La Parole de Dieu du cinquième Dimanche du Carême, celui de Marie l’Egyptienne

La parole est Ma voie entre le ciel et la terre, entre les saints habitants avec Moi dans les cieux et les hommes de la terre, et il n’est pas possible d’être sans Dieu sur la terre, surtout maintenant, quand on rompt des lances pour qu’il n’y ait plus de Dieu sur la terre, pour que le Seigneur ne trouble plus avec Son être l’œuvre de l’infamie, qui loge toute puissante sur toutes les chaises, et qui fauche prématurément la créature de Dieu, tel qu’il est écrit de la coupe de l’infamie de toute la terre, qui va déborder et venir ensuite à sa fin.

Je suis le Seigneur Jésus-Christ, la Parole de Dieu, la Parole du Père, et Je suis comblé de parole tout le temps, en même temps que l’incrédulité qui existe sur la terre et toute l’infamie, œuvre de tous les hommes qui goûtent du péché et de l’esprit du monde, esprit qui entre dans l’homme par tous ses sens, qui servent au péché, et Je suis tellement endolori par la créature qui a délaissé le mystère de la vie et s’enchante avec la vanité de toute chose, mais Je veux vaincre pour l’homme par la foi de ceux qui croient que Je viens en parole sur la terre, que Je prépare avec lui Ma gloire visible, le ciel nouvel et la terre nouvelle, et que Je punis le péché, puisque c’est le péché qui sépare l’homme de Dieu, de son Créateur, car l’homme aime beaucoup le péché et il ne peut plus s’en passer, et voilà, l’homme a besoin de douleurs, pour l’aider de perdre le désir du péché et de comprendre sa vie dissipée pour rien, puisque c’est seulement de la souffrance que l’homme se procure par le péché.

En ce dimanche on fait mémoire dans l’église de Marie l’Egyptienne, la femme qui s’est entièrement vendue au péché, celle qui croyait que Dieu existe, mais elle ne Le suivait pas, ne tenait pas compte de Sa justice contre ceux qui transgressent les commandements de la vie, puisque le péché l’aimait beaucoup, tout comme elle l’aimait à son tour, du moment qu’elle ne savait pas que le péché n’est pas l’amour, mais c’est de la captivité pour l’homme qui sert au maître du péché, à satan, celui qui hait le bien. Oh, J’ai eu pitié de cette créature et J’ai atteint son cœur, Je l’ai tourné vers Dieu, et elle est revenue à soi et a cessé de soumettre des gens par sa chair enflammée du péché.

Oh, quelle pitié M’inspirent les hommes! Les hommes tombent les uns après les autres, ils tombent avec le cœur vers la servitude, vers la femme. Oh, quelle pitié! L’homme regarde la femme et il oublie Dieu, le pauvre. Oh, quelle horreur devant Dieu, la femme dépourvue du Seigneur à cause du désir de soi-même et du péché ensuite! La souffrance guette tous les hommes, car elle est le fruit du péché. Marie l’Egyptienne s’est redressée face à ceux qui tombaient dans le péché qu’elle portait, et face à elle-même ensuite, et elle n’a plus voulu détruire des hommes, elle s’en est allée loin de tous les hommes, elle s’est abandonnée à sa souffrance en luttant de toutes ses forces pour éteindre la flamme du péché qui s’était si cruellement emparé de son être.

Les saints parents ont mis sur la voie du temps de jeune l’exemple de cette femme, qui du brûlant désir du péché est passée à la lutte acharnée contre le péché, qui avait affaibli son être et sa volonté. La grâce céleste est venue à son aide, car ses larmes cuisaient les démons et son repentir ébranlait les puissances de satan et chassait les armées de diables serviteurs, qui n’avaient plus de travail contre elle, puisqu’elle a soumis sa chair et s’est animée de l’esprit de la repentance et des larmes, et elle a pleuré tout le temps ensuite pour elle et pour toute les âmes attirées par elle vers le péché, vers satan, qui n’a pas de but plus déshonorent pour l’homme que l’esprit de la débauche, qui tue le Seigneur dans le corps de l’homme, dans ce temple où le Seigneur devrait vivre, car c’est pour Lui que le Seigneur a créé le corps de l’homme, et Il y a mis l’esprit de vie.

Oh, il n’y a pas que de la débauche dans les hommes sur la terre! L’homme n’a plus de force contre le péché dans sa chair. L’homme n’a pas peur de l’empire du péché, qui l’a totalement soumis. Voilà, l’homme ne peut se passer de la femme, et il est comme dans l’enfer sur la terre et même pire, car dans l’enfer il y a le payement douloureux du péché commis dans la chair et il y a des pleurs dans tout l’enfer, en temps que sur la terre il y a la joie venue du feu et du goût du péché, qui se réjouit beaucoup dans la chair de tout homme, et il n’y a plus personne à fuir ce grand feu, tel qu’il l’a fait Marie l’Egyptienne, poussée par le feu, et qui a ensuite tant pleuré, jusqu’à ce que l’eau de ses larmes est arrivée à éteindre le feu qui la poussait vers le péché.

Oh, qui peut encore s’arrêter de pécher? Oh, que pourrais-Je faire avec les hommes, quoi faire? Je pleure avec le Père et les saints à cause de l’incendie qui consomme les hommes, et tous les hommes brûlent dans le péché, ils se troublent les uns des autres, les uns vers les autres ensuite, et voilà l’enfer et son visage devant les hommes, et les hommes se portent tout déshabillés comme les diables, et il n’y a plus personne à chercher le sac et la cendre, la peine sainte qui purifie, les larmes de repentir, la correction de la chair par la faim, jusqu’à ce que l’homme échappe à la flamme de son corps. Quand Je vois l’insouciance de l’homme envers le mal vivant en lui, envers le venin, venin de serpent, quand Je vois qu’il ne punit pas tout seul sa chair impudique et qu’il s’amasse de la souffrance sans le savoir, Je pleure avec le Père et les saints, par pitié pour l’homme.

Toi, homme, comment as-tu pu délaisser la volonté de Dieu, et construire en toi un empire pour le péché? Celui Qui a créé l’homme lui demande de dire ce qu’il a fait avec la création de Dieu? Sur toute la terre la mort et l’enfer se sont réveillés et fauchent les hommes, pour ne plus avoir de temps pour le retour, pour le repentir. Partout il y a la mort. Le châtiment pour le péché se déchaîne en toute hâte et les gens reçoivent le payement qu’ils se sont procuré, et voilà Moi, Je suis mort en vain pour tant de créature fauchée par le péché.

Voilà ce que Je dis, voilà ce que Je crie: Vous, hommes de la terre, oh, fils des hommes, sanctifiez-vous pour le Seigneur, Celui Qui a créé le ciel, la terre et l’homme! Le Seigneur vient sur la terre, Il vient au devant de vous et vous appelle au repentir, pour la vie pleine de péché jour et nuit, et vous ne craignez pas la perte de temps et de vie. Vous allez répondre pour votre vie, que vous n’avez pas estimée et vous l’avez abandonnée au péché. Craignez donc cette réponse. Vous essayez en vain oublier de Dieu, en vain vous fiez les uns aux autres pour croire que Dieu n’existe pas, ou du moins qu’Il ne voit pas. Oh, c’est en vain que vous vous mentez pour vous sauver de Dieu, puisque Moi, le Seigneur, Je Me suis révélé il y a deux mille ans comme venant du Père sur la terre, vrai Dieu de vrai Dieu, et Je Me suis laissé cloué pour vous sur al croix, et ensuite Je suis ressuscité toujours pour vous, et pour que Je reprenne Ma vie d’entre les morts et Me montrer vainqueur, pour l’épouvante des grands du peuple infidèle d’Israël, et Je Me suis élevé de la semence d’homme nouveau de ce peuple obstiné-là, et Je Me suis inscrit avec Mon royaume dans l’homme, et satan a été jugé, et depuis lors il se venge sur les hommes et leur détruit la peur envers Dieu, et ensuite les hommes n’ont plus de raison et ils ont de l’orgueil seulement, et l’orgueil c’est un arme dans tout homme contre soi-même, et voilà installé l’empire de satan dans l’homme par l’orgueil!

Oh, Je dois faire place dans Mon livre à la parole de Marie l’Egyptienne avec l’homme. Elle est portée dans les cieux par l’assemblée de saints, comme une impératrice sur le péché, car elle a vaincu le péché dans sa chair-même, péché qui l’avait soumise aussi longtemps. Oh, qu’il soit béni ton parler pour les fils des hommes, à toi qui as vaincu le monde sans avoir pitié de ton corps, après que la gloire d’en haut est venue à ton aide contre le péché installé dans ta chair! Mon œuvre c’est l’esprit du témoignage, tout comme celle de ceux qui se sont sanctifiés pour Moi au temps de leur chair. Oh, paix à toi entre ceux des cieux, au jour de mémoire pour toi dans l’assemblée des saints, puisque ta victoire sur le diable a été grande, et pour ton Seigneur a-t-elle été! Amen.

— Oh, Seigneur, mon Seigneur, combien de douleur T’ai-je donné sur la terre, oh, combien! Je suis passée ensuite de Ta part en luttant avec le péché installé en moi, mais le long temps pendant lequel je T’ai vaincu, ne cesse de me faire mal, dans le ciel comme sur la terre, après avoir fait la paix avec Toi et travailler pour le pardon de Ta part, Bon Dieu des malades, car j’ai été malade à la mort, mais Ta pitié est allée au devant de moi et m’a réveillée pour la repentance et pour des pleurs inconsolés durant beaucoup, beaucoup d’années ensuite, jusqu’à ce que je me fusse déliée de la chair, après l’avoir purifiée elle aussi de tant de saleté du péché.

Oh, quelle grande consolation a été dans le désert mon parler avec Toi! C’est seulement à Toi que Je parlais, car j’étais sortie d’entre les hommes, après avoir comblé de coulpe beaucoup de gens, de ma coulpe, car j’étais très coupable pour tous ceux que j’ai enflammés avec mon péché, puisque celui qui regarde une femme, il oublie de Dieu, vérité que Ta bouche a prononcée. Oh, voilà ce que c’est la femme! La femme est plus dangereuse que l’eau et le feu pour la vie des hommes, qui perdent la vigueur de la raison lorsque la femme les affaiblit vers elle. On n’a pas eu d’autre chose à faire avec moi, que de fuir du monde, m’en fuir vers Toi et Te prier de travailler pour mon pardon, Seigneur, le mien et celui de ceux coupables par moi, de peur que le péché ne me punisse toujours et qu’il brûle en moi, en attirant beaucoup de gens vers son feu, car il y en avait beaucoup qui pensaient à moi, après ma sortie du monde.

Oh, j’étais vraiment morte face à la vie, Seigneur! La voix de mon esprit crie du ciel de la vie que le péché c’est de la mort. Vous, femmes de la terre, fuyez la mort, car sa douceur va vous remplir d’amertume! Eloignez-vous de la voie des hommes et tachez de ne plus avoir besoin de consolation, car l’homme est trop pécheur et ne mérite pas de consolation, et la consolation du péché est menteuse et trompeuse, pour vous tenir esclaves des ténèbres et de la douceur, celle du péché. J’ai beaucoup péché et ensuite j’ai soumis ma chair au jeûne et à la peine sainte jusqu’à ce que je l’ai totalement desséchée, car je lui ai beaucoup donné à manger du fruit de la mort, celle qui attire l’homme par visage humain, puisque l’homme tente l’homme vers le péché. Oh, heureux ceux qui ont fuit les femmes et le poison venu d’elle, car à ceux-là c’est seulement la grâce de Dieu qui les a aidés, afin de garder leur vie contre la mort qui vient par la femme.

Vous, femmes de la terre, criez au Seigneur du ciel et de la terre pour qu’Il souffle avec Sa grâce sur le feu allumé en vous par le désir du péché et la caresse venue du péché. Courrez vers la peine sainte et ne vous trompez plus ! Le péché ne va pas durer une éternité avec son mensonge, et il arrivera ensuite son châtiment. Courrez vers la sainteté. Elle est douce la sainteté. Par la sainteté l’homme fait place au Seigneur en lui, et elle est douce la vie avec le Seigneur de la vie, avec Celui Qui a vaincu la mort par Sa mort pour chaque homme qui veut être sauvé, être pardonné et délivré par le Christ. J’avoue que j’ai à grande peine supporté le fardeau du chagrin après avoir fuit le péché. J’ai pleuré ensuite durant toutes les années de ma vie, avec des regrets pour les péchés commis contre mon corps et mon âme.

Lorsque la femme se marie, elle se sépare facilement de sa mère, de son père, de ses frères et sœurs et elle va avec l’homme pour lequel brûle en elle la douceur du péché, qui fait se perdre la raison de l’homme par la caresse passagère, de laquelle il ne reste rien, si non des douleurs et des regrets.

Oh, Seigneur, le péché a beaucoup de pouvoir sur l’homme et dans l’homme, mais Toi, réveille avant sa fin chaque homme, qui aime la chair et son péché, car ils sont difficiles à porter les remords qui viennent au temps de l’impuissance, après tant de péchés. Le corps doit être nourri avec du repentir, pas avec de bonne nourriture variée, car la nourriture n’est pas autre chose que de la débauche, envie de débauche pour la chair, du contentement pour le corps et l’homme, qui a la chair au-dessus de son âme. Oh, relève tout le monde au repentir et souffle sur la terre l’esprit de la foi sainte, Seigneur, et renferme en lui tous les hommes, car il est très amer le péché, et l’homme ne comprend pas son mensonge!

Vous fils et filles du peuple de la parole de Dieu, malheur à vous si vous n’obéissez pas entièrement à la parole du Seigneur, pour la sainteté et pour la fidélité avec de la patience jusqu’à la fin! Ouvrez vos yeux et vos oreilles pour accomplir tout l’enseignement du Seigneur pour vous, car il vient du ciel beaucoup de conseil pour vous, obéissez jour et nuit au Seigneur, puisqu’Il n’a plus d’espoir dans la foi des hommes. Travaillez tout par obéissance complète, car le diable poursuit ceux qui aiment le Seigneur pour les pousser vers la désobéissance, vers l’impatience et vers la dissimulation ensuite, et vers l’esprit du jugement, et voilà, ceux qui jugent sont ceux jugés, et on voit qu’ils sont ainsi. Oh, soyez pleins de veille, vous, fils et filles de la parole sainte! Pas de moment sans veille pour l’esprit de la vie en vous. Aimez la peine sainte, aimez l’humilité et la dévotion entière, tenez-vous près du conseil et n’osez pas de vous tenir ou de travailler sans conseil. Oh, il n’y a que la mort sur toute la terre. Donnez au Seigneur de la puissance sur vous et pour vous. C’est ainsi que je vous conseille par l’esprit de témoignage.

Moi, Seigneur, j’ai mis dans Ton livre d’aujourd’hui l’esprit du témoignage. L’œuvre de Ta parole c’est la merveille des siècles passés et de celui qui va venir avec l’éternité. Malheur à ceux qui frappent même un peu Ta venue en parole sur la terre, et ceux qui Te portent pour venir, Seigneur, car voilà, il y en a eu beaucoup qui ont été tentés par ce péché, et il y en a encore beaucoup prêts à le commettre, en en se contaminant de l’un à l’autre ! Personne de ceux qui les frappent ne restera sans faute, qui que ce soit, et on voit du ciel ce manque de sagesse qui est en train de saper le chrétien par un autre chrétien, mais Toi, Seigneur, veille, veille sur Ta venue.

Oh, gloire à Toi et à Ta venue sur la terre, Seigneur! Tout s’écroulerait si Ta parole n’existait pas en ce temps sur la terre. Nous, Tes saints et témoins, nous veillons ceux qui sont fidèles, et de Ta part nous travaillons et nous protégeons, puisque Tu dois vaincre, et c’est cela Ta voie, sur laquelle Tu marches, Seigneur. Je m’incline devant Toi et je Te remercie pour la consolation, pour l’esprit de témoignage avec lequel j’ai travaillé et j’ai appelé l’homme vers Toi, Seigneur, et vers le repentir ensuite. Amen.

— Moi, le Seigneur, Je fais l’homme revenir du péché, si Je vois qu’il croit que Dieu existe et qu’Il est juste le Seigneur. C’est ainsi que J’ai pu travailler pour faire revenir du péché Marie l’Egyptienne. Je l’ai attirée par le don de la crainte de Dieu et du châtiment du péché, et Je l’ai soutenue pour se lever, se purifier et aller vers la sainteté, en ne jugeant que sa propre personne pour le mal intérieur, et cela a été son grand salut. Oh, heureux le pécheur qui ne frappe rien et personne, tant soit peu, pour sa chute, puisque celui qui lie à d’autre personne sa coulpe, celui-là ne peut ressusciter du péché et de sa chute, et les voilà ainsi ceux qui ont lié leur faute à ceux par lesquels Moi, le Seigneur, Je viens en parole sur la terre! Ces gens-là n’ont pas pu se relever de leur chute. Oh, c’est Moi Celui Qui juge, ce n’est pas l’homme. L’homme ne voit pas comme Dieu, il voit comme l’homme et c’est de même qu’il comprend, et celui qui prend Ma chaise de Juge, celui-là est Lucifer, et il voit avec des ténèbres ce qu’il dit qu’il voit. Mais Moi, Je Me défends depuis sept mille ans de Lucifer, celui qui Me juge, et ce n’est pas à lui de passer devant Moi, et Moi, Je Me fraie chemin, car Mon travail est de marcher.

Que l’homme prenne du courage contre le péché, qu’il se repentît et qu’il soit fidèle au Seigneur, Qui peut agir pour l’homme qui est soumis.

Oh, paix à vous, vous qui M’avez aidé de mettre Ma parole dans le livre, les fils! Oh, que puissé-Je faire avec ceux qui vous jugent et cherchent à vous culpabiliser pour leur propre faute? Je pourrais les punir pour qu’ils comprennent leur audace et orgueil, puisque Je dois protéger de coups Ma marche. Oh, protégez-vous, vous aussi, de ceux qui essayent, de près ou de loin, de vous affaiblir, car Je protège avec tous les saints Ma difficile marche, qui ne peut être comprise par les mecontents, par ceux qui jugent, par ceux qui ne sont pas sages.

Oh, paix à vous, et tenez-vous à Mon aide, à Mon service, Mes fils, car Je travaille beaucoup pour votre protection, Je veille beaucoup et Je vous entoure avec ceux du ciel, puisque J’ai à porter avec vous, sur Ma voie avec vous, Ma venue en parole sur la terre, les fils. Amen, amen, amen.

17-04-2016