La Parole de Dieu à la Fête de Sainte Virginia, La Trompette de Dieu

Le Saint-Esprit c’est le parler de Dieu de ces jours. Il est envoyé sur la terre, Il est la Parole de Dieu, et ceux qui connaissent ce saint mystère, ceux-là prient Dieu le Saint-Esprit et ils L’appellent de venir en eux, et c’est en Lui qu’ils prient, et Lui Il prie en eux et c’est par Lui qu’ils savent comment prier, et voilà le mystère et ensuite la vérité et ensuite le pouvoir de la prière, oh, peuple de Ma parole.

Oh, paix à toi, peuple nourri du ciel! Des ailes de chérubins devraient avoir ceux tellement nourris et doués par le Saint-Esprit, le Consolateur, par les mystères descendus d’en haut sur ceux nourris de lait venu du ciel.

Oh, les fils, les fils, celui qui veut être quelque chose, qu’il ne cherche pas autre chose que le Saint-Esprit, Celui Qui donne de la vie et toutes les bonnes choses et de la consolation et du pouvoir et de la purification et de la sagesse, et ensuite un visage, les fils, mais que personne ne dise qu’il ne veut rien, qu’il ne veut être quelque chose, puisqu’au moins de purification chacun a besoin, et cela par le Saint-Esprit, les fils.

Je M’inscris avec vous dans Mon livre de travail de Mes jours avec vous, et nous nous y inscrivons avec jour de sainte fête, triple fête, fête de trois jours, oh, les fils, et nous couronnons ces jours de fête par la fête patronale de Ma cité avec vous et le peuple de Ma parole, le jour de fête entre les saints de Ma trompette, Ma Virginia, avec laquelle J’ai commencé Ma descente sur la terre en parole en 1955, lorsque J’ai mis le fondement de Mon retour d’auprès de Mon Père, après deux mille ans depuis Ma résurrection et Mon ascension auprès de Mon Père, puisque Dieu tient Ses promesses et ne le perd pas de Sa vue, oh, les fils.

Après Ma résurrection et Mon retour à la droite du Père, pour y demeurer et y être, des messagers célestes sont venus Me porter jusqu’au Père et ils ont annoncé la promesse, celle de Mon retour, chez vous, les fils, ceux désignés par la sort, c’est chez vous que Je viens quand Je rentre, et Je viens et Je laisse carte entre vous avec toute la parole de Ma bouche et vous la mettez sur la voie qu’elle s’en aille, les fils. Oh, qu’il serait magnifique, quelle grandeur vous pourriez voir en vous et sur vous, si vous vouliez dans un instant vous rendre profondément compte de cette majesté, du Saint-Esprit, le Consolateur, Qui vous accompagne, Qui vient chez vous et vous apprend de demeurer en Lui, de Lui faire place en vous et entre vous, avec tout l’accueil et l’hospitalité pour Lui!

Oh, voilà une grande fête, de la parole pour trois jours de fête, et Nous marquons dans le livre le premier jour, le douze décembre, lorsque Moi, le Seigneur, et le Saint-Esprit, Celui Qui accomplit tout, Nous avons scellé avec vous le jardin de Ma parole avec Mon signe dedans, la petite pierre blanche, l’élévation et la grande nomination de ce petit lopin de terre celui qui est Mon mystère du début, peu crédible pour ceux qui en entendent, mais le Saint-Esprit le découvre à ceux qui ont de Dieu à comprendre et à croire cela.

Nous écrivons ensuite le deuxième jour de fête, c’est la fête céleste du saint apôtre, Mon premier appelé il y a deux mille ans, lorsque J’ai commencé à pêcher et J’ai annoncé l’arrivée du royaume des cieux sur la terre, et J’ai choisi douze apôtres disciples, entre lesquels André a été le premier, et Je l’ai eu près de Moi et de vous, prélat venu du ciel sur la terre, oh, Je l’ai eu entre les serviteurs pour la consécration du Saint des Saints de la Nouvelle Jérusalem, auprès du prélat témoin de ces jours, le fils craintif, Irineu, qui ensuite a eu peur des hommes, et il s’est laissé pris et enfermé entre eux, mais J’ai écrit dans le ciel son nom et son œuvre auprès de Moi et auprès de vous, en ces jours de gloire, car Moi, le Seigneur, J’ai été vainqueur avec l’œuvre de Ma parole à sa moitié, et J’ai établi sur sa pierre Mon église celle du début, le mystère de l’église et son visage et son travail pur et vrai, puisque J’ai promis par Ma parole d’aujourd’hui que la porte de l’église ne sera pas fermée jusqu’à ce que Je ne vienne d’abord pour ouvrir, pour faire la nouvelle mise en place par la parole, oh, et Je n’ai pas perdu le temps, mais J’ai réussi et par votre foi, J’ai été Moi le Vainqueur, oh, les fils qui Me portez plus loin encore avec Ma venue en parole sur la terre, en recevant de Ma trompette, Virginia, la clé et Ma marche en avant par vous, et ensuite l’un en l’autre avec Moi, puisque Je ne dors pas, mais Je suis éveillé et vivant, et J’avance en vainquant, les fils.

Aujourd’hui c’est le troisième jour de fête, le jour de Ma trompette Virginia, et jour de fête patronale sur la cité de Ma parole, cité douée de trois jours de fête, tel qu’il est écrit dans Mon livre avec vous, et voilà, en ce troisième jour de fête, Je Me tiens avec vous en parole de témoignage, nous sommes à table, les fils. Oh, apprenez, apprenez à allumer la lumière toutes les fois que les ténèbres luttent contre vous, puisqu’il ne faut pas culpabiliser les ténèbres, mais il vaut mieux allumer le cierge lorsque la lumière tombe, et ne pas accuser l’obscurité.

Oh, les fils, les fils, allumez le Saint-Esprit! Sans Lui, sans Moi vous ne pouvez rien faire, c’est ainsi que J’ai dit, et J’ai dit encore que tout ce que vous allez demander au Père en Mon nom, Moi, J’accomplirai, si seulement vous allumez le cierge, si seulement vous demandez, et Moi, J’y ferai attention.

Oh, quand tu es en faute, n’y reste pas, prie le Seigneur de te lever, mais prends garde de ce que tu as à faire ensuite, à savoir de pleurer au Saint-Esprit, qu’Il vienne prendre place dans ton cœur par ta foi, et ne fais pas autre chose au moment où la lumière disparait à l’improviste, et la lumière c’est le Saint-Esprit, et elle s’enfuit quand vient l’obscurité, mais cette lumière attend de tendre ta main après elle et de l’appeler pour s’approcher.

Oh, les fils, c’est un grand enseignement que Je vous donne. Tout ce que vous pouvez comprendre, c’est seulement par l’amour que vous pourrez le faire. Vous ne pourrez rien sans l’amour, vous ne comprendrez rien, et le renoncement à soi vous remplira de sa connaissance et d’amour ensuite, et tous ceux-ci on les voit comme dans le miroir, les fils, lorsqu’ils travaillent. Je parle avec vous sur ce mystère et Je parle clairement, car le visage de l’homme c’est le miroir qui le montre, tel qu’il est à l’intérieur, et voilà, chacun choisit lui-même le miroir par lequel ceux de son entourage le regardent et le voient avec son intérieur. Si le miroir te montre dans l’obscurité et tu ne resplendis plus avec le cœur et le visage, oh, du moins ne culpabilise plus rien et personne, ne frappe plus dans l’obscurité qui t’entoure, mais plutôt allume le cierge, appelle le Saint-Esprit pour prendre place en toi, pour Se faire lumière en toi, car Il vient si tu L’appelles, Il vient et Il te purifie, car c’est pour cela qu’Il vient, mais c’est pour cela qu’il faut que tu L’appelles, pas pour autre chose, et une fois qu’Il est présent en toi, tu ne sens plus le besoin d’aller vers tes prochains accuser l’obscurité et ce qui ne te convient pas, et tu vas te laisser illuminé et purifié et renouvelé, et c’est seulement ainsi que ton visage va changer et va partager l’amour, la lumière, le fils, car c’est un péché de punir ceux d’autour de toi avec les choses qui ne sont pas lumière en toi, oh, et c’est comme ça que tu vas te laisser gagné du côté de l’amour, et vous allez Me ressembler, Mes fils, à Celui Qui est doux et humble de cœur, tel que Je vous ai dit que Je vous parlerai encore sur ce grand mystère, votre beauté, celle du cœur et de sa lumière, l’amour qui se trouve en vous, les fils.

Oh, Il a tant aimé le monde Mon Père, qu’Il M’a donné pour venir homme sur la terre et sauver l’homme du châtiment, et encore, Moi, J’ai tant aimé les Miens et tous par leurs intermédiaires, que J’ai envoyé le Saint-Esprit le Consolateur pour purifier tout homme, qui cherche vers sa lumière. Voilà donc c’est seulement par la douceur et l’humilité du cœur, seulement par celles-ci que celui qui les possède puisse allumer le cierge lorsque l’obscurité essaie de le mener à culpabiliser un autre, et le visage de l’homme se remplit de la lumière intérieure, car celui qui a l’amour de la lumière, celui-là est doux et humble de cœur, tout comme Moi, les fils.

Et voilà, Ma Virginia, qu’il est grand Mon enseignement pour eux, en jour de fête sainte pour ton arrivée entre Mes grands saints, et toi, tu es maintenant près de Moi ici, et tu regardes longuement, et nous nous essuyons les larmes l’un à l’autre et nous nous apaisons la grande blessure du souvenir d’alors, qui maintenant n’est plus entier à fêté, puisque ceux qui étaient fidèles alors, ils Nous ont quitté. Moi J’essaie de t’essuyer la larme et la douleur, Ma Virginia, et allons apprendre l’amour à Nos plus petits d’aujourd’hui, mais tu es endolorie.

— Pas seulement moi, oh, pas seulement moi, puisque Toi aussi, Seigneur, Tu portes la mauvaises blessure, blessure pas encore guérie, mais aussi ceux qui ne sont plus les Nôtres de ceux d’alors, ils sont endoloris eux aussi, et tous ceux qui regardent en arrière, Seigneur.

Oh, qu’elle a été grande la victoire céleste en ce long jour-là, trois jours en un seul réunis, et moi j’étais alors mise comme fondement de fidélité et de construction, et de marche pour Ton avenir sur la terre avec Ta venue, oh, et Nous avons réussi toutefois de mettre en route, par la force de l’esprit, Notre marche en avant, la Tienne et la mienne, Seigneur et ensuite Nous nous sommes appuyés sur l’amour de ceux qui Nous ont reçus pour Nous porter plus loin, et c’est l’amour seulement, Seigneur, c’est lui qui ne tombe pas, qui ne peut tomber, et ceux qui tombent le perdent, et c’est ensuite qu’il tombent; ou ils tombent et ensuite ils perdent l’amour, ils perdent en tout, puisqu’il l’amour ne compte plus sur eux.

Et avec la douleur du souvenir de ce jour-là je me tiens près de Toi et je vois Ta grande peine, et je regarde longuement sur eux, sur ceux d’aujourd’hui, avec lesquels Tu marches et Tu marches, et avec tous ceux des cieux, et tous ceux de la terre auprès de Nous, Nous attendons à grand désir qu’il s’accomplisse, qu’il mûrisse, qu’il se montre le fruit qui va nous consoler, et qui va stopper la saignée, oh, Seigneur. Je regarde longuement, longuement sans pouvoir m’arrêter et je bénis avec Toi le peuple de Ta parole d’aujourd’hui. Amen.

— Oh, Virginia, pour Nous aussi il diminue le pouvoir, celui venu de la consolation, qui Nous manque tant dans la douleur des plaies, qui viennent de la terre vers Nous. C’est pourquoi Nous allons insister sur le sens du mystère du miroir, car on voit comme dans un miroir, et chaque homme cherche le miroir convenable à son visage et à son cœur, mais ce n’est pas ainsi qu’il puisse réparer les défauts, mais en apprenant du Saint-Esprit cela, car voilà, il y a du travail par ce mystère.

Et maintenant Nous sommes à table de fête et nous donnons la priorité à la gloire de la fête patronale, et Nous revenons ensuite. Et nous disons à ceux assis à la table de la fête d’aujourd’hui:

Paix à vous, fils et filles! Oh, apprenez la nouvelle vie, pour que vous soyez reçus avec elle et par elle. Oh, apprenez à être doux et humbles de cœur, car c’est seulement en ceux-ci que l’amour a du pouvoir, autrement il ne se voit, pas, il ne travaille pas, non, les fils, non, et vous pourrez cela en portant votre croix, et en allant sous la croix après Moi avec vos pas. Et la croix, que signifie-t-elle? Oh, qu’est-ce que cela signifie croix portée et non pas laissée?

Oh, les fils, les fils, Je vous laisse travailler sur cette question, et Moi, Je vous regarde longuement, et Je viens ensuite pour vous enseigner et vous clarifier ces langues, oh, les fils. Amen.



***

Oh, les fils, les fils, où serait-il Mon regard plus qu’à vous et sur vous, pour voir l’œuvre de votre foi et la persévérance avec patience jusqu‘à la fin, jusqu’à la vie du siècle à venir, tout comme jusqu’à ce repos, Ma parole travaille aussi et accomplit justement tout le cours du travail de la foi, sur laquelle il s’appuie l’homme avec Dieu sur la voie, et Mon œuvre avec vous c’est pour la résurrection des morts, et c’est pour cela que Je viens chez vous, puisqu’il est écrit que Je vienne en gloire par la parole, par l’observation et le jugement des vivants et des morts, oh, et il n’y a pas de fin pour Mon royaume, c’est pourquoi Je Me suis édifié avec vous église travailleuse pour cette secrète œuvre, et Je vous ai mis au travail par l’église pour le jugement des vivants et des morts, les fils, pour leur ouvrir la voie vers la résurrection, oh, et combien de purification a été et est encore à faire pour le jugement et le pardon et la résurrection de ceux qui ont été et qui sont, pour ceux qui ont besoin de secours, car il est écrit dans le livre de foi de l’église chrétienne que par l’église combattante et apostolique on juge et on remet tout ce qu’il y a à juger et à remettre, et il est écrit que: «J’attends la résurrection des morts et la vie du siècle à venir». Et pour Mon repos et Mon royaume dans toute sa paix et gloire et joie, voilà, il y a beaucoup et grand travail à faire, et toujours le Seigneur commence avec Sa maison, tel qu’il est écrit.

Je suis descendu avec Ma venue en parole sur la terre, oh, et combien J’ai eu du travail, oh, et combien J’en ai encore au milieu du troupeau orthodoxe, car Je ne Me donne pas la peine pour la pureté d’un autre troupeau pour lui donner le visage et la vie et la foi et la vigilance pour la venue de son Epoux, puisque c’est avec la maison de Dieu qu’on commence le jugement et le salut et la grâce et le triage du fruit, pour que Je continue ensuite avec Ma maison l’œuvre de purification, mais voilà, Moi, le Seigneur, Je ne suis plus connu comme son Pasteur. Le troupeau connaît les pasteurs payés par lui, et qui n’ont pas pitié pour lui s’il meurt, s’il se perd entre les épines et Moi, Je suis comme un étranger, que le troupeau ne suit pas. Oh, mais c’est Moi le vrai Pasteur, Celui avec la croix, et même s’ils ne Me connaissent plus, ceux qui portent le nom de chrétiens, Moi, Je viens leur dire qu’il faut qu’ils prennent leur croix pour pouvoir Me reconnaître, et cela ne peut arriver jusqu’à ce que l’homme ne travaille pas, ne se décide pas de travailler le renoncement à soi, pour la croix portée, autrement Je resterai toujours un étranger pour lui, qu’il ne suit pas, mais il va avec les pasteurs payés, qui ne paissent pas, et c’est à cause du manque de renoncement à soi qu’ils ne paissent pas leur troupeau.

Oh, voilà en quoi consiste la sagesse de Dieu dans l’homme! Il ne peut pas avoir le renoncement à soi celui qui n’est pas comme Moi, doux et humble de cœur. Il ne peut avoir la croix et le pouvoir de Me suivre celui qui n’a pas la sagesse de Dieu en lui, à savoir la douceur et l’humilité du cœur, les fils. Ce n’est pas l’image et le visage du Christ l’homme qui n’a pas dans le cœur, sur le visage et dans sa conduite la douceur et l’humilité du cœur, cette croix douce à porter, et c’est seulement ceux qui les ont qui peuvent aller avec Dieu pour la vie du siècle à venir, et qu’elles sont nombreuses les choses à ranger selon ce miroir, pour que l’homme Me connaisse dans cette œuvre de parole, avec laquelle Je viens sur la terre, afin de montrer l’image de Mon royaume, l’homme avec Dieu sur la voie, homme ayant Mon visage sur le sien, et Mon visage est celui de l’intérieur de l’homme, qui se révèle à l’extérieur et se fait miroir, dans lequel on peut voir et connaître et suivre Dieu.

Oh, les fils, dans Mon église on lutte pour Mon royaume, ils luttent ceux qui sont les Miens, si pas tous jusqu’au dernier n’ont pas Mon visage en eux et dans leur comportement visible. Oh, et cela n’est pas à surprendre, car il est écrit de celui qui a Mon visage, qu’il peut juger tous ceux qui ne L’ont pas, mais lui on ne peut pas le juger, puisqu’il sait de Dieu, s’il a la douceur et l’humilité du cœur, et c’est cela la croix portée, les fils, c’est la vie du siècle à venir, Mon repas dans l’homme, les fils. Un tel homme lorsqu’il commet une faute, ne se cache pas, ne s’abandonne pas à la tristesse, mais il se lève pour son Seigneur et ne dérange pas Son repos en lui, il ne trouble pas l’état du Seigneur en lui, et il est toujours du coté du Seigneur par le renoncement à soi, même s’il tombe dans une faute de temps en temps, dans sa lutte pour le royaume des cieux en lui.

Oh, qui pourrait enseigner si magnifiquement aux vivants et aux morts, afin que tous et toutes ressuscitent pour la vie du siècle à venir, le but de la promesse de la foi, les fils? Oh, si celui qui M’est fidèle doit choisir une voie, un but, voilà, qu’elle soit la vie du siècle à venir, la cherchant ensuite toujours et toujours, ayant compris qu’il faut la distinguer durant sa lutte pour elle toujours et toujours, car il n’y a pas d’autre temps pour elle, mais il faut que l’homme ne laisse pas cette voie pour le moment choisi à son gré, dans sa vie de lutte, au temps de la connaissance, de la science celle pour la volonté de Dieu en l’homme.

Il est grand le mystère du miroir. C’est l’homme dans lequel il faut qu’on voit le Seigneur avec Son visage, pour la résurrection de beaucoup de gens, et par le jugement de ceux qui s’opposent, dans lesquels Dieu ne peut pas être vu et suivi pour Son royaume dans l’homme.

Oh, les fils, Je vous tiendrais jour et nuit à Mon sein, pour garder éveillé votre amour et son pouvoir, afin qu’elle ne pâlisse pas l’image de Mon royaume en vous et sur votre visage, puisque le mystère du miroir travaille aussi par celui d’en face, lorsque tu vois quelqu’un dépourvu de Mon éclat en lui, et tu peux ainsi voir ta pauvre figure sans l’amour éternel dans l’âme, sans la douceur et l’humilité du cœur, Mon saint et beau nid dans l’homme. Lorsque tu vois un frère entouré de brouillard, oh, ne cherche pas d’estomper le brouillard par lequel il ne se distingue plus, mais cherche seulement de redoubler en toi l’éclat du royaume des cieux, le pouvoir du Seigneur, Celui doux et humble de cœur, Mon visage qui réchauffe tout autour et en partage, oh, et le brouillard se dissipe par la chaleur d’auprès d’elle et le soleil apparaît et le nuage s’en va, et voilà de nouveau l’esprit de la vie qui console et ressuscite, et cela c’est l’œuvre de la fraternité, oh, et quel grand accueil doivent avoir les frères l’un de l’autre, car malheur à celui qui est seul, lorsqu’il peut avoir de petits frères, et Ma bénédiction qu’ils ont sur eux.

Oh, les fils, ayez soin de faire que Mes jours avec vous et avec Mes saints venus chez vous, soient de grands, de doux jours, donnez-leur de la grandeur, car cela c’est une douce consolation pour le hôtes du ciel lorsqu’ils descendent auprès de vous et ils parlent avec vous, oh, et on y a-t-il encore sur la terre quelque chose de pareil, tant de ciel, tant de consolation pour ceux du ciel, les fils? Tel que Je parle avec Mes saints lorsque Je parle avec eux chez vous, oh, tout aussi Je veux parler avec vous, et que les saints parlent avec vous, voilà quelle sorte d’amour Je veux que nous édifions, les fils, et la consolation ne trouverait plus de frontière.

Voilà, chez vous ici, Ma trompette, Ma Virginia et près d’elle l’apôtre André, celui qui Me partageait même de sa croix, à ceux qui Me suivaient alors, et ensuite Je suis venu en nuage de lumière près de lui et Je l’ai pris sur Mes bras et Je l’ai transféré de la croix entre les choses invisibles, avec tous les fils du ciel. Et voilà, les fils, qu’il est beau le jour de la fête d’aujourd’hui, et nous essayons d’éloigner la grande tristesse du souvenir de ce temps là, lorsque tous ceux venus avec Moi du ciel invisible, nous avons fixé ensemble avec grande victoire la croix sur le début de Ma cité de cette petite ville, veillée par ceux des cieux, et nous avons scellée et consacré le jardin du Saint des Saints de la Nouvelle Jérusalem et Je Me suis préparé la marche avec la parole au-dessus de la terre, et depuis lors, Je marche, les fils, et vous Me mettez sur la voie, et Il va le Pasteur, Celui doux et humble de cœur, Il va en dirigeant pastoralement, et ceux qui entendent Sa voix viennent à Lui et ils prennent l’amour en eux, pour qu’ils puissent eux aussi aller avec Lui.

Oh, Je vous embrasse encore, et Je dis encore: Paix à vous, les fils! Mais maintenant dépêchez-vous, levez-vous vite et préparez beaucoup de douceur pour le jour de Noël, et vous allez annoncer Ma cité avec vous. Le Noël c’est Moi, c’est Moi le Christ en roumain, pas quelque chose ou quelqu’un d’autre c’est Noël, mais le monde ne le sait pas, car c’est autrement qu’il sait.

Oh, paix à vous, grâce à vous, les fils! De la grâce, de la grâce sur vous! Amen, amen, amen.

14-12-2018