La Parole de Dieu à la Fête du Relèvement de la Sainte Croix

Je suis Celui Qui est. Je suis Pasteur, et si Je suis Pasteur, Je dois paître, car c’est cela l’œuvre d’un pasteur.

Je suis le Pasteur avec la croix, et c’est avec le bâton que Je marche et Je travaille, et celui qui n’aime pas la grandeur du chemin de la croix et l’enseignement lié à ce chemin, celui-là n’est pas digne de Moi, puisque Moi, Je suis avec la croix, et c’est sur elle que Je M’appuie et Je Me tiens depuis deux mille ans, et le nom de chrétien est porté selon le mérite, seulement par celui qui souhaite Me ressembler et que Je sois son Pasteur, le Pasteur avec la croix, pour qu’il M’ait comme exemple devant lui sur sa voie vers Dieu.

Y a-t-il parmi ceux qui se déclarent ou se tiennent sous le nom de pasteurs, y a-t-il entre eux de ceux qui Me ressemblent en ce qui concerne la stature et la tenue? Oh, si ceux-ci ne Me ressemblent pas, au nom de qui se tiennent-ils des pasteurs sur les hommes? Comment sont-ils reconnus comme pasteurs? Oh, commet les hommes reconnaissent-ils les pasteurs qui les dirigent?

Oh, qu’il est bon que l’homme connaisse Dieu et le livre de Dieu, dans lequel il est écrit de Dieu et des pasteurs des hommes! Si les hommes ne lisent pas Mon livre et ne savent pas les choses y laissées de Dieu, oh, ils s’égarent tous et ils sont bernés au nom de Dieu, pour ceux qui sont assis sur des chaises de pasteurs, et Moi Je pleure avec Mes saints par pitié pour ceux de la terre, qui ne voient pas la voie, mais seulement des pasteurs qui ne leur donnent pas le salut, du moment qu’ils ne le cherchent eux non plus et ne le travaillent pas pour eux.

Nous avons jour de fête pour la gloire de la croix, le bâton sur lequel Moi, le Seigneur, Je M’appuie depuis deux mile ans et Je dirige avec lui ceux qui aiment Dieu, Celui Qui S’est laissé crucifié afin de sauver les hommes de la souffrance pour leurs péchés. J’ai dirigé en pasteur Mes disciples depuis le moment où Je les ai choisis, jusqu’au moment où Je Me suis laissé brisé sur la croix, par ceux qui M’ont brisé, après avoir vu en Moi un Dieu fort, alors qu’ils étaient de grands pécheurs, et ils n’ont pas pu M’aimer, et ils n’ont pas pu Me recevoir.

Les pécheurs ne peuvent pas M’aimer, puisqu’ils aiment le péché, qu’ils choisissent comme amour pour eux. Oh, ils n’auraient pas pu choisir Dieu ceux qui M’ont sorti d’entre eux il y a deux mille ans et ils M’ont crucifié. Qui d’entre eux aurait pu imaginer alors, que tout ce qu’ils avaient fait avec Moi, tout cela allait Me recouvrir de pouvoir et de résurrection par la croix? En ce jour-là la croix est devenue bâton dur comme le fer, bâton porteur de victoire, grand signe, par lequel Moi, le Seigneur Jésus Christ, J’ai vaincu la mort et J’ai écrit entre la terre et les cieux Ma résurrection et cela de ceux qui croient en elle pour leur résurrection.

Voilà, c’est ainsi que Je dirige les peuples, et c’est ainsi que Je juge tout, toute chose, à bâton de fer, car J’ai dit alors: «Le Maître de ce monde a été jugé maintenant». Cette parole que J’ai prononcée juste avant Ma crucifixion s’est montrée le jugement des pécheurs qui Mont crucifié à case de leurs péchés, et ils ont pris alors leur jugement, et ils ont été jugés, et Moi, depuis lors et jusqu’à présent Je juge tout comme en ce jour-là, quand les pécheurs M’ont donné à la mort sur la croix à cause de leurs péchés. Ils ne M’ont trouvé aucune faute, mais ils ont trouvé en eux la cause pour laquelle ils M’ont voué à la croix, mais la croix est devenue dans Ma main la verge de fer, tel qu’il est écrit que Je dirige et que Je juge à verge de fer, verge douée de vérité et de grand pouvoir sur ceux qui pèchent volontairement et ils se rangent toujours, toujours de la part du péché, du péché accompli, celui pour lequel le Seigneur a été crucifié, pour qu’Il ne barre plus le chemin à ceux qui vivent dans leurs plaisirs sur la terre, devant Dieu de génération en génération.

Oh, les voilà ceux qui dominent les peuples, qui dominent les opprimés! Ce sont ceux qui travaillent le péché, ce sont eux seulement qui ont accès à la voie pour la domination sur les hommes, oh, seulement eux, et ceux qui se séparent comme eux pour le péché, pour le mensonge, pour la grandeur, pour le pouvoir, pour le désir de domination, comblés d’orgueil devant les hommes, même si, par mensonge, ils se montrent comme des bienfaiteurs avec leur nom et statut, mais ceux-ci ne font que égarer le peuple, tout comme Irode, celui de ce temps-là, tout comme Caïphe, l’homme du péché, dissimulé sous le vêtement qu’il portait, par lequel il était connu comme grand serviteur ou nom de Dieu, sur les hommes, d’alors d’Israël.

Voilà il y n’y pas de grands hommes sur la terre. Ceux qui sont nommés et connus comme de grands hommes, ceux-là sont de grands pécheurs, des grands qui possèdent l’épée et la loi et qui mettent en croix les droits, puisqu’un homme droit ne met personne en croix, mais seulement les droits sont crucifiés, et les pécheurs leur font cela, du moment qu’ils ne servent pas la vérité et la justice de toutes.

Oh, fils des hommes, oh, ouvrez, ouvrez de grands yeux pour voir avec eux, car c’est pour votre bien que vous les ouvrez. Oh, ouvrez les yeux tous à la fois à Ma parole sur vous, et si vous ne le faites pas, vous serez toujours volés et pillés de ceux qui habitent avec les ténèbres, avec les voleurs d’âmes. Moi, Je ne suis pas le Dieu des voleurs, et les voleurs ne sont pas avec Dieu ou à Dieu, car autrement comment serais-Je Celui droit, Celui Vrai, comment serais-Je Le droit, Le véritable, lumière du monde, lumière qui dévoile tout, le Fils de l’Homme, Celui abandonné et haï de ceux menteurs avec leur vie et avec leur visage et leurs faits, alors même qu’ils disent avec leur bouche que Dieu est avec eux et Il les aide en tout?

Oh, ouvrez les yeux, fils des hommes! Levez-vous! Levez-vous avant que la nuit ne vienne, car si elle arrive la nuit, vous ne pourrez plus rien travailler et voir. Vous êtes soumis aux travailleurs du mensonge, de l’orgueil humain et de la présomption. Regardez-les et leurs faits, leur visage caché. Il n’y a que de mensonge sur la terre, dans les hommes et dans ceux qui vous dominent. Vous allez vaincre avec le signe de la sainte croix, mais levez-vous et prenez la croix comme bâton et allez vers la victoire avec elle et non pas sans elle. N’oubliez pas que J’ai vaincu par la croix, oh, n’oubliez pas cette vérité, car voilà, avec cette verge Je dirige, et ils ne savent pas les peuples de la terre qui est à la direction de tout ce qui se travaille sur la terre, le payement du mal et la récompense pour le bien, en recevant chacun selon son action, car si tu fais le mal, c’est le mal que tu trouves, tel qu’il est écrit, et les hommes ne travaillent que le mal pour eux, puisque sans Dieu au gouvernail de la vie et des jours de leur vie, les hommes ne peuvent travailler que le mal pour eux, et Moi, Je viens et Je dirige mystérieusement au-dessus de la terre, et tous les hommes reçoivent selon leurs faits, car il est écrit qu’Il vient le Pasteur, Il vient le Fils de l’Homme sur la terre et il fait la séparation en mettant les brebis à Sa droite et les boucs à gauche, et ceux de droite seront les héritiers, tel qu’il est écrit.

Oh, comment crier encore pour réveiller l’homme? L’enfer dans lequel l’homme se tient sur la terre c’est le péché commis par lui, devant Celui Qui voit tout à chaque instant, et l’homme qui aime le péché dans sa chair est désagréable à Dieu, et le Seigneur attend que l’homme renonce au péché.

Lorsque le pays n’a plus de fils toujours en veille, en souffrant pour lui, pour son destin et sa garde jour et nuit, il peut être pillé. Oh, réveillez-vous, vous aussi, ceux qui cherchez maintenant d’occuper des places sur les hautes chaises du pays. Si vous ne vous proposez pas de chercher le bien et la protection et le maintien du pays, si vous ne pouvez pas faire cela, oh, ne vous agitez plus pour gagner les hautes chaises de la direction. Le pays est en danger s’il n’a pas à sa direction des fils aux mains et au cœur purs. Oh, il n’est pas bon qu’ils soient plus riches ceux des hautes chaises par rapport à ceux gouvernés, mais elle est bonne la fraternité et la justice en tout, car c’est l’ordre laissé par Dieu, mais voilà, chez les homes il se passe autrement. Oh, n’amassez plus de richesses pour vous si vous voulez vous placez haut dans le pays, mais rangez-vous sous la préoccupation envers le peuple, envers son existence, puisque Je vous regarde d’en haut, oh, et que de trouble Je puisse voir, que d’orgueil, que de désir de grandeur et de justice l’un contre l’autre. Oh, vous ne gagnez rien par le mensonge, par la tromperie, par la diffamation et la trahison des frères, puisque là où il n’y a pas d’amour et d’union c’est la discorde, la trahison et le vol, et c’est l’argent qui a la victoire dans tout cela, et l’homme est terrassé par l’orgueil et pour l’argent.

Oh, ne faites pas ainsi, fils roumains. Moi, le Seigneur, Je vous apprends, ce n’est pas ainsi que vous devez travailler. Je dis la même chose pour vous, vous qui souhaitez avoir la domination et les hautes chaises, mais aussi pour vous, les gens qui êtes sous la main de ceux qui aiment vous dominer. Oh, ce n’est pas ainsi que J’ai travaillé pour les hommes, Moi, le Seigneur. Moi, J’ai mis Ma vie pour le peuple. Moi, J’ai aimé la pauvreté, et J’ai montré à l’homme l’exemple de la vie avec Dieu, pour gagner la vie éternelle, où il y a le bonheur de l’homme, travaillé par Dieu, bonheur de celui qui prépare sa place auprès du Seigneur pour l’éternité.

Je vous exhorte, fils roumains, abritez-vous sous la croix, les fils. Vous n’allez pas vaincre pour vous et pour le peuple que par la croix et sous sa direction, sous Dieu, Celui Qui aime la vérité et l’homme qui est vrai par la charité et par le repentir, les fils. Oh, il arrive le payement pour les fautes, et il est douloureux ce payement. Cherchez donc de l’abri sous la croix, car la croix est le bâton dur comme le fer qui se tient entre le mensonge et la vérité, et elle juge en justice, tout comme il y a deux mille ans, lorsqu’elle a montré son pouvoir en M’abritant sur elle contre ceux qui, pleins d’hostilité et de crainte jusqu’à la haine, car le gout du sang étant dans leur bouche et sa parole, et cela à cause de leurs péchés, qui les avaient rendus sauvages, et voilà, malheur à l’homme pécheur et sans visage, car ses méfaits le suivent, tel qu’il est écrit.

Moi, le Seigneur, J’exhorte maintenant le peuple roumain à grande veille, tel que Je l’ai fait toujours aux temps d’épreuve pour son destin d’aujourd’hui et de demain. Il n’y a plus dans le pays de Ma parole, dans Mon pays d’aujourd’hui, il n’y a plus de fils animés de pitié pour lui, et elle grandit Ma préoccupation pour Mon pays, c’est pourquoi Je veux travailler des merveilles célestes pour sa protection, et qu’elles puissent être lues et comprises ces merveilles.

Quand le Seigneur n’a plus en toi sur qui s’appuyer pour toi, Mon pays, peuple roumain, oh, des merveilles arrivent du ciel à l’aide de ton sort, car tu es Mon pays d’aujourd’hui, le pays de Ma parole, parce que J’ai au milieu de toi Ma table de parole, soixante ans de parole du ciel, sur ton foyer, parole versée de Ma bouche, peuple roumain, histoire écrite, et elle témoigne depuis ton foyer, en dépassant tes frontières, car le Seigneur est sans frontières, toute comme Sa parole, et Il est partout sur la terre avec Sa gloire de parole issue de ton milieu. Je veux que tu sois Mon église, Mon troupeau sur la terre, et que Je sois ton Pasteur, le Pasteur avec la croix, puisque tu n’as plus de pasteurs pour ta voie vers Dieu et avec Dieu sur la terre, mais tu as seulement des douleurs de la part de ceux qui se nomment d’eux-mêmes pasteurs pour toi, et ne te laissent plus sortir des liaisons qu’ils ont mises sur toi. Mais Moi, Je ne te quitte pas dans la difficulté, et Me voilà, Me portant mystérieusement sur ton foyer et prononçant Ma parole sainte, que J’accomplis ensuite et, qu’ils le veulent ou pas, ils vont Me voir en travaillant au milieu de toi l’œuvre du Père, et tu seras le pays des splendeurs entre les peuples, et ils seront effrayés, agneaux peureux, tous ceux de la terre, à la vue de Ma gloire sur toi, Mon pays d’aujourd’hui, car Moi, ton Seigneur et Pasteur, c’est en grande beauté et douceur que Je t’élève et te protège avec Ma verge de fer, avec Ma croix, l’arme invincible, et Je vais mettre sous tes pieds la gloire de la croix, Ma victoire par la croix, et Ma parole qui coule au-dessus de toi, va écrire entre la terre et les cieux ton nouveau nom : La cité du Seigneur, et tous ceux de la terre montreront vers toi et diront: «Là-bas il y a le Seigneur», tel qu’il est écrit. Amen.

Maintenant, fils de Ma source de parole, Je laisse sur vous Ma parole. Oh, ne vous inquiétez pas pour l’œuvre que Je vous ai donné à travailler, a y travailler Moi-Même avec vous, pas seulement vous, oh, les fils. Oh, ne vous laissez pas accablés par le travail à la maison qui est en construction ici, maintenant, pour en faire une demeure plus solide qu’elle l’a été jusqu’à présent. Je serai Moi en travaillant d’auprès de vous, tout le long de la démarche. Ce sera Moi, les fils. Ne vous inquiétez pas. Mais soyez bien actifs, tenez-vous près de Moi avec du zèle au travail, car il faut que nous finissions à temps ce bâtiment, et vous savez que cela est nécessaire. Soyez donc généreux, offrez vos forces au travail pour cet abri, pour Mes jours de gloire ici, lorsqu’ils s’y rangent par votre peine, et ils se tiennent devant Moi, pour M’accueillir avec Ma famille celle des cieux, avec les saints, les fils. Rangez donc tout avec du conseil fait à l’aube, et ensuite mis en œuvre avec la chaleur du dévouement, en rachetant peu à peu le temps, car il est très cher maintenant pour l’achèvement de cet établissement.

Je prends votre fatigue, Je la prends Moi, pour que Je vous aie à temps au devoir, les fils. Oh, soyez fidèles et croyez tout ce que Je vous dis, car Je veux croire en vous tout comme vous croyez en Moi, en tout ce que Je vous dis puisque sans la foi dans le cœur de l’homme, Je ne peu M’appuyer sur lui, et le Seigneur se voit impuissant devant l’incroyant. Oh, n’oubliez pas, Je peux tout si seulement l’homme croit que Je peux cela.

Je vous remplis de force, de chaleur, d’amour, de foi, de conseil et de parole, les fils. Oh, soyez comme Moi, soyez pleins de parole et travaillez ainsi Mes œuvres avec vous. La Parole a crée les cieux et la terre, la Parole fait tout aujourd’hui encore. Toutes les choses sont d’abord de la parole, et seulement ensuite elles font leur apparition et elles existent.

Les fils, les fils, que Je ne trouve pas chez vous de négations ou de doute ou des impuissances. Je n’ai que vous sous la peine, oh, seulement vous. Aimez tout ce que vous avez à accomplir. Et voilà votre force: l’amour, oh, les fils. Amen, amen, amen.

27-09-2016