Jésus avec les disciples, les fils, voilà la fête d’aujourd’hui et la table de parole à laquelle nous mettons, Nous ceux du ciel et vous, ceux de la cité de Ma parole sur le foyer du peuple roumain.
J’apprenais à vire à Mes disciples et Je leur disais: «Réjouissez-vous toujours!»? C’est la même chose que Je vous dis à vous aussi, les fils, passez le temps en vivant des sentiments saints, ceux qui amènent les plus vrais joies, car il y a eu une fois sur la terre quelqu’un qui a dit qu’un peuple qui ne se réjouit plus est un peuple qui ne vit plus.
Oh, les fils, c’est d’une très grande raison qu’ils ont besoin les chrétiens pour savoir le mystère de la vie avec le Seigneur, les sentiments saints, les plus doux moments de l’homme, les plus célestes, les fils. La tristesse après Dieu c’est un doux sentiment pour celui qui le porte dans son âme, puisqu’elle signifie la vie avec le Seigneur, les fils, c’est l’aspiration vers le Seigneur, et cela signifie la joie. Le Seigneur signifie la vie, Il signifie la vérité, et Je veux en ce jour éclaircir le mystère de Jésus avec les disciples et que le peuple de la parole sache ce que cela signifie d’être Mon disciple, celui qui se veut fils de ce peuple maintenant et jusqu’à la fin.
Oh, paix à vous, vous qui inscrivez sur la terre Ma venue en parole! Je vous donne de la force, les fils. Ceux qui se tiennent devant Moi doivent apprendre de Moi la sérénité du cœur et son pouvoir, mais vous avez des charges à porter, les fils. Je vous ai destinés à porter Ma venue en parole, porter le Seigneur, les fils. Vous n’êtes pas tristes sous cette charge, mais vous êtes petits et cela vous épuise de fatigue, c’est pourquoi vous avez besoin de joies. Si vous étiez entourés toujours de sentiments saints, cela vous augmenterait la force, celle pour Moi avec vous et avec le peuple de Ma parole, mais votre œuvre avec Moi est très dure, puisqu’il est petit l’aide que vous recevez pour cette mission. Votre seule joie est de vivre cette action: pouvoir M’aider à parler sur la terre, Me tenir dans les airs au-dessus et de laisser Ma voix sur vous, pour être partagé ensuite, avec Ma venue en parole sur la terre, car il est écrit que «Tant que Je suis dans le monde, Je suis la lumière du monde», tel que J’ai laissé écrit il y a deux mille ans, car les ténèbres, celles du cœur de l’homme et celle qui vont d’un homme à l’autre, envahissent tout, et Moi, Je dois de plus en plus glisser Ma lumière par ces ténèbres, pour qu’il n’arrive pas que la terre s’enfonce dans l’abîme, dans laquelle elle attendait lorsque Dieu n’avait pas encore dit que la lumière soit, et que toutes les choses se montrent ensuite à la vue, sous elle et par elle.
Oh, Je vous dis paix à vous, à la table d’aujourd’hui avec vous, disciples fêtés dans les cieux et sur la terre, vous, qui avez voyagés avec Moi de lieu en lieu il y a deux mille ans ! Vous, les deux de leur tête, Pierre et Paul, qui avez beaucoup et difficilement travaillé à la vie et à la joie de Mon église, celle qui se bâtissait alors vivement, paix à vous en ce jour ici, dans Ma cité de parole, fêtés par les petits, par ces disciples d’aujourd’hui, beaucoup fatigués eux aussi sous Ma charge, sous la croix de Ma venue d’aujourd’hui, sous laquelle Je peine et Je construis pour l’éternité Mon église, merveilleusement parée, au milieu d’un peuple menteur et perfide, le peuple des hommes de la terre, qui n’ont pas de joies que le péché, au visage caché dans le mensonge qui s’appelle plaisir, joie passagère, qui meurt dès qu’elle apparaît!
Oh, disciples bien-aimés, Nous nous arrêtons ici, à table de parole et elle s’appelle A la maison Ma cité de fils et de beautés visibles et invisibles, les fils, tel que vous le voyez maintenant, comme témoins d’en haut. Nous sommes sur les nuages et c’est ainsi que nous venons à table ici, car Notre position est céleste, sur les nuages et sur de la gloire mystérieuse, et Je précise cela pour la joie, pour la vie céleste avec Nous de ceux qui nous reçoivent ici maintenant avec Notre travail céleste.
Oh, qu’elle était belle Ma peine avec vous au milieu d’Israël alors ! Qu’elle était belle aussi votre fidélité près de Moi, puisque c’est seulement vous que J’ai eus auprès de Moi jusqu’au bout de Mes douleurs d’alors, les fils ! Ils se sont retirés tous à leurs affaires, un par un, après M’avoir quelque temps suivi. Mais vous, vous n’avez pas fait pareillement, car vous avez été de vrais disciples, comme votre Maître, les fils. Qu’est-ce qu’il peut être celui qui abandonne sa mission avant son accomplissement? A-t-il encore de la raison, a-t-il encore de l’honnêteté ? Mais vous, vous avez été de vrais disciples et vous avez compris le secret de l’œuvre de disciple, en haïssant pour Moi tout ce que vous avez quitté et en aimant pour Moi tout ce que vos avez pris, Mon église, pour son édification et sa pureté, fils disciples. Voilà, Je vous donne parole de votre fête, entre ceux du ciel et ceux de la terre les Nôtres ici. Oh, paix à vous, paix à vous en votre jour de fête, après deux mille ans depuis Mon parcours avec vous dans le pays d’Israël, oh, les fils!
— Oh, doux Maître, douce parole, notre douce joie d’alors et présente, oh, Seigneur, Tu Te consoles en nous parlant aussi tendrement. Oh, Seigneur Maître, tout comme le Père et compatissant envers les fils, Tu as eu de la compassion pour nous et Tu nous as choisi pour être les Tiens et Te craindre, afin de nous nous assagir et nous séparer du monde, Seigneur. Ceux qui ne se séparent pas du monde pour Toi, ceux-là n’ont pas la crainte de Dieu et ne restent pas auprès de Toi jusqu’à la fin, car le monde et sa compagnie les rendent sales toujours, et avec Toi et auprès de Toi on ne peut rester et vivre n’importe comment, si ce n’est d’une façon favorable pour Toi et selon Ton Etre, Seigneur. Celui qui ne haït pour Ton nom tout ce qu’il a eu et qu’il a aimé, oh, celui-là ne peut T’aimer seulement Toi ensuite, c’est ainsi que Tu l’as dit, et ça se voit aujourd’hui aussi entre ceux qui essaient de Te suivre, se tournant ensuite comme Sarah de Loth, endurcissant leur cœur petit à petit, jusqu’à ce qu’ils arrivent à s’arrêter sur la voie et ne plus Te suivre, Seigneur, ils n’avancent plus ceux qui ne sont pas dignes de Toi, mais ils se retournent honteusement en arrière, ayant ou pas honte, après s’être montrés menteurs à l’égard de Toi avec leur cœur.
Mais maintenant, Seigneur, nous voulons parler avec ceux du peuple de Ta parole pour nous associer pleinement avec eux en notre jour de fête et les aider à comprendre profondément la réponse qu’ils auront à donner, s’ils ont choisi la marche sainte avec Toi, Ta venue, celle qui demande à l’homme de la fidélité, mais pas seulement pour quelque temps, oh, Seigneur.
Voilà, maintenant, au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, avec le Seigneur auprès de nous, nous vous parlons comme Ses disciples, comme successeurs de Son œuvre entre les hommes, oh, fils de Sa parole en votre temps, maintenant. Nous nous étonnons toute fois de la bonté de la parole de Son enseignement sur vous, vous qui êtes à présent fidèles à Sa venue d’aujourd’hui. Nous vous conseillons chaleureusement de ne pas regarder en arrière si vous avez choisi le Seigneur de voie et de vie et de libération de toute difficulté et péché. Oh, ne choisissez pas la lâcheté. Soyez plein de zèle, frères bien-aimés, exigez de vous-même de la fidélité et soyez honnêtes envers le Seigneur, Celui Qui pardonne, aide et aime de tout cœur en attendant.
Oh, il y en a beaucoup de ceux qui sont venus et de ceux qui sont partis de cette glorieuse voie de la venue du Seigneur en parole sur la terre depuis le temps de Sa trompette, Verginica, et Jusqu’aujourd’hui, temps où les saints du ciel se sont étonnés et émerveillés et s’émerveillent encore de la grandeur du Seigneur dans cette venue sur la terre. Voilà, recevez frères bien-aimés, notre compagnie et prenez dans vos cœurs ce que nous vous donnons, à savoir le fait que sur la terre il y a une plus forte et plus grande œuvre et mystère de l’infamie que jamais, et vous, n’oubliez pas le Seigneur, Celui Qui a dit dès Son temps avec nous, à propos du temps de la fin, qu’à la suite de la multiplication de l’infamie, l’amour de beaucoup de cœurs va se refroidir. Nous sommes témoins du moment où le Seigneur vous a conseillé par la parole en ce temps et Il vous a dit de ne pas chercher la face de l’infamie sur la terre, par laquelle il pourrait arriver que votre amour refroidisse et que vous quittiez le Seigneur, le Rédempteur. Oh, on n’a pas suffisamment tenu compte de ce conseil, puisque beaucoup de ceux qui connaissent la venue du Seigneur ici n’ont pas obéi et accompli l’ordre de se retirer de la face de l’infamie et de ses armes destructives, ils n’ont pas fermé la porte vers le laid visage de la débauche de la terre, car il est tellement difficile à décoller cette glu du cœur de celui qui est désobéissant à Dieu, lorsqu’Il lui montre le danger, pour qu’il l’évite le chrétien, celui qui a choisi la pureté avec le Seigneur pour le Seigneur, afin qu’Il puisse rester avec lui sur la voie, car elles sont saintes les voies du Seigneur entre la terre et le ciel.
C’est un grand jour de grand réveil ce jour et nous répétons encore et encore la parole du Seigneur: Celui qui ne hait pas pour le Seigneur mère et père, frères et sœurs, femme et enfants, fortune et habitudes et toute sorte d’occupations, un tel homme ne peut être avec le Seigneur, il ne reste pas fidèle envers Lui, puisqu’il ne peut se partager en deux, mais seulement celui qui offre son amour entier peut demeurer auprès du Seigneur.
Nous vous embrassons comme des enfants et nous vous exhortons à la fidélité, puisqu’elle sera grande la honte et nombreuses seront les larmes dans les cœurs sur les joues de ceux qui sont venus et ont quitté ensuite le Seigneur et Sa voie d’aujourd’hui, après avoir essayé de se donner à Lui. «Oh, l’amour de beaucoup d’hommes se refroidira» c’est ainsi qu’Il a dit le Seigneur. Et comment cela va se passer? Voilà, le chrétien retourne en arrière, aux choses qu’il a quittées pour aller ensuite avec le Seigneur. Lorsque le Seigneur voit que le chrétien n’a plus de fidélité, ni de crainte, quand le Seigneur le voit en jouant à la tombée en arrière, oh, la tristesse L’envahit et la honte devant le diable aussi, et dans cette grande douleur, Il quitte le menteur, Il ne l’aide plus et alors elle s’accomplit la vraie parole qui dit qu’au moment où Dieu voit que l’homme est en train de se perdre de Lui, Il lui prend la raison. Oh, c’est ce qui est arrivé à ceux qui ont quitté cette barque, la marche avec le Seigneur sur les vagues de l’infamie, qui augmentent en heurtant et en attirant vers elle ceux qui sont faibles et infidèles envers l’engagement fait au Seigneur, de Le suivre avec leur amour, celui qui s’est montré ensuite nul et menteur toute fois.
Oh, frères bien-aimés, à part l’amour de Dieu, tout autre genre d’amour c’est du péché et mène au péché et à la mort. Quand vous vous rendez compte que vous déraillez du chemin demandé par le Seigneur pour rester les Siens, oh, arrêtez l’égarement de l’instant, écoutez et comprenez les signales du Seigneur, de peur que le Seigneur ne prenne votre raison et vous laisse de décider vous-mêmes contre votre vie avec Lui et pour Lui. Oh, si vous l’avez fait, alors faites que pas même le coucou sache rien de vous, ni de votre logement avec le Seigneur, et soyez sages et loin du monde, afin que le monde vous oublie, qu’il ne vous reconnaisse pas, et cela arriverait seulement si vous fuirez du monde et le monde, pour habiter avec le Seigneur et vivre en Lui, pas dans le monde, oh, fils du Seigneur, car l’amitié avec le monde signifie inimitié envers Dieu, c’est ainsi qu’il est écrit. Oh, rappelez-vous de L’Israël qui disait: «Nous ne chanterons pas les cantiques du Seigneur et de Sion sur une terre étrangère, et si nous n’y obéissions pas, que notre langue s’attache à notre palais, afin que le Seigneur ne nous laisse pas pécher contre Lui, en nous mêlant au monde et à ses voies».
Le Seigneur donnait de l’enseignement aux chrétiens et Il leur disait: «Oh, les fils, ne recevez pas dans vos maisons vos parents incroyants, puisqu’il est possible que ton parent vienne d’une femme, d’une taverne et qu’il souille ta maison bénie, ton pouvoir, ta propreté, comme celle de ta maison». Et Il disait encore le Seigneur: «Ne cherchez pas de rester seuls dans la maison, la femme et son mari, pour que vous ne soyez pas attirés l’un vers l’autre, vers la faiblesse, vers la désobéissance envers le Seigneur, Celui Qui est saint».
Oh, que les parents soient tout le temps avec leurs enfants, et de même , que les enfants soient tout le temps avec leurs parents, pour pouvoir vous protéger du péché les uns les autres, les fils, et qu’il était beau l’enseignement du Seigneur pour ceux qui venaient à la source de cette parole sainte, au long de plus de soixante ans de parole. Oh, si les chrétiens avaient obéi au Seigneur durant tout ce temps, est-ce qu’ils seraient encore tombés autant de ceux qui s’étaient levés pour venir et appartenir au Seigneur?
Oh, combien de choses aimerions-nous rappeler et exhorter à vous, ceux qui travaillez aujourd’hui avec le Seigneur, mais c’est le Seigneur Qui est notre Maître et le vôtre, fils guidés par Lui. Et, Toi, Seigneur, donne-leur de la raison, pour en avoir, pour en travailler et la garder, de sorte qu’ils ne la perdent pour la désobéissance, arrivant ainsi à Te perdre Toi, par leur propre raison, qui ne travaillerait plus pour leur salut. Oh, parle Toi, Seigneur, et que nous nous réjouissions de Ta parole, car Tu es la Parole, et nous, Seigneur, nous sommes Ton fruit. Amen.
— C’est Moi, Moi et Mes disciples avec lesquels J’ai marché il y a deux mille ans, fils d’aujourd’hui de Ma parole.
Oui, c’est vrai, les fils. L’homme perd tout d’abord sa raison et seulement ensuite il quitte le Seigneur et ses frères. C’est pour cela que Je vous ai dit que seule la raison collective est bonne, car celle individuelle c’est de la présomption, c’est la chute qui sépare l’homme de Dieu et des frères, et voilà ceux qui sont tombés par leur propre raison ont aidé à l’affaiblissement d’autres frères, et ceux qui sont restés sont ceux qui aident la marche de l’œuvre de Dieu, la fidélité des frères et ils appartiennent au Christ.
Oh, fils hésitant par ta raison, toi qui fais des projets et toujours des projets pour tuer ton temps et ne pas le passer avec Dieu, oh, voilà ce que Je te dis, Moi, le Seigneur! Tu ne peux de toute façon être avec le Christ et Lui appartenir si tu n’as pas quelqu’un de capable de Sa part, à qui tu dois soumettre ton être et tout ce que tu as, quelqu’un qui sache de près tes choses, visibles et invisibles, pour pouvoir guider tout le temps tes pas et la vie avec le Seigneur, car autrement l’homme se permet de tout, lorsqu’il ne rend compte à personne de son travail sur la terre, et malheur à celui qui a la vie dans ses propres mains, à sa libre volonté, avec celles intérieures et celles extérieures de lui et de sa maison, car un tel homme n’appartient aucunement au Seigneur, le Seigneur ne le connaît pas par le témoignage de quelqu’un sur lui, sur sa vie vue de près.
Oh, les fils, ayez peur de vos pas non surveillés, car le diable ramasse les choses de l’homme qui n’est pas surveillé même s’il travaille le bien. Oh, il y a beaucoup de ceux pour qui Mon enseignement a été et reste vain, puisque le chrétien a trouvé des occupations coupables, contraires à sa vie avec le Seigneur, pour qu’il n’ait plus de temps pour Moi, pour qu’il ne garde plus l’ardeur de l’amour pour Dieu toujours et toujours , et voilà, c’est ainsi que diminue l’amour de Dieu dans l’âme du chrétien, peu à peu, et soudainement, petit à petit il veut d’ autres choses de plus en plus, d’un jour à l’autre, jusqu’à ce qu’il perde le goût de Dieu et se forge les lois de son amour et de son temps sur la terre.
J’ai confié à l’homme dans l’Eden un grand mystère et Je lui ai dit de travailler la terre du paradis pour avoir une occupation juste face au Seigneur, face à sa propre raison et à la chair de sa raison, celle prise de la terre. Oh, Je veux mettre dans le livre parole sur ce mystère, sur les pleurs de la terre, car la terre soupire depuis longtemps, depuis longtemps déjà, elle soupire vers Moi parce que l’homme a foulé aux pieds le mystère qui se trouvait entre lui et la terre, mystère établi de Dieu entre la terre et l’homme, entre lesquels il devrait être une œuvre douce et sainte comme en Eden, pour que l’homme ait un service saint, non pas travailler sa propre création, des villes où s’enfuir, et ne plus travailler l’œuvre partagé à lui par le Seigneur dans l’Eden.
Oh, J’ai tant à parler de Moi avec vous, fils, vous qui affirmez croire que Je viens et Je suis sur la terre en parole ! Mais Moi, Je suis sage et voilà, Je ne vous dis pas tout ce qui ne va pas bien chez vous, de peur de ne pas mettre vos petits cœurs en état de tension, de mal interpréter Ma parole et vous venger sur Moi ensuite, puisque l’homme est orgueilleux, il a m’amour de soi. Je vous prendrai chacun à Ma poitrine et Je vous parlerai de ce qui Me vient de chacun de vous, de choses qui ne sont pas faites pour Me réjouir, les fils. Il y a parmi vous de ceux qui s’éloignent jour après jour de l’obéissance à Ma parole, prenant petit à petit la vie dans leurs propres mains, mais cela amène le refroidissement peu à peu de la fidélité et de l’amour de Dieu. Lorsque Je vous demandais d’aider à Ma marche et à Mon œuvre, et pas seulement à la vôtre, Je le faisais pour vous, pour vous aider vous-mêmes, pas Moi, car c’est pour vous que vous amassez au Seigneur, mais J’ai dû vous dire Moi-Même cela, puisqu’au moment où Je souhaitais vous avoir à Mon travail, c’est pour vous que Je le faisais, pour mettre à votre compte, pas à Moi, pas pour Moi, les fils, et Moi J’ai soin de vous, tel que le père a soin de ses fils.
Mais voilà que J’ai beaucoup fatigué ceux qui Me portent vers vous en parole, et quand Je reviendrai dans le livre, Je vous donnerai encore des conseils, si seulement vous vous réveillerez à temps, avant vous perdre l’amour et le refroidir à cause de l’accroissement de l’infamie sur la terre, celle qui vous sourit lorsque vous sortez en son chemin, par des occupations que Je vous ai défendues, car il est grand le danger que vous vous préparez par elles, les fils, et Je vois cela et Je vous appelle à la veille.
Oh, Mon peuple, le peuple de Ma parole doit être seulement le Mien, pas celui du monde, pas avec le monde, car l’amitié avec le monde doit être loin de vous, les fils, et c’est ainsi que vous serez les Miens, Mes fils, Mes amis et non pas Mes ennemis, oh, les fils. Amen, amen, amen.
12-07-2018