Oh, Mes fils, levez-vous de la couche et recevez le Seigneur! Ceux de ciel se sont réunis pour la fête et pour douce commémoration, et Moi, le Seigneur, J’ai préparé Ma parole et Je M’en sers pour vous renforcer, afin que vous puissiez vous tenir devant Moi pour inscrire dans le livre la parole de fête. Nous avons triple fête et nous réunissons trois jours en un seul, puisqu’au douzième jour de ce mois J’ai scellé avec vous et l’évêque témoin alors le jardin du Saint des Saints, office divin de consécration sur le petit jardin qui a en son milieu le caillou blanc, l’arche de l’alliance, le mystère d’un nouveau début, le mystère de la Nouvelle Jérusalem sur le foyer du peuple roumain, et on a eu ce jour il y a vingt-six ans. C’était alors la veille de la fête du Saint Apôtre André, le disciple que J’ai eu près de Moi et de vous ce jour-là, ainsi qu’il a mis lui aussi le sceau sur ce secret établissement, car sous secret il est tenu. Voilà aujourd’hui, le troisième des jours, c’est la fête de l’entrée entre les saints de Ma trompette Verginica, la bouche dont Je Me suis servi, Moi le Seigneur, les vingt-cinq années du début de Ma parole, celle de la fin du temps, car sans homme de la terre, le Seigneur n’a jamais travaillé ses œuvres secrètes, afin que l’on comprenne au long du temps pourquoi Dieu a fait l’homme au jour où il a fini la création du ciel et de la terre, par la parole, et ensuite de Sa main, Il a crée l’homme.
Oh, Mes fils, quel jour grandiose, vu du ciel, J’ai eu alors avec vous, quelle douce œuvre et grande foi pour elle, car seule la foi de ceux qui croient en Dieu, oh, par elle seule Dieu peut réaliser Ses œuvres à leur temps, et il y a eu alors le temps où Moi, le Seigneur, J’ai remis en place Mon église, l’église du Christ, sur la première pierre, puisque ceux qui se proclament et se sont toujours proclamés au long du temps les serviteurs de Mon église, ont soumis son début, car sur l’église ils ont régné et n’ont pas du tout gardé le troupeau, pour que le Seigneur ait Son troupeau, le Seigneur non pas eux, et ensuite, peu à peu, Mon œuvre et le mystère d’église ont faibli, à cause de ceux sans foi, sans stature et sans obéissance envers les parents ceux du début, par lesquels J’ai pu mener à bonne fin le mystère du royaume des cieux sur la terre, église qui serve entre les hommes avec le Seigneur à son milieu.
Oh, les serviteurs d’autels ne travaillent plus avec le Seigneur, car ils sont partagés et il est écrit que personne ne peut servir à deux maîtres. J‘ai pleuré presque deux mille ans avec Mon Père par pitié pour le troupeau pas gardé et entouré des puissants et des antéchrists qui ont toujours été présents parmi eux, se montrant comme serviteurs d’autels, et qui ont fragilisé la base de pierre de Mon église, et on n’a plus remis en place ce qui a été détruit, et voilà le peuple roumain renversé de sa pierre par ceux qui se sont érigés en serviteurs d’autels, oh, et il ne s’est plus redressé ce peuple élu entre les peuples, mystère de Dieu à la fin du temps, car lorsque la fête du Noël arrive, les Roumains ne la trouvent plus à sa place dans le calendrier et ils sortent avec elle avant le terme et ne tiennent plus les jours de fête à leur place, oh, et cela est un péché, car l’audace a été trop grande, tout comme la désobéissance aux parents et aux traditions bien rangées dès le début, mises en place par Dieu, les apôtres et les saints.
Oh, Mes fils, Mes fils, J’ai par vous réparé ce dommage et Je vous ai mis Moi, le Seigneur devant Moi avec le mystère du début de Mon église, et en ce jour vous êtes fêtés par ceux du ciel, avec Moi, à votre table, pour votre jour nouveau, pour Mon temps avec vous, lorsque J’ai mis en place sur sa pierre Mon église et J’ai scellé le nouveau petit jardin, qui porte le mystère inscrit dans les Ecritures, le caillou blanc, mystère confié aux fidèles, à vous, Mes fils, même s’il ne reste que peu de ceux qui y ont été il y a 26 ans, car les autres ont rebroussé chemin, ils ont regagné le monde, et cette douleur assombrit chaque année la triple fête qui fait souvenir de Mon pouvoir sur vous, et voilà pourquoi Je dois renforcer toujours Mon pouvoir sur vous, car vous êtes un peu tristes, et Je vois votre larme, est Ma larme qui vient de ceux qui ont quitté la fidélité et l’amour que Moi, le Seigneur, leur avais donné pour le porter pour vous, ceux qui portez Mon fardeau, la parole de Ma bouche au-dessus de la terre, Mes fils.
Oh, qu’il est aveugle celui qui se fie à la vue de ses yeux et à sa raison. Il oublie l’homme combien satan travaille-t-il, quelle œuvre hostile et quelle audace met-il pour détruire ceux que Dieu a choisi pour Ses œuvres, nombreuses et difficiles à établir sur la terre, car voilà, c’est en secret que le Seigneur travaille entre les visibles et les invisibles!
Oh! Mes fils, paix à vous et des jours de fête et de souvenir de Mes œuvres avec vous! Oh, paix à vous avec Ma trompette Verginica en ce jour de mémoire pour elle entre ceux du ciel et entre vous! Qu’il est merveilleux son travail dans le ciel, c’est à merveille qu’elle recueille des consolations et de l’intervention d’en haut pour ceux d’en bas, Mon peuple et le sien, et il y a dans le ciel l’armée de Virginica, troupe qui travaille avec elle pour l’œuvre que Je déroule sur la terre. Et voilà que le ciel s’est préparé pour accueillir le roi du peuple roumain, et Verginica est Ma trompette d’accueil, avec l’archange Mihail, qui porte celui qui a été oint sur le peuple roumain, l’amenant devant Mon trône, roi couronné, roi chrétien, qui a su en détail le secret de l’œuvre de Ma parole en ce lieu, parole dont Je l’ai longtemps consolé et Je lui préparais secrètement la rentrée à la maison, et à présent, après avoir si difficilement obtenu la soumission à Ma volonté de ceux qui lui ont ouvert pour revenir à son peuple, oh, voilà, Je l’ai ensuite préparé en toute beauté, Je l’ai paré, Je l’ai mis devant Moi et maintenant J’ai envoyé Mon ange lui prendre la main et lui faire l’entrée entre ceux du ciel du peuple roumain, qui M’ont servi avec leur vie, avec leur foi, avec leur amour de Dieu et de pays, car le pays roumain c’est Mon amour de fin du temps.
Oh, voilà, Ma Verginica, encore et encore ton jour de fête apporte de la joie au ciel, ton armée grandit et prend des forces, pour aider Notre œuvre sur la terre. Il y a des jours de douleur sur le foyer du peuple roumain, dans beaucoup de cœurs qui ont aimé Mon oint, leur roi, mais chez Nous dans le ciel il y a la joie, la consolation, puisqu’on vient de compléter le pouvoir qui aide la terre du ciel.
Oh, elle est grande l’œuvre commencée avec toi sur la terre, il est grand aussi son mystère, Ma Verginica. On ne pourrait pas comprendre ce mystère et voilà, son œuvre non plus, œuvre qui découvre le Seigneur en ce temps et en ce lieu, où J’ai mis Ma cité capitale, le trône de Ma parole sur la terre, et J’ai de frêles fils qui Me portent, mais c’est Mon pouvoir seul qui les porte et les renforce, car sur la terre, Je l’ai toujours dit, il n’y a plus qui les soutenir, qui les aider de pouvoir pour le Seigneur et pour Sa si grande œuvre de ce temps, le temps de Sa venue sur la terre.
Nous avons réuni en un seul les trois jours de souvenir et nous mettons dans le livre leur mystère. Nous avons eu alors ici avec vous l’évêque témoin celui qui a cru pleinement à Ma parole et à sa place et à son fruit. Oh, il a le cœur gros maintenant, et personne ne le lui connaît, lui non plus. J’ai pris l’esprit de sa foi d’alors, pour le garder dans le ciel, car sur la terre il a été complètement déshabillé de Mon don pour lui sur ce temps-là.
Il est haut et large d’épaules et il est gros l’antéchrist au milieu de l’église, là ou il y a son lieu et son ouvrage. Oh, où pourrait-il mieux loger l’ouvrage et l’attaque, sinon auprès de Celui auquel il s’oppose? Voilà le grand aveuglement! Y a-t-il quelqu’un qui comprenne cet ouvrage hostile au Christ et son lieu de déroulement et d’attaque? Est-ce qu’il comprend cela le troupeau chrétien? Oh, troupeau sans garde, que se passerait-il si tu comprenais cette chose-là? Que se passerait-il si Ma pitié ne faisait plus grâce à l’homme sans garde? L’homme est ignorant, aveugle, il ne sait et il ne voit pas, tout est bien couvert. Celles que l’on voit donnent à l’homme la vue et Moi, le Seigneur, J’agrandis Ma pitié pour l’homme, puisqu’il n’y a plus personne à le soigner, même s’il voit devant lui des hommes habillés de vêtement saint. Amen.
Et maintenant, Ma Verginica, Ma trompette de fin de temps, mets dans le livre ta parole auprès de Moi. C’est ton jour de fête entre les saints.
— Oh, qui, Seigneur, qui sauf Toi pourrait signifier mon jour de fête entre les saints? Aurais-je pu avoir mon jour entre les saints, si Tu ne m’avais pas choisie, et Tu ne m’avais pas préparée pour Toi? Oh, c’est Toi mon jour, mon être, tout comme Tu l’as été sur la terre aussi avec moi, celle si humble et insignifiante, car je n’avais rien qui me distingue par un don ou un nom, moi qui provenais d’une famille pauvre. Si Tu ne m’avais pas cueillie d’entre les épines pour me préparer, me renouveler et me faire Ton vase, en me mettant la trompette à la main et à la bouche, j’aurais resté une nullité, Seigneur. A présent je Te glorifie parmi ceux de ciel et je vois Ta gloire et je témoigne sur Toi sur la terre et je Te réjouis avec mon travail, car il Te manque beaucoup l’homme, Seigneur.
Mais aujourd’hui, en mon jour de fête entre les saints, voilà, Seigneur, ce que nous avons à travailler! Sur la terre roumaine se déroule la préparation pour le jour de gloire céleste de Ton oint Michel, le roi des Roumains, qui vient maintenant auprès de Toi, auprès de ceux du ciel, Seigneur. Que Ta parole s’exprime maintenant, en mon jour de fête et qu’elle soit inscrite dans Ton livre d’aujourd’hui, le jour de victoire de Ton oint, en chemin vers les armées célestes, Seigneur. Tu et son Seigneur Dieu, Celui Qu’il a aimé et Lui a obéi autant qu’il a pu de sa part, car sa contrainte a été si grande, tout comme sa patience dans laquelle il a souffert tant d’années d’éloignement de son pays et peuple. Bénis maintenant, Seigneur, son repos, la joie de ceux de ciel et la consolation qui vient après toute sa douleur sur la terre. Amen.
— Oh, entre dans la joie et la consolation de Ton Seigneur, Mon oint, roi des Roumains! Tu es à part accueilli par ceux du ciel. Le pays roumain est la consolation de Mes saints en ce temps, où Moi, le Seigneur J’y ai installé la Cité capitale où il y a Ma rivière de parole, la rivière de la vie, qui coule sur la terre depuis cette cité.
Très grand ils t’ont vu et très grand ils t’ont nommé beaucoup d’entre les grands de la terre au temps de ton règne et ensuite au temps de ton exile plein de douleur, nourrie par la nostalgie du pays et du peuple. Tu as été un exemple de grandeur pour les gouverneurs des peuples, et cela par Mon onction sur toi, qui t’a élevé et t’a montré au monde, et le grand monde a par son cœur compris ta grandeur venant de Moi, car cela a été Ma volonté. Maintenant, quand le peuple roumain s’incline et se prosterne devant toi et te demande, au fond de leur cœur, que tu sois son intermédiaire dans le ciel, oh, voilà, cette occasion sainte amène sur le foyer de ce peuple des fronts couronnés, qui s’inclinent devant celui à grand nom de roi des Romains, sur la terre et dans le ciel. Ils ont une grande occasion dans ces moments saints et viennent sur la terre roumaine, dont les nues sont pleins de fête céleste et te préparent le vêtement de gloire. Ma parole sur ce foyer a prophétisé ta rentrée, elle t’a mis ensuite le chemin sous les pas et Je t’ai envoyé des messages au devant, et aussi l’évêque témoin du mystère de Ma parole et Je t’ai annoncé que Je travaille pour ton retour, même si le peuple romain n’était pas préparé pour cet accomplissement. Mais Moi, J’ai accomplis comme Je l’avais dit avant par le livre de Ma parole, celle de plus soixante ans, inscrite sur la terre roumaine, puisque J’ai élevé à pleine vue le caillou blanc et la porte qui garde le jardin de Ma parole, et J’ai mis ton nom sur la pierre, pour accomplir ensuite et J’ai accompli. Et si les années sont passées, voilà le grand jour de ta union avec le ciel, avec la Roumanie, celle du ciel, qui se réjouit maintenant avec ses saints pour ton arrivée, pour ta gloire venue de Moi, devant laquelle se prosternent en ces jours sur la terre roumaine les rois des nations, parce qu’ils voient eux-mêmes et le peuple roumain aussi, combien Je t’ai aimé et que de gloire J’ai préparé pour toi par Mon onction, puisque tu as été tout comme Moi, chassé de ta patrie, mais tu y es rentré, comme Je l’ai fait Moi-même, en retournant chez ceux qui M’ont chassé, et Je suis ressuscité d’entre les morts et Je suis venu chez Mon peuple, et Je suis ensuite allé auprès du Père et Je suis l’Intermédiaire, et toi tu serais l’intermédiaire dans le ciel pour ton pays, pour ceux qui pleurent, qui pleurent leur séparation de toi, oh, grand roi par Mon onction mise sur ton front. Oh, demande-Moi et tu vas recevoir! Demande, car grande et douce est ta prière pour le peuple roumain, comblé maintenant par dure épreuve, puisque les chaînes le serrent encore, par la main de ceux qui lui ont de nouveau volé la liberté, lui ont stoppé l’espoir, mais voilà qu’à présent ce peuple a un grand intermédiaire devant Moi, et Nous allons travailler du ciel sur la terre et sur le peuple roumain. Amen.
Oh, qu’il est grand ce temps, ces jours-ci au milieu de toi, qu’il est grand, Mes fils! Il est grand Dieu pour toi, mais que ta veille le soit aussi, toute comme ta foi. Oh, ne perds pas l’espoir, peuple roumain! Ceux qui creusent un trou pour toi, vont s’écrouler terriblement, car malheur à ceux qui te frappent pour leur propre intérêt, pour leur gloire. Le pays roumain est sous Ma protection et celle de Ma Mère, la vierge, même s’il souffre à présent, à cause des menteurs qui l’oppressent. Ils ne savent pas ce que c’est l’humanité, ni la justice et la pitié non plus, car sur la terre c’est comme sur la terre, mais de la part du ciel ce ne seras la même chose, puisqu’on prépare grande gloire sur la terre roumaine, Mon pays d’aujourd’hui, où Moi, le Seigneur, J’inscris Ma parole.
Voilà un jour à grande charge céleste, qui comprend les trois jours de fête, la fête patronale de Ma cité capitale, du petit jardin de Ma parole et de ses alentours, bâtis sur Mon saint conseil, pour Ma gloire d’aujourd’hui.
Je vous relâche maintenant de sous Ma parole descendue chez vous, et Je parlerai de nouveau à Mon peuple, oh, Mes fils qui M’accueillez lorsque Je vous parle. Paix à vous!
Et que la paix soit sur la fête pour le repos d’en haut de Mon oint Michel, roi de la bénie sur ce temps, patrie de Ma parole à la fin du temps, le pays roumain. Amen. Amen. Amen.
14-12-2017