Les fils, les fils, Nous inscrivons dans Mon livre d’aujourd’hui, livre que J’écris sur la terre en ce temps, par vous, ceux qui recevez Ma venue et sa parole, Nous marquons la mémoire du jour où J’ai mis dans Ma cité d’aujourd’hui avec vous, la première pierre, la pierre de fondement du Saint des Saints de la Nouvelle Jérusalem, pour qu’ensuite Nous battissions au-dessus d’elle la petite pierre blanche, l’arche de l’alliance, les fils, le symbole de Mon cœur, duquel coule Mon amour en parole sur la terre, et l’abreuve avec la voix de Mon amour pour l’homme, pour aller au-devant de lui et lui parler et l’attirer pour M’entendre, pour Me recevoir, pour Me croire et Me connaître et Me suivre ensuite, tel que Je l’ai dit Moi, le Seigneur, enseignement écrit pour l’homme, afin de l’aimer entièrement, en luttant pour cela contre lui-même, pour ne pas tomber éventuellement de l’amour envers Moi à celui pour lui-même et perdre ainsi, perdre toujours l’homme comme J’ai perdu celui du début, celui qui a perdu le bonheur du paradis à l’échange de l’amour de soi, et Je travaille toujours depuis ce moment-là, pour aider l’homme de voir combien il perd, combien on perd en désobéissant aux commandements de la vie, à Celui Qui l’a aimé au début à grand amour, même si l’homme s’est éloigné de Mon amour pour lui, oh, et depuis lors Je l’attends, Je l’appelle Je travaille beaucoup et sans arrêt pour guérir Ma blessure faite par l’homme, pour reprendre Ma consolation, car c’est pour Ma consolation que J’ai bâti l’homme, pour Me consoler avec lui, Je l’ai bâti.
Oh, les fils, J’ai commencé avec vous Mon travail, celui de la fin du temps, pour la création de nouveau de l’homme. Mon travail avec vous émerveille et éblouit les puissances célestes, et il fait trembler satan et tous ses anges, car Moi, le Seigneur, Je travaille avec vous le renouvellement, la naissance de nouveau du monde, de grands accomplissements, et en grand secret travaillés pour les découvrir ensuite et qu’on voit Ma peine, et accomplir ainsi les Ecritures de Mon travail de la fin du temps, ciel neuf et terre nouvelle, car il est écrit que Je fasse cette œuvre et que Je la donne à ceux qui M’ont aimé et M’ont suivi sur la terre en souffrant sans fin, pendant que tous les autres hommes s’approchaient de satan avec leur vie, mais un petit reste était toujours de Ma part, et portait le long du temps Ma volonté avec l’homme, et ils ont gardé la voie de l’homme vers Dieu, pour que chaque homme puisse être jugé selon ses actions, les fils.
Oh, quelle fraîcheur apporte à la brûlure de Mon Esprit le parler avec vous, combien d’apaisement à Mon soupir, long de sept mille ans après l’homme, les fils! J’ai établi avec vous en 1991 après le Christ, le début de Ma sortie à la surface avec le mystère de Ma parole, qui parle en Roumanie depuis l’année 1955, et elle s’est faite livre Ma parole, et Je l’ai élevé avec vous, et Je l’ai donné pour être connue, les fils. Je M’incline en vous remerciant pour votre appui, pour M’avoir servi en Me recevant, en Me partageant la parole et en la mettant dans le livre, lorsqu’elle vient comme la rivière sur la terre.
Oh, les fils, Je vous ai rendu capables de Me recevoir avec Ma venue d’aujourd’hui et, des uns aux autres, durant toutes ces années jusqu’à vous, J’ai eu quelque chose cueillie de la parole sortie de Ma bouche au milieu du peuple qui écoutait quand Je parlais. Mais vous, ceux d’aujourd’hui du livre de Ma parole, ne laissez rien se dissiper de Ma rivière de parole, puisque Je vous ai choisi habiles pour garder cette richesse, dont l’existence nous présentons au monde, et Moi Je réalise l’œuvre écrite dans les Ecritures, que Je dois accomplir à savoir de venir en parole sur la terre, de venir avec les saints, pas tout seul, de venir sous Mon nouveau nom: la Parole de Dieu, de venir sur la terre en parole, les fils.
Oh, Je suis resté avec vous, et ceux qui étaient eux aussi à Mon début celui de 1991, ici, oh, ils ne sont plus restés, ils ne M’ont pas obéi en toute beauté et patience sans fin, ils n’ont pas eu la fidélité convenable, ils ont été mécontents de Moi et de vous, ils ont été douteux, et ils ont chancelé car c’est ainsi qu’ils ont voulu, et ensuite ils se sont retirés dans leurs envies, ils sont rentré dans le monde et dans celles du monde , les fils, mais vous, vous êtes restés les Miens sous Mon fardeau, sous Mon Esprit protecteur sur vous, les mains toujours sur la charrue pour Mon travail d’aujourd’hui, et Mon soupir Je le partage avec vous, oh, car ils n’ont pas aimé eux aussi pleurer avec Moi, ceux qui nous ont quittés, mais ils ont aimé être eux-mêmes, et ils ont préféré que Moi, Je n’intervienne plus sur eux. Je ne voudrais plus faire souvenir encore et encore de l’infidélité du prélat oint par Moi pour Mon temps avec vous alors, et qui est écrit sur la table de la Saint Trinité comme témoin de Ma part à l’établissement et renforcement de Mon Saint des Saints avec vous sur la terre, oh, car lui aussi, comme Adam dans l’Eden il a passé sur Dieu, pour ne pas perdre sa gloire, celle venue des hommes, et il est mort lui aussi, tout comme ceux qui se sont choisi eux-mêmes, au lieu de la croix de Ma parole d’aujourd’hui avec vous.
L’homme est mauvaise espèce, les fils, rien à y ajouter, et c’est ainsi qu’ils ont été ceux qui sont partis d’auprès de nous, depuis lors jusqu’aujourd’hui. Mais ceux qui sont restés, ceux-là sont grand peuple, Mon peuple saint, et ceux-ci restent avec Moi, avec l’Empereur et avec le royaume, les fils, et Mon royaume est sans fin, et c’est seulement lui qui existe, et il est pour ceux qui travaillent à sa construction et pour lui.
J’ai dit à l’homme dans l’Eden qu’il fasse lui aussi ce que Dieu fait, ce qu’Il fait l’Empereur de la création. J’ai dit à l’homme, Je lui ai donné et Je l’ai mis au travail, puisque Dieu travaille, et il faut que l’homme travaille aussi, qu’il fasse lui aussi ce que fait Dieu, son Créateur, oh, puisque dans le ciel on ne reste pas inactif, mais on travaille tout le temps, et qu’il soit tout aussi sur la terre, car malheur à ceux sans travail saint sur la terre ! La raison de l’homme, lorsqu’elle reste libre de travail saint, elle tombe vers les mauvaises choses, elle glisse vers le péché, comme Adam dans l’Eden, mais le travail avec le renoncement à soi relève au-dessus de soi celui qui aime travailler, s’incliner vers l’amour de Dieu et des prochains, et travailler pour ceux-ci comme pour Dieu, et se tenir toujours, toujours, dans le repentir pour lui, pour ne pas lui arriver, en se trouvant sans repentir, de tomber vers le mal, vers le péché.
Les fils, les fils, celui qui ne travaille pas sur la terre pour Dieu, le Créateur, celui-là tombe. Mais Moi, le Seigneur, Je vous ai appris vous et J’ai dit par vous à tous: Louez le Seigneur, pour ne pas tomber dans l’indifférence envers Dieu, comme les anges qui sont tombés! Oh, louez le Seigneur à tout instant, les fils, pour ne pas vous soumettre à votre raison où à la raison humaine! Les anges ont peur de ne pas tomber du ciel comme leurs frères qui n’ont pas veillé au devoir, et ils sont tombés et c’est pourquoi ils louent le Seigneur sans cesse et ils travaillent pour le Seigneur tous Ses anges.
Et vous, apprenez pour savoir ce que cela signifie le jour du Seigneur et la présence continuelle dans le Seigneur, les fils, car voilà, Je vous apprends, pour qu’on trouve chez vous la parole de Mon enseignement pour l’homme, les fils.
Oh, apprenez pour savoir ce que cela signifie le jour du Seigneur, vous, les chrétiens! Il réunit les frères pour louer le Seigneur ensemble, tous en Christ et pour le Christ, et malheur à ceux qui perdent ce devoir, se prêtant à d’autres habitudes!
Oh, les fils, tous les êtres non parlants de la terre, ceux vivant dans les eaux, dans les abimes, dans les airs, sur la terre partout, tous les êtres, tous savent que s’est dimanche, et que le dimanche c’est le jour du Seigneur, et ils glorifient tous le Seigneur, tant que l’homme ne sait pas, à savoir le mystère du jour du Seigneur, tel que ces êtres le connaissent tous. L’arithmétique, ce mystère et grande œuvre, ce sont les êtres non –parlants qui la connaissent mieux que l’homme, les fils, et ils la suivent fidèlement quand ils content toutes les choses du Seigneur, et croyez ce que Je vous dis, les fils.
Oh, fils chrétiens, ne soyez pas froids de cœur face aux choses établies du Seigneur pour qu’elles existent et qu’elles soient travaillées, les fils! L’esprit et le désir saint pour la louange et la prière adressées au Seigneur, la compagnie active avec le Seigneur et Ses saints, que tout cela soit votre riche fruit, votre moisson abondante, toujours plus abondante devant Moi, et sans ébréchure, les fils. Oh, que peut être cette moisson si non le repentir de tout instant, la prière de toute instant, la louange de tout instant que vous élevez vers le Seigneur, et les jours du Seigneur, les fils? Oh, votre prière tant que vous consacrez au Seigneur, tant que vous vous accumulez, voilà votre épargne, mais si elle est froide et sans force et sans flamme, oh, n’oubliez-pas ce qui est écrit des tièdes, de ceux qui ne sont ni froids, ni bouillants, car ceux-là ne seront pas avec Dieu, ils n’auront pas la fortune vers laquelle ils puissent se diriger et hériter ses fruits, les fils.
Vous, ceux qui vous vous tenez de Ma part devant le peuple chrétien, oh, les fils, observez la force et l’esprit de la prière de ceux qui veulent être avec Dieu, de ceux qui essaient de venir vers la porte de la miséricorde, car la clé c’est l’esprit de la prière incessante et pleine du pouvoir de la foi, et elle ouvre, elle est avant-crieuse, elle vous accueille avec ceux auxquels vous avez parlé dans vos prières, celles élevées humblement vers le ciel, les fils.
L’esprit du repentir, oh, les fils, cette œuvre est celle que vous devez bien comprendre aussi, et savoir comment elle travaille et comment elle peut placer le chrétien devant Moi. Il faut donc que chacun apprenne par cœur et qu’il se dise ainsi à soi-même: «Toutes les choses par lesquelles J’ai affligé mon Seigneur Dieu et Sa place en moi, Sa présence en moi, et dans mon œuvre, dans ma parole, dans ma raison, dans ma vue et mon ouïe, dans ma marche, dans tous les sens de mon âme et de mon corps, tout cela me fait mal, toutes ces choses frappent l’Amour, le Seigneur».
Voilà l’œuvre du repentir, du regret, c’est le souci de ne pas affliger Dieu et Sa place en toi, chrétien, c’est ta présence inséparable de Dieu par le repentir, le souci que le Seigneur n’ait pas de mal venant de toi, par ce que tu fais, et ce que tu es.
Oh, Je donne à ceux qui ont quitté Ma marche avec eux, Je leur donne aussi un remède, un pardon, s’ils le veulent, s’ils obéiront, car voilà pour eux de l’enseignement de Ma part:
Oh, chrétien faible en amour et patience pour ta vie avec le Seigneur, oh, fils, oh, fils, ne médis pas Ma voie pour le temps où tu es allé avec Moi sur elle, et le lieu où tu as séjourné et ceux avec lesquels tu as vécu, car pas seulement que c’est un péché, mais c’est aussi de la honte pour toi, et tu sèmes méfiance en toi dans ceux avec qui tu vas habiter, et qui vont apprendre un jour de Moi et de toi, et auxquels tu essais maintenant de dénigrer le lieu où tu as siégé et sa gloire, que tu foules aux pieds en médisant, à l’intention de ne pas t’approprier aucune faute pour ton chancèlement, pour ta chute du bras de Dieu, oh, parce qu’il vas te rattraper le châtiment pour le péché du manque de reconnaissance et tu vas te voir ignoble et pécheur, pire que tous les pécheurs, puisque si l’homme ne se sent pas toujours indigne face au Dieu et aux hommes, il vas voir lui-même plus tard, qu’il a été indigne à cause de la grandeur de soi, qui l’a fait tomber et l’a puni ensuite, comme l’on fait pour un indigne.
Oh, obéis à Dieu pour la repentance, toi, celui qui est devenu faible, et l’humilité va travailler pour toi, pour ta repentance, celle qui peut t’apporter beaucoup de bien, du pardon et de l’apaisement.
Oh, les fils, en ce jour de mémoire du commencement de Ma sortie avec le mystère de Ma parole au-dessus de la terre, Je vous ai engagés pour Mon enseignement, celui si utile pour Moi avec vous et pour vous avec Moi, car Ma venue en parole sur la terre est avec vous d’abord, et ensuite, en commençant de vous jusqu’aux extrémités, les fils. C’est Moi, Celui Qui vous fait dignes de Mon œuvre avec vous, et vous, soyez toujours dans l’esprit du repentir, les fils, et que personne n’oublie que le chemin vers la repentance c’est l’humilité du cœur, la beauté des fils de Dieu, de ceux doux et humbles de cœur, tout comme Dieu.
Oh, n’oubliez pas, Je prends soin de vous en tout et en toutes, n’oubliez pas, n’oubliez pas, oh, les fils, que c’est pour cela que Je prends tellement et toujours soin de vous, pour vous aider de ne pas oublier et d’être reconnaissants et travaillez pour Ma venue, et qu’elle soit votre souhait, car c’est avec grand désir que Je viens, c’est le désir saint qui Me pousse, le désir saint, oh, c’est à cause du désir saint que Je viens, les fils!
Amen, amen, amen.
22-07-2020