La Parole de Dieu du Premier Dimanche après la Pentecôte, celui de Tous les Saints

Oh, les fils, les fils, c’est à douce parole que Je Me fais place entre vous en ce jour de dimanche, et J’ai à Ma table d’aujourd’hui grande richesse céleste, Ma venue avec les saints, et au milieu de la fête ils ont Ma trompette, Ma Virginie, celle élue de Moi pour être Mon vase d’émission de Ma parole sur la terre, une nature frêle au temps de sa chair, un cœur fidèle à l’appel que Je lui ai fait, un amour en entier voué à Dieu, et elle est venue au monde le dimanche de tous les saints, ceux qui ont vu Ma grâce l’entourer richement, et la garde céleste placée autour d’elle, et J’ai commencé à la préparer petit à petit, et J’ai attendu le grand jour du début de la propagation de Ma parole par cette trompette, oh, et elle a été ensuite Ma demeure sur la terre durant vingt-cinq ans.

J’ai souvent essayé pendant tout ce temps à préparer une semence nouvelle et un fruit nouveau et saint de ceux qui entendaient et s’approchaient de la gloire de Ma parole par ce vase, préparé de Moi pour être Ma bouche sur la terre. Oh, une grande tristesse Me comble encore et encore, car Mon pouvoir divin ne se confronte pas avec l’homme, et Je n’ai pas eu que Ma patience et Mon attente, celle de sept mille ans, et c’est tout qu’il M’a resté, puisqu’ils venaient beaucoup de gens et prenaient connaissance de Ma descente et de Ma parole, mais ils ne pouvaient pas M’obéir, il n’essayaient pas de s’engager à l’accomplissement des commandements de la vie, et ils ont fait tous comme Adam, s’abandonnant l’un après l’autre à l’impuissance d’aimer Dieu de tout cœur, de toute âme, de toute leur raison, et Moi, Je suis resté avec la tristesse, les fils, avec la tristesse et l’attente, car l’homme est très faible, et ils cherchent tous, comme Adam, le mariage et le péché, et l’homme doit accomplir la volonté de la femme, même s’ils sont chrétiens écrits, et la femme doit faire la volonté de l’homme, car ils disent que c’est ainsi qu’il est écrit. Oh, mais la volonté de Dieu écrite à temps, sur l’humanité pour qu’elle existe, elle n’a plus son rang aussi, cela n’est plus possible entre Dieu et le chrétien, parce qu’à Dieu on n’entre pas à portion, à tranche, le partage n’est pas possible, mais il se peut tout ou rien, et il n’y a personne qui comprenne cela.

Oh, la tristesse M’envahit encore et encore, une grande tristesse, puisque la force divine ne concourt pas avec l’homme, et voilà, Je fais conseil avec le peuple de Ma parole, ayant ici réunis, à la source, une poignée de petits cœurs, qui s’inclinent pieusement en ce jour de mémoire de leur œuvres sur la terre, le jour de la trompette au milieu de la fête de tous les saints, tel que ce jour est placé dans le calendrier chrétien.

Paix à vous, oh, les fils, et à votre réunion à la source auprès de ceux qui veillent ici pour le devoir que Je leur ai partagé! Ma venue celle d’aujourd’hui a porté du fruit à Ma patience et à celle de Mes saints et J’ai réussi tant bien que mal d’avoir pour Moi un peuple attaché à Mon cœur, et de M’aider avec lui dans Mon grand travail entre le ciel et la terre, et le mener vers un état, un sentiment richement vécu dans la volonté de Dieu, une vie qui n’est pas vaine, tel qu’il se passe avec la vie de ceux nés sur la terre, vie dont le Seigneur n’a pas de bénéfice, et eux non plus.

Oh, les fils, comment l’homme peut-il vivre en vain sur la terre? Il le peut, les fils. Celui qui n’amasse pas dans le ciel le fruit de sa vie, c’est en vain qu’il passe parmi ceux de la terre. Celui qui n’a pas sa vie épargnée dans le ciel, et son éternité ensuite, un tel homme vit en vain sur la terre le temps de sa chair.

Mais comment l’homme peut-il ne pas vivre vainement sur la terre? Oh, il le peut l’homme, les fils, il peut s’il choisit cela, l’homme peut donner au Seigneur sa vie, il peut ne pas la garder pour lui-même, si seulement il choisit pour lui cette sagesse. Mais si c’est du Seigneur que tu as la vie, pourquoi en disposer, et ne pas reconnaître le Seigneur comme Maître?

Oh, les fils, c’est depuis le temps du paradis qu’il a eu lieu ce mauvais début de l’homme, qui a écarté de lui la volonté de Dieu, et il a choisi sa volonté pour l’accomplir. L’homme n’a pas considéré tellement dangereux de désobéir à Ma parole établie sur lui pour la suivre exactement, mais lorsqu’il a vu ce qui s’est passé dans les invisibles du Seigneur, à cause de celles visibles, résultat de son travail, il s’est effrayé l’homme, il a eu peur de Dieu et des effets de ses actions, et il a essayé de se cacher, oh, et depuis lors l’homme se cache toujours, il se cache l’homme derrière l’homme, l’homme de l’homme, il se cache de Dieu croyant comme Caïn que le Seigneur est loin, qu’Il ne voit pas, qu’il peut se cacher de Lui, oh, et c’est ainsi que l’homme se sépare avec sa volonté, avec sa dissimulation, et pas avec la lumière, pas avec la vérité et la vérité c’est Dieu et de Dieu, tel qu’il est écrit.

Mais qu’est-ce que l’homme peut faire pour ne pas vivre inutilement sur la terre? Il peut, les fils, il peut Me choisir Moi de sa vie. C’est de Moi que l’homme a sa vie et Je lui ai accordé la liberté de Me suivre ou non, et Je lui ai dit: «Si quelqu’un veut aller à Ma suite, qu’il se renonce pour venir, qu’il prenne sa croix et qu’il Me suive».

Le miracle du renoncement à soi c’est le mystère d’entre l’homme et Dieu, oh, et combien aimerais-Je qu’elle existe cette sagesse dans ceux qui essayent de Me suivre, et pas sans croix Me suivre! La croix c’est la vie de l’homme. Si l’homme ne prend pas sa vie pour Me la donner, afin que Je la conduise, oh, il ne peut pas, il ne sait pas venir après Moi et Me suivre. C’est le renoncement à soi qui commence la naissance de nouveau de l’homme, qui veut être d’en haut ensuite, né du ciel, et qui Me suit avec sa vie sur la terre, jusqu’à sa venue dans les demeures célestes à la maison, auprès du Père. Mais voilà Ma grande tristesse, personne ne veut venir à Moi, venir dans le ciel. L’homme va au médecin, mais à Moi il ne veut pas, il se donne la peine de prendre soin tout seul de sa vie, de sa marche et de demeurer aussi longtemps que possible sur la terre, et il oublie, le pauvre, que le Seigneur ne peut être payé de mots.

J’ai toujours parlé de tout cela à ceux qui entendaient et essayent de venir pour la nourriture de Ma parole, dès le début de l’année 1955 de Ma propagation par Virginia, et Je leur disais ainsi: «Les fils, les fils, arrêtez-vous de votre marche, et prenez le renoncement à soi comme votre vie et nourrissez votre esprit avec des choses qui vous sanctifient, et ne restez pas sans habit pour votre esprit, car il vient le diable et jette la semence de l’ivraie, qui pousse dans le champ de votre vie, et il vient ensuite le batteur pour prendre sa récolte, et il te laisse sans vie, homme, puisque la vie avec satan n’est pas de vie, mais sa perte, et quand ta chair te demande le bonheur du péché, oh, que tu aies honte du Seigneur, Qui te voit, et ne pèche pas, reste de la part du Seigneur, quand le diable essaie de t’embrasser avec les choses de l’enfer, car le Seigneur ne peut être payé de mots, mais tu dois croire tout cela, homme chrétien, parce que celui qui travaille à ne pas avoir le cœur pur, oh, c’est avec grande difficulté qu’il peut se retourner pour être dans la pureté avec son cœur!».

Oh, c’est ainsi qu’ils ont fait ceux qui sont tombés de Moi, ils ont travaillé les choses qui font tomber l’homme de Dieu, puisque la mort est venue dans le monde pour la désobéissance de l’homme, et les enfants sont tombés aussi par la désobéissance des parents et ils ont fait eux aussi de l’opposition à Dieu, et ensuite il est venu le châtiment, par la désobéissance, car l’homme ne considère pas trop dangereux de fouler la parole de Dieu, et il choisit d’accomplir sa propre volonté.

Oh, et voilà, les fils, Je devais avoir une poignée de fils bien portant avec l’esprit et l’amour, avec l’accomplissement nécessaire à la victoire contre satan, qui ne tombe pas de son mauvais travail que par le jeûne et la prière auprès du jeûne, ces deux se soutiennent comme des armes qui aident le vainqueur au nom du Seigneur. Et si Je ne trouve pas ce qu’il faut pour établir Mon royaume et sa table pleine de convives sur la terre, alors Je prends des chèvres et Je les apprends à croire et à pouvoir, et Je remplis la table de Mon royaume, telle qu’elle est écrite Ma parole d’il y a deux mille ans. Et Moi J’ai le royaume, Je l’ai, mais elle est déserte la table de Mes noces, et Je pleure en parole et Je crie en pleurant et Je crie pour qu’ils viennent à Ma table ceux qui entendent de Mes noces avec le peuple mariée, qu’ils viennent, des brebis ou des chèvres, et si elles viennent, qu’elles changent leurs mauvaises habitudes pour se faire des brebis, et qu’elles soient Mes brebis ensuite.

Oh, c’est ainsi que J’ai crié tout le temps par Ma trompette, par toi, Ma Virginie, et tu n’as pas vécu en vain sur la terre, car Moi, le Seigneur, Je t’ai donné un glorieux emploi, même s’il n’a pas brillé aux yeux de ceux aveugles pour les choses du ciel sur la terre, mais tu as été la flute du Christ, tu as été Ma demeure, Ma voix, Ma marche par laquelle J’appelais l’homme à l’abreuvoir, et J’avais des ennemis dans les aires, et J’avais des ennemis sur la terre, et J’avais seulement des ennemis dans Ma marche avec toi entre le ciel et la terre, Ma Virginie.

— Oui, Seigneur, et il a été difficile pour l’homme de pouvoir agir avec Toi, avec moi, avec Ta volonté céleste sur la terre.

Oui, Seigneur, car l’homme ne connaît pas le mystère du cœur pur et il n’a pas le cœur pur envers le Seigneur, quand il choisit de se donner à Dieu avec sa vie, si l’homme choisit combien et comment être son amour pour le Christ, un tel amour ne fait pas partie de l’amour de Dieu, car cet amour existe en tout, ou pas de tout, il n’y a pas de solution intermédiaire pour l’amour de Dieu, et il oublie cela l’homme, quand il choisit de lui-même combien d’amour avoir pour le Seigneur.

Oh, le Seigneur ne hait pas les pécheurs, mais ceux qui sont hypocrites par leur levain, Seigneur. Les chrétiens ne supportaient pas de les former pour Toi, mais ils voulaient seulement que le Seigneur leur fasse du bien et de la protection, et qu’Il accomplisse leurs vœux, qu’Il les marie, qu’Il les rende bien vus par les pasteurs et les frères chrétiens, car autrement ils partaient vers la vie du monde seulement, et les ennemis des airs et ceux de la terre guettaient jour et nuit pour mener vers la volonté du satan cœurs inconstants, et Notre souffrance était grande après toute perte, Seigneur.

Lorsque l’âme de l’homme s’allume pour le Seigneur, les ennemis viennent et soufflent dans le feu, et l’âme de l’homme gèle de nouveau, même s’il fait très chaud, et sa recherche après le Seigneur diminue, le feu diminue, tout comme le désir saint, elle diminue la grâce du Seigneur dans l’homme, l’intérêt pour les choses de la terre grandit, la préoccupation pour Dieu baisse, et le chrétien décroît lui aussi, et ils meurent les uns par les autres ceux qui meurent, oh, et qu’il est difficile pour l’homme d’aimer le Seigneur jusqu’à la fin, Seigneur, oh, et l’homme ne porte pas sa croix, mais il l’ajuste, dit-il, jusqu’à ce que, toute mutilée, il reste sans elle sur les épaules, mais sans le Seigneur aussi.

Oh, Seigneur, oh, Seigneur, celui qui néglige la fidélité envers le Seigneur, celui-là se procure le renoncement au Seigneur et il tombe à mauvaise chute, qu’il ignore, car le Seigneur s’écarte, et l’homme reste sans rien, il ne lui reste dans la mémoire que l’esprit de la chute de Dieu, et il n’a pas peur d’agir ainsi sur soi-même, du moment que sa raison ne lui dit plus que le danger travaille sur lui, oh, et ils se perdent les fils du royaume, et c’est ainsi qu’ils s’en vont tel qu’ils sont venus, et de la même façon qu’il est allé le peuple qui a entendu de Toi, par moi, Seigneur.

Mais maintenant Nous avons des disciples qui Nous portent et par lesquels Nous conseillons et Nous veillons qu’il ne leur arrive ce qui est arrivé à ceux qui se sont débarrassés de la croix et de la marche avec le Seigneur. Et maintenant je parle avec ceux d’auprès de Toi, avec les Nôtres qui Nous portent aujourd’hui et qui ont du travail de Nous, Seigneur, et Je leur dis, en mon jour de fête entre les saints: Paix à vous, les fils, et restez sous la croix du Seigneur et réjouissez-vous d’elle et avec elle jusqu’à la fin!

Oh, je le dis aussi à ceux réunis ici, mais de même à ceux qui vont prendre comme nourriture la parole d’aujourd’hui et le leur dis cela:

Les fils, les fils, procurez-vous, chez vous, des moments et de jours de lecture sainte et de parler d’en haut sur vous, parole du Seigneur et de Ses saints, car vous avez besoin de l’intervention des saints, de leur conseil, de l’exemple de leur vie, les fils. Ils ont écrit du Saint-Esprit et vous devez avoir du temps pour la rivière de leurs enseignements de vie exemplaire. Soyez comme les fleurs de paradis, qui ont toujours besoin d’eau à leur racine, oh, puisqu’il n’échappe plus l’homme de soi-même sur la terre, mais vous, prenez grand soin afin que le Seigneur et Ses saints soient toujours entre vous, en toute largeur, car d’autres occupations vous éloignent de la face du Seigneur, mais vous, accordez au Seigneur du temps et du lieu avec vous tout le temps, parce que tout le temps doit être racheté dans le ciel, les fils. Quant à ceux établis sur vous, ne méprisez pas leur parole et leur veille pour vous, et donnez leur des pouvoirs saints par l’obéissance à Dieu et à toute Sa parole, que vous devez avoir le temps pour l’accomplir, les fils.

Oh, je ferais conseil avec vous, beaucoup, beaucoup de temps, mais leur impuissance Nous incline vers la pitié, c’est pourquoi vous devez prendre d’eux comme de Nous, oh, et ne déconsidérez pas leur parole, puisqu’ils ont de la vue et du savoir du ciel, au milieu de vous, et Nous, ceux du ciel, Nous avons besoin de pouvoirs saints en eux, car je sais ce qui se passait sur la terre au temps de ma chair, quand le Seigneur devait être porté, et pour cela apprenez de moi à obéir, pour que le Seigneur puisse venir et vous donner l’obéissance à travailler, car celui qui travaille le désobéissance se perd peu à peu, les fils.

Oh, Seigneur, J’ai parsemé moi aussi un peu de parole, car Ta direction pastorale est grande sur eux, et Nous Nous sommes inscrits dans le livre avec ce jour, et tous leurs jours avec Toi témoignent pour Nous, Seigneur.

Oh, gloire à Toi et à Ta marche, Seigneur! Et je Te fais une prière: prends soin du pays roumain, de l’esprit du peuple roumain, de la destinée de cette terre, sur laquelle Tu viens et Tu travailles avec Tes saints!

Prends soin, Seigneur, de ceux qui vainquent leur volonté pour la Tienne avec eux, car ils sont l’or du ciel sur la terre, ils sont le soleil où Tu habites et Tu y vas, et Tu réchauffe et Tu donnes de la vie à beaucoup qui savent demeurer en lumière, et grandir jusqu’au ciel avec leur vie, jusqu’à Nous, oh, Seigneur.

Paix à Toi, Seigneur! Paix à vous, fils de la parole d’en haut! Amen.

— Maintenant, Ma Virginie, sonne de la trompette sur tous ceux du ciel et montre à tous que ce jour est avec fête en haut et en bas.

Et Moi, Je bénis le peuple de Ma parole et Je lui donne de la nourriture pour grandir toujours et toujours, et Je l’exhorte de porter Mon joug, le plus facile à porter avec tous ses charges, tel que tu as porté le Seigneur lors de ta chair sur la terre.

Oh, les fils, Je M’incline devant vous, et faites-vous de même, et paix à vous. Les uns des autres la paix, les fils!

Je regarde le travail ici. Il y aura du travail, car Nous avons des hôtes à table et il commence le travail du jour, travail dont on tire, comme chaque fois, de l’enseignement, lorsque Je viens et Je Me présente devant le peuple réuni à la source, en observant, et en enseignant, en conseillant et en guérissant ceux qui se laissent vers la guérison.

Je vous donne de la force, les fils. Prenez de Ma main et demandez pour vous en donner, demandez le Moi, oh, demandez le Moi, et vous allez recevoir, oh, les fils. Amen, amen, amen.

23-06-2019