Mon désir saint envers vous tient sur la voie Ma venue en parole sur la terre, fils qui veillez dans la cité de Ma parole, pour que Je vienne et que Je parle au-dessus de la terre, car J’ai fondé Ma cité chez vous et avec vous, afin que le Seigneur y soit avec vous, et accomplir ici la prophétie qui proclame sur la cité, que là-bas il y a le Seigneur, et pour qu’elle porte ce nom Ma cité avec vous, et qu’on sache cela sur la terre, qu’il le sache le diable, Mon ennemi et celui de l’homme, qu’il le sache lui aussi, et qu’il en ait peur maintenant plus que jamais, qu’il voit que c’est Mon temps, le temps de Ma venue avec les dizaines de milliers de saints, oh, et il fallait que J’eusse une cité avec des gardiens dedans, auxquels Je confie, pour le travailler et le garder, ce jardin d’Eden et l’œuvre de Ma venue en parole au-dessus de la terre, après deux mille ans, selon le calcul qui est écrit dans les Ecritures, où l’homme du temps d’aujourd’hui est intervenu et il a fait des changements, pour que personne sur la terre ne sache plus le temps de la venue du Seigneur, et que tous les hommes écartent le Seigneur de leur voie et restent ainsi avec ce siècle passager. Et voilà ce qu’il fait ce siècle, car ses fils se marient et ils accordent grande attention aux plaisirs charnels et à la vie dans le péché, tous comblés d’orgueil vis-à-vis de Dieu, le Créateur du ciel, de la terre et de l’homme.
Oh, mais chez vous Je suis Moi, le Seigneur, avec Mon royaume céleste, et Je viens avec lui chez vous sur la voie du désir saint, et pour cela Je vous ai donné la foi, les fils, car Je n’aurais pas pu réaliser Ma venue, si Je n’avais pas mis en vous la foi que Moi, Je viens pour accomplir cette Ecriture, attendue par tous les saints, oh, et Je veux qu’elle fasse beaucoup de fleurs cette fleur du désir saint, et que vous la gardiez toujours vive en vous, puisque la fleur du désir saint, de la nostalgie sainte, est une fleur éternelle comme Moi, et celui qui la porte, sa vie sera avec elle jusque dans l’éternité, celle pleine de ses fleurs au nom de désir saint, de nostalgie sainte, les fils.
Oh, il y a deux mille ans J’ai lancé une parole exprimant le désir saint, dans Mon discours sur la voie avec les disciples qui M’accompagnaient et J’ai dit: «C’est du feu que Je suis venu jeter sur la terre, et combien J’aimerais qu’il s’allume maintenant même!». Les fils, les fils, c’est le désir saint ce feu, le désir saint de Dieu, le désir saint du ciel, du paradis, des saints, des logis célestes, des mystères encore cachés de Mon royaume et préparés pour ceux qui aiment le Seigneur en languissant vers lui sur la terre. Sans le désir saint l’homme ne peut aimer le Seigneur et Le porter dans son cœur. Si le désir saint pour le Seigneur ne brûle pas comme le feu dans le cœur de celui qui est aimé de Dieu, oh, là-bas il y a de la souffrance et il brûle le désir saint en Dieu, et moins dans l’homme, et Mon amour est triste, s’il n’est pas grand dans l’homme aussi, pour guider l’homme vers Moi, avec nostalgie et continuelle recherche, oh, et voilà pourquoi, les fils, Je dis parfois par des soupirs: Que vous Me manquez!
Voilà, Mes saints ont eu eux aussi le mouvement et l’œuvre du désir saint dans leur cœur, qui a rencontré Mon désir saint et il s’est passé une merveille en eux et avec eux à la suite de cette rencontre, oh, et on mettait à l’épreuve leur foi et leur désir saint, et Mes saints enseignaient à tous qu’on a besoin d’épreuves pour devenir chrétien, qu’il faut porter de la souffrance et de la diffamation et d’humiliation, car autrement on ne pourrait pas être chrétien, on ne serait pas comme le Christ, Celui persécuté même avant Sa naissance, oh, et elle est avec grande œuvre de préparation la voie pour être chrétien l’homme, et surtout pour qu’il s’accroisse son désir saint pour les choses d’en haut sur la terre, pour les logis du désir saint, car tout beau et grand qu’il fut ton amour pour le Seigneur sur la terre, tout aussi tu l’aura de Ma part dans le ciel.
Travaillez donc, les fils, la charité envers Dieu, car il y a beaucoup à y travailler, pour qu’elle travaille ensuite pour toi une place pleine de lumière près de Moi dans le ciel éternel, dans le siècle de l’éternité. Puisque Je suis venu il y a deux mille ans pour être parmi les hommes, pour qu’il Me connaisse le monde des hommes et qu’ils travaillent le désir saint pour Moi et qu’ils soient ensuite avec Moi sur la voie, oh, parce que c’est seulement l’homme qui se tient loin de Dieu sur la terre, et il est entêté entre lui et Moi.
Oh, qu’est-ce qu’il fait l’homme sur la terre? Oh, où iras-tu, homme, avec ton genre de vie? Tu es terriblement hypocrite, tu te caches en toi, tu te caches des autres, tu travailles le mensonge, tu n’es pas vrai ni pour toi-même, ni pour ton prochain. Moi, Je suis le Vérité. Toi non, parce que tu ne veux pas être comme Dieu, comme Ses anges, car tu es habitué avec le mensonge et son père tout le temps, et il te travaille toujours, si tu es habitué à servir ainsi avec ta vie sur la terre, pour toi et tes semblables. Oh, si tu n’aimes pas parler du coté de la vérité de tout, du moins ne parle pas avec du mensonge, car le mensonge est la voix du diable, et la vérité de tout se trouve à Dieu, pas à toi.
Oh, si la vie divine reste toujours infinie et inconnue, même pour ceux qui en travaillent, puisqu’elle n’est pas née, elle est sans début et sans fin avec son œuvre, oh, comment peux-tu, homme, croire que tu sais parler selon la vérité, du moment qu’elle n’est pas à toi? Voilà pourquoi tu profères toujours le mensonge, puisqu’il ne peut parler la vérité celui qui n’aime pas, celui qui hait et qui prononce du mensonge.
Toi, homme, apprends à commencer la vie de l’homme d’en haut, pour aimer celles d’en haut, et qui puisse dire que tu aimes, que tu as de l’amour, puisque la vie, l’amour spirituel est une créature sans des sens dans celui qui aime dans le ciel et non pas sur la terre, et pour cela tu dois aimer seulement la vérité, par l’homme aussi, car l’homme n’est pas la vérité. Et dans la loi sainte mise sur l’homme qui aime la vie spirituelle, elle est nécessaire la veille sur les sens, oh, et il y avait dans le peuple Israël de grandes toiles portées par-dessus les habits du corps, dans lesquelles on puisse perdre les formes de la chair, celles pour lesquelles l’homme est tombé du paradis, et voilà, il faut gardez et cacher la nature mauvaise de la chair, qui excite facilement la vue, et étant couvertes ces formes, elles sont gardées et elle sont des gardiens pour ceux d’alentours. Oh, et c’est ainsi qu’il doit commencer son travail celui qui aime la vie spirituelle. Tout ce qui grandit et enlaidit l’âme et le corps doit être coupé et jeté, comme les ongles, qui, si on les laisse pousser, elles deviennent grandes, laides et effrayantes, venant de l’esprit de l’homme négligent et désagréable pour les autres.
Toi, homme, ne pèche plus, puisque l’homme après avoir péché, il a peur et il devient insolent et dédaigneux face à ceux qui pourraient le questionner sur ses méfaits, car il perd son humilité et il prend courage pour se disculper, pour se couvrir avec plus d’audace, et le voilà homme à deux visages, hypocrite, insoumis, juge pour les autre, dont il se montre déçu, Bon Dieu, oh, et sa présomption s’accroit comme les ongles, qui deviennent grandes, toujours plus grandes et toujours plus laides, quand on ne les coupe pas.
Oh, les fils, on a besoin de soumission, on a besoin de direction pour la vie spirituelle dans l’homme, car sans dirigeant sur elle, personne ne peut être avec Dieu. Moi, Je suis venu du ciel et Je Me suis soumis à la direction qui était alors sur Israël, et Je ne suis pas sorti du rang pour Me montrer grand, car Mes parents M’ont porté pour être circoncis le huitième jour après Ma naissance comme un homme, puisque Je suis venu travailler la soumission, et que Je sois spirituel en la respectant.
Oh, fais de même, fils chrétien, si tu veux te former une vie spirituelle, et qu’elle te soit dirigée. Car voilà quel beau travail ont eu les saints, au temps de leur chair, et quelle grande et sainte a été leur direction ensuite sur ceux qui étaient comblés du saint désir pour les choses célestes en eux! Oh, voilà donc comme il luttait le prélat Basile, il luttait le saint du Seigneur pour délivrer les hommes des diables, de la vie sans Dieu, des mauvaises habitudes, puisqu’il y en a beaucoup de gens qui cherchent le Seigneur aux temps des ennuis, tout comme il y a deux mille ans, lorsqu’il y avait de grands troupeaux d’hommes qui Me cherchaient pour leur donner la guérison de leur impuissance. Mais à Moi, il Me manque l’homme qui vient après Moi mené par le désir saint, et c’est un tel homme que Je souhaite à Ma suite, tout comme il se passait alors, quand seulement en entendant témoigner de Moi, le désir saint de Dieu se constituait dans les cœurs de ceux que J’avais choisis pour être Mes disciples ensuite.
Le grand prélat Basile a eu en ce jour sa fête entre les saints, le jour de l’année où il est entré dans les logis célestes de ceux qui les aiment et les désirent pendant leur vie sur la terre, il salue d’auprès de Moi ceux de la cité de Ma parole et il entre dans Mon livre.
— C’est comme le feu qui M’ont brûlé dans mon cœur le désir saint de Toi et de celles du ciel, oh, Seigneur, et combien ils Te manquent les hommes brûlant d’amour saint, notre Bon Rédempteur!
Je ne fais que saluer maintenant la cité de Ta parole et ceux qui y veillent Ta venue avec les saints et je leur dis: C’est du feu que le Seigneur a voulu et veut jeter sur la terre, et que beaucoup et toujours plus s’en allument, fils de la cité du Seigneur avec vous. Ce feu c’est le désir saint, et sans lui le Seigneur n’a pas chaud dans le cœur de l’homme.
Oh, ne laissez pas se perdre le feu, les fils! Donnez-en l’un à l’autre pour qu’il existe le feu, car sans feu il fait froid dans la maison, le Seigneur a froid dans l’homme, dans la maison de son cœur, et entre les frères ensuite.
Elle arrive la fête de l’Epiphanie et nous serons tous ensemble avec notre Seigneur à table de fête. Oh, allumez le feu, les fils ! Faites ainsi que ceux qui viennent à la fête prennent feu du feu, et qu’ils comprennent ce que vous faites ici pour nous et pour eux, puisque c’est par grande fatigue que vous travaillez pour les faire s’allumer pour les choses d’en haut ceux qui viennent aux jours du Seigneur avec vous, à table de parole dans les fêtes. Vous êtes donc engagés par le Seigneur à préparer maintenant grande fête à l’occasion de l’Epiphanie et à ouvrir les cieux au-dessus pour qu’elle coule la grâce, les fils. Soyez pleins de désir saint, soyez pleins de courage, soyez pleins de parole, de signes et de symboles, de joie partagée, et soyez des enfants pour ces actions, car seulement les enfants ont la chance d’être petits par l’obéissance et ils sont destinés à travailler les choses célestes sur la terre et dans le ciel ensuite, oh, les fils.
— Nous nous délectons, Moi et les saints chez vous, à l’occasion des fêtes, mais n’oubliez pas, oh, n’oubliez pas du désir saint, les fils, et de beaucoup en vos cœurs pour Nous, et travaillez, préparez et organisez avec lui les fêtes célestes ici, toutes les fois qu’elles arrivent pour être logées avec leur table et leur invités au festin, des hôtes d’en haut et d’en bas, les fils.
Maintenant, paix à vous pendant tout le temps de la préparation de la fête de Baptême, les fils! Que l’on travaille et qu’on range tout sous direction, et que vous receviez le conseil et le travail comme des enfants qui obéissent, les fils!
Je viendrai à grande gloire de parole sur vous et les hôtes qui arriveront ici, oh, et sur les eaux, les fils.
Nous allons aplanir la voie de ceux qui voyageront vers Nous ici, et ils trouveront du soulagement à leur nostalgie sainte.
Qu’il soit bénit tout le jour de la fête avec assemblée à la source de l’Epiphanie!
Louez le Seigneur en tout et en toutes, les fils! Louez le Seigneur par des instruments à cordes et par des cymbales sonores! Faites la ronde et applaudissez et chantez le chant nouveau, tel qu’il est écrit, les fils!
Oh, paix à vous! Ce mot reste sur vous, car elle est difficile votre mission, elle est difficile, mais Ma paix vous aidera, oh, les fils! Amen, amen, amen.
14-01-2020