vue de sa grandeur, dans le ciel et sur la terre. Tu es si doux en T’approchant de l’homme, quand Tu viens et Tu parles avec Ta voix d’aujourd’hui. Doux, Seigneur, bien doux face à Ta grandeur vue par Tes saints. Oh, quelle est grande Ta gloire dans le ciel et sur la terre, gloire que l’homme ne pourrait pas regarder sans s’écouler sous elle! Mais Tu es si doux, si bon et doux, et Tu Te fais si petit, d’autant que Tu es grand, oh, Seigneur, et voilà, Tu viens sur la terre en parole et Tu parles avec l’homme tout comme Tu le faisais en Eden, et Tu fais entendre Ta parole, qui doit être écoutée par l’homme, Seigneur.

Vous, ceux qui souhaitent le Seigneur sur la terre, faites attention à la voix du Seigneur et pas du tout à la vôtre. Oh, ne faites pas comme l’homme du paradis, celui qui au lieu d’obéir au Seigneur, il a obéi à l’homme, et ils se sont tirés l’un l’autre de la face du Seigneur, et ils sont tombés sur la terre ensuite, c’est pourquoi on doit beaucoup travailler avec la vie, pour la rendre au Seigneur, Duquel vous l’avez en cadeau, et pour laquelle vous Lui êtes obligés avec la vie. Oh, écoutez la voix du Seigneur! Il vient le Seigneur en parole sur la terre. C’est pour vous qu’Il vient. Il vient vous sauver des ténèbres et du noir péché. Faites-vous des temples saints avec votre chair, car le Seigneur a besoin de repos en vous. Luttez pour la vie d’en haut en vous et ne renoncez pas à la lutte, car elle est chère la vie et son prix, elle est toute aussi chère que l’éternité, la vie mise du Seigneur dans l’homme. Levez-vous au-dessus du monde et de l’esprit du monde. Cela est possible par la volonté, car le monde c’est seulement du péché. Consolez votre chère avec les outils de la dureté contre l’ennemi de l’homme, et consolez votre esprit avec le souffle léger du Seigneur et avec Ses chers dons. Et en fin, consolez votre âme, consolez le Seigneur en vous, Celui Duquel vous avez la vie dans votre corps. Le corps de l’homme est tombé du paradis sur la terre il y a sept mille ans, et sur la terre il y a la guerre, il y a front de bataille contre la vie d’en haut de l’homme, mais vous, les hommes, naissez-vous d’en haut et vous serez d’en haut et vous allez vaincre dans la guerre contre les armées ennemies, car le Seigneur a vaincu pour vous.

Oh, paix à Toi, Seigneur! De la paix venue de nous, Seigneur! Tes saints se portent avec Toi entre le ciel et la terre. Nous sommes avec Toi dans les airs, sur des nuées d’anges, et elle est grande Ta gloire. Mon bonheur est très grand maintenant. Gloire à Toi pour lui, et moi je le partage avec mes frères, avec Tes saints dans le ciel maintenant, et nous Te glorifions tous! Amen.

— Oh, que c’est beau! Oh, s’il s’habituait lui aussi l’homme de la terre avec cette beauté, avec le Seigneur et avec les saints en fête céleste sur la terre! On doit beaucoup lutter et il y a du beau dans la lutte, oh, Mes chers saints, mais les hommes ne connaissent pas ce beau. Oh, ils ne savent pas les hommes les choses du début et celles de la fin, et de nouveau celles du début.

Je suis plein d’attente après l’homme. Il est long le temps de Mon attente. Je veux qu’il soit beau sur la terre tout comme au ciel, et il faut qu’il apparaisse ce début, car il Me manque tellement. Amen.

Paix à toi, Mon peuple! Dans le deuxième jour de la fête de Ma croix, en jour de dimanche J’ai mis dans le livre la parole que J’ai gardée en Moi préparée pour ce début, pour le nouvel an. Prends soin, le fils, de partager au-dessus de la terre cette parole de fête et d’enseignement pour la rédemption.

Oh, fils Mon peuple, tiens-Moi, le fils, dans ton sein, là où Je veux habiter, car les hommes ne savent pas Ma douleur et Mon errance, celle de sept mille ans sur les traces de l’homme, qui M’a arraché de lui, et elle est restée vide cette place dans l’homme et en Moi, vide que l’homme ne peut combler qu’avec Dieu, avec Celui Qui a bâti l’homme pour que le Seigneur ait maison sur la terre. Voilà, Je suis sans maison. Il y a Mes ennemis dans la maison, et Moi en dehors, exilé. Je veux reprendre Ma maison, la nettoyer et la remplir de la gloire. Je veux réparer les choses gâtées par l’homme. Ma parole répare ou supprime là où l’homme travaille, et il ne peut l’homme s’opposer à ma parole prononcée. Amen.

Ma parole M’amène sur la terre pour travailler par la parole, comme au début. Ma gloire se repose maintenant, après avoir accompli la mission, car J’ai mis dans le livre Ma parole, qui a attendu son entrée, et elle va se partager au-dessus de la terre. Amen, amen, amen.

28-09-2014