Consolation, de la douce consolation, voilà ce que c’est Ma parole au-dessus de la terre. La consolation, l’esprit de la consolation c’est Mon œuvre entre le début et la fin, entre les deux temps, le début et la fin du temps entre le ciel et la terre, depuis que le temps a commencé son travail, après que l’homme a frappé Dieu, la consolation avec laquelle Je travaillais et J’établissais toutes les choses pour M’en réjouir, pour Me réjouir ensuite de ce que Je réalisais avec Ma consolation, et l’esprit de la consolation était alors ce que J’étais Moi, ce que J’avais et Je partageais, oh, car personne ne peux partager que ce qu’il a, et Moi, le Seigneur, c’est ainsi que J’étais, c’est ainsi que J’avais, c’est ainsi que Je travaillais, et Je Me consolais ensuite avec l’œuvre de la consolation, avec l’œuvre de Dieu.
En jour de fête dans le ciel et sur la terre pour Mes apôtres et pour leurs chefs, Je vous embrasse dans l’esprit de la consolation, vous, ceux qui recevez Ma parole et Ma marche des extrémités aux autres extrémités, fils qui vous tenez devant Moi et aidez Ma venue, celle pleine de désir saint de venir et faire de nouveau le monde, le ciel et la terre nouvelle, après avoir perdu Ma consolation pour ce que Je travaillais et Me consolais et J’ai promis alors que Je travaillerais encore une fois, œuvre de création nouvelle Je travaillerais, et elle sera la consolation pour ceux qui M’ont consolé entre le début et la fin, après que Je n’aie plus eu de consolation d’aucune part, mais seulement de la souffrance à porter, oh, puisque Mon esprit a toujours pleuré, pour le manque de consolation il a pleuré et il pleure Mon esprit, et Je n’ai pas de quoi l’apaiser, et tout pleure pour Ma venue, afin de faire de nouveau le monde, un autre tout neuf, pour renouveler tout, pout créer ciel neuf et terre nouvelle, afin de les donner ensuite toutes à ceux qui M’ont consolé dans Mes douleurs le long des temps, fait pour lequel J’ai promis de les établir dans la récompense de la consolation.
Je viens à vous avec les saints, les fils, Nous Nous asseyons à table avec vous, et Nous y mettons de la consolation, oh, car c’est seulement de la consolation que Je cherche à trouver et si Je n’en trouve pas, J’en donne Moi, Je donne ce que J’ai, Je donne ce que Je fais, oh, et Je M’assied avec Mes disciples auprès de vous, dans leur jour de fête entre les saints, et ils se réunissent ensemble aujourd’hui et demain tous les douze, car leurs chefs ont les deux leur jour de fête à côté, selon l’ordre laissé des saints parents. Et J’ai maintenant à vous dire, pour que vous partagiez ce que Je vous dis, à savoir que tout ce que le Saint Esprit a décidé par l’église, par Ses saints, à l’époque de Son établissement et renforcement sur la pierre, ces décisions sont écrites dans le ciel, elles sont dans le ciel aussi, et ceux du ciel ont des fêtes sur la terre, selon l’ordre ecclésiastique, tout par l’église, les fils, tel qu’il est écrit, puisque le Saint Esprit c’est par l’église qu’Il fait Son œuvre, par les saints de l’église Il travaille, et Il partage Sa consolation.
Oh, les fils, regardez les oiseaux du ciel. Comme les oiseaux de la terre, ceux du ciel descendent sur la terre eux aussi, pour prendre leur nourriture et de l’eau, de la table où le ciel et la terre se rencontrent, les fils. Oh, c’est la même chose pour les saints, tout comme les oiseaux du ciel ils viennent à table sur la terre, où le Seigneur a établi cet ordre par Sa création à la création du ciel et de la terre, et comme les oiseaux du ciel volent dans les airs, tout aussi les saints et les anges de Dieu, mais ils le font autrement, car ils vont sans être vus et entendus, ils ne se laissent pas vus et entendus, parce qu’ils doivent garder le mystère céleste des choses invisibles de la création de Dieu, face à celles visibles, tout comme le jardin de l’Eden est gardé en secret, invisible aux yeux de l’homme ce jardin, oh, et c’est autrement qu’ils vont Mes saints avec leur marche entre le ciel et la terre par les nues, les fils, mais la table avec de la nourriture c’est la terre, elle est sur la terre.
C’est un jour de consolation ce jour, tout comme la nourriture de la table pour les apôtres d’alors, les fils, oh, car ils étaient alors Ma consolation, tant qu’ils ne le savaient pas, et elle est grande la récompense pour ceux qui M’ont consolé et Me consolent, pour ceux qui souffrent le mal de Ma douleur d’alors, et d’aujourd’hui. Oh, et grande récompense pourraient avoir ceux qui vous consoleraient sous Mon fardeau qui pèse sur vous, mais, les fils, il est trop grand le manque de renoncement à soi de l’homme.
Je Me console quand Je vois qu’il y a quelqu’un qui ait pitié de Moi. Il M’a consolé sur la croix le brigand crucifié à Ma droite et J’ai senti sa consolation, et Je l’ai récompensé pour la consolation qu’il M’a donnée comme à un Dieu endolori et pas coupable pour la punition imposée par l’homme, et Je lui avais promis que Je l’amènerais avec Moi dans le paradis, et Je l’ai amené ce jour-même, et Je lui ai donné de la consolation, pour la consolation qu’il M’a donnée, Je l’ai lui donnée. Elle M’a consolé aussi la débauchée, car elle M’a vu endolori, méprisé et inconsolé, oh, et Je l’ai inscrite dans le livre des témoignages dans le ciel et sur la terre, avec sa pitié envers Moi.
J’ai consolé beaucoup, beaucoup de gens, mais il a eu trop peu, trop peu à Me consoler Moi, trop peu le long des temps entre le ciel et la terre. Oh, les fils, si quelqu’un essaie de vous consoler vous, il vous console pour eux, par pour Moi, pas pour vous, et vous restez les méprisés, puisque là où il n’y a pas de consolation il y a du mépris, et ce n’est pas le renoncement à soi qu’il cherche se donner ou faire l’homme, car c’est pour lui qu’il a besoin de consolation, les fils.
Oh, personne ne peut être avec Dieu et pour Dieu, s’il n’a pas pleinement le renoncement à soi, et ce que Je vous dis maintenant c’est visible. L’indifférence envers soi, telle que Je l’ai eue Moi, le Seigneur, de façon que J’aie pensé seulement à l’homme, seulement à tous ses descendants durant les temps, personne n’a jamais eu un tel grand souci à tout moment.
Oh, personne ne peut être comme Dieu, et avec Dieu, s’il ne se sacrifie pas et ne vit pas tout le temps avec de la joie pour ceux d’autour de lui, et pas pour lui-même, tout peu qu’il en soit. Toi, homme, tu n’auras pas la possibilité de sentir le bonheur avec Dieu, si tu ne peux, si tu ne sais pas aimer les autres, et ne pas te fâcher si tu les aimes, car comment pourrais-tu te fâcher contre quelqu’un que tu aimes avec tout ton renoncement à toi-même?
Les fils, les fils, l’homme n’a pas l’œuvre de Dieu sur lui pour pouvoir s’humilier tel que Dieu l’a fait. Il n’y a pas un qui puisse se sentir, se croire plus bas, plus bête, plus mince, plus petit que les autres, même si les autres sont sur des positions plus haut ou plus bas, et cela c’est à cause du manque d’amour qu’il ne le peut, oh, et il a de l’amour de soi celui –là, et comment pourrait-il l’homme Me suivre si c’est ainsi qu’il travaille, si c’est ainsi qu’il est?
Voilà, c’est ainsi qu’il est l’homme, il ne peut se laisser petit devant un autre homme d’auprès de lui, oh, il ne le peut pas, et il se met à persécuter celui sur qui Moi, le Seigneur, Je M’appuie avec Mes charges, avec Mon lourd fardeau, en cherchant de le partager de quelque façon pour pouvoir le porter.
Oh, celui qui ne peut, il ne le peut parce que le présomptueux ne connaît pas sa présomption, la bêtise de sa raison, car il est si dépourvu de raison le présomptueux, l’homme plein de soi, celui qui sert à lui-même comme à un idole, comme un serviteur aux idoles, comme un qui se fait des idoles, comme les peuples de la terre, des idoles faits en or, en argent, fabriqués par les mains des hommes, et qui ont une bouche et ils ne parlent pas, des yeux et ils ne voient pas, des oreilles , mais ils n’entendent pas avec elles, et dans les narines il n’ont pas le sens de l’odorat. De même, avec les mains, les pieds, la gorge, par lesquels ils ne touchent pas, ils ne marchent pas, ils n’ont pas de voix, oh, et ils sont tous comme leurs idoles ceux qui les fabriquent, et ils ont confiance en eux, tel qu’il est écrit sur ceux qui ne se renoncent pas pour avoir de la raison, pour pouvoir être avec Dieu en eux, oh, et c’est toujours celui qui est plus doué de grâce divine, c’est toujours lui qui est plus mis à l’écart par les empereurs de la terre et des seigneurs, tout que Moi, le Seigneur, J’ai été jeté par eux, tout comme Jean Baptiste, tout comme Mes apôtres qui ont été écartés et tués par les empereurs de temps, ceux qui menaient grand train sur leurs chaises en Mon nom, et ils décidaient le sort des hommes de la terre abusivement, tel qu’ils le font aussi ceux d’aujourd’hui, qui règnent sur le pays, comme ceux d’hier les actuels aussi, qui montrent le pouvoir de soumettre leurs peuples, et il y en a beaucoup qui travaillent par les serviteurs de l’église, qu’ils achètent au service de leurs intéresses, et aux services de ceux qui sont grands sur les peuples le long du temps.
Cinq petits amis se sont rassemblés dans une petite maison, les uns pas plus grands que les autres, mais tous petits, de petits amis, car les grands ne peuvent être amis, ils n’ont pas d’amis au cœur pur, avec de l’amour dedans. Mais vous, les fils, cherchez la charité, pas le mécontentement et observez-vous si vous avez de la charité, car si vous en avez, elle ne finit jamais, puisque c’est seulement le manque de renoncement à soi qui est l’ennemi de l’amour fraternel, oh, les fils. Prenez grand soin de votre amour de Dieu, et regardez les Ecritures pour voir ce que vous devez faire avec Mon enseignement pour ceux qui Me suivent avec leur amour, car les ennemis de l’homme sont ceux de sa famille, les frères germains, et ceux qui sont sur la voie avec Moi et avec leur amour consacré à Moi, ceux-là n’ont plus de parents et de frères, mais seulement les Miens, et celui qui fait autrement, celui-là oublie Ma parole concernant l’amour de Dieu, par lequel l’homme ne doit plus se partager, car J’ai dit à l’homme: «Que tu aimes Dieu de tout cœur, toi, homme!». Oh, J’ai appris à ceux qui essaient de se renoncer pour pouvoir être avec Moi, Je leur ai dit: «Les fils, n’amenez pas dans vos maisons bénies vos parents selon la chair, et qui n’accomplissent pas les commandements de la vie, et vivent charnellement, car s’ils viennent chez toi, chrétien, ils diminuent Mon état avec toi et le tien avec Moi, car Je demeure avec ceux qui se sanctifient pour Moi», c’est ainsi que J’ai dit.
Oh, quelle beauté, quelle sainteté dans Mon enseignement pour les apôtres choisis alors par Moi du monde, pour les rendre les Miens et avoir de la consolation d’eux et avec eux, et Je les ai toujours attendus pour qu’ils soient Ma consolation, mais c’est seulement à la fin de Ma marche avec eux qu’ils ont vu combien peu ils M’ont consolé dans Ma douleur celle sans fin venue de l’homme, oh, et ils ont aujourd’hui encore la blessure de n’avoir pas su aimer et consoler Dieu, Celui Qui a été pour eux leur Pasteur, Créateur et Consolateur.
Oh, l’homme n’a pas la création de Dieu sur lui, il ne l’a pas les fils. Mon œuvre doit travailler chaque moment sur l’homme pour qu’il soit fait par Dieu, il faut toujours travailler à sa création, car lorsque l’homme s’arrête du travail il meurt, et lorsque la création de Dieu s’arrête du travail sur l’homme, celui-ci meurt, les fils, oh, et on n’a plus rien à dire pour celui qui ne s’est pas donné à la création de Dieu, à cause de la raison de soi, avec laquelle il n’a pas la possibilité d’aller sur la voie avec la vie, avec Dieu sur elle.
Oh, Mes disciples bien-aimés, Nous avons la fête pour vous et table de fête, et Nos petits frères comme hôtes pour Nous aujourd’hui, jour de témoignage pour vous et de vous, Mes chers. Oh, qu’elle soit bénie votre parole et mise dans Mon livre d’aujourd’hui avec votre jour de fête entre les saints.
— Tous ensembles, oh, tous ensembles nous sommes réunis ici, avec Toi et avec eux, et les armées de saints se tiennent avec nous sous l’esprit de Ta consolation, car c’est Toi la consolation. Ta parole nous console et Ton amour nous réprimande pour notre petitesse devant Toi, pendant notre vie entre les hommes, mais elle nous guérit aussi le mauvais passé, car tout s’amasse devant Toi, tout de la terre, les choses de la nature et de l’esprit de l’homme, Seigneur.
Nous nous trouvons éblouis du désir saint, car Ta cité d’ici avec eux c’est Ton désir saint et le nôtre, c’est Ta place où vient le Seigneur avec Ses saints, c’est l’accomplissement de l’Ecriture de Ta venue d’aujourd’hui, cette cité. Oh, garde-là avec toutes les puissances célestes, Seigneur!
Il y a douce fête maintenant, ici, pour nous, et Toi, Tu Te consoles en travaillant et en consolant, Seigneur. Il n’y a plus de place pour des paroles auprès de Ta parole, mais seulement pour notre inclination timide comme dans le ciel devant Ton trône, ici, où Tu as écrit sur pierre Ta parole pendant tout le temps d’après l’année 1955, et Tu l’écris aujourd’hui aussi, oh, et quelle grande quantité de parole s’est amassé sur la terre, montagne de parole, et la terre ne la contient pas si l’homme ne la prend pas sur lui, pour en faire sa vie, son œuvre avec Toi sur la terre, Seigneur.
Oh, gloire à Toi et à Ta consolation pour nous, ceux qui venons avec Toi, et pour eux, ceux qui portent aujourd’hui Ta marche et Ta voix au-dessus de la terre, Seigneur, oh, et donne-leur, donne leur la victoire avec Toi, celle écrite à s’accomplir, oh, Seigneur, maintenant, à la fin du temps, et donne-leur Ton œuvre sur eux, donne-la leur toujours, oh, Seigneur!
— Oh, paix à vous, Mes disciples d’alors! Vous M’avez accompagné et vous avez été Ma consolation, tant que vous ne l’avez pas su. Je vous ai eu les Miens, et cela a été une grande consolation pour Moi, les fils.
Oh, paix à vous, paix à vous, Mes disciples d’aujourd’hui, Je Me console du fait que Je vous ai les Miens, et vous êtes Ma consolation, tant que vous ne le savez pas.
Oh, consolez-vous avec Moi, les fils ! Moi, Je suis toute une consolation, seulement de la consolation Je suis. Elle Me manque, elle Me manque tellement la consolation, les fils. Il Me console le Père, mais Moi J’ai perdu l’homme il y a deux mile ans, et Je n’ai que cette douleur pour consolation, et Je Me console en travaillant et en cherchant et en vous parlant à vous, et au-dessus de la terre, lorsque Je raconte Ma douleur.
Oh, paix à vous! La douleur n’est pas contre la paix, les fils. Elle est la paix-même.
Oh, les fils, c’est Ma paix que Je vous donne! Portez ce que Dieu porte, les fils!
Paix à vous! Paix à vous! Paix à vous, les fils! Amen, amen, amen.
12-07-2020