La Parole de Dieu à la fête du saint prophète Elie le Tishbite

Cette rivière de parole c’est l’esprit de la vérité. Sur cette voie J’envoie Moi, Dieu le Père, Mon Fils Unique né de Moi avant tous les siècles, et Il Se fait parole au-dessus de la terre sur le foyer du peuple roumain, maintenant, à la fin du temps, et Il se prépare la voie de Sa gloire, ciel nouveau et terre nouvelle et peuple nouveau, car Son règne n’aura pas de fin, comme il est écrit, et le Fils est de même Nature que le Père, par Lequel tout a été fait. Amen.

Moi, le Père Sabaoth, Je fais Ton entrée dans le livre d’aujourd’hui, jour de mémoire prophétique, Mon Fils Jésus. J’ai déjà parlé avec Toi devant les hommes il y a deux mille ans, et Je T’ai annoncée alors, Mon Fils bien-aimé, dans Lequel Moi, le Père Sabaoth, J’ai mis toute Ma faveur dans le ciel et sur la terre. J’ai écouté Ta prière baignée de larmes sur la terre et Je T’ai glorifié par grande lumière autour de Toi, et par Ma parole d’en haut, descendue des nuages au-dessus de Toi devant les hommes, parce que c’est par les nuages que Nous voyageons, et c’est des nuages que Nous parlons au-dessus de la terre, car Nous sommes Dieu, oh, cher Fils, et Notre marche c’est le ciel. Nous avons montré alors aux hommes comme le Fils parle au Père, et le Père au Fils, et ceux qui ont entendu ont témoigné, et il est vrai leur témoignage. Oh, aujourd’hui de même Je Te glorifie, Moi, le Père, sur la terre, aujourd’hui de même, Cher Fils.

J’ai voulu en ce jour de mémoire pour le prophète Elie, J’ai voulu Me tenir devant Ton peuple d’aujourd’hui et témoigner de nouveau de Toi sur la terre, Cher Fils. Elle est très douce la parole de Dieu au-dessus de la terre en ces jours, c’est comme dans le ciel que Nous parlons, c’est comme alors quand Nous avons dit de faire l’homme selon Notre image et ressemblance, et c’est avec douceur que Nous avons parlé et travaillé, et c’est de même que Nous parlons aujourd’hui, et Notre parole d’aujourd’hui se laisse entendue sur la terre afin que Nous apprenions à l’homme de Nous entendre et Nous croire et Nous recevoir avec la parole, Cher Fils Jésus. Notre parole s’appelle l’esprit du témoignage et Nous l’avons prononcé au début, dans le conseil pour la création du monde et de l’homme, et voilà, Dieu parle avec les hommes et pour les hommes, oh, Cher Fils. J’ai fait pour Toi l’ouverture du livre du ciel en ce jour sur la terre avec Ton peuple d’aujourd’hui et J’ai parlé Moi, le Père, par Ton livre avec lui, car ce livre s’établit en ces jours sur la terre en même temps que Notre parole sur les hommes, et c’est l’esprit du témoignage ce livre, l’esprit du ciel sur la terre, tout comme il a été descendu sur les prophètes cet esprit, et elle ne cesse pas l’œuvre du ciel au-dessus de la terre.

Moi, le Père Sabaoth, Je Te mets en ce jour à table de parole avec le peuple de Ta parole d’aujourd’hui car c’est Moi Qui T’a glorifié sur la terre devant les hommes il y a deux mille ans, et c’est toujours Moi Qui Te glorifie aujourd’hui aussi, à la fin, de temps, Mon Cher Fils, et celui qui s’étonne de Notre parole céleste entre le ciel et la terre, il reste avec l’étonnement, pour son jugement par cette parole, la parole de l’Esprit de la Vérité.

Moi, le Père Sabaoth, Je bénis la parole de Mon Fils Jésus-Christ en ce jour de mémoire céleste, le jour du prophète Elie, celui qui a parlé avec Dieu sur la terre, celui par lequel Dieu a parlé aux hommes, tel que son livre témoigne depuis de ce temps-là jusqu’aujourd’hui. Amen.

— Ta gloire c’est Moi, Ton Fils Jésus-Christ, oh, Mon Père, depuis l’éternité, car Ton fruit c’est Moi. Tu as ouvert Mon livre d’aujourd’hui, dans lequel J’écris Ma parole par Mes serviteurs d’aujourd’hui, oh, Mon Père, et Tu T’es mis avec Moi en conseil, avec Moi dans le livre, Mon Père. Les oreilles et les mains que Nous avons établies à Notre service sont à la veille pour Nous et ils Nous mettent dans le livre, Mon Père. C’est ainsi qu’il a toujours été avec la parole de Dieu laissée sur la terre, et elle témoigne au-delà du temps. Dieu a disposé que l’esprit de la prophétie se fasse parole sur la terre, qu’il reste comme livre écrit et qu’il témoigne. C’est ainsi qu’il est écrit Notre livre d’aujourd’hui, oh, Mon Père, et il témoigne de la parole de Dieu avec les hommes, pour leur jugement ou pour leur salut, car la plupart ne s’arrêtent pas pour entendre et croire et suivre cette parole, mais il y a sur la terre un reste d’hommes qui entendent et qui croient, et cette parole se fait ainsi parole accomplie en eux.

Oh, gloire à Toi, Mon Père Sabaoth, pour avoir glorifié Ton Fils devant Son peuple, en jour de fête de saints! Je Me fais maintenant parole au milieu du peuple de Ma parole, Mon Père. C’est l’esprit de la vérité cette rivière de parole. Amen.

Je M’adresse à toi, peuple de Ma parole, et Je suis avec toi à table de parole et Je suis accompagné du prophète Elie, avec toute l’armée des prophètes du ciel après lui. Il y a à propos de lui une prophétie qui dit qu’il viendra de nouveau et il va faire retourner le cœur des parents vers celui des fils et celui des fils vers les parents, pour qu’elle ne périsse pas la terre par un désastre, avant qu’il ne soit arrivé le grand et effrayant jour du Seigneur. Toutes les douleurs et les coups subis par la terre ont été attirés des hommes habitants sur la terre, qui n’ont pas obéi à Dieu et à Ses prophètes, tel qu’au temps d’Elie le prophète, la terre a été battue avec grande sécheresse de trois ans et demi, puisqu’il y avait grande infamie sur la terre.

Dieu pleure dans le ciel avec Ses saints à cause de l’homme qui n’obéit pas aux lois saintes et il les foule aux pieds, comme celui qui serait plus grand que Dieu, maître sur la terre et sur la création de Dieu qui s’y trouve. Je regarde tous les hommes, Je regarde aussi ceux qui ont été, ou que sont, ou qui seront de la part de Dieu avec leur foi et leur sacrifice, Je regarde pour voir, Je regarde et Je Me réjouis ou Je pleure, et Je dis que tout homme qui a obéi à son temps à ses parents, à ses frères, à ses maîtres, à ses enseignants, celui–là obéit à Dieu aussi, au moment où ce temps de Dieu vient vers lui. Et Je dis encore de ceux qui n’ont pas été habitués d’obéir ni aux parents, ni aux pères, ni aux maîtres, ni aux professeurs, dans leur passé, et ceux-là s’ils viennent à Dieu, ils n’obéissent à Dieu non plus, car ils ne sont pas habitués depuis leur enfance, ou depuis toujours avec la sagesse de leur esprit, avec un guide pour leur marche, et ceux-là n’ont pas une belle âme, qu’ils puissent laisser vers l’esprit, celui qui peut faire l’homme beau, et Moi, le Seigneur, Je Me réjouis des uns, car ils sont habitués avec l’amour, celui pour leur obéissance et pour leur direction, et des autres Je pleure, puisqu’ils sont habitués avec l’esprit de l’entêtement, et de la tension d’esprit, et tout cela éloigne Dieu de l’homme. Et toi, chrétien entêté, tu es sur tes gardes face à l’homme qui n’agit pas selon ton plaisir, mais quand tu provoques de la tension, par ton entêtement et ton manque d’inclination vers ceux d’autour de toi, comment se passe-t-il que tu ne ressens pas toi aussi ce qu’il ressent celui aux nerfs tendus à cause de toi? Voilà donc de l’injustice envers ton prochain et de la partialité de ta part! Et Je dis encore: ceux qui ne se sont pas habitués d’obéir aux parents ou aux maîtres, ceux-là n’obéissent à Dieu non plus, ni aux hommes de Dieu, et ceux-là ont l’esprit dur, parce qu’ils n’ont pas l’habitude de l’inclination, que Dieu demande à ceux qui veulent venir après Lui. Celui qui n’a pas obéi au conseil des parents, c’est la même chose qu’il fait avec Dieu et ils sont trop rares les parents qui veuillent le mal de leurs enfants, même si leur parents ont péché contre Dieu, Et même si les parents ont péché, ils doivent être obéis par leurs enfants, et c’est cela la bonne volonté de leurs enfants, et voilà ce n’est pas bien que l’enfant dit que ses parents n’ont pas obéi à leur bien, à leurs parents ou à Dieu, mais il est bien qu’ils fassent eux-mêmes d’avantage, surtout pas moins, car chacun peut faire beaucoup de bien à sa famille, qu’il a été ou qu’il est désobéissant à son bien et à Dieu, s’il travaille le bien au temps de sa vie, tout que le disciple Pantelimon a travaillé le bien de Dieu sur lui, et sur les hommes, par l’enseignement de son maître, qui a retourné son père au Père céleste pour le bien éternel.

Oh, fils chrétien, ta conduite envers ceux de ton entourage c’est la même que celle entre toi et Dieu, car Moi, le Seigneur, Je ne peux prendre pour Moi la bonne conduite de l’homme envers Moi, mais Je prends celle qu’il montre devant Moi pour ceux d’autour de lui, car c’est cela la note de sa conduite avec Moi, et il n’y a jamais eu autrement qualifiée par Dieu la conduite de l’homme envers Dieu.

Si Je ne peux réprimander le chrétien, celui–là n’est pas Mon fils, et il est habitué sans guide pour lui, sans parole pour lui. C’est pour cela que Je parle en ce jour pour tous ceux qui ont été, qui sont et qui seront ajoutés à ceux qui veulent être avec Dieu, tel que Ma parole le demande pour ces jours, pour ceux qui seront Mon peuple et Mon royaume, avec lequel Je resterai et avec lequel ils resteront, ceux qui obéissent à Dieu, et c’est ainsi que Je leur dis:

Entrez sous l’œuvre de la réprimande celle pour les fils, vous ceux qui voulez appartenir à Dieu et à Son royaume qui va rester, car rien ne prouve pour le chrétien être fils de Dieu, que l’œuvre de la réprimande, celle pour les fils, et son acceptation, puisque l’homme est en faute, toute qu’il chercherait de e pas l’être. Faites bien la différence entre disciple et maître et soyez sages avec l’humilité et la raison, car Moi, le Seigneur, J’ai dit il y a deux mille ans: «Heureux celui pour lequel Je ne suis pas une occasion de chute!». Il y avait beaucoup de ceux qui Me cherchaient des coulpes, et ils M’en trouvaient, car c’était cela qu’ils cherchaient, mais ceux-là ne pouvaient ressusciter un mort, guérir un aveugle, faire revenir quelqu’un de la mort à la vie, du péché à la sainteté, et ils ne le pouvaient pas parce qu’ils avaient en eux l’esprit de jugement, le mauvais œil, l’esprit d’inculpation de frères et de Dieu, esprit que Dieu-Même n’utilise pas, bien qu’Il soit Dieu, car ceux jugés le sont par leur faits-mêmes et par la parole de Dieu prononcé d’avance, pour que l’homme ne pèche pas, parole que l’homme foule aux pieds ensuite, pour son jugement. La chair de l’homme aime le péché, même si l’esprit soupire pour la vie dans l’homme, mais l’homme sans guide pour sa vie, pour sa chair, n’as pas d’autre sort. C’est pourquoi il faut que l’homme puisse obéir à Dieu, et l’obéissance va sauver sa vie. Amen.

Oh, tiens-toi sous l’esprit de l’enseignement en ce jour, peuple de la source, car Je veux que le peuple de partout prenne et qu’il apprenne, et le prophète Elie parle et dit qu’il doit bien retourner à Dieu l’homme, s’il veut ne pas rester pour le désastre, qui va atteindre partout la terre, à cause de la désobéissance de l’homme et de son grand éloignement de Dieu. Amen.

— La chair de l’homme aime le péché, oh, Seigneur, Mon Maître, et l’esprit de la prophétie est venu toujours de Toi sur la terre par les prophètes, et il a fait appel à chaque homme de passer du péché à la sainteté et surtout les chefs des hommes, Seigneur, tel que Tu as travaillé avec moi aussi par l’esprit de la prophétie, et Tu as puni ceux cachés dans leur cœur, pour opposition contre Dieu, et Tu as béni les purs de cœur pour leur garde face à ceux droits. En ce jour de fête pour moi entre les prophètes du ciel nous allons accomplir la prophétie de l’Ecriture qui dit que Tu M’enverras pour retourner le cœur des parents vers les fils, et ceux des fils vers les parents, avant l’arrivée de Ton jour grand et effrayant, pour ne pas venir frapper de désastre la terre. Je veux que Dieu soit sur la terre avec les hommes, oh, Seigneur, et ce zèle m’a brûlé tout mon temps sur la terre, et il me brûle maintenant dans le ciel, car mon esprit céleste c’est mon zèle pour Toi, et cela a été mon amour sur la terre. Amen.

— Je veux Moi aussi, le Seigneur, Je veux que Nous travaillions en ce jour et que Nous rangions l’homme dans l’obéissance à Dieu, oh, Mon prophète, et Nous allons souffler du ciel et on écrira sur la terre le livre de ce jour, avec tout ce qui y sera à écrire en ce jour. Amen.

Moi, le Seigneur, J’arrête Ma parole et Je fais place à la fête d’église, à son cours et à son enseignement, et Je reviens ensuite dans le livre. Allez vous bâtir les uns les autres, les fils, vous bâtir en Dieu, car c’est cela votre vocation ! Vivez sur la terre comme au ciel, mais vous devez beaucoup regarder dans le ciel, beaucoup, les fils, beaucoup et toujours, puisque le ciel est avec vous en œuvre sur la terre, et vous ne devez pas l’oublier pas un instant, pour que vous sachiez faire place à Dieu avec vous et auprès de vous et pour vous sur la terre toujours, toujours, oh, les fils, toujours le Seigneur sur la terre avec vous. Amen, amen, amen.



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Moi-le Seigneur, Je continue de mettre la parole de ce jour dans son livre. C’est l’esprit de la Vérité Ma parole par ce livre, l’Esprit Qui a parlé par les prophètes, et Elie le prophète se met à table de parole avec Moi devant toi, Mon peuple de la source, et il a avec lui la troupe des prophètes, puisque chacun se tient dans la troupe dont il fait partie dans le ciel, et il va avec elle, car le ciel travaille et marche en travaillant en troupes, pour accomplir les œuvres de Dieu sur la terre. Je veux que Nous rangions l’homme dans l’obéissance à Dieu, dans l’amour de Dieu, car malheur à l’homme sans cet amour en lui! Nous devons apprendre à l’homme qu’il soit brûlant son amour, car autrement il ne peut beaucoup agir pour lui et pour Dieu.

L’homme ne peut voir Dieu si l’amour n’est pas brûlant en lui. Il y a eu et il y a encore sur la terre la parole qui dit qu’il n’est pas possible à l’homme de voir Dieu et de rester vivant, mais si l’homme ne voit pas Dieu, est-il plus vivant que s’il ne Le voyait pas? Voilà, c’est une chose que Dieu dise cela, et autre chose que l’homme le dise.

L’homme ne veut voir Dieu, mais le Seigneur le veut et beaucoup encore. Le Père Sabaoth M’a envoyé sur la terre entre les hommes, parce que Dieu a voulu se laisser vu par l’homme, et Il S’est laissé, et Il S’est fait Homme Dieu, pour pouvoir habiter avec l’homme sur la terre, selon Son amour et désir saint envers l’homme, et l’homme, il a eu besoin de foi, et Dieu en a mis pour Lui, et l’homme L’a reconnu et il a vu le Seigneur, l’homme fidèle, même s’il a été pécheur celui-là, puisque le Seigneur est plus cru et connu et vu par les pécheurs, qui reconnaissent leur état de pécheur, que de ceux qui n’ont pas dans leur nature l’amour du péché, mais ils ont en eux l’amour de soi.

Je veux travailler avec des saints en ce jour et apprendre à l’homme de s’installer dans l’obéissance à Dieu, pour L’avoir en lui avec Son royaume, et pour avoir de l’amour l’homme. Oh, Je ferais retourner le temps pour chaque chrétien qui est venu et a connu et a cru et a reçu et a beaucoup aimé, tel qu’il a pu venir et rester avec Moi et Mon peuple d’aujourd’hui, mais son chandelier s’est éteint peu à peu tout comme son amour et il s’est refroidi le chrétien aimant, son amour s’est fini, et c’est lui qui est resté. Je ferais retourner le temps pour avoir encore vivant dans son amour celui qui est venu et qui a perdu ensuite peu à peu sa veille pour l’amour de Dieu, mais Je ne peux retourner l’homme dans le temps, car le temps passé n’est plus, mais il y a seulement l’homme dépassé par le temps et froid avec le cœur et éteint avec l’amour, après M’avoir aimé jadis, et pour tout cela Je pleure.

Beaucoup de ceux qui s’égarent croient que l’homme vit plusieurs fois sur la terre et qu’il meurt plusieurs fois, s’il vit plusieurs fois. Oh, ceux qui disent cela et croient ainsi Me donnent une profonde tristesse, même s’ils essaient de se servir de leur foi en Dieu. Oh, d’où ont-ils pris cette pensée? Ils l’ont pris de leur envie de vivre, car l’homme désire la vie. Mais quelle joie pourrait-il avoir l’homme qui vivrait plusieurs fois, s’il ne savait pas cela chaque fois, s’il avait déjà vécu et s’il revient de là-bas? Oh, quel est le profit de l’homme s’il pense et croire ainsi? Pas de bénéfice, mais grande perte pour l’âme d’un tel homme. Voilà ce qu’elle peut faire la raison de l’homme qui n’a pas de travail pour Dieu!

L’homme veut être plus grande que Dieu, et dès son premier début il a pensé cela et il est resté malade de ce désir, et c’est pourquoi sa raison est prise de vertige, et tombe toutes les fois que l’homme s’élève avec sa raison. J’ai dit à l’homme de travailler le paradis, ne pas le laissé dépourvu de ses soins, et Je n’ai pas dit cela seulement à celui du début, qui était seul quand Je l’ai placé dans l’Eden et Je lui ai dit cela. Que personne de ceux qui vivent ensemble ne dise qu’ils sont peu nombreux et qu’il y a beaucoup de travail, car Je leur dis que le jour de travail commence à l’aube, et son œuvre est suffisante si on l’emploie dans son entier.

Oh, chrétiens, si vous habitez rassemblés en communautés ou moins nombreux, dans des maisons, travaillez avec assiduité, si vous êtes chrétiens, et si vous habitez sur des terres et des lieux sanctifiés de Dieu pour vous. Dans vos maisons rafraîchissez les odeurs saintes et ne laissez pas des ordures qui puissent suivre vos mouvements dans vos maisons et autour d’elles, parce que les anges et les saints veulent habiter avec vous comme dans le ciel, avec le ciel ils veulent demeurer auprès de vous. Lorsque le Seigneur a fait l’homme sur la terre, Il lui a fait un jardin et Il l’y a mis pour le travailler et le garder en travaillant, et le Seigneur a fait aussi une rivière afin d’arroser le paradis, rivière qui se partageait en quatre autres sur la terre. Il y avait une différence entre le reste de la terre et le jardin du paradis, et il y a une différence entre le reste de la terre et le jardin du chrétien, telle qu’elle a été au début aussi cette différence.

Oh, fils de partout, arrachez de vos jardins toutes les mauvaises herbes, même leurs brins, toujours, les fils, et serrez de près cette garde, afin d’empêcher la levée d’autres mauvaises herbes et d’autres racines. Oh, les fils, émondez vos arbres pour que le bois mort ne les ronge pas, car l’arbre pleure quand le bois mort apparaît et il a honte devant son ange, et l’ange de l’arbre pleure car le bois sec se montre, il ne fait pas comme l’homme qui couvre son péché, pour ne pas se voir et faire honte à l’homme si on le voit. Oh, chrétien, si tu ne peux faire ainsi dans ton jardin, ni dans ta vie avec Dieu tu ne peux faire autrement. Que tu le saches et que tu croies ce que Je te dis.

Elle manque la pluie sur la terre. Il ne pleut pas parce que les jardins sont pleines de mauvaises herbes auprès des maisons des chrétiens, et les mauvaises herbes sucent profusément l’eau venue de Dieu, l’eau de la pluie nourrissante, et elles poussent plus grandes que les fleurs, qui réjouissent le Seigneur et les anges, et les mauvaises herbes se font parade devant Dieu parmi les fleurs. Elles sucent les eaux du Seigneur les mauvaises herbes inutiles pour Dieu et pour l’homme, tout comme le chrétien faible d’abnégation et de vie, qui suce du produit des frères et il grandit et se fortifie de corps, mais il est sans dévouement, inutile pour Dieu et pour l’homme.

Il ne pleut pas parce qu’il y a du bois sec dans les arbres d’autour des maisons des chrétiens, et les arbres où apparaît le bois sec en éprouvent de la honte. Il ne pleut pas parce qu’il y a des maisons et des jardins auprès d’elles pas soignées, où il manque le travail. Moi, le Seigneur, lorsque J’ai donné à l’homme une habitation et un jardin avec des arbres et des fleurs, Je lui ai dit de les soigner et les garder en travaillant et ne pas laisser qu’elles apparaissent les mauvaises herbes dans le jardin du paradis, dans la place d’habitation de l’homme, puisque les mauvaise herbes sont toujours de la nielle, elles sont la nielle des fleurs, tout comme dans le blé il y a la nielle du blé, que c’est le diable qui sème et pas Dieu.

Ce n’est pas la même chose la verdure des fleurs, ce n’est pas la même chose que la ronceraie et les chardons et les mauvaises herbes, qui ont de mauvais nom et du visage laid et poussent sur la terre par des endroits non habités des hommes. Celui qui ne travaille pas son paradis, il ne sait le garder non plus, car la garde c’est cela qu’elle signifie: que l’homme travaille le paradis et ne pas le laisser sans travail. Moi, le Seigneur, Je ne Me nourris pas toujours comme l’homme. Je Me nourris avec la beauté et l’odeur des fleurs, et l’homme se nourrit avec l’odeur et le goût des plats, et celui qui s’attache à la chair, ne peut s’attacher à Dieu aussi, car celui qui s’attache à Dieu a fini avec le péché, avec sa soumission à la chair, car l’homme a habitué son corps à manger toujours et beaucoup, et cette activité lui donne beaucoup de travail, beaucoup de courses, beaucoup de fatigue, du matin au soir, et le temps pleure en passant en vain et sans rachat, se perdant sans bénéfice pour le ciel, et l’homme n’a pas au moins de repentir pour son impuissance d’aimer Dieu avec sa vie.

Oh, Mon peuple de partout, peuple de Ma parole, elle est écrite dans les Ecritures grande et profonde parole: «Si le Seigneur ne bâtit pas la maison, en vain peinent les bâtisseurs, si le Seigneur ne garde pas la cité, en vain la garde le veilleur. En vain vous levez-vous à l’aube, en vain vous couchez-vous tard, vous ceux qui mangez le pain de la douleur, si le Seigneur ne donnait pas le sommeil à vous, Ses bien-aimés». Oh, les fils de partout, quand le Seigneur manque de tout cela, toutes les choses sont vaines et passagères, de même que l’homme.

Voilà, pas tous ceux qui vivent ensemble pour le Seigneur, pas tous s’impliquent dans le même mesure, ils ne se lèvent pas tous en même temps à l’aube, pour avoir un seul pas pour tous jusqu’au soir, quand l’homme revient pour le repos après son travail. Ceux qui viennent dans ce peuple doivent venir pour être utiles à l’œuvre de Dieu et pas à eux-mêmes, car cela ils peuvent le faire là d’où ils partent pour venir, et voilà, certains savent ce que signifie la venue dans cette œuvre céleste, et il y en a d’autres qui sont venus, qui n’ont pas su, et ils sont devenus des fardeaux, et pas seulement cela, car ils se veulent grands et insoumis et pas tout aussi dévoués, et s’il y a cette différence, pour laquelle elles apparaissent aussi des douleurs entre ceux qui vivent ensemble, alors où va-t-elle la prière de celui qui chagrine de toutes les façons son frère? Tout cela amène des douleurs, à cause du manque de travail, de veille et de dévouement fraternels, car lorsque l’homme tombe, il se cogne et se fait mal, pourquoi cela arrive-t-il? C’est parce qu’il ne veille pas pour ne pas tomber, et il ne veille ni pour l’esprit, ni pour le corps celui qui tombe, il tombe parce qu’il n’a pas Dieu comme son amour, et parce qu’il n’a pas de guide pour lui.

Il est difficile pour l’homme d’avoir un guide pour lui, c’est pourquoi il souffre des chutes et de coups. L’exemple d’Israël, qui n’a pas pu se tenir sous le guide, et il s’est révolté selon la loi de la liberté de soi, c’est un mauvais et difficile exemple, et celui qui veut, peut en apprendre. L’homme doit voir ses défauts, il doit s’humilier pour eux, et se laisser guider par ceux qui ont le Seigneur en eux, par le don de Dieu. Lorsque l’homme a Dieu en lui, il peut montrer le Seigneur aux hommes. Celui qui a le royaume de Dieu en lui, celui-là connaît Dieu en vérité, et Le partage à ceux qui Le cherchent, pas à ceux qui ne Le cherchent pas et ne désirent pas le Seigneur.

Elie criait aux hommes de se repentir et se purifier des idoles. Il y avait autour de lui beaucoup de disciples saints, qui avaient l’esprit de la prophétie et une vie angélique dans les montagnes, loin des péchés et de leurs lieux sur la terre, et ils avaient l’amour de Dieu ceux-là, puisque la foi avec laquelle l’homme se consacre à Dieu c’est l’amour, qui ne s’éteint pas et qui languit toujours dans ceux qui ont la foi, car la foi devient du désir saint pour Dieu dans l’homme, et le désir saint montre la grandeur de l’amour, et c’est cela qu’ils doivent nourrir ceux qui se rassemblent pour servir le Seigneur.

Il faut qu’ils donnent du fuit à Dieu ceux qui se consacrent à Dieu avec leur vie et leur œuvre. Le prophète Elie a donné du frit à Dieu sur la terre, il a retourné les fils d’Israël des idoles à Dieu et il a fait grand sacrifice, Elie, et sa faim de Dieu criait au ciel, et pas seulement faim de nourriture a-t-il apporté à Dieu. Oh, si le Seigneur n’avait pas disposé une maison à Elie, il n’en aurait pas eu. Si le Seigneur ne l’avait pas veillé dans la cité, en vain Elie aurait-il veillé. Si le Seigneur ne lui avait pas donné à manger du ciel par les anges, en vain aurait-t-il cherché à travailler de l’aube jusqu’à la nuit tombée, pour le pain de la douleur. Le Seigneur lui donnait du sommeil et l’ange du Seigneur venait et lui disait: «Lève-toi, sors et travaille sur Israël, car Achab dit que c’est toi qui jette le trouble en Israël», et Elie c’est levé et a dit au roi: «Pas moi, c’est toi et la maison de ton père puisque vous avez abandonné les commandements du Seigneur et que vous allez après les Baals, mais allons présenter l’offrande au Seigneur, moi et vous, pour voir à qui répond le Seigneur en Carmel, car vous clochez des deux côtés, et je suis resté seul des prophètes du Seigneur, et il y a des centaines de Baal. Allons donc préparer l’offrande et n’y pas mettez de feu, appelons ensuite chacun de nous son Dieu, et le Dieu Qui va répondre par le feu, c’est Celui–là qui sera Dieu». Ils ont crié à haute voix les prophètes de Baal, et ils se sont faits des incisions avec des épées et des lances jusqu’à l’effusion du sang, mais ils n’ont pas eu de réponse. Alors Elie s’est approché le peuple, il lui a dit ce qu’il devait faire, et ensuite il a crié vers le ciel en disant: «Mon Dieu, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, écoute-moi maintenant avec du feu, pour qu’Israël sache que Tu es seul Dieu en Israël, que moi je suis Ton serviteur et c’est Toi Qui ramènes leur cœur vers Toi!», et il s’est accompli le service du peuple d’Israël aux dires d’Elie, le prophète, il s’est accompli l’appel d’Elie, et le feu est venu et il a consumé l’holocauste mouillé avec beaucoup d’eau, et le peuple a dit: «C’est le Seigneur Qui est Dieu», et Il a donné à Elie tous les prophètes de Baal, qu’il a égorgés tous, et tout cela est arrivé après qu’Elie avait ordonné à la pluie de ne pas tomber trois années et demi, jusqu’au jour de son offrande, quand la pluie est venue et elle a arrosé la terre assoiffée depuis si longtemps, sans une goutte d’eau ou de rosée sur elle. Voilà quel fruit peut donner un serviteur du Seigneur entre les hommes, et combien de dégâts produit sur la terre un serviteur du diable, tel le roi Achab avec tous ses sujets.

Oh, mon peuple de partout, prends de la sagesse de Ma parole pour toi, et lève-toi pour servir à Dieu avec beaucoup de vie en toi, comme Elie, Mon prophète, et on verra ta vie, elle fera de la lumière tout autour, et des faits de résurrection, pour beaucoup d’hommes, car ce n’est pas avec beaucoup de paroles, mais c’est avec l’action qu’il rend témoignage de Dieu l’homme illuminé par l’amour de Dieu de lui. Amen.

— C’est ainsi qu’elle a été ma vie devant Toi, oh, le Bien-aimé de mon âme, oh, Seigneur! J’ai été grand prophète pour Toi, je T’ai servi avec du feu dans le cœur, et aujourd’hui mon esprit a logé dans Ton Esprit, il s’est parachevé dans Ta parole pour Ton peuple d’aujourd’hui, et Ton Esprit a été dans le mien, Nous avons été un en parole pour l’enseignement adressé à Ton Israël d’aujourd’hui, destiné à Toi du peuple roumain, pour se tenir aujourd’hui à écouter Ta voix, celle venant des nuages sur lui , tout comme au temps de Moïse, Israël a écouté toute la parole issue de Ta bouche, et confiée à Moïse pour la donner à Israël, et tout comme à mon époque, Tu as donné à Israël Ta parole venue sur moi, et moi j’ai retourné Israël des idoles à Toi, et il a témoigné de Toi en ce jour sur la montagne du Carmel, Te nommant le vrai Dieu, Mon Dieu, et il a dit: «c’est le Seigneur Qui est Dieu!».

Oh, par quel grand discours as-Tu montré dans mon jour de fête l’obéissance et la désobéissance de l’homme, le travail ou le manque de travail pour le paradis de l’homme, la vue depuis le ciel des œuvres des chrétiens de partout, sur lesquels il y a encore beaucoup à accomplir de Ta volonté, de Ta parole celle prononcée au début de l’homme, celui que Tu as établi sur la place d’habitation pour lui, en paradis, pour qu’il le travaille et le garde ainsi, oh, Seigneur. Qu’ils fassent attention à Ta voix d’aujourd’hui tous ceux qui s’appellent chrétiens sur la terre et qui ont des maisons et des jardins près d’elles, pour qu’ils les travaillent et les gardent au milieu de la terre. Ceux qui servent aux Baals n’ont plus de temps pour servir à Dieu et ceux-ci arrêtent la pluie qui vient du ciel sur la terre, et il n’y a plus de prophètes sur la terre, tel que je l’ai été, pour dire et délivrer la pluie, afin qu’elle vienne, si elle est arrêtée par les hommes et bloquée dans le ciel.

Tu as appelé en ce jour les hommes vers l’obéissance à Dieu, Tu as soufflé du ciel et on a écrit sur la terre Ta parole d’aujourd’hui, qui peut enseigner à tout homme le fait que tout comme on travaille et on garde en travaillant la maison et le jardin et le lieu d’habitation, avec tous les choses employées en proximité, de la même façon on travaille sa vie entre lui et Toi, de la même façon, oh, Seigneur. L’homme produit d’ordures, trop d’ordures, ils les laissent partout, et ça sent mauvais, car ce sont des immondices, et l’homme devait être comme la fleur, il devrait sentir comme la fleur, qui Te caresse avec sa beauté et son odeur, oh, Seigneur. Ils pleurent les saints sur la terre et dans le ciel à cause du manque de Dieu de l’homme, puisqu’il ne prend pas soin de se tenir devant Dieu, il oublie beaucoup cela. Oh, qui peut se cacher de Ta face même pour un instant seulement? Tout comme les arbres et les fleurs, les montagnes et les pleines, les rivières et tout la terre ne peuvent se cacher du soleil, de la lune, de la pluie, du vent, du froid et de toute l’œuvre des phénomènes de la nature et des puissances célestes, qui les mettent en mouvement, tout aussi l’homme ne peut se cacher de Ta face, même s’il se met à l’ombre du soleil, même s’il se retire dans sa maison, contre la pluie et le vent ou le froid, oh, Seigneur. Celui qui croit qu’il peut se cacher de Dieu avec son corps, avec ses actions, celui-là croit cela à cause du manque de raison, celle qui peut mener l’homme au service des idoles, Seigneur, et voilà la douleur de ceux qui ont comme patrie le ciel, c’est la douleur de Tes saints, oh, Seigneur.

Sois bien attentif au Seigneur, Qui a parlé avec toi dans mon jour de fête, Israël d’aujourd’hui ; peuple fidèle, peuple de la parole de Dieu! Qu’ils fassent attention tous les hommes de la terre à la voix du Seigneur, de peur qu’Il ne vienne à l’improviste et ne frappe avec désastre la terre et tout ce qu’elle porte! Que tout homme fasse la différence entre la terre et le paradis, entre l’espace d’autour de lui et la maison et le jardin où il habite! Que l’homme obéisse à Dieu et qu’il travaille le paradis et qu’il le garde! La Seigneur a clairement expliqué cela maintenant. L’homme, les animaux, les oiseaux et les poissons se meuvent sur la terre, dans les airs ou dans les eaux et ils peuvent faire le bien ou le mal autour d’eux, au milieu de ceux qui ne se bougent pas, mais ils se tiennent fidèlement devant le Seigneur et devant tout ce qui bouge sur la terre, et que les phénomènes célestes nourrissent avec du soleil, avec de l’eau, avec la fraicheur, avec du froid, avec âme et vie, pour la vie de tout ce qui muove sur la terre, dans l’atmosphère ou dans les eaux. Tous ce qui bouge doit servir à ceux qui ne bougent pas, et qui ensuite s’offrent à ceux qui bougent, avec tout ce qu’ils ont et ils produisent, par les mystères d’en haut entre eux et Dieu. Voilà que de Dieu entre le ciel et la terre, ce qui témoigne de Dieu, et il est à pleurer dans le ciel à cause de l’homme, qui dissipe sa raison et fait s’endormir en lui le mystère de la vie et la réponse à son égard devant le Seigneur à tout instant, et tout cela parce-que l’homme est habitué sans guide pour lui et pour sa vie, pour le mouvement de sa pensée et de son corps entre la terre et le ciel, puisque l’homme se tient plus haut que Dieu face à Lui, et il n’est pas digne que de pleurs, le pauvre, et l’œuvre du prophète c’est de retourner le cœur du Seigneur vers les hommes, et le cœur des hommes vers le Seigneur, comme il est écrit. Amen.

Voilà beaucoup de parole dans mon jour de fête entre les saints, Seigneur, et ceux qui Te servent avec leur travail, ils sont avec le corps sur al terre et Tu es grand, Seigneur, face à face avec la mesure de l’homme. Oh, si elle s’attacherait des hommes la parole d’aujourd’hui avec laquelle Nous Nous sommes mis dans Ton livre d’aujourd’hui! Mais les chrétiens doivent beaucoup le pénétrer et en apprendre toujours, car le sort de l’homme sur la terre est qu’il ait un guide, que le Seigneur parle du ciel avec l’homme, et que l’homme obéisse à Dieu.

Gloire à Toi, oh, Seigneur, le désir de mon âme sur la terre et dans le ciel! Je veux avoir l’espoir dans le ciel que l’homme va revenir à Dieu, tout comme Toi, Seigneur, Tu es revenu vers lui en ces jours, avec parole de désir saint pour le retour au Père de l’homme. Amen.

— Oh, grand prophète, J’ai été ta consolation, car tu as eu besoin de grande consolation, entouré toujours de Ma douleur sur la terre. C’est ainsi qu’ils sont ceux dans lesquels Je mets Ma douleur pour la porter avec eux, et pour qu’elle donne ensuite le grand fruit, car autre sorte de fruit n’existe pas entre la terre et le ciel, mais tout et partout n’est que vanité. C’est seulement la douleur qui peut donner le bon fruit, aimé par Dieu, dans l’homme et de l’homme. Celui qui sait ce que cela signifie l’amour de Dieu dans l’homme, celui-là sait ce que c’est la douleur et sa grandeur, celle incomprise par ceux qui n’ont pas le Seigneur comme lumière et vie en eux. Amen.

Maintenant, Moi, le Seigneur, J’ai grande douleur dans le ciel pour le peuple roumain, à cause de ceux de son milieu qui n’ont pas de lumière en eux, et qui se veulent grands et dirigeants, en temps qu’ils ne savent et ne peuvent diriger. Je porte pleinement cette douleur avec ceux qui sont Mon peuple d’aujourd’hui au milieu du peuple romain. Je porte avec toi cette douleur, oh, Mon peuple. Ne la fuis pas, mais que tu entre sous elle et que tu souffre avec le Seigneur, Celui Qui console les douleurs. Retournons à la vérité ce peuple, demandons au Père de la lumière sur lui. Amen.

Ma parole avec toi c’et Mon apaisement dans Ma douleur, et tel que l’homme se rafraîchit avec de l’eau au temps de grande chaleur, tout aussi Je rafraîchis Ma douleur lorsque Je parle avec toi. Reste Mon rafraîchissement, reste Mon apaisement, oh, peuple aimé, reste amour, le fils! Je suis Celui Qui est. Sois Mon amour, sois de l’amour, oh, Mon peuple, puisque Je reste le tien, Je reste ton Seigneur Dieu, et que tu témoigne de Moi en M’aimant toujours, tout comme Moi Je t’aime et Je témoigne de toi toujours, et Je te veux le Mien. Amen, amen, amen.

02-08-2012