La Parole de Dieu pour le peuple roumain, à la Fête de l’Exaltation de la Sainte Croix

Je suis l’Envoyé de Dieu, Mon Père Sabbaot et Je viens en parole sur la terre au-dessus du peuple roumain, parole de gloire et de la paix et de vérité.

Je suis le Fils du Père, Je suis vrai Dieu de vrai Dieu. Il y a deux mille ans Mon Père M’a envoyé sur la terre pour Me faire Homme visible entre les hommes, pour prouver que Je suis Son Fils et qu’ils croient en Moi ceux auxquels le Père donnerait à croire, et maintenant, à la fin de temps, le Père M’envoie en parole au-dessus de la terre.

Je suis le Seigneur Jésus–Christ et Je parle des nues, Je parle du firmament, Je parle du Père, car le Père est avec Moi, avec toutes les suites célestes, qui portent Ma gloire sur les ailes angéliques, sur des roues de chérubins, sur des flammes, et elle est grande la gloire de Ma venue. Malheur à celui qui doute en entendant Ma parole, la voix de Ma venue en parole au-dessus de la terre, puisque le payement de celui-là est avec les infidèles!

Je ne suis pas devin, Je ne suis pas voyant, mais Je mets en pratique avec le Saint-Esprit grande œuvre sur la terre et sur le peuple roumain, auquel le Père M’envoie. Oh, Mon Père, pourquoi c’est à ce peuple que Tu M’envoies à la fin du temps? Raconte-lui, oh, Père, raconte à ce peuple l’histoire destinée à lui par Dieu, pour qu’il la porte devant Toi et devant tous les peuples de la terre. Je veux que ce sois Toi Qui parles d’abord au peuple roumain en jour de fête pour la croix sur laquelle J’ai été crucifié lorsque Tu M’as envoyé sur la terre après l’homme.

— Oui, Je le veux aussi, cher Fils, et Je dis au peuple roumain que si le peuple que Nous avons eu mis à part pour Nous entre les nations de la terre, si celui-là T-a donné à la mort sur la croix, quand Je T’ai envoyé pour l’éclairer, le former et pour Te recevoir de Ma part, s’il ne T’a pas reçu et il T’a renié et T’a jeté hors de la vigne, Moi, le Père, Je T’ai donné une autre mariée et une autre terre, qui soit la Notre dans l’éternité ensuite. J’ai laissé alors sur la terre grande bénédiction sur le pays habité maintenant par le peuple roumain, et Je te l’ai montré, cher Fils, dans toute sa mystérieuse beauté et Je l’ai choisi comme gloire du Seigneur à la fin du temps, Je l’ai préparé par la souffrance pendant deux mille ans et Je l’ai tenu sous la croix pour qu’il soit beau, et celui qui regarde du cœur pur son histoire, celui-là peut voir sa grandeur et son Seigneur, Celui Qui l’a gardé et l’a élevé par sa patience, à sa gloire, celle de la fin de temps, puisqu’il a été plein d’humilité, il a beaucoup souffert, et il est écrit dans les Ecritures qu’il soit le pays des splendeurs, où Tu brilles maintenant avec la gloire de Ta parole, oh, Fils Emmanuel, et Tu Te montres pleinement son Dieu, vrai Dieu de vrai Dieu, le Père et le Fils dans l’éclat du Saint-Esprit, sur lui et avec lui maintenant, et il est écrit que: «heureux le peuple dont le Seigneur est le Dieu, heureuse la nation qu’Il S’est choisie pour Son domaine!».

Maintenant, Moi, le Père, Je parle aux fils du peuple roumain et Je leur dis: Amen, amen, vous dis-Je: Celui-ci c’est Jésus-Christ, Mon Fils, Qui vient en parole à vous sur des nuages de gloire, et en rivière de parole Il Se laisse sur vous. Oh, recevez-Le, ouvrez-Lui! Amen.

— Moi, Père Sabaoth, J’ai annoncé à temps Ma venue en parole sur les Roumains, et Je Me suis ouvert la voie en même temps avec l’annonce, en envoyant Mes puissances célestes pour la préparer devant Moi. J’ai les chefs des abîmes, tel qu’il est écrit de Moi, et J’ai les clefs du royaume des cieux, oh, et J’ai aussi celles de l’homme et J’entre, alors que J’annonce Ma venue. J’ai avec Moi à table de parole les armées célestes, les anges et les saints, et J’ai maintenant ici les anciens et les ancêtres des Roumains et elle est grandiose la table de la gloire au jour de fête sainte pour Ma croix, Père Sabaoth. Là où il n’y a pas de foi, c’est Moi que J’en mettrai, et là où il n’y a pas d’accueil Je M’ouvrirai Moi-Même.

Amen, amen, te dis-Je peuple roumain, ouvre au Seigneur! Moi, le Seigneur, J’ai ouvert et Je suis entré, puisque J’ai la clé si s’est Moi la porte, tel qu’il est écrit. Il est plein le ciel d’au-dessus de toi, il est plein de la gloire de Ma venue en parole à toi, avec les dizaines de milliers de Mes saints, oh, pays de Ma venue, car il est écrit: «Il vient le Seigneur avec les dizaines de mille de Ses saints» et Moi, Je viens à toi, parce que tu es Ma maison celle pour Ma venue, selon que Mon Père Me t’a accordé il y a deux mille ans, lorsque J’ai été chassé du peuple juif, ainsi que Je suis resté sans maison sur la terre. Sois attentif à Ma rivière de parole qui coule sur toi en ce jour et te raconte Ma douleur et Mon attente celle de toi. C’est avec esprit paternel que Je M’approche et Je Me fais place à table de parole sur ton foyer.

Qu’ils fassent attention tous les peuples à Ma parole avec le peuple roumain en jour de fête sainte et qu’ils s’assagissent tous les peules de la terre pour la venue du Seigneur, Qui parle du firmament d’au-dessus de la terre roumaine, la terre des splendeurs du Seigneur, car tu brilles par Ma gloire qui se trouve en toi, oh, Mon pays, celui de la fin de temps. Il y a encore peu de temps et on écrit soixante ans de parole du Seigneur au-dessus de toi, pour la préparation de Ma venue pour la deuxième foi sur la terre après l’homme, et elle est écrite cette histoire de Moi avec toi, et elle s’est fait livre sur ton foyer. Dans le livre de ton histoire de deux mille ans il est écrit Mon amour pour toi et Ma grande inclination, Ma grande affection pour ta douleur, car Je t’ai toujours consolé sous la croix et je Me suis toujours mis avec toi sous son joug, puisque tu as eu des ancêtres fidèles dont J’élevais de braves veilleurs, qui te gardent le Mien, toujours le Mien, puisque le Père t’a destiné à Moi il y a deux mille ans, après Ma naissance et Mon évolution, après que le peuple chez qui le Père M’avait envoyé M’eut banni, car il M’a mis sur la croix de la souffrance et de la résurrection, mais Je suis vivant pour l’éternité, et Je suis ton Seigneur Dieu, oh, Mon pays d’aujourd’hui. J’ai vu ton visage d’alors et celui d’aujourd’hui, et J’ai vu toute la beauté que le Père t’a destinée pour Ma gloire, et depuis lors, Je t’ai toujours désiré.

Oh, tu n’as plus l’amour de pays, peuple roumain! Qui puisse t’apprendre cette grandeur céleste, Mon pays d’aujourd’hui? Oh, tu as besoin d’amour, car tu es passé par beaucoup de douleurs. Elles t’ont appris à être belle, que tu sois Mon pays, à Moi seulement, et ils M’aimaient tes ancêtres et ils brillaient par leur foi et leur amour du pays, mais maintenant tu n’as plus sur toi que des Judas, Mon cher pays. Voilà, ceux qui tiennent la bourse en prennent, ils s’en partagent les uns aux autres, et pour toi ils vont emprunter. C’est à toi qu’ils demandent pour la bourse, mais on n’en partage plus selon tes besoins, puisque ceux qui te gouvernent sucent ton lait, ils sucent ton sang, et il est grand le péché de leur cupidité. Mais Moi, Je Me lève bravement, J’allume partout des torches et Je cherche partout pour capturer le voleur qui déchire sans pitié de toutes parts ta chemise, te laissant nu, et qui n’a pas honte de ses faits, mais Moi J’ai honte de ta nudité devant les peuples et Je viens étendre Mon vêtement et te couvrir de Ma gloire, si le Père a promis que tu sois le Mien, Mon pays celui de la fin de temps, afin que Je prononce de ton milieu la parole de Ma venue, la parole de Dieu au-dessus de la terre. Mon vêtement est de lin et Je Me tiens le ciel ouvert au-dessus de toi. J’ai le trône au milieu de toi, J’ai le cheval blanc sur lequel Je suis assis et Je parle, J’ai le peuple de Ma parole, que J’ai choisi de Me garder, au milieu duquel Je Me tiens comme sur un trône, et Je M’appelle Fidèle et Véritable, et Je juge et Je combats avec justice, et Mes yeux sont comme une flamme de feu, Je suis plein de diadèmes et J’ai nom écrit, Mon vêtement de lin est teint de sang, et Mon nom s’appelle la Parole de Dieu, car c’est ainsi qu’il est écrit, et des armées du ciel Me suivent, revêtues de lin, et de Ma bouche sort Ma parole, comme l’épée aigüe, contre ceux à vie païenne, et Je viens les paître, car ils n’ont pas de pasteur, ils n’ont pas d’obéissance pour la vérité, ils aiment le mensonge, ils s’en occupent et ils oublient le Seigneur, Celui Qui vient avec Son châtiment.

Vous ceux qui opprimez les autres maintenant, dans votre temps, vous, ceux qui aimez le mensonge et dirigez avec lui ce peuple, oh, jusques à quand? Amen, amen, vous dis-Je, tout ce que ne signifie pas Dieu c’est du mensonge contraire à la vérité. Peut-être ne savez-vous pas que le père du mensonge c’est le diable, le maître des ténèbres de ce siècle? Ne savez-vous pas que le mensonge et ses serviteurs seront jetés dans les abîmes? Oh, vous vous êtes fait veau d’or et vous dansez autour de lui visiblement et invisiblement et vous avez oublié du châtiment des faits, mais Je viens Moi, et Je vous donnerai à chacun selon votre conduite, tel qu’il est écrit.

Oh, si vous avez tellement oublié et vous oubliez toujours de Dieu, comment osez-vous encore monter sur les chaises pour gouverner ce peuple? Que personne ne dise que Je suis son Dieu s’il ne M’obéit pas, s’il ne Me demande pas, s’il n’accomplit pas jour et nuit les commandements de la vie et la vérité de tout, et pas le mensonge. Je vous rappelle de Juda, celui qui prenait toujours de la bourse fraternelle, et on peut voir où cette habitude l’a conduit, et Moi Je vous regarde et Je vois la cupidité avec laquelle vous êtes montés sur les crêtes, et vous avez crié au peuple pour être entendus et élus comme chefs sur eux. Oh, où est votre fidélité face à leur foi? Mais vous avez beaucoup volé, puisque vous vous êtes tout seuls, presque tout seuls élus, vous vous êtes élus l’un l’autre et vous vous êtes assis à la table de conseil pour la nation, et vous vous vantez du grand nombre de ceux qui vous ont élus, mais il est très petit ce nombre-là, et vous en avez menti les fils de ce peuple. Oh, qu’allez-vus faire maintenant? Le mensonge que vous montrez toujours comme vérité ne peut être chaise, et il va se rompre votre siège, Je vous l’ai dit depuis longtemps. Ils vous jugent les ancêtres qui sont morts pour le peuple et pour la vérité, ils vont vous demander raison. Je les ai avec Moi à la table de la gloire de Ma parole de ce jour et ils regardent en pleurant les actes païens que vous commettez jour et nuit contre le fils de ce peuple, pour garder votre domination sur lui. Oh, vous êtes allés chez les sorcières. Vous êtes allés chez les fourvoyés et amateurs d’argent, mais à la sagesse du Seigneur, pour vous en consulter, vous n’allez pas. Voilà, Je viens Moi, le Seigneur, Je viens Moi chez vous, si vous ne frappez pas pour venir et que Je vous donne, et en avoir ensuite.

Oh, vous n’avez pas l’amour de pays, vous, ceux qui vous vous êtes emparés de lui sans justice. Oh, ne vous permettez pas de vendre aux étrangers cette patrie, puisque c’est au Seigneur la terre, pas la vôtre pour la donner à ceux qui désirent de partout dépouiller de gloire cette patrie, qui appartient à Moi et à ceux qui l’aiment.

J’ai mis au gouvernail du peuple roumain, de Ma main forte J’ai mis celui qui dirige avec pitié et un spécial amour de pays, avec beaucoup de sagesse venue de Moi, pour la défendre, pour la conduire elle et vous, mais vous ne l’avez pas voulu, vous, ceux peu nombreux, vous qui vous vous êtes levés au nom de tout le peuple et qui avez essayé de le persécuter pour que vous restiez seulement vous, et vous le persécutez toujours par des paroles diffamantes, et vous ne recevez pas son conseil, qui pourrait vous sauver du payement de vos infamies. Mais Moi, J’ai mis le peuple de Ma parole à sainte veille et prière de feu, et J’ai gardé au gouvernail celui choisi par Mon saint projet, pour le grand amour que J’ai pour ce peuple, mais aussi pour son amour, car Je n’ai pas trouvé un autre plus grand d’amour et de cœur que lui en ce temps pour cette nation. Je vous ai conseillé à d’autres occasions aussi de vous soumettre à son amour pour le peuple pour le pays et pour vous, de sorte que tout aille bien pour vous et pour tous ceux de ce foyer. Oh, vous vous êtes opposés, vous avez été impertinents, présomptueux, vous avez eu confiance en vous et entre vous, et vous n’avez pas obéi à Mon conseil ni au sien. Je pleure avec le ciel, Je pleure avec vos ancêtres et nous faisons conseil afin de garder et protéger toujours à la veille pour le peuple celui qui est maintenant dirigeant et surveillant, car sans lui ce serait difficile pour le peuple roumain, qui n’a pas pour sa direction que de ceux qui aiment l’argent, les louanges et leur propre personne, et qu’il est malheureux ce peuple ayant de tels bienfaiteurs sur lui!

Il y a des dissensions entre les frères, beaucoup d’incertitude et il y a de l’inquiétude partout entre les fils du peuple roumain. Il y a beaucoup de gens qui pleurent, ils pleurent par pitié pour les chiens, qui sont voués à la mort, pour ne plus mordre. Voilà ce que Je dis Moi, le Seigneur, à vous, ceux miséricordieux envers ces êtres, dont le sort est de mourir par la main de l’homme. Oh, pourquoi ne pensez-vous pas, fils roumains, avec la même grande tristesse, avec les mêmes miséricordieux sentiments à tant d’autres êtres, aux agneaux, qui meurent par la main de l’homme sans la moindre plainte? Comment ne pensez-vous pas avec des larmes aux brebis et aux petits agneaux, au bétail, à la volaille, aux animaux de toute sorte, qui sont tués à grand désir en vue d’être rôtis et mangés de l’homme, qui va à la boucherie acheter de la viande pour en faire de la nourriture? Ne sont-ils pas eux aussi des êtres sans consolation, sacrifiés pour entrer dans le ventre de l’homme? Comment ça se fait que vous ne les plaignez pas comme vous le faites pour les pauvres chiens? Oh, qu’est-ce qu’il est l’homme? Il est la tombe de tant d’êtres vivants, que l’homme prend et égorge, il leur prend la vie pour les manger. Oh, ayez pitié des moutons aussi et des veux et des oiseaux, ayez pitié de tous les animaux qui sont tués de l’homme pour lui servir de nourriture. Si vous plaignez les chiens, faites-le pour tous les êtres vivants que l’homme tue, qu’il chasse, qui leur prend la vie et les engourdit ensuite.

Oh, qu’il a été beau Mon commandement pour l’homme, celui du début, quand Je lui ai dit ce qu’il doit manger! Mais elle est survenue ensuite la mort de l’agneau, du sang sur la terre, sacrifice offert au Seigneur, mais la douleur de la mort a traîné douloureusement face au sacrifice du cœur de celui aimant de Dieu. Un cœur brisé et humble aurait été suffisant alors, mais l’homme n’a pas été content pour autant. Oh, à quoi bon pour Moi le sacrifice sanglant de la part de l’homme? Si l’homme s’est habitué ainsi pourrais-Je le convaincre autrement? Si Moi, le Seigneur, Je vous apprends maintenant, fils du peuple roumain, de ne plus tuer pour manger, est-ce que Je pourrai vous pencher vers une telle pitié pour tous les êtres que vous tuez toujours, pour que vous soyez saints ensuite et sans haine en vous? Voilà, la haine et la discorde viennent de la viande, de la nutrition avec de la viande du corps humain, qui se fait de la haine, haine de l’un contre l’autre ensuite. Voilà, vous vous plaignez du grand nombre des chiens et qu’ils vous mordent, ou qu’ils vont mourir par la main de l’homme, parce qu’ils font mal aux hommes, mais vous ne vous plaignez pas pour le si grand nombre de péchés, qui vous mordent plus gravement, et ils vous mordent mortellement, puisque le péché c’est la mort. Oh, soyez sages, car tout vient selon les faits. Ne vous révoltez plus contre ce qui vient comme payement de vos actions. Mais aimez la vérité, et retirez-vous, ceux qui ne l’aimez pas entre frère et frère, car le mensonge de ceux qui se sont mis d’accord sur la marche et le sort de ce peuple, selon leur volonté, c’est un fait honteux qui va les tirer vers le payement des menteurs, puisque le père du mensonge c’est le diable.

Oh, fils roumains, oh, peuple roumain, ne vendez pas la terre qui est au-dessous de vous, fils roumains. Cette terre est destinée à la gloire du Seigneur à la fin du temps et elle sera nettoyée et lavée, parce-que si l’homme ne s’intéresse pas à la vie sainte, c’est le Seigneur Qui peut l’aider et l’humilier, car l’homme n’a pas besoin de tant de choses qu’il amasse, mais il lui faut la vie avec le ciel, avec le Seigneur sur la terre, mais l’homme n’a pas d’enseignement pour sa vie, pour son éternité, telle que ses ancêtres en avaient, puisque les serviteurs d’aujourd’hui de l’église du peuple roumain sont les plus cupides, les plus aimants de vaine gloire, de domination sur la multitude non-habituée avec le Seigneur, et Je n’ai que de grande honte de leur part, de leur nature si bas tombée de la loi de la sainteté, et Je n’ai pas avec qui guider l’homme, sinon avec Ma venue en parole sur la terre et avec Mon peuple pris d’entre les Roumains, peuple qui s’est laissé le Mien, Mon aide, Mon sentier, Mon œil et Mon oreille, car c’est Moi la parole qui exhorte: «Celui qui a des oreilles à entendre, qu’il entende ce qu’Il dit le Seigneur».

Oh, peuple roumain, prend Ma parole pour toi, fais lui place dans ton cœur et ne sois pas incrédule. Fais attention car Je t’ai parlé avec grande douleur puisque Je suis endolori, en pleurs, accablé de grande tristesse venue de tout ce que Je vois au milieu de toi, de tous ceux qui te mentent tous les jours. Car ils s’en sont habitué, mais l’homme bavard est son propre ennemi aussi et il n’a pas la sagesse de comprendre à quel bas niveau il est tombé par l’esprit du mensonge, car voilà, celui qui s’est tout seul nommé pour te gouverner, entouré de ceux qu’il a choisi, celui-là emploie seulement le mensonge, car il s’en est habitué, et c’est la même chose qu’ils ont fait ceux qui le suivent ainsi, mais le pot à mensonges se cassera bientôt, bientôt et il va beaucoup salir le visage de ceux qui mentent insatiablement pour tromper, disent-ils, ceux toujours exploités par eux, sur lesquels ils règnent, aveuglant leur conscience, pour ne pas en voir l’iniquité qu’ils commettent.

Je suis le Pasteur avec la croix. C’est avec l’esprit de Pasteur que Je t’ai parlé, peuple roumain. Tu es sous la croix et tu sais cela ou tu ne le sais pas. Oh, lève-toi et vois qui te donne la croix, et vois-le de Moi et apprends de Moi à t’affranchir des ennemis de la vie et apprends-leur toi-même le retour à la voie de la justice, puisque si tu dors, ils viennent les loups et ils mettent à sac l’esprit de ta paix et ton pays si cher pour Moi et pour les armées célestes, avec lesquelles Je viens pour le paître.

Oh, il vaut mieux que tu t’habitudes avec le peu de tout, que de te laissé vendu et humilié et opprimé des peuples sans foi. Viens prendre de Ma parole pour être vive, patrie roumaine, Ma patrie d’aujourd’hui! Cherche la voie de Ma parole, car Je viens à l’occasion des fêtes, Je viens en temps de peine et Je parle sur ton foyer au milieu de Mon peuple fidèle, celui qui M’accueille. Oh, n’oublie pas, cherche Ma parole, cherche l’enseignement de vie dans Ma rivière de parole, car il n’est pas possible que le Seigneur ne soit pas sur la terre avec les hommes en œuvre de Saint-Esprit, quant à Moi, si personne ne Me cherche, Je ne peux ne pas chercher ceux qui M’ont oublié, tout comme Adam dans l’Eden, et heureux ceux qui s’humilient et qui croient et cherchent humblement vers Ma miséricordieuse parole. Amen.

Je vous ai donné de la nourriture, fils roumains. Je vous ai parlé de si proche par la voix de Ma bouche. Le nuage de Ma gloire a gagné tout le ciel de Ma patrie d’aujourd’hui, car ta patrie a un grand choix et elle sera bientôt, bientôt, patrie céleste, la patrie des heureux avec le Seigneur, ceux qui ont aimé et qui aiment la vérité et la sainteté et la foi celle sainte pour la vérité.

Oh, paix à toi, Ma patrie, d’aujourd’hui! Prends la robe de marié! C’est Moi ton Epoux, cela a été la volonté de Mon Père Sabbaot. Ton histoire se trouve sur la table de la gloire d’en haut, portée par des troupes de prophètes et des saints. Une heure encore, Ma chère, et tous les peuples vont comprendre toute ta beauté venue d’en haut sur la terre entre les nations. Mon désir saint c’est pour toi, pour ton vêtement d’en haut et pour ta couronne de gloire. Tu es l’élue pour Moi, et les peuples connaissent ton élection venue du Seigneur. Oh, cherche de Me suivre avec fidélité et cherche d’aller vers la sainteté et vers la vérité. Je vais te sauver de tous tes oppresseurs et ceux de ta gloire venue de Moi, et Je vais te donner un nouvel esprit, mais renouvelle-toi pour accomplir Ma volonté et pour être belle, oh, Ma patrie d’aujourd’hui, pour être la plus belle, par la foi et par l’amour.

Oh, paix à toi! J’ouvre Mes bras, Je t’embrasse et J’embrasserai tout ton corps bientôt, bientôt. Ouvre de grands yeux pour connaître ceux qui veulent ton bien selon la vérité, au milieu de toi, et Moi, Je te conduirai toujours. Tu Me trouveras ici, dans cette parole, et Je vais te paître toujours, si seulement tu Me cherches. Elle est douce ta langue, ta parole, aussi douce qu’elle est pour Moi. Dieu prononce Sa parole dans ta langue, peuple roumain, cela signifie que le Seigneur aime spécialement cette nation et cette terre.

Approchez-vous et apprenez l’esprit et le mystère de la fraternité, fils roumains! C’est par cela que vous allez être connus que vous appartenez au Seigneur sur la terre. Vainquez satan, vainquez l’esprit et l’œuvre de l’antéchrist, car Je vous donne des pouvoirs d’en haut, Je vous donne par Ma parole pour vous. Amen.

Le Père et le Fils ont parlé dans le Saint Esprit au peuple roumain en jour de fête sainte et Ces trois en sont Une.

Amen, amen, vous dis-Je, aimez et croyez en Ma venue, fils roumains. Cette rivière de parole, issue de Ma bouche, est connue avec le cœur et portée ensuite pour donner de la consolation et du pouvoir à ceux qui en prennent pour leur guérison. Je viens bientôt. Je viens toujours en parole de veille et de gloire sur toi, peuple roumain. Allume la chandelle, et reste ainsi devant Moi quand Je viens à toi, car Je t’aime et Je t’attends pour bénir toujours ta destinée venue de Moi et J’attends toujours que tu sois, que tu sois pour l’éternité ensuite, ciel nouveau et terre nouvelle, que tu sois nouveau début par toutes les sources qui coulent sur toi et qui te donnent à boire du ciel, Mon pays, Mon pays d’aujourd’hui. Amen, amen, amen.

27-09-2013