Il descend le Seigneur et on L’entend venir et descendre de la droite du Père et on Lui ouvre l’entrée lorsqu’Il descend.
Je descends dans la cité et dans le livre et J’embrasse le jour de fête de Ma descente avec les saints, et, encore, J’embrasse tout le don de la fête, tout le travail, et Je vous embrasse tous, fils des fêtes du ciel sur la terre.
Oh, Je vous prends dans Mes bras, les fils, car il est oppressant Mon désir d’être avec vous, de passer avec Moi les fêtes, et J’attends qu’elles viennent les fêtes pour pouvoir être avec vous, pour pouvoir vous parler, vous élever et vous tenir sous Ma veille, car sans Ma parole entre vous, vous vous fanez comme les fleurs sans de l’eau, et vous vous refroidissez comme la terre sans soleil et ciel serein, et Moi Je désire ardemment de descendre et Je veux vous réjouir avec Ma parole, mais surtout vous maintenir veilleurs sur Ma volonté en vous et entre vous, car autrement personne ne peut être le Mien sur la terre, puisque sur la terre il ya les plaisirs, les tentations, les inventions de la raison, les bonbons qui mènent tous à oublier la mission donnée à l’homme par Dieu, et à se laisser vers les esprits de la vanité, des enchantements menteurs et gaspilleurs de forces saintes, d’amour saint, changé celui-ci avec les sentiments qui amènent de la chaleur étrangère à Dieu dans les cœurs, oh, et c’est ainsi que l’homme jette l’histoire du Seigneur, car le Seigneur est saint et Il veut jalousement l’homme pour Soi, mais l’homme se laisse trompé, il croit qu’il a le Seigneur avec lui au moment où son cœur s’allume avec des choses étrangères, et Moi Je regarde de la droite du Père sur la terre tout le temps, et c’est toi que J’observe, peuple de Ma parole, pour voir, Mon fils, comment tu M’aimes, comment tu dors, comment tu te couches et comment tu te lèves, comment tu travailles, comment tu voyages, comment tu marches, comment tu parles, comment tu sens, comment tu manges et comment tu bois, oh, et combien pourrais-Je encore écrire ici dans le livre sur l’œuvre de Ma veille sur toi, car Moi, le Seigneur, Je veux t’aider pour qu’il soit chez toi et avec toi tout comme dans les cieux, selon ta prière, que la volonté du Père soit avec toi, tout comme dans les cieux, qu’elle le soit.
Oh, Mon fils, voilà combien de veille et combien de remémoration pour elle Je dois toujours mettre sur la table d’enseignement! Et toi, quand tu as besoin de sortir, oh, que tu sortes avec Moi et jamais seul, mais seulement accompagné, car celui qui est seul, il est péché tant qu’il ne s’imagine pas, car une telle proie convient à merveille au diable, un tel manque d’ordre, par lequel il peut travailler sur toi.
Je veux laisser dans le livre parole d’attention, les fils, pour ceux qui ont pitié de Moi, et dont J’en ai aussi, Moi, le Seigneur, car c’est de la pitié que Je veux et c‘est de la pitié que Je retourne pour la pitié, les fils. A celui qui a du froid pour Moi dans son âme, c’est la même chose que J’ai pour lui, puisque Je ne demande rien à l’homme, s’il est froid, parce que le mépris de l’homme Me comble de douleur, car Je suis chaud et vivant, les fils, mais l’homme est maussade, il est vide de grâce, et est laid, lorsqu’il n’y a pas de grâce d’en haut comme parure.
J’ai à la table avec vous les saints avec lesquels Je viens, et au milieu d’eux nous avons fête de naissance, c’est Jean, Mon baptiseur, avec la fête de sa naissance sur la terre. Je suis avec vous à table céleste, les fils, et Je suis dans la joie, car voilà, J’ai à table avec vous des frères et des sœurs, à Mes fêtes avec vous, et paix à vous avec eux et avec Nous, ensemble dans le même esprit des joies saintes, les fils! Oh, prenez soin de vouloir beaucoup et toujours plus pouvoir agir, si grande qu’elle soit la demande, quel que soit le nombre des choses à travailler et à porter, parce qu’il y a beaucoup de ceux qui Me prennent de vous, et presque tous sont contents avec ce qu’ils accomplissent de Ma parole, mais Moi, Je ne peux réaliser par eux ce que Je dois accomplir, car pas n’importe comment et toute sorte d’accomplissement de l’homme porte de la force pour les si grandes œuvres du Seigneur, grandes puisqu’elles sont éternelles, grandes puisqu’elles sont des cieux, les fils.
Oh, l’obéissance à Dieu est la plus précieuse vie à vivre, mais l’homme ne connaît pas ce grand prix de la vie, et voilà, ceux qui n’obéissent pas ont et auront à souffrir, et il n’y a jamais été autrement sur la terre avec l’homme, et la souffrance est bonne seulement quand ‘on la supporte pour le Seigneur, comme tous Mes saints, mais pas pour la désobéissance, homme qui souffre pour cela.
Oh, les fils, Je ne veux pas que vous souffriez. J’affirme cela pour tous ceux qui veulent être aimés par Dieu. Voilà quel enseignement Je mets sur la table en ce jour, et Je dis cela: Les fils, les fils, ne nourrissez pas de vous-mêmes votre esprit! Ne faites pas cette laideur d’âme et d’esprit devant Moi et Mes saints, car l’homme n’a pas de mérites, du moment qu’il est pécheur, le pauvre, et vous, nourrissez-vous tout le temps avec l’esprit de l’humilité, avec le repentir de tout cœur pour vos péchés, et portez votre croix sans bruit, sans tourment, comme Moi, les fils, car l’homme n’est pas plus méritoire, plus grand que Dieu, pour qu’il choisisse de lui-même le mécontentement sur la terre, mais il est plus petit que Dieu, si seulement il puisse prouver cela en toute humilité, le front baissé devant le Seigneur et devant l’homme, car l’homme bâti de Ma main, il s’est vu plus grand, et il n’a pas voulu autrement, et son manque d’inclination lui a nui mortellement, et Moi, il M’a blessé, il M’a frappé, car il ne peut pas, les fils, que l’homme passe au-dessus du Seigneur, mais il doit rester petit.
Oh, les fils, J’ai prononcé ici tout bas une parole, et maintenant Je la mets dans le livre et Je dis: Il y a beaucoup qui parlent d’abord et qui pensent seulement ensuite, et Moi, le Seigneur, Je réfléchis tout d’abord et Je fais des projets et seulement ensuite Je parle et Je travaille. Mon Esprit a instruit l’homme et lui a dit: «Toi, homme, offre à Dieu un sacrifice d’action de grâces et de gratitude et accomplis tes vœux envers le Très-Haut, et appelle-Moi au jour de la détresse, car Je te délivrerai et tu Me glorifieras».Oh, mais J’ai dit par l’Esprit au pécheur: «Pourquoi donc racontes-tu Mes justices, énumères-tu Mes lois, et tu as Mon alliance à la bouche, du moment que tu hais les avis et tu rejettes Mes paroles derrière toi, et tu te réunis avec le voleur et l’adultère, tu livres ta langue à des tromperies et à des diffamations cotre le fils de ta mère, et tu penses ensuite et tu t’imagines que Je te ressemble? Mais Je te dénoncerai, et Je vais mettre tout sous tes yeux, c’est pourquoi, que tous prennent garde à eux, et qu’ils n’oublient pas Dieu, de peur qu’ils ne soient pas emportés et que personne ne le délivre».
Oh, fils, toi qui n’es pas sage, oh, fais attention et sois sage! Tu n’auras plus le temps pour corriger ta vie, car elles viennent les douleurs de la désobéissance à la parole de Dieu, et le diable ne va pas te relâcher pour échapper à ses enchantements, oh, et le temps est de plus en plus court, toujours moins, toujours plus difficilement à supporter des douleurs. Celui qui se procure des arrangements personnels, celui-là ne s’est pas donné à Dieu, celui-là conduit tout seul sa vie et ses œuvres, oh, et il n’y a rien de plus grand que cet esprit de la présomption, qui enlève l’homme de la main de Dieu, pour qu’ensuite il dirige tout seul sa vie.
Et Moi, Je Me réjouis de nouveau en ce jour d’être le Maître des fils du peuple de Ma parole et Je leur dis: Les fils, les fils, réjouissez-vous que vous avez choisi de ne pas avoir de liberté pour les choses du monde et avec le monde, car si vous en aviez, vous ne seriez plus les fils de Dieu, mais ceux de vos libres vœux. L’homme préfère ne pas être veillé, et il aime cela pour pouvoir accomplir sa volonté, et cela c’est la volonté du diable, qui mène l’homme à faire ainsi et l’apprend sans veille sur lui, sur les battements de son cœur.
Oh, les fils, les fils, le renoncement à soi, l’œuvre qui peut mettre et maintenir l’homme sur la voie avec Moi, cela signifie le renoncement à ses vœux et la vie sous la veille ensuite, pour que la volonté de Dieu soit la vie de l’homme sur la terre, mais ils n’ont pas pris garde ceux à qui J’ai parlé de tout cela, puisqu’il s’est habitué avec Moi celui qui entend Ma parole.
Oh, les fils, Je vous exhorte à beaucoup d’humilité et Je vous donne comme exemple Jean, Mon Baptiseur. Prenez de son esprit, de ses dons, car vous êtes les plus petits de Mon royaume, mais aussi les plus grands, pour les choses que J’accomplis sur vous et par vous maintenant, à la fin du temps. Oh, habituez-vous de courir vers eux, vers Mes saints avec beaucoup d’humilité, toutes les fois que l’esprit mauvais vous met à l’épreuve afin de perdre l’humilité.
Oh, les fils, les fils, ne vous réjouissez pas pour vous-mêmes si quelqu’un vous accorde plus d’attention, car le danger de l’égarement de sous l’esprit de l’humilité se tient comme une piège prête à vous couper le voie avec Moi. Ceux qui reçoivent de l’aide périphérique, ceux-là tombent sans faute, et regardez en arrière vers ceux qui sont tombés ainsi, puisqu’ils sont tombés en se cachant des autres frères, et le diable prend sa part, et il les prend eux aussi, et ils les enlève de Dieu, et c’est cela qui arrive à ceux qui ne savent pas ce que cela signifie Dieu et l’esprit de fraternité sainte au milieu de ce peuple, car lorsque tu te réserves le droit d’agir selon ta volonté dans ce lieu et peuple divin, tu écartes le Seigneur de toi, tu méprises le règlement du Seigneur et tu fais tomber vers toi ceux pour lesquels Il est mort le Christ. Mais Moi, Je t’apprends ce qui est bien et ce qui n’est pas bien et Je ne te laisse pas sans appui, si seulement tu Me prends de ton Pasteur et tu te gardes le Mien ensuite, oh, fils tellement aidé du ciel et de la terre pour ta vie d’ici, et celle de l’éternité ensuite.
Oh, les fils, les fils, Je porte toujours Ma main après vous parmi les épines et les chardons, toutes les fois que le diable vous mène entre des fils emmêlés, et non démêlés ensuite, et Je vous ai toujours conseillé de ne pas mourir les uns par les autres, mais de Me laissez Moi de vous aider au temps de désobéissance, et ne pas essayer de vous débrouiller les uns les autres, si vous M’avez Moi, votre veilleur. Oh, Je vous ai dit toujours et toujours, ne faites pas conseil avec une femme, les fils, car vous êtes des fils de l’obéissance à Dieu, et si vous ne L’écoutiez pas, que seriez vous encore, les fils? Oh, vous avez vu pourquoi j’ai dit cela toujours et toujours, Je l’ai dit afin qu’ils voient tous ensuite que Moi, Je suis Celui Qui voit, Celui Qui parle et Celui Qui annonce le danger pour que vous l’évitiez, et ceux qui ne reçoivent pas l’annonce, ceux-ci meurent les uns par les autres, et ils sont emportés, comme ceux qui n’ont pas obéi au moment où la trompette a sonné pour l’obéissance.
Oh, les fils, n’allez pas dans le monde et avec le monde! Sortez du monde, Mon peuple ! Je crie cela depuis des milliers d’années, pas seulement maintenant. Oh, comment pourrais-Je le dire, pour vous faire obéir à Ma parole? Voilà, ceux qui sont dans le monde sont surpris par l’eau et le feu, et Moi Je vous enseigne d’avoir pitié de votre vie d’ici, et de celle d’après elle, car celui qui cherche vers le monde pour gagner, dit-il son âme pour lui-même, cet homme va la perdre, puisque le monde ne mène pas qu’à la perte jour après jour, tel qu’il est écrit.
Ici, dans la cité de Ma parole, J’écris aujourd’hui un livre pour tous ceux qui entendent et prennent Ma venue en parole, et Moi J’envoie vers eux Mes conseils, car Je veux qu’ils sachent tous comment faire mieux pour Me servir, plus entièrement, plus vivement, plus véritablement avec la vie chrétienne, chaque jour mieux mesurée en tout son temps, en toute son œuvre. Et voilà encore un conseil pour compléter la vie du chrétien de cette parole: Les fils, les fils n’oubliez pas que vous êtes des chrétiens, à part, si vous voulez être précieux sur la terre et dans les cieux, pour toutes les œuvres que Je dois accomplir en ces jours avec vous, avec ceux obéissants. N’oubliez pas dès votre lever, oh, n’oubliez pas comment vous devez parler, comment travailler selon le conseil de Ma parole et comment manger, les fils. Oh, ne mangez pas entre les repas, ne mangez pas en cachette des autres, ne mangez pas seuls, ne mangez pas sans bénédiction, les fils. Oh, ne comptez pas sur votre prière de chaque jour, de chaque soir, par laquelle vous dites: «Pardonne-moi, Seigneur, puisque j’ai mangé en cachette, ou avidement, ou pour une deuxième fois!». Oh, ce n’est pas de pardon quand tu pries pour le pardon, car tu ne demandes pas le pardon pour un seul jour, mais c’est pour le péché que tu Me demandes de te pardonner. Oh, ne faites pas ainsi les fils, car ce n’est pas un jeu le parler avec Dieu, ni la prière pour le pardon. Vous, les fils, soyez amateurs de jours de jeûne et de nourriture modéré, tant qu’elle soit bénéfique pour le corps, avec lequel vous Me servez, mais obéissez à l’amour de Dieu, pas de la chair, oh, les fils. Oh, donnez de la vie en vous à l’amour, et la nourriture pour la chair qui vous fait du bien est celle servite à la lumière, celle bénie par un serviteur oint par Moi pour ce travail entre vous et Moi, pour une vie douce pour Moi, venue de vous, les fils.
La chair doit être éduquée, les fils. Ce n’est pas la chair qui doit être le maître, mais le Seigneur votre Dieu, Dont vous êtes les fils. Et voilà, Je vous présente comme un exemple de véritable vie, Jean, Mon Baptiseur, celui qui a été trouvé digne de Me montrer au monde, comme Fils du Père céleste au jour de Mon baptême au Jourdain. Mais vous êtes vous aussi ceux qui Me montrez au monde, les fils, c’est pourquoi vous devez prendre soin de vous, c’est ainsi que Je vous conseille. Jean a été le saint de Dieu, toute comme sa vie sainte et pleine de grâce. Sa vie persécutée comme la Mienne a porté sont être loin du monde comblé de péché des hommes de la terre. A peine nés sur la terre, la persécution est vite venue Nous chasser, et le Père a mis Sa protection sur Nous, afin d’arriver jusqu’au jour où il s’est passé que chacun souffrît avec sa chair, pour nous rendre utiles à ceux de la terre et d’en haut ensuite, du ciel, tout comme aujourd’hui, voilà, car c’est du ciel que Nous travaillons et que Nous dirigeons.
Oh, disciple saint avec ta vie et son sacrifice, le péché de l’homme a abattu ton corps, pour la honte des pécheurs de la terre, tout comme au jour de Mon sacrifice J’ai dit que le maître de ce monde a été alors jugé, mais la gloire du Père a été pour Nous, et Nous sommes vivants pour les siècles des siècles, et personne ne se perd, mais pas tous gagnent ce que Nous avons gagné, puisque c’est la résurrection que Nous avons gagné et c’est la part de Dieu le Père, que Nous avons hérité pour l’éternité.
— Oh, Seigneur, c’est Ta parole qui a été pour moi la fête d’aujourd’hui, et ma consolation aussi, tout comme alors, dans le désert, pour le temps que J’ai demeuré, jusqu’à ce que J’en suis sorti, afin de T’annoncer au monde, Seigneur.
Oh, gloire à Toi et à Ta parole au-dessus de la terre, Dieu Agnelet! Qu’elle est grande ma joie en voyant que Tu diriges en Pasteur ton peuple, qui Te porte aujourd’hui dans le monde, oh, elle est indicible ma joie, car elle est grande, tellement grande, Seigneur. Ta parole sur eux c’est l’espoir de Tes saints, mais leur consolation aussi, Seigneur. Comme la joie de ceux du ciel, comme la nôtre soit aussi la joie de ceux qui sont Ton peuple sur la terre maintenant, Seigneur, car Ta parole est le créateur, et elle vient avec le renouvèlement, avec la nouvelle création, oh, et on a besoin de grande, grande humilité envers Toi, Seigneur, de la part de Ton peuple d’aujourd’hui.
Mais maintenant, voilà ma demande devant Toi, Seigneur: oh, parle à tous ceux de la terre de l’éternité de Ton œuvre d’aujourd’hui et de la victoire et sa force, puisqu’ils ne savent pas ceux de la terre ce que c’est l’église de Ta venue actuelle, la gloire avec laquelle Tu es descendu sur elle sur la terre, tel qu’il est écrit dans les Ecritures, et que le monde ne comprend pas tout comme ceux qui se déclarent serviteurs d’autels, oh, qui ne comprennent eux non plus, eux surtout, car leur orgueil est grand, tout comme leur aveuglement, tout comme leur manque de sagesse, oh, car ils ne se sont pas dirigés pour Toi vers ce service, mais pour profiter des petits, tel qu’ils l’ont fait aussi ceux qui leur ressemble au long des siècles. Et maintenant c’est Toi Qui leur parle du pouvoir de Ton mystère, avec lequel Tu viens maintenant sur la terre, et c’est avec Tes saints que Tu viens, oh, Seigneur.
— Du milieu de Mes saints, Moi, le Seigneur, Je dis à ceux qui ne croient pas et qui contestent Ma venue d’aujourd’hui en parole, et Mon église de Nouvelle Jérusalem sur le foyer du peuple roumain, et à qui ne convient pas le fait que J’ai un royaume établi ici, sur la terre, avec le nouveau début, et Je leur dis : Comme ils ne peuvent pas arracher le soleil et la lune de la voûte céleste, oh, tout aussi ils ne peuvent pas abattre Ma venue et l’œuvre de Ma parole, et Mon église, renouvelée par la parole et par son œuvre, et dans laquelle J’habite, le soleil d’où sort le Seigneur comme de l’alcôve et Il va des extrémités aux autres extrémités, tel qu’il est écrit que Je vienne et que Je travaille, car le peuple de Ma parole est le soleil et la lune en ce temps de Ma venue pour la deuxième foie d’auprès du Père, et, ceux-ci brillent sept fois plus fort, car c’est ainsi qu’il est écrit, et c’est du ciel qu’elle vient Ma grâce, pas de la terre, puisque Je suis dans le ciel et Je suis du ciel, et la terre Je la fais du ciel là où Je travaille, et Je suis Celui Qui vainc l’incrédulité où il n’y a pas de foi, et personne ne peut empêcher l’œuvre de la naissance de nouveau du monde, et Moi, Je n’ai pas pitié de la vie de la chair des hommes, mais J’ai pitié de la vie de leurs âmes, car les âmes sont éternelles et elles ont de Moi le don du rachat de leur chair, tel qu’il est écrit de ceux qui accomplissent les vœux de Dieu sur la terre.
Oh, les fils, remâchez Ma parole et ses mystères. Je vous regarde toujours et Je vous veille toujours pour voir comment vous M’aimez, comment vous dormez, comment vous vous conduisez et comment vous vous levez, comment vous travaillez, comment vous voyagez et comment vous vous comportez en voyageant, comment vous mangez et vous buvez, comment vous parlez et vous sentez, oh, et faites que Je puisse voir votre activité pour Ma joie, et voilà, J’écris dans le livre l’œuvre de la veille sur vous.
Oh, voilà quelle grande veille J’ai sur vous, les fils! Faites de même pour Moi, pour Me garder toujours avec vous, car par votre vie passée tout le temps selon Ma volonté, vous Me tenez avec vous et près de vous, et par elle vous êtes les fils de Dieu, Mes fils sur la terre tout le temps, les fils, oh, tout le temps, tous le temps, les fils. Amen, amen, amen.
07-07-2019
