La Parole de Dieu à la fête du saint André Apôtre, le premier appelé

Elle descend sur la terre la parole de Dieu et le Seigneur a Sa crèche de descente, où Il Se fait parole au-dessus de la terre.

Moi, le Seigneur, Je M’annonce et Je viens et Je Me laisse en parole dans Mon livre d’aujourd’hui, livre dont on écrit dans les Ecritures qu’il s’ouvrira et que c’est Moi, l’Agneau du Père Sabaoth, Qui va l’ouvrir et M’y mettre en le constituant par Ma parole, prononcée de Ma bouche celle pleine de parole, et ce livre porte Mon nom: «la Parole de Dieu». Amen.

Oh, Mon peuple, celui d’aujourd’hui de Ma parole, mets-toi maintenant à travaille avec Moi, car Je Me laisse en parole dans le livre et J’ai avec Moi invités célestes à table, parce que Je ne vais pas seul entre le ciel et la terre, et J’ai avec Moi André l’apôtre, le premier appelé entre ceux que J’ai choisi d’Israël il y a deux mille ans, pour aller avec eux de lieu en lieu trois ans et demi, et M’établir sur la terre avec l’œuvre avec laquelle Je suis venu du Père pour l’accomplir, pour qu’ensuite Mes apôtres soient Mes continuateurs devant les hommes, en témoignant le long du temps que Moi, Celui Qui est allé avec eux, J’ai été Dieu la Parole, le Fils du Père Sabaoth, venu en chair sur la terre du Saint-Esprit, pour être né du corps de Vierge, grandir et Me laisser ensuite vers la mort sur la croix, pour payer ainsi le lèvement de la mort de l’homme, puisque l’homme est tombé de la vie à la mort par la désobéissance à Dieu, et Moi, le Seigneur, Je suis descendu du ciel pour le sauver, car Je suis Celui Qui a fait l’homme. Amen.

Oh, Mon peuple, c’est la fête, Mon fils, c’est un jour de mémoire ce jour, tout comme celui d’hier. J’ai dans Ma descente Ma trompette Virginie et André l’apôtre, fêtés entre les saints, et Nous Nous mettons à table de fête en parole, parce qu’il y a vingt et un an depuis l’établissement de cette fête, quand J’ai été avec les saints et Nous avons mis sur la terre les scellés du jardin de Ma parole d’aujourd’hui et le signe mis par Moi et ceux engagées de Moi, pour qu’il soit montré ce signe, la petite pierre blanche, l’arche du Saint de Mes Saints de ces jours sur le foyer du peuple roumain, où J’ai en ce temps Ma descente en parole au-dessus de la terre, et d’où Je Me partage pour la guérison de beaucoup, tel qu’il est écrit dans les Ecritures sur l’arbre de vie et ses feuilles, celles qui sont Ma parole pour la guérison des peuples.

Oh, ce ne sont pas à la portée de la raison de l’homme simple Mes mystères d’entre le ciel et la terre, car l’homme se tient très bas face aux choses travaillées par Dieu entre le ciel et la terre, couvertes ou découvertes, selon la possibilité de l’homme de les comprendre ou de les défaire pour leurs sens. En ce jour, il y a vingt et un ans, il y a eu du ciel et de la terre des témoins dans le jardin et on a scellé alors à parole céleste, du ciel et de la terre prononcée, et on a nommé à nom céleste ce jardin et son établissement: le Saint des Saints de la Nouvelle Jérusalem, terre renouvelée par Ma parole, qui a reçu visage accomplie et scellé en ce jour-là, et on a écrit sur la terre ce jour, on l’a écrit dans Mon livre d’aujourd’hui, et Je Me mets avec cette fête à table avec toi, Mon peuple, et tu es Mon descendent et fruit, celui de Mon travail de ces jours, et Je te donne de l’arbre de vie et Je t’appelle Mon peuple au milieu du peuple roumain, et Je te donne toujours du ciel de la manne, celle cachée, si tu t’es vaincu et tu M’a choisi Moi, après M’avoir trouvé dans cette parole, qui va au-dessus de la terre et qui annonce Mon nouveau commencement, pépin dont Moi, le Seigneur, Je veux croître et Me faire compris par beaucoup de cœurs, auxquels il sera donné de comprendre par la découverte du Saint Esprit que Moi, le Fils du Père Sabaoth, Je suis sur le foyer du peuple roumain en parole et gloire de parole, début de résurrection et de lumière, et Je partage de la vie du siècle qui va venir, et Je fais des habitants pour le ciel et Je leur accorde citoyenneté céleste, lorsque le jour de Ma gloire découvrira toutes les choses couvertes de la gloire des choses qui ne se voient pas, mais qui existent et attendent ses héritiers, ceux à qui on a été donné, et à qui est donné d’être les fils de Ma gloire, et voilà, Je te nourris de l’arbre de la vie, Mon peuple, tel qu’il est écrit, et avec Ma parole Je Me donne pour la guérison du peuple, en partageant avec elle les feuilles de l’arbre de la vie.

Il est écrit dans les Ecritures d’une semaine bénie, et d’une alliance conclue au temps de la demi-semaine, et d’un nouveau commencement ensuite, pour le complètement du mystère de cette semaine ensuite. En 1955 J’ai établi sur la terre le commencement d’une semaine d’années et J’ai commencé alors l’œuvre de claironner Ma parole par Mon vase Virginie. Ensuite durant les trente-cinq ans elle a été préparée de passer vers Moi entre les saints, et elle est passée, et au milieu de cette semaine sainte, Je Me suis préparé en grand secret et J’ai travaillé ainsi, pour conclure une alliance nouvelle, car on a cessé le sacrifice et l’ablation par le péché de l’abomination de la désolation dans le temple du service des choses saintes, tel qu’il est écrit, car le prince du monde, l’antéchrist, s’est élevé pour détruire de son fondement l’église, celle des pères, et il cherche sa fin, car son péché se lève contre elle, et sa coupe s’est remplie, puisque les chefs de l’église se sont séparés maintenant de la parole de Dieu, de Sa venue d’aujourd’hui en parole au-dessus de la terre, et de plus, ils ont essayé d’obscurcir la voie de Ma parole vers les hommes et ils se sont cachés disent-ils, mais J’avance avec Mon mystère, et en grand secret Je vais, et Je pleure pour tous ceux qui s’éloignent de Celui Qui leur parle du ciel, et Je crie après eux afin d’affermir leur foi, non pas la délaisser, car Je les suis avec la gloire de Ma parole, Je les rattrape et Je punis leur incrédulité, qui leur attire la colère du ciel, comme il est écrit.

J’ai des témoins du ciel dans cette venue, aux fêtes contiguës, le jour de l’apposition des scellés au jardin de Ma parole et le jour de fête d’André l’apôtre, Mon témoin pour cette œuvre secrète, près alors de Mon apôtre Irineu, que J’ai préparé d’avance comme au ciel, et Je l’ai eu ici alors, pour que Je prononce par sa bouche Ma parole, sceau saint du jardin des Saint des Saints, mis comme sous défense céleste, pas humaine, lieu pour le Seigneur, et Ses familiers du ciel et de la terre, par lesquels J’écris Ma parole sur la terre et dans le ciel, et Je la partage également, dans le ciel et sur la terre.

Voilà, jour de saints, de sainte mémoire et de douleur sainte, Mon peuple continuateur de ce jour secret alors. Satan, le serpant de jadis, a eu ensuite du pouvoir par l’infidélité qui apparaît dans l’homme, engagé par moi pour le travail saint, pour l’arracher de Mon sein, et Je souffre en secret, et Je soupire profondément en secret, car il est saint le mystère de ce jour et la marche de son travail ensuite, et puis on a écrit alors plus que toujours le reniement de la foi de l’église du peuple roumain, de ses serviteurs, qui ont arraché d’auprès de la source Mon prélat témoin, celui que J’ai pris d’entre eux, pour que Je scelle avec lui à côté le mystère du jardin de Ma parole et Mon travail en lui au milieu de la terre, lieu mis de côté face aux chemins du monde, afin que Je puisse y demeurer, tout comme on a laissé le mystère du Saint des Saints, mis de coté pour le Seigneur, car lorsque Moïse est monté au Seigneur pour recevoir de Lui la loi de la stigmatisation du péché, pour en retourner Israël des idoles au Seigneur, J’ai dit à Moïse: «Enlève ta chaussure car tu es sur terre sainte», et J’ai parlé alors du milieu de grand feu et Je lui ai dit Ma parole et J’ai écrit du doigt de Mon ange les commandements de la vie pour qu’il les porte de Ma part à Israël. Oh, c’est la même chose avec ce petit lopin de terre, que J’appelle sommet de montagne, montagne sainte, sur laquelle Moi, le Seigneur, Je Me tiens et Je parle et Je Me partage ensuite au-dessus de la terre.

Ils M’entendent les anges et les saints et toutes les puissances célestes maintenant, ici, car ils M’accompagnent et elles tremblent d’un frémissement saint les armées célestes au milieu de Mon mystère d’ici, et ils travaillent ici le ciel et ses mystères, et le monde n’en a aucune idée, pour pouvoir apprendre, comprendre et voir, et c’est Ma venue en parole sur la terre, tout comme il y a deux mille ans lorsque Je suis venu, et le monde ne s’intéressait pas de comprendre quelque chose et s’incliner à l’annonce des messages d’alors, qui ont annoncé de près et de loin le mystère de Ma naissance de mère Vierge, et Ma croissance ensuite et puis Ma mission d’Apôtre et Mon sacrifice sanglant pour la rédemption du monde, qui n’a pas voulu et ne veut pas se tenir avec le ciel sur la terre, car il veut autrement, il veut avoir de la vie sur la terre, pas le royaume des cieux, pour lequel le monde ne prie plus vraiment, même s’il a appris lui aussi de dire à Dieu la prière pour les fils obéissants et disciples par leur travail, auxquels J’ai appris à prier comme Moi et dire au Père Sabaoth: «Oh, Père, que Ta volonté et Ton règne soient comme au ciel sur la terre aussi!». Oh, Mon Père a Son règne sur la terre, mais il n’a rien avec le monde, rien de ce monde, car il n’est pas de ce monde, il en est loin et il y en a peu qui le désirent pour eux, et Moi, le Seigneur, J’ai la joie secrète et Je M’en console, celle que J’ai pu séparer du monde, ce petit royaume, petit comme un pépin dans les yeux des hommes, mais grand pour le ciel, puisque le Seigneur est grand dans Ses saints dans le ciel et sur la terre, et Il fait Son œuvre. Amen.

— Je me fais place et parole près de Toi, Seigneur, pour le couronnement du mystère de ce jour, mon jour de fête, Ton apôtre André, sa fête près du jour du Saint de Tes Saints de ces jour, duquel Tu parles au-dessus de la terre, de montagne sainte et Tu es la Pierre, celle du sommet, Jésus-Christ la Parole.

Nous mettons sur le front du prélat témoin avec Nous en ce jour-là ici, Nous mettons maintenant la consolation sainte, la mémoire du jour où Nous avons été tous ici, pour consacrer ce jardin de parole. Oh, incline-toi, frère prélat, et tiens-toi maintenant avec le Seigneur et avec Nous dans le mystère de la consolation d’alors, lorsque le Seigneur S’est consolé ici avec Nous, ceux qui étions rassemblés ici du ciel et de la terre, pour mettre le sceau de la sainteté sur ce jardin. Que cette grande mémoire sainte fasse trembler ton esprit et ton corps. Supplie le Christ, le Grand Prélat, et dis-Lui à grand et pur frissonnement: «transperce, Seigneur, mon corps de Ta crainte, pour que je garde Ta voie, car la crainte de Dieu m’aide à renouveler ma sagesse, celle pour Toi, et ne me laisse pas loin de Ta gloire, car je suis impuissant et je Te demande de m’aider et de me garder le Tien, pour que je reste inscris dans Ton livre, et que je ne sois pas supprimé de lui». Amen.

On ne peut effacer ton nom de ce livre, oh, mon frère prélat, puisque c’est le Seigneur Qui t’y a mis, le Seigneur, et pas toi. Personne ne peut effacer son nom de ce livre, même s’il est en train de se perdre de cette voie, et il va rendre compte de lui du droit de ce livre, ouvert par l’Agneau de Dieu et mis maintenant sur la terre pour sa rédaction.

Oh, ton cœur est embarrassé maintenant. Oh, il est grand l’embarras sur la terre pour ceux grands avec l’amour et le cœur et elle est contrainte leur foi et sa marche, mais le Seigneur est miséricordieux, parce qu’on a des temps d’embarras pour Lui et pour ceux qui L’aiment. Nous avons jour de gloire ici maintenant. Les puissances célestes sont assises et elles écoutent la parole céleste. Oh, souviens-toi! Que ton cœur tressaille de joie en ce jour, car le Seigneur avance et Il Se glorifie au-dessus de la terre, parlant de cette pierre.

Voilà, nous te partageons de la consolation parce que tu en donnes toi aussi là où ton absence fait mal, là où tu peux être autrement aussi, porté par ceux du ciel.

Il est béni ce jour de fête et de sa mémoire, et qu’elle soit bénie sa douleur aussi, qu’elle donne du fruit pour le ciel cette douleur, car le Seigneur est secrètement ici, et Il y travaille ainsi. Amen.

— Moi, le Seigneur, J’ai laissé parole dans le livre pour ce jour de mémoire et Je Me prépare maintenant pour un jour d’enseignement et de fête dans le ciel et sur la terre, pour Ma trompette Virginie et sa place entre les saints, et Nous allons mettre grand enseignement sur ta table avec Moi, Mon peuple. Prépare ton cœur pour bien t’asseoir devant l’esprit de l’enseignement pour toi, dont tu as toujours besoin dans ta vie. Voilà, Ma trompette se tient à la frontière avec son jour de fête et son enseignement, elle parle pour toi et elle dit cela:

— Il me manque mon peuple de jadis, il me manque, oh, Seigneur, et il me manque le petit, celui né sur la voie, oh, Seigneur, et avec lequel je suis venu fêter maintenant avec consolation pour ma douleur plein de nostalgie et de mémoire nostalgique. C’est Toi Qui me manques dans ceux qui ont éloigné d’eux la gloire et le pouvoir de Ta parole, Seigneur, mais le temps de leur amour s’en est allé avec eux, et je les regarde et je pleure pour apaiser ma douleur, car elle amène beaucoup de consolation la larme de la douleur, et moi, je me tiendrai avec Toi, et avec l’esprit de l’enseignement sur Ta table de parole avec Ton peuple le plus petit d’aujourd’hui.

— Oh, paix à vous, témoins célestes! Je suis venu avec vous et Je Me suis tenu avec vous ici, à table de parole et de mémoire. Oh, paix à toi, Ma trompette de jadis, par laquelle, Moi, le Seigneur, J’ai soufflé Ma parole sur un peuple désobéissant! Nous passons vers le jour suivant et Je veux Nous mettre dans le livre et Nous partager. Amen.

Paix à toi, Mon peuple! Prépare ton cœur, ta raison et leur pouvoir, car Nous allons établir jour d’enseignement saint entre Nous et toi, et Nous allons souffler du ciel de la force sainte sur toi, car elle doit toujours être rafraîchie d’en haut et d’en bas, de peur qu’elle ne s’éteigne pas en vous, les fils. Amen, amen, amen.

13-12-2012