La Parole de Dieu au Jour de Fête de la Transfiguration du Seigneur

Je suis Celui Qui est, et Je suis enveloppé en parole et Je Me tiens au-dessus, sur les miens et Je bénis la cité de Ma parole sur la terre roumaine et ceux qui veillent en elle pour Ma venue, pour qu’ils mettent dans le livre de Ma parole, quand Je la prononce de la nuée.

Ma parole est pasteur, elle est maître, et celui qui apprend d’elle reçoit d’en haut de la sagesse et il grandit pour Dieu et pour Ses œuvres entre les hommes, et c’est ainsi que Je Me bâtis en ces jours sur la terre un peuple sur lequel Je place Mon royaume, et avec lequel Je Me partage au-dessus de la terre en parole, afin de paître avec elle, pour être le Maître de ceux qui reçoivent Mon conseil et se préparent pour être Mes fils obéissants, et il se passe comme à l’école, où les uns ne se donnent pas la peine d’apprendre et de devenir grands pour le ciel et pour Dieu, et il y a d’autres qui apprennent bien et beaucoup, ils grandissent et ils aiment grandir, et Moi, le Seigneur, Je les place dans Mon service dont J’ai besoin pour avoir avec qui accomplir Mes Ecritures qui restent encore, et Je travaille tout que J’ai travaillé il y a deux mille ans, quand J’ai élevé avec la gloire de Mon enseignement Mes disciples d’alors, et J’ai établi avec eux Mon royaume sur la terre, qui a crû en beaucoup d’autres ensuite jusqu’aujourd’hui, par Ma parole de Pasteur, et J’ai dit alors: «Heureux ceux qui écoutent la parole de Dieu et la gardent ensuite». Amen.

Je parle si accessiblement en ces jours, comme Je n’ai jamais travaillé aussi doucement, d’aussi près, aussi caressant, aussi chaudement, plus Pasteur que jamais, afin de pouvoir Me préparer pour Ma venue ceux qui écoutent Ma parole et la gardent, oh, et ils sont bien élevés avec Ma gloire de parole, et avec lesquels J’accomplis et J’établis sur la terre Mes Ecritures de la fin, car J’avais besoin de foi pour faire ces grands accomplissements, ces si grands accomplissements, et c’est ainsi que J’ai travaillé il y a deux mille ans aussi avec Mes disciples, qui ont cru en Moi peu à peu, pas à pas, et J’ai travaillé avec eux Mon œuvre d’alors, avec laquelle Mon Père M’a envoyé pour l’établir sur la terre, et tout cela par la foi.

En jour de fête impériale Je M’approche avec Ma gloire de parole et Je laisse Ma parole sur ceux qui ont à veiller le troupeau chrétien, pour qu’il ne soit pas déchiré à l’improviste par les loups, par les ennemis de la juste foi, et Je les prie de s’incliner à Ma voix de Pasteur et qu’ils M’ouvrent pour les paître, car elle c’est déclenchée grande orage, et toujours plus grande, et il s’approche toujours menace de la part de ceux sans Dieu, et œuvre de loup, qui cache sa peau et sa voix, pour qu’on ne sache pas qu’il est loup, et ceux-ci se donnent la peine de tirer dehors le troupeau orthodoxe, pour qu’il perde le sentier et Mon royaume, le Mien et le sien, car l’esprit de jalousie et plus amère que la mort, comme il est écrit, mais Moi, le Seigneur, Pasteur envoyé du Père Sabaoth, en ce temps de grande haine de l’homme antéchrist, qui n’a plus de repos depuis long, longtemps, et il se tient prêt à faire échouer Ma venue, et Me démolir dès les fondements toute la construction, tout l’établissement de Mon royaume, toute Ma peine et celle des travailleurs avec Moi, le long des deux mille ans de troupeau chrétien, vivant selon les traditions, et voilà, Je prends les puissances célestes et, en Me tenant au milieu de cette gloire, Je parle et Je mets par écrit, Ma parole, et Je l’envoie vers ceux qui ont le travail de veiller sur le troupeau chrétien, et Je les annonce pour qu’ils entendent que Je leur parle et Je leur dis cela:

En jour de fête impériale Je Me tiens sur la nuée de Ma gloire comme sur la montagne de Thabor il y a deux mille ans, et le Père Me dit que Je vous parle, et que vous obéissiez à Ma parole, tout comme Il avait laissé parole céleste alors, et Il avait dit: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, c’est à Lui que vous devez obéir!».

Ouvrez donc vos Ecritures, lisez-les et voyez à grands yeux le temps de l’antéchrist et votre temps, selon son travail sur vous, et voyez aussi le mauvais payement de l’œuvre de l’antéchrist, auquel Moi, le Seigneur, Je tue toujours avec le souffle de Ma bouche les projets et l’impertinence avec lesquels il s’étend jusqu’à la chaise de Dieu, et Je lui dis maintenant aussi: Cela suffit!

Le Pape de Rome, ce nom et tête étrangère, le fuyard d’il y a mille ans du troupeau de Mon église, oh, qu’il ne soit pas appelé à nom de père, lui et ses descendants nommés ainsi, car il n’est pas juste d’être appelé ainsi, puisque l’Ecriture dit que vous ne nommiez personne sur la terre du nom du père, car Un c’est le Père, et Il est dans le ciel le Père, et ceux de la terre qu’ils s’appellent des frères, c’est ainsi qu’il est écrit, pas autrement.

Vous, ceux qui avez le travail de la veille sur le troupeau chrétien, soyez des pères aimants de troupeau, pas de traîtres, pas de voleurs, pas de loups, c’est ainsi que Je vous enseigne, c’est ainsi que Je vous pais pour travailler. Ne cherchez pas de vous habituer à cette perfide œuvre, ne suivez pas satan, le père du mensonge, votre ennemie, celui de Mon troupeau. Ne suivez aucune tête de la terre, car c’est dans le ciel que vous avez des pères saints, de braves ancêtres, qui vous ont laissé sainte héritage, que vous devez garder des loups ensuite. Veillez, et toujours veillez pour qu’il ne vous arrive pas ce qu’il est arrivé au patriarche roumain, qui n’a pas veillé il y a cent ans et il s’est laissé trompé par l’antéchrist, et elle a été terrassée la haie de Ma vigne, car il est venu l’antéchrist et il a attiré par ruse à sortir des jours de saints du calendrier et à bouleversé les fêtes des saints du ciel et les déplacer à leur gré, et vous ne savez pas le sort de celui qui n’a pas veillé alors, mais Je le sais Moi, le Seigneur, et Je viens à vous et Je vous fais savoir qu’il vous guette l’abîme dans lequel elle a été poussé l’assemblée de l’église d’il y a cent ans, quand il a vaincu l’antéchrist avec son pas païen, et il a vaincu toujours ensuite peu à peu, et maintenant il essaie de nouveau de gâter encore plus l’établissement venu des pères de Mon église et que vous fraternisiez avec lui. Oh, non! Vous n’avez pas de Dieu, vous? Vous n’avez pas d’ancêtres et des pères saints? Quelle tête suivriez-vous pour démolir sans de veille?

Sachez que le troupeau est inquiet à cause de ce que vous voulez accepter, des choses selon le plaisir de l’ennemi, car vous voulez mettre Dieu de côté et suivre le projet contraire, dont vous ne savez pas d’où il vient, puisque vous êtes prêts de faire ce qu’ils vous disent les envoyés de l’antéchrist, et vous acceptez cela, en temps qu’il se tient caché de vous et il vous envoie par des messagers ce que vous devriez faire. Oh, pourquoi ne vous réveillez-vous pas? Réveillez-vous, Je vous le dis! Rejetez de votre cœur et de votre pensée le péché de la présomption, l’œuvre qui ne vous laisse pas de vous incliner et d’obéir à Dieu.

Je vous pais, Je ne vous réprimande pas, oh, non. Mais votre orgueil est trop grand pour que vous vous soumettiez votre raison et votre cœur ensuite, puisque vous vous croyez à grand nom entre les serviteurs et vous n’avez pas la permission de vous incliner, aussi grands que vous avez été placés des hommes sur les hommes, pour garantir celui plus grand que vous sur vous et sur la foule aveugle de foi et de compréhension de la vérité des choses.

Ma réprimande pour vous c’est l’amour avec lequel Je M’incline pour vous guérir de l’orgueil qui se trouve dans votre raison, du plus grave péché, qui vous tient dans la mort des péchés mortels, sept de nombre, et qui vous connaissez si bien, si vous en êtes si habitués jour par jour, en tout lieu où vous pourriez être et habiter, car l’orgueil est l’œuvre de tant d’âmes, lesquelles c’est seulement cela qu’elles ont appris à faire et à pouvoir, et c’est seulement le mépris de soi qui pourrait encore vous réveiller, pour abattre par son œuvre l’orgueil qui se tient en vous, et qui pourrait Me donner place et existence en vous ensuite.

Voilà ce que Je vous dis: Si vous allez vous soumettre et vous allez changer de nouveau comme il y a cent ans l’ordre des fêtes saintes, cette fois-ci le Pâques du Seigneur, et toutes les fêtes qui tiennent de ce festin saint, oh, vous allez vous écrire vous-mêmes la coulpe et son payement, mais Moi, le Seigneur, Je vais réparer le dommage par ceux d’après vous, et qui travailleront selon Mon projet secret, et vous allez porter la honte éternelle sur la terre et dans le ciel, pour l’audace de vaincre Dieu pour l’antéchrist, le Christ pour Baraba, l’ennemi qui vous pousse maintenant de l’ombre, pour renverser le fondement de Mon église, plus qu’il l’avait fait il y a cent ans le patriarche du temps d’alors, et qui, malheur, malheur à lui et à son sort éternel, car vous n’avez pas d’où savoir ce que c’est seulement Dieu à le savoir!

En jour de fête impériale Je vous conseille avec amour et pitié, car Mon œuvre c’est la parole, avec laquelle J’ai fait le ciel et la terre et le monde. Il n’est pas possible que Dieu ne travaille pas. Si l’homme ne s’arrête pas de son travail, Moi, le Seigneur, c’est encore de plus que Je ne M’arrête pas. La foi n’est pas à tous, c’est ainsi qu’il est écrit, et si vous n’avez pas le don de la foi, voilà, vous endurcissez votre ouïe et votre cœur, et c’est pour cela qu’ils vont venir les signes de Dieu, comme jadis sur les Egyptiens et sur pharaon, où comme il y a deux mille ans sur Caïphe et les grands d’alors, et ils vont travailler les signes de Dieu comme il est écrit, car la Roumanie est le pays de Ma deuxième venue d’auprès du Père, pour que J’en travaille sur la terre par la parole, et vous, ceux qui avez des chaises de veilleurs, vous êtes endurcis, incroyants pour Ma venue d’aujourd’hui, tout comme il a été le prélat de la cité de Targoviste il y a trente ans, qui a lutté perfidement et il a frappé les fils de Ma parole, en jurant de sa bouche qu’il ne va pas croire Ma parole, pas même s’il perdait ses pieds, et après les avoir perdus, tel qu’il l’a prophétisé avec sa propre langue, Je l’ai emporté de l’autre monde pour voir son incrédulité et son payement, et Ma pitié envers lui, après qu’il est venu l’appel vers le ciel pour sa remise, venue de Moi pour son témoignage d’auprès de Moi de l’œuvre de Ma parole de ce temps, au-dessus de la terre, qu’il ne s’est plus dépêché de recevoir et de croire au temps de sa chair sur la terre.

Oh, guérissez-vous donc, de l’esprit de l’orgueil qui est en vous, car la justice des choses n’est pas une blague, et venez vers le repentir pour l’incrédulité et méprisez-vous vous-même, non pas Moi, ou ceux qui Me portent avec leur vie dans l’obéissance à Ma parole de ce temps, oh, mais connaissez-vous cette vertu chrétienne, si vous vous donnez si grands, en ayant tant d’instruction, tant de connaissance, pour savoir comment frapper avec plus de haine Ma venue en parole au dessus de la terre, sur l’homme et sur vous, et voilà, même si vous voulez vous montrer plus grands que Moi, comme si vous saurez qui est Dieu et où, et que ce n’est pas Moi Celui Qui vient vers vous en parole maintenant, quand il est venu le temps de venir et de paître l’homme, car vous le portez à la tombe, sans pasteur jusqu’alors! Voilà, malheur à vous, c’est avec pitié que Je vous le dis! Oh, vous pourriez dire vous aussi comme ceux pris des péchés de l’orgueil: «malheur à nous!», mais vous n’essayez pas de savoir quelque chose sur vous, mais vous travaillez seulement ce péché et ce malheur et vous le préparez pour vous, sans savoir ce que vous faites lorsque vous croyez que vous travaillez le bien du ciel d’au-dessus de vous, la demeure de Dieu et des puissances célestes, comme il est écrit.

Voilà donc, au jour de fête de transfiguration du Seigneur Jésus-Christ devant les disciples sur la montagne du Thabor, bénéficiaires de cette découverte de Ma gloire alors, Je vous ai écrit cette lettre à vous, à ceux qui travaillez sans Dieu et contre le sentier vers le ciel de Mon église, depuis deux mille ans établie de Moi sur sa première pierre, et ensuite par Mes disciples des uns aux autres, jusqu’à ce qu’il a été accompli tout son établissement sur la terre par des saints et des prophètes.

Faites attention maintenant à Ma parole d’aujourd’hui, et vous allez le faire, que vous le voulez ou pas, puisque Ma parole est Ma vérité. Amen.

Maintenant, en jour de fête de Ma gloire visible alors sur le Thabor, Je vous conseille vous aussi, fils du peuple de Ma parole, tout comme Mes disciples d’alors, et vous prenez seulement de Moi, les fils, et vous ne prenez pas des hommes, tout bons et grands et saints qu’ils se montreraient. Je suis plus que les hommes, oh, les fils, et il est bon que vous vous nourrissiez du ciel, avec de la nourriture fraîche, mâchée dans Ma bouche, car les hommes mêlent les choses de Dieu avec celles de leur raison, de leur vue, et avec celles de la terre, et ils ont de la perfidie, tout qu’ils s’efforceraient de paraître de ne pas l’avoir, et n’oubliez pas Mon enseignement, puisque J’ai dit que les prophètes de Dieu, n’ont pas de Moi à savoir les uns, ce qu’ils savent les autres, car on a donné à chacun la mesure mesurée de Moi, après distribution céleste, non pas humaine. Mais ici chez vous, c’est Moi dans toute la plénitude de Ma parole, appréciée par Moi pour son envoie vers les hommes, C’est Moi cette parole, et J’ai décidé qu’elle soit écrite Ma parole, et c’est ainsi que Je protège Ma voie et venue secrète, et il va croire seulement celui à qui il est donné de croire, mais à celui endurci, elle n’est pas destinée la foi en Ma parole, et c’est seulement Dieu à savoir pourquoi cela.

Oh, les fils, ne cherchez, oh, ne cherchez pas de vous trouver, de vous travailler justification, parce que l’amour qui se trouve dans ses fils ne cherche pas cela, il ne s’en orgueille pas celui qui a l’amour comme travail, il ne cherche pas les siennes celui qui a l’amour, mais il souffre pour les autres avec amour saint. Le mépris de soi peut vous aider de pouvoir agir ainsi, et cela te fait descendre toi, et élève ton frère, si tu as de l’estime envers lui. Oh, que personne n’eusse plus entendre le long du temps d’un amour que celui d’entre vous, amour ayant des fruits pour le ciel, les fils, et pour lequel Moi, le Seigneur, en vous conduisant d’en haut et d’en bas, et vous, ne soyez pas insouciants envers le conseil, les fils.

Voilà comment vous devez travailler pour les fautes contre l’amour d’entre les frères: Il ne faut pas pardonner la faute en marche, mais seulement par l’humilité avouée, les fils. Au moment de faute contre l’amour, sortez d’entre vous celui qui brouille l’amour et son repos entre les frères, et mettez-le de côté, pour qu’il ait honte, qu’il comprenne son indignité, et il ne doit pas travailler, mais qu’il se tienne de côté, c’est ainsi qu’elle dit l’Ecriture, car autrement le diable fait l’important en lui et ne le laisse pas s’incliner et devenir sage ensuite.

Il doit être veillé celui qui brouille l’amour et son œuvre, et c’est pour cela que vous ne devez pas chercher expressément d’être et d’habiter seuls, que seulement après avoir péché, contre l’amour, quand vous êtes mis de côté, pour être punie votre faute et pour être veillée ensuite votre correction, se dirigeant vers le repentir témoigné, après avoir pris place dans le cœur, pour une nouvelle élévation, et vers l’amélioration de l’amour.

Oh, Mon fils, Mon fils, ne te crois pas trop proche de ton veilleur, ne passe pas sur sa parole, ne cherche pas audacieusement vers lui pour désirer toi aussi d’être grand, car l’amour ne s’enorgueillie pas, oh, fils guidé et tellement pu par la parole de Ma bouche et par les veilleurs sur toi. Sois petit pour être grand, car c’est seulement celui qui se tient petit qui travaille sa grandeur, pas celui hardi en parole et son œuvre, et autrement tu ne peux entrer à la noce du Fils de Dieu, où seulement ceux qui se tiennent petits ont la joie de cette merveille, grâce à la pureté de leur cœur.

N’oubliez pas la parabole du loup et du chien, ne l’oubliez pas, les fils! Apprenez de cette parabole qui vous parle de la soumission et de l’insoumission, de la vie sous l’obéissance et la connaissance sur toi, ou de marcher ailleurs sans trêve, et vous serez les apprentis de Dieu si vous montrez bonne note et vêtement de noce, les fils.

Maintenant, encore et encore Je laisse bénédiction sur vous pour la marche en avant de la construction et la beauté du jardin de Maluri, jour par jour plus haut, plus près de sa gloire entière, quand Nous feront grande fête et nous allons l’annoncer comme œuvre de Dieu, de Mon histoire, celle de cent ans de Ma parole sur la terre roumaine, et nous allons nous montrer avec cette histoire avouée au-dessus de la terre, et il y auront des hommes toujours plus nombreux à s’adoucir avec Ma vérité et avec Mon peuple et avec Ma merveille, et toujours plus nombreux âmes sur la terre vont apprendre Mon nouveau nom, la Parole de Dieu dans le pays des Roumains, Ma parole de Pasteur sur vous, mais vous aussi, ceux qui Me partagez en parole, et son histoire au-dessus de la terre, les fils, à laquelle vous travaillez maintenant pour la mettre à la vue, comme dans une vision d’au-delà des choses visibles de Dieu, car Moi, le Seigneur, c’est de celles invisibles que J’ai pris et travaillé avec elle près de la terre par Ma présence de soixante-dix ans au milieu d’un peuple qui a cueilli Ma parole et Ma difficile marche, et les douleurs du long de la voie, et la foi de ceux qui ont eu part avec Moi en ce grandiose temps de Ma gloire au-dessus de la terre, durant ces grandioses années de Mon mystère en ce temps, le temps de Ma venue du Père en parole sur la terre, et vous voilà Mes témoins vous et Mon histoire avec vous, et avec ceux d’avant vous dans cette histoire, la douce histoire à laquelle vous travaillez maintenant, pour la mettre à la vue devant ceux de la terre, l’histoire de Jésus-Christ sur le foyer du peuple roumain maintenant, au bout de temps, et maintenant Je bénis aussi sur vous la préparation du festin de Ma Mère, oh, les fils. Amen, amen, amen.

19-08-2024