La Parole de Dieu


Le travail d’antéchrist souffle de la persécution sur les croyants. Exhortation à la prière et à la veille, à la patience et modération



… Oh, Mes enfants, le diable s’est élevé à grande colère pour te détruire, Mon peuple. C’est pour cela que Je crie à toi et Je t’enseigne de lire le livre saint, puisque c’est pour cela que Je Te l’ai laissé, pour te montrer toute l’œuvre du diable. Mais J’appelle doucement, car Je ne peux crier fort, puisque Mon vase est tout souffrant. Quand le couturier a quelque chose de brisé à machine à coudre, il travaille doucement, attentivement. J’ai pitié de vous faire attendre, car vous avez fait un si longue voyage, mais, voilà, vous voyez Mon vase devant vous: il est totalement brisé, mais pour la pitié que J’ai pour vous, Je ne vais pas vous laisser partir les mains vides.

… Mes brebis, Mon peuple, Je vous appelle puisque Ma vigne s’est remplie de broussailles et Je n’ai pas des ceux qui puissent nous en débarrasser. J’ai appelé, J’ai cherché sans cesse, au levant du soleil, à la deuxième heure, et à la troisième heure, et à la sixième, et à la neuvième heure, et à tout moment.

Soie humble, Mon peuple, pour ne pas perdre Dieu, car voilà qu’ils se révoltent ceux pleins de vanité! Humiliez-vous beaucoup puisque le diable est sur la terre, c’est l’antéchrist, et son audace va jusqu’au ciel pour détruire tout ce qu’il trouve sur la voie, mais il ne peut pas dévier du chemin ceux qui sont humbles.

Oh, mes enfants, ne regardez pas le soleil pour penser que la journée est assez longue et il vous reste encore du temps pour la repentance, pour vous préparer, puisque vous ne savez pas ni le jour ni l’heure de votre appel.

Oh, Mes enfants repentez-vous, car votre récompense est si grande! Oh, si vos yeux voyaient tout, vous ne mangeriez plus, vous ne boiriez plus, et vous iriez lutter pour votre vie, pour les places d’en haut, de la maison de Mon Père, où Il attend chacun de vous, mais sachez-le, vous êtes peu, très peu.

Oh, Mes brebis, c’est plus en parabole que Je vous parle. Je fais cela, parce que c’est Moi seul à savoir pourquoi. Ne regardez pas en arrière comme l’agriculteur vers le labourage. Regardez toujours en avant.

Oh, Mes brebis, voilà quelle couronne J’ai portée pour vous, Mes enfants, et pour tout le monde, pour ceux qui Me chantent et pour ceux qui profèrent des injuries à Mon adresse! Mais chacun va recevoir le payement selon sont travail. Mon fauchage s’est cassé et Je n’ai plus de quoi faucher. Ma ligne s’est brisé et Je n’ai plus de quoi pêcher, vous comprenez de quel sorte de poisson il s’agit. Mes enfants, Je suis descendu du ciel sur la terre pour pêcher, Je suis descendu pour grandir le nombre des poissons, mais voilà c’est le nombre des serpents qui grandit. L’antéchrist agit à Me combattre; il veut éteindre Mon œuvre, Ma lumière sur la terre. Vous ne le voyez pas? Vous allez le voir à la disparition de Mon église, à la disparition des prêtres, et alors il y aura beaucoup à s’intituler sages.

Il arrive le temps, Mon enfant, où tu ne pourras pas acheter ou vendre sans le sceau, mais vous, Mes enfants, ne vous laissez pas, car Moi aussi, Je ne vous laisse pas. Ayez de l’espoir et de la foi, car vous n’allez pas mourir de faim d’aucune façon.

Mes fils, quand vous recevez des douleurs et pas de consolation, prosternez-vous devant Moi et demandez au Seigneur de vous donner de la paix et d’apaiser la tempête. Demandez-le et Je vais vous donner. Voilà, Je cours d’avantage après la brebis égarée, et sachez que vous allez être consolés par le ciel saint, car c’est à grande peine qu’un pécheur entrera dans le ciel saint. Je suis descendu pour la terre entière, pour les croyants, comme pour les pécheurs, mais il y en a beaucoup qui considèrent Mon discours de la folie. Vous avez eu à la main tout l’enseignement, par la sainte Ecriture, par la sainte église, par la vie des saints. Vous avez eu tout l’ordre chrétien, mais vous, au lieu de l’accomplir, vous avez quitté tout ordre pour le salut, en le considérant de la folie. Le monde Me considère fou, maintenant quand Je vous appelle chez Moi. Le monde M’appelle fou maintenant, au moment où Je vous appelle. Le monde dit que Je suis fou, mais demain, lorsque que Je dirai: «Loin de Moi, allez là où vous avez préparé votre place», alors qu’est-ce que la monde va dire? J’ai consolé, J’ai guéri et vous dites que J’ai été fou. Soyez fous vous aussi pour Moi et pour Mes paroles.

… Celui qui aime ses enfants, sa femme, sa mère, son père, ses récoltes plus qu’il M’aime, celui–ci ne peut être digne de Moi. Tout cela ne peut te diriger vers l’empire des cieux. Si tu as commis de mauvaises faits, tu iras dans l’enfer avec. Tu peux avoir des milliers d’enfants, de frères, de sœurs, mère, père, ils ne pourront pas te sauver. C’est seulement Moi, le Seigneur à te sauver. Demande-Moi du pouvoir et de la foi.

… Mes petits enfants, un train c’est un serpent à bec de fer, qui porte des milliers de gens à son dos, dans toutes les directions, gens pleins de toute sorte de péchés: fierté, méchanceté, débouche; c’est l’œuvre d’antéchrist qu’il porte. Voilà s’accomplir ce que le prophète a dit sur le fait que la terre s’est remplie d’oiseaux à bec de fer, de serpents à bec de fer, de tortues de fer.

Voilà, Je suis descendu en ce jour à ce vase, dans la gare de Doicesti, et J’ai parlé à voix de tonnerre et des gens de toute sorte accouraient pour voir et entendre, et ils pleuraient et disaient qu’ils n’ont jamais vu ni entendu une chose pareille. Dans le train il y avait des hommes de l’antéchrist aussi. J’étais près à détruire le train, mais J’ai pensé à tant de milliers d’âmes qui étaient dans le train et Me suis dit: c’est mieux que Mon vase souffre pour Dieu. Elle a été foulée aux pieds. Ils étaient des gens de bien, bien habillés, mais quand ils ont entendu, ils ont mouillé leurs chemises en pleurant. Oh, que de monde qui ne connaît pas Dieu! Oh, quel grand débat ont fait les gens d’antéchrist sur cette question! Et ils ont dressé des documents pour envoyer Mon vase à l’hôpital pour les aliénés. Mais, vous, qu’est-ce que vous en dites? Elle est grande la douleur de Mon vase mais Je la consolerai lorsque la prophétie sera finie. Maintenant c’est à vous de la consoler.

Vous serez arrêtés de paître l’herbe que vous connaissez. Entendez-vous? Je vous ai dit que c’est en paraboles que Je vous parle. Tu seras empêché de porter ta foi, d’aller à l’église, et la sécheresse viendra et la famine aussi en cette année, et vous aurez seulement des ennuis. Il y aura des récoltes: des fruits, du blé, du maïs il y aura en abondance, mais pas Ma parole, puisque on va vous l’interdire. Je vous dis encore: quittez les désirs charnels. Il n’est pas interdit le mariage, mais ceux qui ont de l’amour et de la détermination d’atteindre le rang des saints, ils s’arrêtent. Prenez la décision sans hésiter. Ne parlons plus du jeûne de Noël, des Pâques, des Saints Apôtres et de Sainte Marie. En un seul mot, maîtrisez-vous.

— Oh, Seigneur, de quoi allons-nous nous nourrir aux jours de jeûne, de quels vivres?

— Oh, les fils, si vous voulez et si vous pouvez, voilà votre nourriture : un morceau du pain et de l’eau, au couchant du soleil. Voilà aussi une autre alternative: vous allez manger des plats sans graisse, et tout vers le soir, car le jour est grand, et la volonté doit être grande aussi.

— Seigneur, comment allons nous procéder pour la communion?

— Demandez la sainte communion, de vous la donner à trois semaines et à deux semaines, puisqu’ils n’accepteront pas vous en donner de plus. Je vous en donnerais tous les jours. J’ai crié dans les églises aux serviteurs. Il est venu le temps de te défendre et de t’arrêter de glorifier Dieu. Réjouissez-vous, le jour s’est approché! On t’a interdit de glorifier Dieu, mais on ne t’a pas interdit de prier. Prie, car pour la prière on n’a pas mis de frontière. Prie, quand tu vas prendre de l’eau, quand tu vas travailler, quand tu vas au champ, quand tu vas au bois. Glorifie Dieu. Voilà, les prêtres, au lieu de finir le service religieux à midi, ils se dépêchent de le finir plutôt. Il y en a beaucoup de ceux qui réduisent le contenu du service religieux, mais vous ne devez pas les juger, vous devez vous soumettre. S’ils vous giflent la joue droite, vous devez tourner la gauche aussi.

… Vous aimez vous rencontrer plusieurs frères, mais maintenant il n’est plus possible, puisque le temps est mauvais.

… Oh, les enfants, ne perdez pas la paix quand on vous juge, car tout vient d’en haut, du Saint Esprit. Voilà ce qu’il a dit le persécuteur de Verginica: «Si cet être souffre pour Dieu, moi, qu’est ce je vais faire de mes actes passées et de celles que je commets à tout instant?». Qui l’a rendu si doux? Lui, il a été doux envers Mon prophète, mais le commandant a été très dur. Lorsque Mon vase parlait, elle était frappée et persécutée, et le juge est venu et a vu Mon vase, Verginica, là où elle était fermé, et il a dit en soupirant: «Mieux pour toi si tu n’étais pas née. Mais sans faute, voilà ce que je te dis: tu vas t’échapper, garde ton courage, on va te rendre la liberté».

… Voilà, Mon vase va prendre aujourd’hui le chemin du docteur. Maintenant elle va se réveiller et elle va pleurer amèrement, à cause de la douleur provoquée par les coups qu’elle a reçus dans le train. Sa tête a été frappée de poings, sa bouche giflée, ses poumons aussi, et ses côtes sont presque brisées, car elle a été traînée par terre et on l’a poussée dans une chambre de la gare, et voilà, maintenant on l’amène au docteur. Mais quel bonheur pour elle car grande sera sa récompense dans Mon empire, quand elle y viendra, car elle sera du nombre de Mes prophètes. Je lui ai préparé une place qu’on ne peut pas raconter, et Je prépare encore et elle est déjà préparée cette place, pour tous ceux qui souffrent pour Ma parole et Ma trompette, Verginica.

… Oh, quels jours difficiles sont à venir! Oh, que vous êtes maladroits! Voilà comme il lutte le levant contre le couchant, l’obscurité contre la lumière, et deux empereurs entre eux, l’enfer contre la lumière? Vous comprenez? L’Empereur des empereurs et le Seigneurs des seigneurs, tous Le suivent, car Il vient faire la guerre. Et on va faire la vendange, on va mettre les raisins au pressoir, et le vin va couler, et la vigne sera jetée au feu et les raisins seront écrasés.

Oh, elles gémissent les prisons, mais tous sont des voleurs, des criminels, ou d’autres malfaiteurs. Rarement on peut trouver quelqu’un qui soit emprisonné pour la parole de Dieu.

04-05-1958