La Parole de Dieu à la Fête du Saint Grand Prélat Spiridon de Trimitude, le thaumaturge

Voilà, Je bats et on M’ouvre et J’entre dans Ma cité de parole et Je dis: Levez-vous, les portes, pour que J’entre en parole dans la cité, et ouvrez Mon livre avec vous, pour M’y inscrire avec carte spécialement adressée, puisqu’une tempête s’est déchaînée à l’imprévu, mais Moi, le Seigneur Jésus-Christ, le Pasteur avec la croix, Je suis Celui Qui dit à la tempête: tais-toi!

C’est un esprit de méchanceté qui s’acharne contre Ma ville avec vous et contre vous. Mais vous n’avez pas la permission de vous défendre, de lutter pour votre bon nom, car vous êtes des chrétiens et vous êtes humbles et sages et c’est Moi Qui vous défends, puisque c’est Mon travail avec vous, les fils.

Je Me tiens avec la gloire de saints au-dessus de vous et J’ai à Ma droite l’armée des prélats du ciel, dans Ma venue chez vous, car elle a aujourd’hui en gloire et fête au milieu d’elle, le prélat Spiridon, père aimant de Mon troupeau, pasteur plein de pitié pour les brebis, bonnes ou mauvaises, doux et humble de cœur comme Moi, car Je suis le bon Pasteur et Je marche avec la croix, et ceux qui Me suivent c’est toujours avec la croix qu’ils vont, car il est écrit que: «Ils seront semblables à Lui».

Nous nous asseyons en réunion épiscopale à table de parole, et on travaille comme à la création du monde, puisque l’Esprit de Dieu plane au-dessus et dit: Que la lumière soit! Et voilà, c’est dans la lumière que Nous travaillons, et Moi, Je suis la Parole de Dieu, tel qu’il est écrit dans les Ecritures Mon nom de la fin du temps, et Je viens avec les saints, comme il est écrit, car ce sont eux qui forment Ma suite, tout comme chaque empereur marche avec sa suite et ses serviteurs, il ne va pas seul, et voilà la raison pour laquelle Je viens avec les saints et avec les anges, lorsque Je viens travailler et parler au-dessus de la terre, oh, et Je travaille comme à la création du monde.

Cette parole reste écrite et c’est la Parole de Dieu, et J’ai à Ma droite le thaumaturge, le prélat Spiridon, celui qui est grand à Dieu, pasteur doux et humble de cœur, comme son Pasteur, comme le Christ, car aujourd’hui c’est son jour de fête et c’est seulement ensuite qu’elle va venir la fête de Noël, comme aux ancêtres, dans Mon église.

Oh, tu as été Mon serviteur sur la terre, grand sur le troupeau de Mon église, grand selon la grâce, grâce qui a gêné ceux des serviteurs de l’église qui étaient présomptueux et pleins du mauvais esprit de l’envie, esprit qui sert à satan, le vieux serpent, mais tu es resté alors de Ma part, droit et humble, et grand par cela, et tu as travaillé sur le synode réuni le renforcement des dogmes de l’église, face aux infatués qui partageaient de l’égarement, et on a renforcé ainsi les canons saints pour les serviteurs des autels et pour le troupeau, et la parole de ta bouche était nourrie du ciel, de l’Esprit de Dieu, Celui Qui Se laisse et leur donne de la grâce, de la parole convenable au moment, tel qu’il est écrit. Et lorsque tu as avoué l’unité de la Trinité de Dieu, tu l’as démontré en serrant une brique dans ta main, avec ton zèle, tel qu’elles se sont séparés les matières dont elle a été faite, la terre, le feu et l’eau, oh, et ils se sont remplis d’envie ceux qui portaient les vêtements chers à la réunion ecclésiastique des prélats de ton époque, et ils ont envoyé alors leurs hommes à couper les têtes des chevaux de la charrette qui t’avait porté au synode, pour la destruction des ennemis qui s’acharnaient contre Mon troupeau, tel qu’on le faisait au temps de Ma chair aussi. Mais toi, tu as été doux, très doux alors, et tu as attaché les têtes aux corps des chevaux et, oh, quelle merveille, car tes chevaux, comme des anges qui te portaient, se sont levés et t’ont servi, de façon qu’ils sont tombés dans l’étonnement ceux qui voyaient la tête du cheval blanc portée par le cheval noir, et la tête du cheval noir portée par le cheval blanc, et toi, tu étais celui merveilleux, celui loué par les anges d’en haut.

Et maintenant Je t’ai pris auprès de Moi, à la table de Ma parole d’aujourd’hui, comme témoin du ciel, et voilà, nous travaillons.

— Oh, notre Seigneur Pasteur, qu’il est grand le miracle de Ta parole sur le foyer du peuple roumain, dans cette ville bénie et dans cette cité qui est la Tienne! Je me tiens près de Toi comme témoin, et je m’y tiens dans l’humilité de l’esprit puisque Tu es grand, Seigneur, et Ton pouvoir comprend le ciel et la terre, oh, Créateur du monde! Oh, gloire à Toi, gloire à Toi dans les cieux et sur la terre, notre Seigneur Pasteur, que Ton fruit se montre et qu’elle fasse des merveilles Ta droite. Amen.

— Moi, le Seigneur Jésus-Christ, Je Me fais parole au-dessus de la terre du milieu de Mes saints, avec lesquels Je Me porte sur les nuées entre le ciel et la terre, pour Ma venue. Je viens aplanir le champ à la suite de la tempête qui s’est élevé depuis le lieu nommé l’Eglise Orthodoxe Roumaine. Oh, voilà, du lieu d’où on doit proclamer la paix sur la terre et sur les hommes, elle s’élève la tempête sur le troupeau, et Moi, le Seigneur, Je suis le Pasteur avec la pitié dans Mes bras, et Je viens soigner en Pasteur le lieu vers lequel s’est dirigé le coup, afin de blesser.

Amen, amen, vous dis-Je, prélats et prêtres de Targoviste, sur le foyer du peuple roumain, J’en ai eu encore un prélat au gouvernail de cette cité, qui M’a frappé, lui aussi, la cité et les siens, à l’intention de répandre l’incrédulité et détruire la vérité qui coule sur Ma cité depuis plus de soixante ans, et non pas de ce temps, où J’avance avec les derniers venus, fils de la gloire de Ma parole de ces jours, et ce prélat-là il s’est frappé lui-même s’il a frappé, et il a mis fin à sa lutte et à soi-même aussi, mais Moi, le Seigneur, Je lui ai fait grâce, puisque par l’envie qu’il faisait naître entre les hommes contre le lieu choisi de Moi, il a annoncé Dieu la Parole, la Trompette Qui sonne au-dessus de la terre, et Qui a attendu jusqu’à ce qu’elle se soit frayé un chemin, afin de sortir vers les hommes.

Amen, amen Je dis à vous, ceux auxquels Je parle maintenant, Je vous adresse cette carte écrite et Je vous demande encore et encore: Que faites-vous, comment servez-vous, quel est le résultat de votre travail? Oh, mettez-vous, vous aussi, cette question, tout de suite, car il faut qu’une réponse soit donné. Il est écrit dans les Ecritures que Je vienne et que J’observe le troupeau et ses pasteurs, et si Je vois qu’ils persécutent et maltraitent les brebis, ou ils ne les soignent pas et ne les mènent au pâturage, Je vais le prendre de leur mains, car c’est ainsi qu’il est écrit.

Je suis venu observer le troupeau et ses pasteurs, ceux qui se sont nommés les uns les autres pasteurs sur le troupeau, des prélats, et des prêtres, et les suites à leur service.

Oh, qui vous a attirés vers l’insoumission envers la vérité qui vient du ciel, qui, les fils? Oh, comment ce fait-il que vous vous révoltez si injustement contre l’enseignement fixé à son début sur Mon église, par Mes saints, avec des lois et des ordres de vie et de travail de l’église. Qui êtes-vous, si vous si vous travaillez ainsi, en partageant de la révolté? Posez-vous cette question et qu’il ne vous arrive pas à croire que c’est vous ceux qui gardent l’institution sainte de l’église, du moment que vous travaillez à l’affaiblir et vous abattez sa clôture, pour que Ma vigne soit foulée aux pieds par tous les passants qui n’ont pas Ma voie avec eux.

C’est le Pasteur Celui du ciel Qui vient vous demander, après que vous ayez ordonné à la tempête, qui règne en vous, de battre et de s’abattre avec méchanceté sur Ma cité de parole et sur le chef de cette ville, dans laquelle j’ai Mon trône, Mon œuvre de parole, telle que Je l’ai établie, et Je Me suis bâti cité capitale dans cette ville bénie, d’où Je dirige Mon peuple celui de près, et Je dirige sur la terre.

Oh, voilà ce que vous faites! Vous proclamez que vous êtes des pasteurs de l’église mère, mais une mère ne fait pas ce que vous faites, si vous savez ce qu’une mère doit faire. La mère n’écrase pas ses enfants, ne les écrases pas, ne les hait pas, mais elle les aime, elle se réjouit de leur croissance et leur donne de son esprit, de sa vie et elle dirige leur marche sur la voie sainte.

Je suis venu seulement pour vous dire que l’église mère, ce sont les saints parents que J’ai guidés, Moi, le Seigneur, par l’Esprit et Je leur ai donné du ciel du conseil et de la parole, pour qu’ils Me rendent fondement, avec Mon église sur lui. Mais ceux qui foulent aux pieds les choses bâties et établies, oh, que dites-vous qu’ils peuvent être ceux-là? Sont-ils l’église mère, tel que vous essayez de tromper le peuple, en disant que c’est vous la mère? Oh, si vous dites que c’est vous, alors Moi, que suis-Je encore? Les parents saints du début eux, que sont-ils encore? Oh, suis-Je encore le Pasteur, ou c’est vous qui L’êtes? Voilà, c’est Moi Celui auquel vous fermez la porte, quand Je viens voir votre travail avec le troupeau, si vous voulez être crus comme église mère, l’église des saints et de ceux qui obéissent à ses saints, aux parents saints. Oh, qu’est ce que cela veut dire les parents saints? Cela veut dire être tel qu’il a été le prélat Spiridon, le saint du Seigneur, pauvre de la gloire des hommes, miséricordieux avec les pauvres, riche des choses du monde pour les pauvres, humble de visage et de tenue, tel que Je l’ai été Moi-Même, Pasteur humble et doux.

Oh, si vous ne pouvez pas aimer les chrétiens de Mon peuple, celui obéissant à l’église des saints, mieux vaut faire semblant de ne pas les voir, de ne pas les connaître, mais ne les insultez pas, leur donnant de mauvais nom, car malheur à ceux qui nomment hérétiques ceux qui ont la foi orthodoxe de leur propre vie! Vous aurez plus à gagner si vous obéissez ainsi pour vos sentiments envers eux, autrement, les fils, vous ne procédez pas bien en exhortant celui que vous nommé votre troupeau, à mépriser ceux qui sont par Ma bénédiction au milieu du troupeau et une grande protection pour tous, bons et mauvais, car là où il y a le Seigneur avec l’homme, là-bas il y a de la bénédiction pour ceux qui connaissent ou ne connaissent pas l’existence de Ma grâce au milieu des hommes, totalement étrangers à la vie du Seigneur ave l’homme sur la terre.

Oh, que faites vous du péché de la diffamation? Vous le commettez, les fils, et non pas sur l’homme, mais sur Dieu la Parole, Celui Qui parle au-dessus de la terre, en temps que vous, vous ne voulez pas croire, pour vous sauver vous aussi du péché de l’incroyance, du refus de recevoir Dieu, lorsqu’Il frappe pour entrer. ET voilà, Je vous conseille de laisser l’épée et la menace dirigée vers ceux qui aiment et apprécient la beauté, la fidélité, le travail de fils de Ma parole, et vous aurez plus à gagner, vous irez mieux, et autrement, n’oubliez pas que J’ai dit à Pierre, l’apôtre, de renoncer à l’épée, puisque ceux qui lèvent l’épée font leur part et leur sort par elle, par son tranchant, et c’était toujours ainsi qu’il croyait lui aussi alors, que c’était Moi qu’il gardait et ceux qui M’accompagnaient.

Mais Moi, le Seigneur, Je ne veux pas que vous vous procuriez tout seuls l’occasion de juger, et n’oubliez pas ce que J’ai dit: «Ne vous plaignez pas, l’un contre l’autre pour ne pas tomber dans le jugement, car le Juge est à la porte tout prêt à écrire vos paroles de jugement». Oh, et à quelle vitesse vous vous précipitez à frapper, et vous enfuir ensuite des lieux, vous cachant les uns derrière les autres pour la coulpe! Oh, ce n’est pas bon, mais il est bon que vous ressembliez à Moi et aux saints, qui ont établi sur sa pierre Mon église à son début, mais ils étaient des saints, ne l’oubliez pas, et vous ne voulez pas être saints et garder l’église mère comme à son début, et comprendre tout par l’Esprit Saint, le Dirigeant de l’église, avec Lequel vous ne travaillez pas, puisque vous êtes méchants, et vos yeux voient mal, et Je ne donne pas le sort de Mon église à des mains immodérées, non nettoyées du péché, de l’incrédulité, du manque d’accueil du Seigneur, quand Il vient Se partager sur la terre, tel qu’il écrit qu’Il vienne diriger pastoralement avec une verge de fer, avec Sa parole.

Oh, que faire de vous? Vous M’avez poussé à vous parler pour vous dire qu’ils ne sont pas sectaires, ni hérétiques les fils de Ma parole, tel que vous méchamment les nommez, en exhortant les gens à les mépriser, d’éloigner ceux d’entre eux qui sont vraiment beaux. Oh, comment seraient-ils les égarés de la foi orthodoxe, du moment qu’ils baptisent, qu’ils marient dans l’église et qu’ils enterrent leurs décédés selon la loi de l’église, dans l’église connue des hommes, en suivant tout l’ordre laissé par les saints? Oh, où est l’hérésie dont vous vous servez pour les nommer? Serait-elle Ma parole versée de Ma bouche sur eux, celle qui vous brûle tant, et vous fait de vous révoltez contre eux? Mais, s’ils ne sont pas les vôtres, oh, alors pourquoi vous dérangent-ils tellement, par ce qu’ils font de leur vie chrétienne devant Moi? Oh, ils ne sont pas différents de vous par le nom et par les commandements et par les canons, mais si vous foulez aux pieds tout cela, alors comment ne pas vous envahir l’envie et la peur qu’ils puissent ombrager votre éclat, celui sans profit pour vous?

Voilà, plus pur, plus chrétien, plus orthodoxe est le cœur de ceux qui croient et comprennent Mon œuvre de gloire sur la terre avec le peuple de Ma parole, dans Ma cité capitale, sur le foyer de cette ville bénie, Pucioasa. Voilà, vous n’avez pas le cœur pur, avec Mon amour dedans, pour que vous puissiez croire vous aussi, oh, et Je n’ai pas besoin de gloire de votre part, de ceux qui n’ont pas l’amour de Dieu en eux, puisque vous êtes destinés à l’incroyance, tel qu’on peut le voir dans votre façon de travailler aussi.

Voilà les pasteurs qui frappent les brebis, comme tous ceux qui le long du temps, grossissaient sur le compte du nom de pasteurs d’âmes! Je viendrai leur demander réponse au sujet des brebis, car c’est ainsi qu’il est écrit, et Moi, le Seigneur, Je les trouverai parmi les épines, dans les abîmes, parmi les loups à visage de chrétien, oh, et vous dites que ce sont vos brebis, mais égarés de la bergerie, et pour cela, êtes vous allés après elles?

Voilà, les fils de Ma parole ne prêtent pas à rire la foi orthodoxe et leur Dieu, puisqu’ils Le suivent avec la croix, avec la vie sous la croix, sous le renoncement à soi, car c’est cela que signifie la croix, et vous, vous autorisez et incitez les prêtres contre eux, pour les diffamer devant le monde.

Oh, prélats craintifs, ne dressez plus vos prêtres comme des chiens pour vous défendre, les poussant à aboyer après les brebis grasses par la foi et l’action, et qui pourraient provoquer votre honte pour le manque d’accomplissement des Lois de la vie, vis-à-vis de ceux qui aiment la volonté de Dieu sur eux. Vous ont-ils produit des dommages? Vous ont-ils fait quelque mal, ceux sur qui vous avez soufflé la tempête? Vous avez peur? Mais pourquoi en avoir? Oh, n’ayez pas peur de ce qui n’est pas pour la peur, mais ayez de la honte, puisque vous devenez sujet de risée et d’inimitié dans les cœurs de ceux qui vous voient si inquiets, si envieux, sans avoir besoin de l’être. Vous voulez que le maire fasse lui aussi ce que faites, et aussi ceux que vous tenez par la force sous vos ordres, vous voulez que le maire fasse lui aussi ce que vous faites à ceux que vous reniez pour les faire sortir de la maison de Dieu, tel que vous croyez pouvoir faire? Voulez vous exhorter le dirigeant de la cité à mépriser les citoyens et surtout ceux qui sont sages, beaux, travailleurs et aimants envers le pays et la nation?

Oh, voilà ce que Je vous dis: Les fils de Ma parole sont Mes beaux, il sont ceux qui se sanctifient pour le Saint des Saints tous les jours, nourris spirituellement chaque matin, à l’aube, avec Ma chair et Mon sang, priant devant Moi en esprit et en vérité, par des messes et des prières, demandant le salut du monde, et ils n’ont pas ceux-ci la moindre déviation des dogmes et des canons, tel que vous l’avez, et vous vous dépêchez encore de changer les ordres saints laissés par les parents. Mais ceux desquels vous dites qu’ils sont tous les fils de l’église orthodoxe, oh, ceux-ci par quelle raison les avez-vous comme orthodoxes? Qu’est-ce qu’ils font de plus pour témoigner l’orthodoxie, du moment qu’ils mènent une vie non chrétienne, se mettant à nu les uns devant les autres, devant le soleil et ils cherchent le péché jour et nuit, eux qui passent quelquefois par l’église, tel qu’ils sont, impurs, avec leurs péchés, avec leur vie sans Dieu ?

Oh, qu’il est facile pour vous de prononcer de votre bouche, avec méchanceté, le mauvais nom sur ceux qui vont à Ma suite et les nommez des égarés, des hérétiques! Oh, vous ne pouvez forcer personne d’avoir peur de vous pendant que les chrétiens orthodoxes et le reste du monde savent et voient comment vous êtes et ce que vous faites sous ce nom, qui vous sert d’enseigne et c’est tout. (EOR) Eglise Orthodoxe Roumaine.

Je viens et Je vous dis, Je viens vers vous comme une tempête Moi aussi, pour vous dire tout de suite ce que J’ai à dire. La foi ne se tient pas sous une enseigne, comme sur la terre les entreprises et leurs occupations, puisque la foi n’est pas à tous, tel Je l’ai dit il y a deux mille ans. La foi est avec ceux qui ressemblent à Dieu et qui croient en Lui, témoignant pour Lui par l’accomplissement de Ses vœux, et par la ressemblance avec Lui, avec leur Père.

Oh, vous ne pouvez pas convaincre par votre enseigne ceux qui sont baptisés et nommés avec le saint nom de l’orthodoxie, puisque ce n’est pas par des documents, comme sur la terre, quand l’homme témoigne de sa foi, mais par Moi, Celui Qui Me trouve dans l’homme avec Mon visage, avec Mon œuvre dans l’homme chrétien orthodoxe. Je suis Celui Qui est, c’est Moi Celui Qui connaît ceux qui sont fidèles et orthodoxes avec leur vie.

Moi, et pas vous. Entendez-vous ce que Je vous dis? Moi et pas vous êtes ceux qui peuvent parler sur la foi de l’homme. C’est toujours Moi Celui Qui sait combien de non orthodoxes êtes-vous, et combien d’orthodoxes vous n’êtes pas, car ce ne sont pas les vêtements et l’enseigne qui suffisent pour que vous soyez orthodoxes, mais la vie sainte et le service saint, et l’amour de Dieu en vous, si vous en avez. Vous vous êtes mêlés avec ceux qui ne sont pas orthodoxes et vous avez ainsi foulé aux pieds les canons, et vous mettez le feu à l’église sans le savoir, et s’il y a quelques uns qui crient au feu pour l’éteindre avec de l’eau, avec le Seigneur, avec l’obéissance, avec le repentir, oh, alors vous les mettez dehors d’entre vous et les classer avec les égarés de l’église et vous les maltraitez et les méprisez, oh, et vous n’honorez pas l’orthodoxie, Ma chère mariée, que Je ne peux plus distinguer, car elle est fardée, elle s’est barbouillée avec des teintures étrangères, avec ceux étrangers de la foi orthodoxe, oh, et c’est justement vous qui bondissez de fureur quand les orthodoxes purs de cœur et de l’action de la foi croissent sous Ma gloire d’aujourd’hui, sur le foyer de cette petite ville aimée et élue du ciel, pour ce que Moi, J’en ai dedans.

Oh, pourquoi tant d’agitation, les fils? Les prêtres se sont levés pour frapper et se cacher ensuite. L’annonce de l’arrive du Noël ne témoigne-t-elle pas la foi orthodoxe et l’orthodoxie des annonceurs? Oh, pourquoi vous êtes-vous fâché du fait que les fils de Ma cité de parole se sont levés pour chanter des Noëls? Oh, pourquoi essayez-vous de provoquer la haine dans le troupeau, fils de peu de foi? Oh, jusques à quand? Combien de temps continuez-vous de colporter de faux bruits, comme celui qu’ils sont des égarés les fils de Ma parole, par lesquels, voilà, Moi, le Seigneur, de temps en temps, J’envois des cartes vers vous aussi, bien que Je sois si endolori à cause de vous?

Je ne veux pas vous faire de la peine en ce jour de fête, même si tant de tristesse venue de vous est montée dans le ciel, mais Je vous prie par esprit de Pasteur, les fils, mesurez dix fois les impulsions de votre esprit, et seulement ensuite faites et dites ce que vous trouvez de bon, pour ne pas provoquer une plus grande méfiance dans les âmes qui attendent plus de vous, pour cette nation, pour le témoignage de la foi, pour le salut de beaucoup de gens ensuite. Je suis Celui Qui est doux, et c’est ainsi que Je le suis avec vous aussi, mais ne cherchez plus d’inciter la haine entre les frères de la même foi, puisque les fils de Ma parole sont les fils de l’église mère, l’église du début, celle qui dure par les saints, qui s’y trouvent, et ils sont aussi vos fils, et vos frères, si vous êtes vous aussi, selon la vérité et les faits, serviteurs de Mon église, car l’église a le Saint Esprit comme découvreur de la part de Dieu, quand elle va à la suite du Seigneur.

Oh partagez la bénédiction, non pas la haine, les fils, car vous ne pouvez pas les sortir de vous à la fois! Cherchez de faire que les hommes croient en vous, mais dirigez-les par l’amour qui est en vous, si vous l’avez d’en haut, car là où il n’y a pas d’amour, il y a le désert et le mal, tout n’est que du péché.

Voilà, même si vous essayez de tacher le visage de Mon peuple, celui nourrit d’en haut avec la parole de la belle croissance, selon les commandements de la vie, pourtant Moi, Je viens avec de l’amour saint pour vous et Je vous dis: ces enfants qui sont les Miens ont une vie douce avec Moi. Lorsque les cloches du ciel sonnent de minuit sur eux, ils se réunissent à la prière et ils lèvent les mains vers Moi tous, et il n’arrive pas de passer une nuit sans qu’ils ne crient pas au ciel et qu’ils ne parlent pas avec Moi, par la prière laissée des parents et des saints, selon l’usage de l’église, et ils demandent que Ma victoire vienne, pour rendre tous les hommes des chrétiens saints, et qu’ils soient tous sauvés et pardonnés, et ils Me demandent de pardonner les fautes, ils le font pour tous les habitants de la terre, et ils ne jugent ni les droits ni les pécheurs, puisqu’ils savent qu’ils sont jugés ceux qui jugent, et Moi, Je les protège avec les puissances célestes tout autour et J’arrête les coups qui se dirigent vers eux, et Je M’interpose entre eux et la persécution, afin de leur garder le pouvoir pour Moi en eux, et Je laisse Ma grâce sur eux, oh, et vous ne devez pas être envieux ou présomptueux pour vous laisser gagnés par l’inquiétude et l’irréflexion ensuite, et tomber dans l’erreur par celle-ci, puisque l’envie ne fait pas que vider totalement l’homme et le laisse vide, tel qu’il le dit l’un des parents saints, que le diable affrontait pour sa part, disant que s’il perd ceux qui font des péchés, qui peuvent être pardonnés par le repentir et par la prière, alors que se passera-t-il avec les envieux, et le parent saint a répondu que ceux-là sont les siens, ils appartiennent au diable, que le Seigneur n’a pas quoi faire avec eux, ils ne sont pas à Lui.

Oh, gardez-vous même entre vous du péché de l’envie, qui pousse l’homme à se lever contre son prochain jusqu’à la mort même, car l’envie c’est porte-malheur, les fils. Et voilà, Je vous ai écrit lettre pleine de douleur à l’approche de la fête de Ma Naissance, puisque vous n’avez pas été sages.

Oh, gardez-vous du péché d’Hérode, celui qui cherche Ma vie durant tous les temps de Mon travail sur la terre. Je vous dirige en Pasteur, Je suis doux et Je vous dis: ne tirez pas l’épée, oh, ne faites pas une telle chose. Le pasteur ne peut être mère pour l’armée chrétienne lorsqu’il est loup, et voilà pourquoi les brebis s’enfuient sur des sentiers inconnus à la vie chrétienne, si elles ne sont pas dirigées avec de la miséricorde. Oh, et combien d’entre elles se sont perdues ainsi, mais il n’y a personne à les faire retourner vers la bergerie, du moment que les pasteurs incitent les chiens à sortir les brebis de la bergerie.

Moi, le Seigneur, Je dis à tous ceux qui savent de l’existence de Ma source de parole, située sur le foyer de la ville de Pucioasa sur la colline resplendissant de la gloire d’en haut dans Ma cité de parole, Moi, le Seigneur, Je leur dis à tous, qu’ils sont des chrétiens orthodoxes ces fils, et ils ne sont pas des égarés de la foi, mais ils sont de ceux qui vivent activement l’orthodoxie, même s’ils ne sont pas aimés et crus comme travaillant de Ma part au milieu de l’église, oh, et ils ne sont pas reçus, tout comme Moi, Je ne le suis pas non plus, et J’ai dit il y a deux mille ans que si Mes messagers ne sont pas reçus, c’est Moi-Même Celui Qui ne l’est pas.

Oh, J’ai mal à cause de vous, J’ai mal pour vous, les fils, prélats et prêtres. Vous ne Me ressemblez pas par l’esprit et l’amour, celui d’en haut, et c’est Moi l’amour, les fils. Vous avez regardé jalousement les serviteurs de Ma parole d’ici, vêtus de blanc et servant à l’autel devant Mon trône, pour la remise des péchés des hommes et pour la résurrection des morts, selon Mon œuvre avec eux. Vous vous êtes parés ensuite beaucoup d’entre vous avec des vêtements blancs pour servir, mais le vêtement blanc est celui de mariée, et vous, vous êtes étrangers de Moi par votre vie, et vous avez des femmes, étrangères elles aussi de l’habit de noces, et cela vous l’avez accompli de vous-mêmes, le fait de vous parer de vêtements blancs, et c’est le faste seulement que vous aimez, mais on a besoin de grâce, les fils, vous devez passer de chair en esprit, pour pouvoir être Mes vrais serviteurs, tels qu’ils le sont ceux de Ma cité de parole.

Oh, les fils, les fils, il ne fallait pas que vous deveniez la risée des gens par la diffusion de l’envie qui pousse à l’envie. Puisque vous avez vu les fils de Ma parole chantant l’annonce de Ma naissance, vous vous êtes fâchés et vous avez frappé, poussant à la haine et au mépris ceux qui se trouvent au gouvernail de la ville, ceux qui connaissent les Miens, qu’ils sont travailleurs, qu’ils sont beaux, qu’ils sont fidèles et sages et qu’ils honorent le Seigneur et le lieu où Je Me tiens avec Ma cité de parole, car les gens qui ont des sentiments chrétiens et qui observent Ma gloire du milieu du peuple, gloire avec laquelle Je veux couvrir la terre et lui préparer le vêtement et le visage pour Ma venue, oh, ces gens-là peuvent vous regarder mal ensuite, et ce n’est pas bon d’inciter à la méchanceté, les fils.

Oh, habillez-vous de l’humilité devant Moi et devant les hommes, tel qu’il a été au milieu du troupeau chrétien Mon prélat Spiridon. Je suis habillé de vison comme Mes saints. En habits de noces Je Me tiens et Je travaille jours de noces, et Je viens bientôt, très bientôt avec le grand jour oh, les fils, et vous, où serez-vous alors? Réjouissez-vous, donc, de Ma venue en parole sur la terre, et chez vous aussi, puisqu’il y a beaucoup de prêtres entre vous qui savent et qui prennent de la nourriture de Ma source d’ici, et ils se tiennent sous Mon mystère et s’en nourrissent là où ils sont et ils servent, oh, et ils attendent avec impatience la victoire de l’Agneau de Dieu, Ma grande victoire, les fils.

Et voilà, Moi, Jésus le Christ, J’ai fait conseil avec vous en ce jour.

Et vous, ceux qui vous nourrissez en secret de Ma source de parole, vous les prêtres, les serviteurs des autels de Ma Roumanie, oh, restés cachés et luttez avec sainteté, car c’est elle seulement qui vous tient devant Moi entre les serviteurs de l’église, entre ceux qui se montrent incroyants envers Ma parole, avec laquelle Je dirige maintenant. Et Je mets Mon nom, sur la carte envoyée vers vous, ceux avec lesquels J’ai parlé.

Je suis Celui Qui est, Je suis Jésus-Christ, le Pasteur des fidèles et J’ai parlé aux serviteurs de l’église de la région de Dambovitza, qui signifie la colline de la vigne, les fils, et c’est avec vous qu’il y a cette vigne, Moi, le Seigneur, au sommet de montagne sainte, et on comprend maintenant le sens du mot Dambovitza, la colline de la vigne.

Je fortifie votre corps et votre âme et votre esprit, les fils, car il a été difficile de porter Mon fardeau sur vous. Oh, demandez-Moi, demandez, et Moi Je vous en donne, lorsque J’ai beaucoup à faire avec vous dans Mon travail. Je suis le Pasteur et J’ai toujours à travailler et à diriger pastoralement, oh, les fils. Amen, amen, amen.

25-12-2018