La ville de Pucioasa c’est la cité de Ma parole, c’est le lieu où Moi, le Seigneur, Je prononce de Ma bouche parole sur le foyer du peuple roumain, Je parle avec ce peuple, Je lui fais livre écrit, et J’ai des distributeurs qui Me mettent sur la voie, afin qu’ils Me trouvent tous ceux qui veulent et qui ne le veulent pas, mais c’est cela Ma volonté: parler et faire savoir Ma parole, même s’il y en a beaucoup de ceux qui continuent leurs affaires dont ils s’occupent et n’apprécient pas la valeur de l’âme et n’apprécient pas Dieu, duquel tous les hommes ont la vie et la protection pour la vie.
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Cette cité s’appelle A LA MAISON, la maison paternelle, la maison du Seigneur est elle, car ici demeure le Seigneur, tel qu’il est écrit le nom de Sa cité, celle du Seigneur, et les enfants qui aiment les parents viennent à la maison menés par la nostalgie, ils viennent chez les parents pour les fêtes, la joie les porte et ils se réunissent, ils viennent pour la compagnie joyeuse, et ils retrouvent la joie et la consolation paternelle, celle de l’enfance.
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Il est écrit aujourd’hui dans le calendrier chrétien jour de fête pour Mes saints dans les cieux et sur la terre, et tous ensembles et sans nombre nous fêtons et nous écrivons dans le livre la fête et sa parole, et Je Me faits parole en ce jour du milieu de Mes saints, qui en un seul esprit lancent sur ce temps de grandes ténèbres pour la terre, ils lancent devant Moi une question pleine de douleur: «Jusques à quand, oh, jusques à quand, Seigneur?».
Oh, saints bien-aimés, vous avez pleuré sur la terre, et voilà, vous le faites dans le ciel aussi. Je parle en votre jour de fête pour que le monde apprenne de Moi et de vous et de ceux qui gardent la cité d’ici, et que tout le pays roumain connaisse Mon œuvre de Pucioasa, ville choisie de Dieu pour Sa gloire de la fin des temps, Ma parole et son histoire déroulée jusqu’à présent, celle de plus de soixante ans de parole, et aussi ses persécuteurs au long du temps, car le monde entend de l’un à l’autre, mais Moi, le Seigneur, J’ai la vraie histoire écrite ici, dans la ville au nom du soufre, et voilà, que personne ne s’atteint de Mon lieu d’ici, car c’est du feu et du soufre qui brûlent, c’est le feu du Saint-Esprit, la parole de Ma bouche, qui travaille à double bout, pour ceux qui croient et pour ceux qui ne croient pas à Ma venue, les bras pleins de pitié pour l’homme.
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Il y a deux mille ans Je Me portais d’un lieu à l’autre et les multitudes Me suivaient pour leur donner de l’apaisement et de la joie et du repos à leur esprit endolori, et Moi, Je leur mettais table de parole et table de nourriture pour la chair et Je la bénissais et Je lui donnais de bon goût et Je les réjouissais avec Ma miséricorde, et Je M’en faisais connaître comme Dieu, au pouvoir de miracle, et Je posais de tels dons sur Mes disciples aussi et Je leur disais: «Faites de même vous aussi sur ceux de la terre», oh, et J’attendais avec impatience que quelqu’un soit pénétré par le mystère de Ma venue d’auprès du Père aux hommes, le Fils du Père venu en chair sur la terre, pour pouvoir apporter à l’homme le salut, la joie, et qu’il apprenne l’homme aussi à les réaliser. Je priais le Père en demandant pour l’homme et Je donnais du relèvement à ceux pris par des souffrances, et Je leur enseignais la prière envers le Père à ceux qui M’étaient plus proche, oh, et voilà quelle grande bénédiction venue de Moi ici, qu’il existe au milieu de ce petit village, un lieu d’où montent jour et nuit des prières, de la veille, de l’esprit d’humilité, de l’amour pour ceux des cieux. Cette petite colline a le Seigneur comme garde sur la ville d’ici, elle a des mains levées vers les cieux, en Lui demandant de la veille d’en haut, de l’aide pour la paix et pour le désir saint envers le ciel, pour la veille et la gloire du pays, oh, et c’est pour cela qu’il est établi ici l’ordre du ciel, pour monter au Seigneur, et c’est pour cela que Nous établissons des festins de joie, de bonne disposition, de paix, oh, et toutes ces actions-là guérissent, toutes apaisent, toutes bâtissent Dieu dans l’homme, et c’est pourquoi J’élève entre les hommes des fils utiles au ciel, afin que Dieu travaille avec eux, pour ceux qui ne cherchent pas vers ceux du ciel, pour leur bien sur la terre, et voilà, l’œuvre au Saint-Esprit avance et veille et amène de la joie et du travail saint sur les hommes. Il apporte comme le printemps apporte avec lui de merveilleuses fleurs et des fruits de toute sorte, et tout pousse comme l’homme grandit, tout pousse petit à petit et s’offre en cadeau.
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tous ces jardins d’ici ont leur secret caché dans les temps, et que J’ai découvert à beaucoup de Mes serviteurs le long du temps, mais c’est pas pour eux que Je l’ai fait, mais pour ceux d’aujourd’hui, afin qu’ils lisent, qu’ils croient aux accomplissements, qu’ils comprennent et ensuite qu’ils travaillent et qu’ils les gardent d’auprès de Moi, qu’ils gardent tout autour ces jardins et Mon mystère avec eux, en séjournant avec Moi sur la terre, et Moi avec eux et tout, tout est couvert de mystère, du mystère du paradis, le mystère de Ma compagnie active avec les saints.
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