La Parole de Dieu du sixième Dimanche après les Saintes Pâques, celui de l’aveugle-né. La fête de la Naissance de Sainte Virginie, la Trompette de Dieu

Je suis Celui Qui est, et Je viens du Père Sabaoth en parole au-dessus de la terre en ce temps, dont on parle dans l’Ecriture qu’il vient, et voilà, il est venu et il vient, Il vient le Seigneur en parole sur la terre.

Je Me suis préparé cité de pierre sur la terre, au milieu du peuple roumain et J’y habite avec tout Mon ciel de Saints, en commençant d’en bas et jusqu’en haut, haut, et voilà le ciel habitant sur la terre entre les hommes, au milieu des fils du monde, qui ne s’entrainent pas avec Dieu pour leur vie. Mais Moi J’ai choisis comme il y a deux mille ans des disciples, et J’habite avec eux et Je les appelle fils de Ma parole, car Je les ai nés de nouveau d’en haut par la parole, et ils sont pour Moi porte d’entrée dans la cité, et elle va ensuite sur la terre Ma parole, et Il se glorifie le Seigneur au-dessus de la terre avec la parole, et Il est servi des anges, comme il est écrit.

Vous, fils accueillants de Dieu, soyez tout le temps yeux et oreilles, pour votre conduite dans la cité, et celle de ceux qui viennent et se montrent au Seigneur et ils prennent du ciel nourriture de parole, quand le Seigneur vient à l’occasion de fêtes avec Ses saints dans la cité ici. Oh, les fils, il y a les portes de Dieu ici, il y a le lieu de Sa descente ici, c’est pourquoi vous devez marcher timidement par la cité le jour et la nuit, ouvrir et fermer les portes avec timidité dans la raison et le cœur, et tout cela pour les anges serviteurs de Ma part dans la cité pour le Seigneur et pour les choses travaillées ici, et n’oubliez pas d’éloigner de vous tout le temps l’insouciance pour tout ce que Je vous dis à vous, et à ceux qui viennent dans la cité pour les fêtes, lorsque vous faites l’accueil et vous les faites s’asseoir à la table du Seigneur auprès de vous.

Oh, il n’y a eu personne avec tant d’attention que vous, afin que vous soyez ici, où le Seigneur habite et travaille sur la terre au milieu des fils du monde, les fils. Oh, il n’y a personne digne de marcher sur l’établissement de Dieu, et c’est pour cela que Je vous dis, soyez timides tout le temps, car il y a le Seigneur avec tout Son Etre ici, et il faut que vous ayez tout le temps dans votre raison et pouvoir Mon mystère d’ici, le lieu de Mon repos, de Ma descente en parole sur la terre, les fils.

Voilà, il faut que votre raison et votre cœur soient tout le temps réunis en Moi, car ici c’est le Seigneur Qui habite, pas vous, pas seulement vous, et que l’on voie que vous tenez compte de Celui qui habite ici, et à Qui vous devez servir tout le temps, et pas servir à vous-mêmes, et Ma gloire d’ici ne la tronquez pas même à la mesure d’un grain, pas même un grain d’honneur et de grandeur ne Lui tronquez pas, oh, les fils.

Qu’ils apprennent de vous cela ceux qui viennent et s’approchent du Seigneur ici, car Moi J’apporte l’enseignement conforme à tout et pour tout ce qui doit être gardé et travaillé ici, les fils. Ce n’est pas par vous que vous pouvez agir. C’est par Moi que vous le pouvez, et Moi Je peux par vous, mais Moi, pas vous, et voilà, c’est Moi le pouvoir dans vous, et vous ne l’êtes plus, et c’est pour cela que vous êtes les Miens. Je vous ai purifiés, Je vous ai renouvelés afin que vous soyez les Miens ensuite, et c’est cela que signifie qu’il soit avec Moi le chrétien, et quand Je l’ai le Mien pour Mon travail, Je fais cela parce qu’il est avec Moi et il est le Mien, et il n’est plus le sien comme l’homme de la terre, et voilà la grandeur dans laquelle vous vous tenez établis par Moi, et que vous ne devez pas la dissiper au bon gré de quelqu’un de la terre, et vous ne devez jamais oublier cela, et Moi Je dois vous enseigner toujours, toujours Me tenir avec Ma parole sur vous, toujours, les fils, puisque le lieu que vous occupez est le Mien, c’est Ma demeure d’entre la terre et le ciel maintenant, à la fin de temps, oh, les fils.

Nous mettons maintenant parole pour ce jour, car en ce dimanche il y a tirage au sort dans le pays de Ma parole, pour ceux qui vont diriger dorénavant dans les cités, et Moi, le Seigneur, Je veille maintenant avec les anges et J’observe de lieu en lieu, comment ils se présentent les fils de ce peuple, pour être en accord les élus et les servis, car ce sont les faits qui parlent toujours, selon ce qui J’ai dit que chacun reçoit le fruit de ses faits, oh, et qu’elle est petite la foi des hommes, pour cette si grande vérité, qui sert selon la justice sur la terre, les fils, et c’est pour cela que J’ai dit par la parole que l’homme dort le jour et la nuit, qu’il dort toujours, et il ne se lève plus pour donner du réveil à l’ange du Seigneur en lui, à la conscience qui ne veille plus dans l’homme de la part de Dieu, et le Seigneur est inquiet pour la vie de l’homme insouciant envers son âme sur la terre.

Oh, les fils, il est grand l’aveuglement des hommes, et personne ne peut le dire à l’homme, car il sait qu’il voit. Oh, il ne sait plus de Dieu l’homme, il ne sait plus, il se donne au péché et c’est tout, et au ciel l’homme n’accorde plus rien de sa vie sur la terre. Maintenant il croît et il croît toujours la réponse de l’homme, car elle vient sur la terre Ma parole de réveil, et l’homme devra répondre comment l’a-t-il reçue, comment l’a-t-il accomplie, comment a-t-il cru en elle et comment s’est-il tenu devant Moi et Ma voix au-dessus de la terre en ce temps.

Allons donc, les fils, allons élever au Père des prières pleines de douleur pour ceux de la terre, car l’homme ne se soucie pas pour son âme, et voilà, il naît et il devient sale dès l’enfance par la débauche celle noire à Dieu, il se marie ensuite il donne naissance à des enfants tout comme lui, et il ne porte pas l’honneur de la famille, mais il continue la débauche, oh, et c’est tout ce qu’il sait faire et gaspiller sa vie dans le péché, et c’est à crier au Père pour le retour de l’homme à la sainteté, et de toutes ces choses Je parle avec vous, pour vous établir au travail saint pour le retour des hommes à Dieu et pour le progrès vers le ciel de la marche sainte, si les hommes retournent le visage vers Dieu, après tant de parole qui vient vers eux du ciel pour revenir à soi, pour connaître le Seigneur et Lui accorder l’obéissance et la gloire ensuite, car c’est pour cela que l’homme a été bâti sur la terre, les fils.

J’ai guéri l’aveugle–né il y a deux mille ans afin d’avoir ce témoignage resté pour les hommes sur la terre, car J’ai parlé à l’aveugle et aux grands du temps d’alors, pour qu’elle reste Ma parole, et voilà jour de sort pour le pays dans le dimanche de l’aveugle, car c’est ainsi qu’ils considèrent convenable à ceux qui s’occupent du sort pour le peuple, ceux qui disent qu’ils voient bien, qu’ils ne sont pas aveugles et qu’ils voient. Mais Moi, J’ai dit il y a deux mille ans que J’étais venu dans ce monde pour le jugement, tel que tous ceux qui ne voient pas qu’ils voient, et ceux qui voient qu’ils deviennent aveugles. Et si un des pharisiens M’a dit: «En fin de compte, nous aussi, sommes nous aveugles»? Je leur ai répondu: «Si vous étiez aveugles, vous n’auriez pas de péché, mais maintenant vous dites: «nous voyons» et c’est pour cela que votre péché demeure».

Mais voilà, les fils, il s’est passé qu’en ce dimanche on a aussi la fête de la naissance de Ma trompette Virginie, et les saints l’ont au milieu d’eux avec sa fête, et Moi Je viens à vous avec cette réunion céleste, Je viens avec Ma trompette, les fils.

Nous Nous asseyons, Ma Virginie, Nous Nous asseyons tous à table avec eux, dans le jour de fête de ta naissance sur la terre, et Nous parlons avec le peuple né par l’œuvre de Ma parole, Nous lui donnons du ciel, pour qu’il soit du ciel ce peuple sur la terre, et pas de la terre, puisque Nous habitons avec le ciel sur la terre ici, et il est grand le mystère de Ma venue, et grand le pouvoir de Ma parole, celle qui peut autant que Dieu! Mettons donc de la parole sur la table et activons-la, car sans obéissance de leur part Nous n’aurions pas de peuple, oh, non, Nous n’en aurions pas, et la souffrance du Seigneur serait tellement grande, et voilà, Nous avons place choisie, nous avons habitation et œuvre de paradis au-dessus de la terre maintenant, Ma Virginie.

— Oh, Seigneur, qu’elle soit pleine de force Ta parole maintenant, et pour les siècles des siècles, car Tu parles à grand pouvoir, Seigneur, et heureux doivent être ceux qui obéissent et accomplissent Ta parole à pleine foi et jusqu’à la fin ! Je souhaiterai ce bonheur à tous ceux qui ont appris de la parole de Ta venue du Père maintenant, oh, mais beaucoup d’entre eux n’ont pas été heureux lorsque Tu as voulu les réprimander pour le manque d’accomplissement de Ta parole et ils T’ont quitté et ils ont quitté ce bonheur, les pauvres, car la présomption est diable difficilement à ébranler de la raison de l’homme, et il ne sait pas l’homme combien petit devrait-il se savoir se vouloir vis-à-vis du Seigneur et de tout semblable, de tout être, Seigneur.

Tu as choisi les Tiens entre les petits, non entre les bons et grands. Tu as choisi David, qui gardait les moutons et Tu l’as mis empereur sur Ton peuple, et Tu n’as pas pris de ses frères grands et bons, mais c’est le petit que Tu as pris et Tu l’as établi sur Ton trône princier pour Ton peuple, Seigneur.

Tu es venu il y a deux mille ans et Tu n’as rien choisi pour Toi entre les grands et bons, oh, mais Tu es allé au bord de l’eau où Tu as fait Tes disciples entre les pécheurs, pas entre les érudits ou lettrés, oh, non.

Tu M’as choisi moi, pour être Ta trompette sur la terre, fille pauvre et humble, déconsidérée et ensuite persécutée de tous, parce-que J’étais une petite âme que Tu aimais, Seigneur. J’étais un enfant très humble, et Tu m’as fait grandir pour Toi et pour Ton œuvre, tel que Tu l’avais fait avec David et avec Tes disciples, avec beaucoup d’entre ceux qui étaient petits et faibles.

Oh, ils ne peuvent pas être les Tiens les grands, ceux qui veulent être plus qu’ils le sont eux ou d’autres d’auprès d’eux, Seigneur. Voilà l’orgueil a mis sur la terre une multitude de prêtres, mais ceux-ci ne sont pas bons pour Toi, pour Ta gloire, et ils n’ont pas la permission d’être petits et sans école, simples de tenue, de stature, d’âme et de service, Seigneur, car on leur demande d’être grands et de se prétendre grands. On demande aux prêtres d’aller à l’école, mais Toi, Tu n’as pas choisi il y a deux mille ans des gens marquants, pour en faire Tes prêtres, mais les humbles de nom et de vie, c’est de ceux-là que Tu as choisis et que Tu as agrandis avec Ta grandeur par Ton humilité.

Oh, Seigneur, oh, Seigneur Saint, le prêtre doit être un homme pauvre d’esprit, homme incliné, et qui serve sous Ton gouvernement les saints vivres pour les brebis de Ton troupeau, et qu’il ne soit pas d’avantage celui qui est prêtre serviteur, car autrement il devient présomptueux parce qu’il est, parce qu’il peut, parce qu’il sait, oh, et il perd la grâce, car elle part la grâce de l’homme orgueilleux.

Le prêtre n’a pas besoin d’honneur, mais seulement de service avec humilité, car c’est ainsi que Tu T’es montré sur la terre entre les hommes, doux et humble de cœur, et Toi, Tu étais Dieu, oh, Seigneur. Voilà faute sans limite, et que faire le monde si tombé en erreur, que faire avec de tels prêtres, Seigneur? Voilà aussi des chrétiens pleins d’orgueil et de mécontentement ensuite, et qui puissent encore apprendre aux hommes l’humilité, l’esprit doux et humble, la pauvreté d’esprit, oh, qui donner encore de ces choses pour que les hommes en possèdent, et surtout les serviteurs aux autels, qui ont besoin de grande humilité, de grande sainteté, Seigneur?

L’homme pèche en cachette, et il se considère ensuite plus que ceux qui pèchent. Oh, comment sera-t-il déraciné ce péché, pris dans sa nature dès l’enfance, par chaque homme travailleur de péché?

Oh, prends soin du peuple de Ta parole, prends soin toujours, Seigneur, garde-le de l’obscurité, donne-lui toujours le conseil d’en haut, car sans Ton conseil toujours sur ceux nourris d’en haut, il s’endort le chrétien et il se laisse vers l’insouciance et vers les maux et à désobéissance, Seigneur.

Je regarde, l’esprit endolori, vers ceux détachés du corps de Ton peuple, nourri d’en haut depuis tant de dizaines d’années, oh, et je vois en combien d’insouciance se sont habillés et se sont laissé vers le péché, et ont enlevé d’eux la crainte pour la réponse qu’ils vont donner devant Toi pour leur vie avec Toi, et ensuite sans Toi, Seigneur.

Oh, fils et filles de Jérusalem, il y a le Seigneur avec la Jérusalem celle d’en haut sur vous, la patrie sainte, celle pour les saints. Ne cessez pas d’avoir dans la pensée et dans le cœur la sainteté celle d’en haut, celle pour le haut, car les hommes sur la terre travaillent visiblement et invisiblement le péché tout le temps, et le Seigneur a voulu avoir pour Lui un peuple saint jour et nuit pour Sa venue en parole sur la terre. Aimez, donc, le paradis, soyez comme en paradis, bâtissez jour et nuit le paradis sur la terre, car il y a toujours à bâtir à cette couverture, et il y a toujours à orner pour les saints et les anges, pour qu’ils soient ceux du ciel avec ceux de la terre, qu’il soit seulement ainsi dans tous les lieux où le Seigneur a de petites âmes consacrées à la sainteté du Seigneur sur la terre.

Oh, Seigneur, fais qu’elle s’accomplisse toute ma parole d’aujourd’hui pour eux, et tout le temps. C’est ainsi que je m’incline et je T’en prie. Et même si je me tenais encore en parole avec eux, je leur donnerais le même conseil : sainteté, inclination, humilité, pauvreté, pauvreté d’esprit pour le plaisir du Seigneur en eux, et Toi, Tu vas leur donner d’avantage et toujours, car il y a beaucoup de choses à expliquer et s’affermir pour leur accomplissement sur eux, et d’eux vers Toi, Seigneur.

Et maintenant Tu es le Pasteur et le sceau de chaque parole venue du ciel sur eux, et gloire à Ta grandeur avec eux, et qu’ils fassent croître Ta grandeur au milieu d’eux, et ils seront écrits comme Tes enfants obéissants, toujours, toujours soumis en T’obéissant toujours, oh, Seigneur!

— Oh, Ma Virginie, il y a beaucoup de choses à affermir entre eux, car quelques-uns de ceux nourris de Nous sont des contestataires, sans qu’ils accomplissent encore la parole. Oh, qu’allons Nous faire avec tous ceux qui savent ce qu’ils ont à faire, et ils n’obéissent pas pour travailler leur salut et paradis?

Les fils, les fils, Nous avons à mettre sur la table de parole de grandes explications en leur entier, car Moi, le Seigneur, par ce peuple, Je dois accomplir une multitude de merveilles par l’obéissance et dans la lumière, et c’est pour cela que Nous avons encore et encore à faire des projets et de l’obéissance ensuite, car Je veux vaincre plus tôt satan et l’esprit de l’orgueil sur la terre, et voilà, Je vous demande d’être des travailleurs avec tous ceux qui se tiennent auprès de Moi et de vous, pour renforcer l’accomplissement de la parole, les fils.

Et maintenant Je bénis Ma marche avec vous et par vous plus loin encore, sous Ma préoccupation pour vous, car Nous sommes au bout des feuilles de l’Ecriture et le Seigneur attend avec le paradis, il attend à la frontière le paradis, oh, les fils. Amen, amen, amen.

09-06-2024