La Parole de Dieu à la Fête de la Circoncision du Seigneur et la Fête du Saint Prélat Basile le Grand

En jour de sainte fête au ciel et sur la terre Je M’assied entre vous comme le pasteur entre les brebis et Nous mettons table de parole et Nous Nous partageons avec elle au-dessus de la terre jusqu’aux extrémités, tel qu’il est écrit qu’elle aille Mon annonce partout, les fils, et vous, aidez Moi de réjouir le Père, et réjouissons-Nous car nous travaillons, puisque voilà, elle approche la fête du Baptême du Seigneur et nous avons à partager l’eau bénite à cette fête, et qu’ils viennent des envoyés pour en prendre et partager aux autres dans les cités, pour qu’ils aient tous l’eau protectrice de l’esprit étranger à Dieu sur leur voie, et voilà, Nous Nous préparons, les fils, d’accomplir la bénédiction de l’eau et son envoi dans les cités, car c’est ainsi la situation crée par l’homme maintenant, mais vous avez le Seigneur, Qui prend soin de vous, les fils.

Paix à vous, et jour de sainte fête, de la paix, les fils! Qu’elle soit bénie la préparation de la fête du Baptême! Ensuite un messager venu de chaque coin du pays du lieux où vivent ceux qui aiment Ma parole et Ma place avec vous, chacun va prendre et porter à ceux qui attendent l’eau, et Je vais leur envoyer aussi de la nourriture de parole, car Je suis le Pasteur, les fils.

Et maintenant Je fais souvenir de Ma soumission des jours de Mon enfance, car Mes parents M’ont pris et emmené pour la circoncision, selon la Loi des Juifs, et pour recevoir le nom indiqué par les anges, le nom de Jésus, car c’est la loi qui dit: «Tout mâle premier-né sera consacré au Seigneur». Alors le vieux Siméon M’a pris dans ses bras, il M’a béni et a dit que Je serais la lumière qui éclaire les nations, mais aussi que J’étais destiné à amener la chute et le relèvement de plusieurs en Israël, un signe qui provoquera des contradictions.

J’étais le Fils du Père céleste, mais J’étais le Fils de l’Homme aussi, et Je devais accomplir comme un homme l’ordre celui pour l’homme, et Ma soumission et celle de ceux qui M’ont élevé a été parfaite.

Et J’ai, les fils, avec Moi dans la fête d’aujourd’hui le grand Basile, grand d’esprit et d’action en son temps sur al terre, oh, et il n’y a plus à présent entre les serviteurs d’autel de la foi un autre comme lui, car celui-ci a veillé sans repos et sans la crainte des ennemis l’œuvre de l’église du Christ et sa vérité unique, et il est resté ce saint avec grand nom au-dessus de ceux d’après lui, mais aussi comme exemple à suivre pour ceux qui gardent indemne de toutes leurs forces l’enseignement de l’église, puisque les deux mille ans ont été un temps de grande lutte pour la garde en sainteté du mystère de Mon église, et J’ai pris grand soin par les saints existants sur la terre, pour ce saint mystère par le travail de Mon église de génération en génération jusqu’aujourd’hui, parce que la guerre de satan a été toujours grande, et elle a été sans trêve comme aujourd’hui.

Et nous faisons souvenir aujourd’hui des coutumes chrétiennes, des traditions saintes et porteuses de grand mystère, les fils, car en ce jour du premier mois de l’année, après Ma naissance sur la terre les ancêtres chrétiens de ce peuple d’aujourd’hui allaient avec des souhaits et des bénédictions de maison en maison, et ils fêtaient l’union des laboureurs, le travail pour le pain et pour la préparation du pain. Oh, comment cela se passait? Voilà, on s’assemblait par groupes des enfants, des jeunes, des vieux, ils prenaient une petite charrue parée et ils partaient comme au labourage passant devant les maisons, ils formulaient des souhaits et en chassaient les mauvais esprits, et la maison qui ne recevait pas les porteurs de souhaits n’était pas tout aussi gardée des mauvais événements au long de l’année.

On y allait à minuit lorsque les cieux s’ouvrent et on formulait des souhaits bienfaisants et on criait: «Recevez-vous la petite charrue?». Le lendemain de même, groupes par groupes dès le petit matin, on allait aux maisons des villages pour emblaver et on les remplissait de graines à semer, portées dans des panetières.

Oh, elle était belle, elle était sainte cette coutume chrétienne, et elle rappelait de la naissance d’un peuple, de la recherche d’un lieu propre pour labourer et semer, selon les paroles des vers consacrés, pleines de signification, car la propagation celle pour Dieu fonctionne comme la charrue qui travaille la terre pour les semailles, oh, et les chrétiens avaient de petites flûtes, des tambours, des clochettes, des sonnailles et l’instrument qui imite le mugissement des bœufs, et tout était merveilleux, et elles ont résisté jusqu’aujourd’hui ces habitudes saintes, et dans les églises on prononçait les absoutes de Saint Basile, qui admonestaient le mauvais esprit et protégeaient les chrétiens des méchancetés diaboliques, oh, et les hommes vivaient avec Dieu sur la terre, et Dieu était plus avec les hommes, plus Il était avec eux, et Il semait Sa parole sur eux, et les hommes étaient plus sages, plus généreux, plus saints, plus désireux de ciel.

Les fêtes et les souhaits passés, les chrétiens commençaient le travail pour le pain, et cette terre était le pays du pain, le pays des mystères de Dieu, et voilà, à présent aussi, à la fin de temps, c’est ici le pays du pain, puisque Ma parole est ici comme nourriture, puisque c’est Moi le Pain Qui descend du ciel comme nourriture pour Mon église, tel qu’il est écrit.

J’étais au milieu de tout un peuple, venu de différentes cités, et Je leur ai dit la parabole du semeur, comme une partie de la semence est tombé au bord du chemin et elle a été foulée aux pieds ou mangée par les oiseaux, une autre est tombée sur les endroits rocheux, elle leva aussitôt mais faute d’humidité elle sécha, et une autre partie est tombée parmi les épines qui l’étouffèrent, mais une autre partie de la semence est tombée sur la bonne terre et elle donna du fruit centuplé. Oh, c’est la parole de Dieu cette semence, mais le diable est aux aguets auprès de ceux qui entendent et il leur prend la parole, de peur qu’en la croyant ils ne soient sauvés. La semence du rocher ne peut avoir de racines, et ceux qui la reçoivent avec joie tombent ensuite dans les tentations. La semence tombée entre les épines ne fait pas de racines à cause des soucis, à cause du désir de fortune et des plaisirs de la vie et elle n’arrive pas au mûrissement. Mais la semence tombée sur la bonne terre est celle tombée dans l’homme au cœur pur, et elle donne du fruit dans la patience, et on donnera à celui qui a, mais à celui qui n’a pas on ôtera même ce qu’il lui semble d’avoir, tel qu’il est écrit dans la parabole du semeur.

Et voilà le grand mystère, c’est qu’elle a été choisi pour des semailles la terre celle d’aujourd’hui du peuple roumain et elle a donné du fruit, et il est écrit dans l’histoire de ce peuple le souhait compris par les vers consacrés de la petite charrue de fête, qui montre en parole qu’elle a été semée en bonne terre la semence de Dieu.

Et il y a eu au temps de la création de Mon église un empereur venu de loin, descendent de ce peuple se trouvant-il, auquel Dieu a destiné de venir et de choisir cette terre afin que Je vienne, Moi, le Seigneur, avec les semailles et avec les semeurs et que Nous emblavions, pour avoir du bon blé, et qu’il soit peuple chrétien ce peuple. On raconte dans l’histoire de la charrue, dans ses vers récités devant les maisons des villages, que cet empereur a pris son cheval il s’est levé sur ses arçons et il a regardé tout autour sur la terre, afin de choisir un lieu propre pour être labouré et semé, oh, et ce lieu a été cette terre, celle des ancêtres en ce temps-là, et Dieu a semé Sa semence par ceux qui sont venus avec l’empereur, et ceux-ci ont laissé l’annonce de l’empire des cieux, et de Son empereur Jésus-Christ, oh, il est né alors ce pays, en même temps avec Moi, et Mon Père l’a nommé le Mien, Mon pays, et il est chrétien depuis deux mille ans, et ma semence ne s’y est pas desséchée, puisque le lieu a été propice aux semailles, oh, et ils racontaient les vieux l’histoire de la petite charrue de ce peuple, et on ne racontait pas en vain ces mystères, et tout était sous la garde de Dieu, et on les récitait sur cette terre, et on les récite aujourd’hui aussi.

J’ai parlé récemment aux peuples de la terre et Je leur ai dit: Ne vous posez pas la question pourquoi c’est ici, car Je vais vous parler de ce grand mystère et vous allez vous consoler, puisque c’est le temps de grande lumière, car elle vient la lumière.

Voici que le Semeur est sorti pour semer Sa semence et elle est tombée ici, sur bonne terre, et maintenant Nous racontons les souvenirs saints, que l’ennemi antéchrist essaye toujours d’effacer pour être oubliés, mais non, Je ne lui permettrai pas de s’atteindre de Mes mystères, car s’il a travaillé par ses hommes pour arrêter dans l’église du peuple roumain la lecture des oraisons d’admonestation du diable pour qu’il éloigne de cette terre, des maisons des chrétiens roumains le travail de satan, l’adversaire de Dieu et des saints de Dieu, voilà maintenant ce sont Mes saints qui demandent l’admonestation du diable, et le saint prélat Basile, en grand groupe de saints, travaille et éloigne satan de partout sur cette terre sainte, et au milieu du peuple de Ma parole on prononce en même temps avec saint Basile l’éloignement du diable de la terre roumaine et de tout le peuple chrétien de toute la terre, et voilà:

Oh, diable, que tu sois durement admonesté par le Père, le Fils et le Saint-Esprit, avec tous les saints de Dieu et avec le peuple de la Parole! Ecarte-toi le plus loin que possible de ceux qui sont baptisés chrétiennement! Et ce pays, il faut que tu le saches avec tous tes serviteurs diables, ce pays est le pays de Jésus-Christ, Celui né dans la crèche des brebis il y a deux mille ans, en même temps que la naissance de ce peuple, christianisé selon la loi laissée pour les premiers chrétiens, car le peuple chrétien est le peuple de Dieu sur la terre, et d’autres nations sur lesquelles on a semé Ma semence ne l’ont pas gardée, elles n’ont pas eu de bonne terre, propice jusqu’à la fin, mais elle a donné du fruit ici, mille fois de plus, c’est le pays du pain cette terre, elle l’est aujourd’hui aussi et elle a du pain du ciel, c’est Moi en parole sur la terre.

Le prélat Basile crie après les serviteurs de l’église, il leur crie de se lever au travail saint s’ils ont voulu être des serviteurs pour Dieu, et il leur dit:

— Vous, serviteurs aux autels, prenez la charrue, labourez et semez pour que le blé pousse et croisse riche en épis! Ne craignez pas les maîtres du monde, mais craignez Dieu et prenez de la sagesse d’en haut, pas de la terre, puisque la crainte de Dieu c’est le début de la sagesse sainte! Craignez Dieu et soyez sages d’en haut, car la science celle des hommes prise et partagée partout pour la perte d’un grand nombre de gens, celle-ci n’est pas sagesse mais c’est de l’instigation sur la création de Dieu, oh, et il est interdit à l’homme de tenter Dieu, car le diable sert à l’homme seulement des chimères, pas la vérité sainte, oh, puisque ce n’est pas la terre qui a été bâtie pour le soleil, mais le soleil a été bâti pour la terre, au quatrième jour de la création du ciel et la terre, et tout ce qui est hors de cela c’est de l’instigation sur les mystères de la création de Dieu et c’est du péché.

Et vous prenez la charrue et regardez vers le ciel, et c’est ainsi que vous devez travailler pour protéger le troupeau du Seigneur, car moi c’est seulement pour la protection de l’église que J’ai vécu, et j’ai lutté et j’ai coupé le mensonge et les hérésies, car je m’inquiétais du sort du troupeau et je la gardais beaucoup de loups doués d’intelligence, qui comprenaient seulement selon leur avis. Et vous, soyez la force et le sel de la terre et écartez la mauvaise œuvre qui s’approche de l’église et de ses mystères saints, et Dieu notre Seigneur va vous récompenser quand Il se montrera.

— Oh, serviteur digne de service à l’autel, grand a été ton zèle pour la vérité, pour l’église, telle qu’elle a été établie au début par les apôtres et par ses saints! On ne fouille pas dans l’œuvre de Dieu, on n’en cherche pas humainement, mais on doit seulement la suivre avec grande attention.

Vous, serviteurs d’aujourd’hui de l’église du peuple roumain, oh, vous êtes coupables envers le peuple roumain, parce-que vous n’avez pas voulu M’obéir et ne pas aller vers le mélange de troupeaux, et vous avez fait chanceler le peuple fidèle et connaisseur en ce qui concerne le mystère et la marche de l’église.

Voilà, la science humaine cherche à découvrir le mystère de Dieu, mais cela n’est pas possible, et on a très mal procédé il y a cent ans, quand ont a changé dans le calendrier la place et le temps des fêtes des saints. Veillez donc, et ne permettez plus que la corruption frappe les choses établies par les saints. Le Soleil a été fait par Dieu pour la terre et il a sa loi, il se lève, il se couche et il se lève encore, et le prélat Basile a son enseignement très clair pour ceux d’après lui, pour qu’ils n’errent pas par la science humaine et qui provoque l’égarement, et voilà de quel manque de connaissance font preuve ceux qui tentent de découvrir les mystères de la création, mis sous la domination de Dieu, et non pas à celle des hommes, prêts à tenter!

Prenez la charrue, labourez et semez tout comme ceux du début, pour ne pas faire chanceler les premiers fondements et d’en tomber, et l’obéissance aux saints et aux pères prouvera votre amour de Dieu et des hommes, et pas autrement.

Oh, ne tentez pas Dieu vous, les hommes! Laissez la tour Babel s’écrouler et s’écraser, mais ne suivez pas ceux qui veulent la bâtir de nouveau et qui écrivent leur condamnation.

Il est temps que tous reprennent leurs esprits, puisqu’elle vient la lumière et il y aura de la lumière, et personne n’aura plus de place pour s’en cacher, car elle rend tout clair et chasse les ténèbres par sa force.

On a un autre temps maintenant. On a écrit jusqu’à présent sur la parole de Dieu, depuis deux mille ans on a toujours écrit, et maintenant c’est Moi-Même Qui parle, et on écrit, car sur la terre personne n’est plus laissé à dire que c’est Moi cette parole, que c’est Moi Qui parle, que Je viens et Je travaille Moi-Meme, oh, et tous sont conseillés de parler à gauche et à droite contre la vérité de cette parole.

L’homme doit croire à la résurrection, oh, et pour cela il doit beaucoup travailler avec Moi, Celui ressuscité d’entre les morts. Ceux qui sont ressuscités avant Moi ont eu quelqu’un qui a travaillé en Moi pour leur résurrection. Mais avec Moi ne s’est pas passé de même. C’est de Moi-Même que Je Me suis levé du sépulcre où J’avais été mis, avec le sceau au-dessus, pour que Je donne à l’homme la foi dans la résurrection, et au temps de la résurrection de tous les endormis, que l’homme ait accès à la résurrection, et cela par la foi qu’il a eu sur la terre, en attendant dans l’espoir, tel qu’il est écrit.

Oh, et qu’on entende Ma parole jusqu’aux extrémités, et que tous croient en elle! Amen.

En fin, encore et encore Je bénis la préparation de la fête de Mon Baptême et Je veux prier ceux qui vont prendre de l’eau bénite, Je les prie d’en prendre dans des récipients dignes de la contenir, oh, du moins l’eau bénite, si on ne veut plus encore. Que chaque chrétien se procure un récipient agréable à Dieu et qu’il l’ait prêt pour qu’on lui verse de l’eau bénite, et qu’il écarte le plus possible les récipients mal propres, par la matière dont ils sont faits. Oh, cela Me fait mal de voir tant malpropreté dans les choses faites par l’homme, et qui entrent dans l’homme, mais c’est satan qui s’en réjouit, lorsque Moi, J’ai mal à cause de son mauvaise œuvre.

Et voilà Je présente Moi aussi, le Seigneur, les souhaits pour le nouvel an, car les années sont comptés aussi en commençant par Ma naissance sur la terre, et maintenant c’est le premier jour du premier mois après Ma naissance, et depuis lors c’est Mon temps sur la terre, le nombre des années depuis le Christ comptées.

Je prononce saint souhait et Je dis: Paix et santé, pardon et charité, foi et pouvoir saint, voilà ce que Je souhaite que tu aies peuple de Ma parole!

De la paix douce et sainte! Que tu sois le pays du pain, peuple roumain, et que ta terre porte le Seigneur avec Son royaume!

Oh, paix à vous! Que la paix soit sur cette terre et sur son peuple, et qu’il reste peuple chrétien ce peuple pour l’éternité!

Je finis maintenant Ma parole d’aujourd’hui et Je la signe avec Mon nom:

Jésus-Christ.

Amen, amen, amen.

14-01-2021