La Parole de Dieu du deuxième Dimanche du Carême, celui du Saint Grégoire Palama

Oh, il est grand Mon nom, et il y a beaucoup de parole sur cette cité, la cité du Seigneur, et Il est loué dans la cité le Seigneur, dans Sa sainte montagne, tel qu’il est écrit, cité bien fondée, belle hauteur, pour la joie de toute la terre, Ma Montagne du Sion, tour de salut, défendue par le Seigneur, de laquelle les empereurs seront éblouis et ils vont trembler de douleurs, comme celle de l’enfantement, car le Seigneur a fondé cette cité, pour paître de son milieu les nations jusqu’aux extrémités de la terre comme un miséricordieux, et voilà Ma parole pour la protection du royaume de Dieu sur la terre, du peuple chrétien celui bien fidèle à Dieu, car tout comme au temps du prophète Elie, les fils du peuple chrétien veulent quitter le saint engagement de fils de Dieu, et laisser de côté les enseignements et les prophéties et Ma parole, celle d’hier et celle d’aujourd’hui, car Baal celui d’aujourd’hui, tout comme celui d’alors, cherche de dépouiller les fils de Mon église de l’esprit de la foi ancestrale, et les faire fouler aux pieds l’engagement du baptême, et abjurer la foi ancestrale, paternelle, et Moi, le Seigneur, comment pouvoir rester sans parler et sans admonester cette audace de l’homme antéchrist? Car le voilà, il use de toutes ses ruses pour mettre son signe maudit sur les corps, même sur ceux scellés par le baptême de l’église ancestrale, avec le nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit! Mais il y a dans le ciel grande armée de saints et de martyrs, témoignant pour Dieu et pour la juste foi, et il va échouer l’homme antéchrist, l’ennemi caché, celui qui envoie des ordres de sa cachette, pour ceux qui ne le connaissent pas et ne voient pas le lieu d’où il travaille pour envoyer sur la terre, et même sur Mon église, envoyer son œuvre adversaire à Dieu, son sceau maudit, et avec lui, toute l’opposition contre Dieu et contre les fils de Dieu.

Oh, c’est jour de témoignage de la foi sainte ce jour de dimanche, le deuxième du carême, lorsque la vraie église fait mémoire de celui qui a rendu témoignage, le prélat Grégoire de Thessalonique, celui qui a affronté les ennemi de la foi et il a montré la force et la vérité dans l’église, au temps de danger pour la foi ancestrale, laissée par ceux laissés de Dieu pour fortifier et écrire livre de renforcement du troupeau chrétien, et de son accomplissement ensuite dans Mon église, car l’église du Christ doit fortifier et améliorer les accomplissements saints, ne pas les gâter, ne pas les affaiblir. Elle doit suivre justement la marche laissée par les saints et les parents, par les découvertes venues de Dieu pour une meilleure vie chrétienne et de plus en plus sainte, car les découvertes de Dieu viennent pour mieux accomplir la vie et la garde de l’église chrétienne, et la victoire contre ses ennemis, en suivant jour par jour la perfection de son mystère, le mystère de l’église du Christ, et si quelqu’un se présente et essaie de tronquer, d’amoindrir, de couper les accomplissements, oh, c’est de l’ennemi diable cette corruption qui vient frapper à la porte et entrer, c’est pourquoi elle doit être gardée la voie du Seigneur, et il faut éloigner du milieu de l’église l’égarement qui voudrait entrer, puisque les temps sont vers la fin et il est nécessaire un meilleur accomplissement de la vie de fils de Dieu, oh, car il vient le jugement, et on commence par la maison de Dieu, comme il est écrit, et Moi, le Seigneur, Je viens réveiller Mon troupeau pour qu’il veille, car l’ennemi est à la porte, prêt à entrer et rompre Mon troupeau, pour que Je ne l’aie plus en entier et ne plus le recueillir du milieu des épines et de l’égarement d’aujourd’hui. Et voilà, pourquoi Je crie toujours aux serviteurs d’autels, ceux qui se tiennent en Mon nom devant le troupeau chrétien, car ils devraient entendre et se réunir en un seul esprit, s’il ne sont pas incapables pour le service qu’ils ont choisi, et ensuite ils devraient sonner et rassembler le troupeau et l’établir dans la veille pour la venue du Maître céleste, Qui ne peut ne pas venir, s’il est écrit qu’Il vienne et qu’Il paisse Son troupeau et le rassembler de tout lieu où il gît sans la connaissance des choses et sur des voies qui lui sont inconnues, et s’intéresser de ses faits, mais aussi des faits de ses pasteurs qui l’ont dirigé, s’ils ont veillé sur sa vie. Et voilà ce que Je leur dis Moi, le Seigneur, encore et encore:

Oh, enlevez de temps en temps, enlevez vos brillants vêtements sacerdotaux, dont vous vous parez devant le troupeau pour qu’il vous honore, et prenez ensuite le sac plein de mots saints et de vivres pour l’âme, prenez la verge de la foi ancestrale, aller et examiner la vie et l’accomplissement de la vie de chrétien de Mon église. Oh, allez de lieu en lieu, allez avec la verge de Ma pitié pour leurs âmes. Partez à la recherche des brebis accrochées aux chardons et faites-les rentrer à Ma bergerie, car J’ai dit il y a deux mille ans que Je veux les rassembler et en faire un seul troupeau, d’un seul genre, gardé d’un seul pasteur, c’est ainsi que J’avais dit, oh, et Je vous prie maintenant que vous soyez Mes travailleurs tel que Je l’ai été Moi, et comme il a été le prélat Grégoire, celui dont on fait mémoire aujourd’hui comme exemple pour vous, afin que vous faisiez vous aussi ce qu’il avait fait pour garder Mon église et pour chasser les ennemis des dogmes chrétiens et de l’unique vérité, car ce serviteur a veillé pour la vérité et il s’est levé au temps de l’attaque contre Mon église, il a pris les armes, il a fait la guerre contre les ennemis et il a gardé de la part du Seigneur la vérité, et le troupeau chrétien et Mon église.

Oh, n’oubliez pas que vous avez oublié votre devoir, que vous n’avez pas travaillé pour paître les brebis, qui se sont égarées de plus en plus et toujours plus nombreuses, tel qu’elles ont été prises par les loups, selon ce que J’avais dit que cela se passerait avec elles, avec Mes brebis. Oh, n’oubliez pas que vous avez oublié ce devoir, que vous avez tout seuls choisi, et maintenant Moi, le Seigneur, Je vous demande le fruit, Je vous demande compte des brebis et de leur vie, car c’est Moi leur Pasteur, le Pasteur avec la croix, Celui pauvre de toute chose de la terre, et Qui a mis sa vie pour les brebis. Vous vous êtes procuré des papiers du monde sur lesquels vous avez inscrits des noms et des missions de pasteurs de Mes brebis, et vous avez des diplômes de théologiens, oh, et quelle réponse pourrez-vous donner à Dieu la Parole, Dont le nom est écrit sur vos diplômes? Ces diplômes vous chargent de grands devoirs envers Dieu et envers le troupeau dont vous êtes les pasteurs, oh, et quelle cuisson allez-vous porter sur le corps et l’esprit, pour le manque de travail si vous n’avez pas travaillé, si vous ne travaillez pas pour qu’elles ne périssent pas les brebis, si vous ne vous repentez pas de ces péchés, et travailler ensuite selon le devoir qui vous pèse!

Voilà, le disciple fêté aujourd’hui dans l’église! Il a brulé avec blessure, il a brulé du zèle pour le travail saint, travail de disciple de Jésus Christ, il a veillé et il a souffert en veillant et en croyant dans la victoire, celle pour la foi, oh, il a vaincu les ennemis de Mon église, et il a dirigé Mon troupeau comme un disciple parfait, comme son Maître Jésus Christ, et pas autrement.

Oh, vous vous êtes demandés, vous vous demandez quoi et comment est votre travail avec Mon troupeau, dans Mon église? Voilà, Je vous demande Moi, Je vous demande de Mon troupeau afin de Me répondre pour lui, pour le troupeau qui depuis mille ans s’en est allé de tous côtés, il s’est déchiré en morceaux, et il n’a plus veillé, il n’a plus regardé en arrière, si non pour juger, et il est tombé dans le péché du jugement s’ils n’ont plus eu de pasteurs compatissants, pour les mener au pâturage et chasser les loups et les bêtes, pour ne pas venir vers lui et prendre les brebis de la bergerie une par une et les vendre aux étrangers.

Oh, réveillez-vous, oh, réveillez-vous à la voix du Grand Pasteur, Qui considère attentivement Son troupeau et vous appelle à répondre! Je viens vers vous pour tenir conseil céleste. Le troupeau n’est pas dirigé pastoralement, il ne travaille pas la sainteté pour Me ressembler Mon troupeau, et Moi J’ai dit: «Ils seront semblables à Lui».

Voilà, réunissez-vous dans une seule pensée au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit et tenez saint Conseil, puisque l’esprit ennemi de l’homme antéchrist déroule sa corde en piège pour capturer les fils de Mon église aussi, ceux qui ne veillent pas et ne sont pas veillés, et même vous, si vous cherchez cela, si vous ne vous levez pas à la veille contre Mes ennemis et ceux de Mon église.

Cherchez de comprendre la raison pour laquelle Je viens en parole sur la terre et croire ensuite en Ma parole, dans la Parole de Dieu, pour ne pas vous écrire avec la bouche et la main grand péché contre le Saint-Esprit, avec Lequel le Seigneur vient sur la terre et Se fait parole, et Il vient avec les saints, comme il est écrit qu’Il vienne le Seigneur dans Sa venue, et vous, prenez garde et veillez, de peur de ne pas vous écrire vous-mêmes devant Moi le plus grand péché, le péché contre le Saint-Esprit.

Oh, ne vous réjouissez pas pour votre opposition contre la vérité de Ma parole sur la terre en ce temps. Ne vous réjouissez pas en vous opposant et en vous rassurant ainsi. Cette parole C’est Moi, le Seigneur Jésus Christ, L’Alpha et l’Oméga, oh, et si vous étiez les Miens, Mes disciples et témoins, vous connaîtriez que cette parole de Pasteur c’est Moi, le Pasteur avec la croix, Celui Qui a mis Sa vie sur la croix pour les brebis, Moi, le Seigneur, Duquel le Ecritures montrent que Je viendrai et que Mon nom s’appelle la Parole de Dieu, et que c’est le Seigneur cette parole, et tout ce qui n’est pas de Dieu s’écroule et périt, mais Moi, le Seigneur, Je suis en parole sur le foyer du peuple roumain depuis presque soixante-dix ans par cette rivière de parole, celle qui donne de la vie aux hommes, car Je suis le Pasteur Qui a donné sa vie pour que les brebis dirigées par Moi aient de la vie, et vous, votre orgueil est vain, en pensant que vous gardez d’église de cette parole, qui, bon Dieu, n’est pas de Dieu. Mais si elle n’est pas de Dieu cette parole de Ma bouche et qui est écrite sur la terre selon Ma volonté, vous, vous êtes de Dieu? Vous pouvez en faire la preuve? Oh, Moi Je veux que vous soyez les Miens, mais vous devez en faire la preuve, vous devez Me ressembler avec votre esprit, votre vie, votre action, et votre foi, et si vous êtes les Miens, vous allez connaître cette parole aussi, avec laquelle Je viens vers vous, et si vous ne la reconnaissez pas, vous allez connaître alors que vous ne Me connaissez pas et vous n’êtes pas connus de Dieu, et que Moi Je ne sais pas d’où vous êtes, et c’est pour cela que Je vous demande: Si cette parole n’est pas de Dieu, vous, d’où êtes-vous? Si vous ne Me connaissez pas dans cette parole, si elle n’est pas de Dieu, vous, d’où êtes-vous? Pouvez-vous faire la preuve que vous êtes de Dieu, si vous ne connaissez pas Dieu dans cette parole?

Si pendant la vie sur la terre on ne va pas à l’école, on n’arrive pas d’être grand homme sous les maîtres de la terre. C’est la même chose pour Dieu. Si on ne vient pas à l’école, à la direction pastorale, à la croissance sainte, au jeûne et à la prière, à la douceur d’esprit et à l’humilité du cœur, oh, on n’est pas bon pour les œuvres saintes de Dieu entre les hommes. Oh, c’est ainsi qu’il a été connu comme disciple de Dieu le Prélat Grégoire, celui qui a rendu témoignage du Christ au milieu de l’église, car il a suivi l’école de la sainteté et il s’est sanctifié, il a reçu la grâce du Saint-Esprit et il a apporté de riche fruit avec son travail pour le Christ, et il a gardé le troupeau des loups et des trompeurs cachés sous vêtement de serviteurs du Christ, mais qui déformaient la voie de la foi. Et voilà, J’ai maintenant près de Moi ce prélat saint et il Me dit cela:

— Oh, Seigneur, oh, mon Seigneur, oh, mon Pasteur, mon Maître, j’ai appris de Toi et j’ai aimé ce que Tu as aimé ensuite. J’ai été doux et humble de cœur au milieu de Ton église, mais pour la garder j’ai été aussi un dur protecteur des lois saintes de Ton église, je me suis élevé avec toute la force de l’esprit et de la parole et j’ai appelé des trompeurs les loups de troupeau, desquels j’ai supporté ensuite des douleurs et des persécutions, pour la défense de la vérité celle venue par l’église, et Tu m’as élevé et Tu m’as donné chaise de pasteur, pour mon zèle saint, pour ma vie sage, pour le renoncement à soi avec lequel je suis allé sur la voie avec Toi, Seigneur, et pour le fruit apporté devant Toi. J’ai été heureux pour le don que j’ai reçu de Toi, avec lequel j’ai pu vaincre les ennemis de Ton église, oh, et je souhaite d’un désir céleste qu’ils regardent vers moi les prélats et les prêtres des saints autels de la terre, et qu’ils ne travaillent pas autrement, car ils vont répondre pour leur travail, et malheur à eux si elle ne Te ressemble pas leur œuvre sur la terre, du moment qu’ils ont choisi d’être des pasteurs en Ton nom!

Oh, Seigneur, c’est comme Ton disciple que j’ai parlé d’auprès de Toi en mon jour de fête, et je dédie à Toi la joie que Tu m’as offert maintenant, quand Tu viens avec Tes saints entouré de gloire invisible, mais qui attend à la frontière, prête à se découvrir à tous, oh, et il y aura grande joie, mais aussi grande tristesse et chacun sera compté tel qu’il sera trouvé, mais, Seigneur, dirige vers Toi le plus d’entre eux et fais-les revenir, pour Ta joie et celle de Tes saints, qui attendent Ta victoire. Amen.

— Moi, le Seigneur, c’est cela que Je fais avec la gloire de Ma parole, par laquelle Je veux faire revenir beaucoup de gens au Père et à Moi, et qu’ils prennent de Mon Esprit beaucoup et toujours plus d’entre eux, oh, car J’ai mal de voir périr les hommes comme des pécheurs, et Je veux protéger la Roumanie d’abord, et la relever au-dessus, puisqu’elle est pays chrétien dès son début et elle est de Moi, elle est comme Moi sur la terre, elle est depuis deux mille ans, et Je viens à elle, parce que Je suis venu pour la deuxième fois sur la terre en parole de création de nouveau du monde, et chez elle Je suis venu, et de Son milieu Je Me lève avec parole dure sur l’homme antéchrist, et Je garde le pays de Ma venue des malheurs qui vont venir sur la terre pour mettre à l’épreuve tous les hommes, et voilà, Je Me prépare pour protéger la terre roumaine, mais aussi pour garder les fils roumains, que J’exhorte à ne pas recevoir le sceau de l’antéchrist, de celui caché sous le voile, de celui qui se veut dieu sur la terre sur haute place, mais ici, sur ce foyer, il perd son pouvoir et il est vaincu par la Parole de Dieu, par le souffle de Ma bouche, lui et ses serviteurs. Amen.

Et vous, fils du peuple de Ma parole, oh, vous, les fils, ne souhaitez rien de plus que d’être les Miens, et que Moi Je sois le vôtre, que Je sois votre amour, et qu’il ne tombe pas, car il est la chose qui ne tombe pas si elle existe, et si l’amour tombe, il n’est pas Mon amour en vous, car Moi Je ne suis pas tombé. Moi Je n’ai pas péri pas même par la mort sur la croix, car c’est elle qui M’a donné toute la victoire, par laquelle Je Me suis montré vrai Dieu, immortel, les fils, et celui qui M’a comme son amour, il est éternel, il est comme Dieu.

Oh, paix à vous, les fils! De la paix par vous sur le troupeau chrétien et sur Mon église, qui est sur la terre du peuple roumain, et sur toute la terre ensuite, là où elle se trouve en attendant son Seigneur.

Paix à toi, Ma Roumanie, Mon pays d’aujourd’hui!

Oh, lève-toi, fils roumain, pour défendre ton pays des loups, et ta foi des païens!

Levez-vous, fils roumains, et veillez contre l’abjuration de la foi et du baptême, car l’homme antéchrist veut vous prendre sous ce péché sans que vous le sachiez, sans que vous le compreniez, et qu’il vous mette son sceau noir, mais Moi, le Seigneur, Je vous annonce, Je vous veille et Je vous réveille, et Je réveille aussi les serviteurs d’autels pour le pays, pour la foi et pour la victoire avec le Christ, en ce temps de grand embarras comme il n’y a plus eu, tel qu’il est écrit.

Oh, paix à toi, Mon pays d’aujourd’hui! Tu es la consolation de Dieu. Reste de Ma part, reste le pays du Christ, Son pays! Je viens à toi pour que tu sois le Mien et Je viens parce–que tu es le Mien, tu es le pays du Seigneur Jésus Christ à la fin du temps, et Mon mystère avec toi va bientôt, bientôt va comprendre en lui toute la terre et tous les peuples de la terre et Nous allons resplendir avec grande victoire, et c’est ainsi que nous allons finir, et c’est ainsi que nous allons commencer, et il restera le nouveau commencement, le ciel neuf et le terre nouvelle, Moi et toi, Mon pays, et tous ceux qui nous ressemblent, tel qu’il est écrit. Amen, amen, amen.

28-03-2021