Mon murmure comblé de l’envie sainte de Mon Esprit, Me porte vers celle aimée de Moi au début et à la fin du temps, et Je serre près de Mon cœur Mon pays de venue, la Roumanie, le peuple qui l’habite et son esprit d’antan et celui d’aujourd’hui, oh, car il s’est beaucoup éloigné la fin du début, et Je souhaite beaucoup et Je travaille pour qu’il n’existe plus cette séparation et J’essaie de réunir tout près le mystère et l’esprit de cette terre et peuple, c’est pourquoi en jour de dimanche Je laisse Mon repos et Mon travail sur toi, Ma Roumanie, et Je te donne du ciel pour te comprendre dans Mon amour et défaire le sentier celui d’entre le début et la fin, lorsque tu allais gentiment avec Jésus-Christ sur la voie et tu te portait belle et fière selon ton costume, selon ton esprit et ton action, et voilà, tu Me manques, Mon pays, c’est ta beauté qui Me manque, avec laquelle les saints et les anges nourrissaient jadis leurs vue, l’esprit et l’ouïe et le travail pour toi le long du temps, oh, et Dieu passait du temps avec les anges et les saints sur ton foyer, et elle grandit Mon envie de t’apprendre à déboucher le sentier sur lequel tu allais entre la terre et le ciel, et sur lequel le Seigneur descendait au milieu de toi, pendant tes fêtes, ou au temps du travail dans les champs et Il était proche de toi, tout comme tu te gardais pour Lui, et voilà, le temps est passé comme une idée, et ils t’ont étouffé beaucoup d’ennemis des Miens et des tiens, mais Il vient chez toi ton Marié pour te donner du ciel et pour retourner ton visage et ton esprit vers les parents, Mon pays d’hier et celui d’aujourd’hui le Mien, oh, car Je viens à toi pour renouveler ta marche et bénédiction, car Je n’ai plus où trouver une entrée sur la terre et travailler l’œuvre du Père, Qui M’envoie avec les choses qui sont encore restées, pour les travailler et raffermir de nouveau et trouver leur sens et l’établissement a leur place, parce-que Je viens avec le royaume promis du Père pour être sur la terre avec les hommes, et voilà, c’est à toi que Je viens te parer pour lui, et lui pour toi, Mon pays, Ma Roumanie, oh, et lorsque personne ne s’attendrait plus, voilà, J’ai du travail dans ces jours et Je viens te préparer de noce, de te faire vêtement de gloire et te rendre l’esprit d’autrefois, car tu Me manques, tu Me manques terriblement, et il ne faut pas sur la scène que tu montres la beauté de ton costume et de ta chanson et de la gaieté sainte et pure, mais en temps de fête et de festins saints et impériales et, encore, en temps de travail dans les champs et en tout temps, car tu vivais belle vie avec Dieu, avec des habitudes saintes, avec mari et mariée, lorsque c’était seulement aux personnes chastes qui revenaient ces dons saints sur leurs fronts, oh, mais le mauvais esprit a volé ce mystère et l’a mis au-dessus de la vie de débauche, mais Il vient le Marié céleste et embellit de nouveau ton visage et ta vie et l’esprit et l’action, à condition que tu Lui ouvres quand Sa voix t’invite et te paît de nouveau vers pâturage propre et saint et vers une vie sans péché, oh, car tu étais fière selon ton costume, tu étais la Mienne, tu étais la consolation de Mon Esprit, mais maintenant tu te couches et tu te lèves avec les yeux fixés sur le péché, et toujours ainsi jusqu’au moment où elle vient la fauche et abat les fruits de ton travail, qui n’ont plus de vie chrétienne comme il y avait autrefois sur ton foyer.
Oh, tu étais belle, Ma Roumanie. Tu étais chrétienne devant Moi, tu avais le temps pour travailler en chantant et en louant le Père, le Fils et le Saint-Esprit, et tu avais le temps de reposer les mains et les pieds, la raison et les yeux, et tu parlais avec Dieu et tu Lui disait ”Mon Père” et tu étais sage et timide et pure de corps et d’esprit et de ta belle tenue, si belle tenue, et aux mets de la table et aux occupations du travail manuel, Mon pays.
Oh, voilà pourquoi Je suis venu à toi en parole du ciel saint! Je suis venu parce que tu Me manques, parce que J’ai l’envie sainte de ta beauté celle venue des ancêtres, quand tu étais fière de ta tenue et de ta vie de tous les jours, quand tu ne te dirigeais pas vers le péché, car tu l’évitais, et tu avais de la timidité sainte, et tu travaillais le champ ensemencé duquel Dieu te donnait du miel et du lait pour nourriture, oh, et elles te servaient la vache et la brebis, le cheval et le bœuf avec lesquels tu labourais la terre, le coq qui t’annonçait les temps du jour et de la nuit et le temps de la prière de gloire et de gratitude envers le Père du ciel, et le temps des chants saints et des hymnes aux saints, oh, et que tu étais belle, si belle, fière de ta tenue et ton action, Ma Roumanie, et Me voilà en parole d’au-dessus, car Je Me tiens sur les nuages dans tes aires et Je te prépare pour Ma gloire et la tienne au milieu des peuples de la terre, qui ont appris et apprendront toujours de l’eau vive de Ma parole de renouvellement, de naissance de nouveau du monde, et tout cela Je travaille au milieu de toi, Mon pays.
Voilà, Je suis venu te rencontrer aujourd’hui aussi en jour de dimanche, jour de repos, tout comme le prêtre exerçât l’autorité pastorale dans l’église et dirige le troupeau vers le pâturage d’en haut, s’il garde encore cette habitude sainte en jours saints, mais Moi, le Seigneur Jésus-Christ, Je viens chez toi et Je te pais Moi, car il est écrit que Je vienne, oh, et c’est à toi que Je viens, et de ton foyer Je Me partage et Je t’annonce entre les hommes comme pays de Ma venue d’auprès du Père après deux mille ans de Ma première venue, car c’est le Père Qui M’envoie pour venir, selon le travail qu’Il a encore d’établir à travers la terre maintenant, Mon pays.
Oh, Je t’ai compris dans la gloire de Ma parole ce dimanche aussi, et Je t’annonce que Je t’attends à la fête ici, dans Ma cité établie sur ta terre, car bientôt, bientôt, Je M’écris avec soixante-dix années de parole sur ton foyer et Je M’établis ici avec cette grande fête pour te donner d’elle et Je t’attends pour que Je te donne et que tu prennes de Dieu l’enseignement de vie, oh, et J’attends que tu t’habilles en costume chrétien et ancestral, et ainsi venir, pas avec des modes estrangères, qui t’ont changé le visage et la vie, l’esprit et l’amour, oh, mais tu es la Mienne, et de nouveau Je t’embellis et de nouveau Je t’aime d’un nouvel amour et Je t’apprends de faire attention et d’en partager car Il vient le Seigneur sur la terre en parole, Il vient te parer douce mariée pour doux Marié , et toi prends Ma parole et fait d’elle ton action, ton vêtement de noce, et c’est ainsi que tu dois venir au-devant de Moi, oh, et c’est ainsi que Nous allons accueillir les nations, les langues et les peuples qui viendront te voir et partager entre elles Mon mystère de ton milieu et d’en prendre de la consolation, beaucoup de consolation, puisque sur la terre il n’y a plus de consolation, mais Il vient le Seigneur en consolant et en parlant, Il vient le Christ, Il vient avec les saints et avec les anges, et Il va semer sur la terre beaucoup de foi pour Sa venue, car il est venu ce temps, et c’est pour cela que Je viens, et le pays roumain et sa terre se tiennent devant Moi et Me portent la venue et elle porte dans son esprit le mystère caché et écrit dans les Ecritures, qu’Il vient le Seigneur assis sur cheval blanc, Il vient, et voilà le mystère: le cheval blanc et Son cavalier, et toi tu es porteuse de Dieu, tu es le pays de la venue du Christ, tu es Sa voie à travers la terre, oh, et Nous Nous rassembleront à la fête sainte à Maluri, bientôt, bientôt on va se rassembler, oh, Mon pays, et maintenant Je laisse la plume et Je te dis avec envie sainte: Paix à toi, paix a toi, oh, paix à toi, Mon pays de venue, Ma Roumanie, Mon pays, le Mien, celui de la fin de temps, Ma Roumanie! Amen, amen, amen.