La Parole de Dieu du sixième Dimanche du Carême, celui des Rameaux, la Fête de l’Entrée du Seigneur à Jérusalem

J’entre en parole dans Mon livre d’aujourd’hui, et le livre s’ouvre quand Je frappe pour entrer.

Oh, Jérusalem roumaine, loue, loue le Seigneur, Celui Qui envoie Sa parole au-dessus de la terre et elle court vite Sa parole! J’ai choisi la terre et le peuple roumain pour Mon retour, pour Ma deuxième venue d’auprès du Père sur la terre, pour adresser Ma parole aux hommes, et qu’elle coure partout pour le réveil des habitants de la terre, car Il vient l’Epoux, et voilà, on prépare la table des noces, puisque le Père M’a dit qu’il s’approche le jour de Ma noce et celui de la mariée, celle appelée du monde pour qu’elle soit Ma mariée, et qu’elle se fasse belle pour son Epoux, Celui Qui vient.

Je suis le Seigneur Jésus-Christ, Je suis l’Epoux de la noce et J’ai Mon épouse élue d’entre les Roumains, peuple préparé de Moi, de Ma parole d’aujourd’hui, et Je viens et Je mets la parole de Ma bouche sur sa table, sur Ma table de noce avec Mon peuple mariée, et elle appelle aux noces Ma parole, elle appelle à la préparation et à la décoration pour le festin des noces, pour le vêtement de la noce porté par ceux qui veulent se mettre à table avec le Seigneur, avec l’Epoux Qui vient, car il est écrit qu’Il vient.

Je fais en ce jour de dimanche, Je fais mémoire de Ma première venue et de ses œuvres au milieu du peuple Israël, auquel Mon Père M’a envoyé alors pour venir et être né au milieu de lui, croître et Me montrer le Fils de Dieu, venu de Dieu le Père, et il a fallu s’accomplir avec Moi au milieu de ce peuple son reniement, car il M’a renié Moi, l’Héritier de la vigne de Mon Père, il M’a rejeté ce peuple, il M’a mis hors de la vigne, tel qu’il était écrit, et il M’a crucifié, mais Moi Je suis ressuscité triomphant sur Mes ennemis et Je règne dans l’éternité, car Je suis Celui éternel. Je parle en ce dimanche de celui d’il y a deux mille ans, jour célébré avec grandeur par l’église orthodoxe, et nommé Dimanche des Rameaux, le Dimanche de l’Entrée du Seigneur à Jérusalem.

J’avais en Béthanie trois amis chers à Mon âme, qui M’aimaient parce que Je les aimais, pour leur amour envers Moi, et pour leur foi en Ma parole sur eux. Ils étaient Marie, Marthe et Lazare. Et si Lazare que J’aimais tellement était tombé malade, ses sœurs M’ont annoncé de la maladie de celui que J’aimais, et J’ai dit aux disciples que cette maladie n’est point à la mort, mais c’est afin que le Fils de Dieu soit glorifié par elle, et Je leur ai dit: «Retournons en Judée, car Lazare s’est endormi, et Je vais le réveiller, puisqu’il est mort, et Je Me réjouis de ce que Je n’étais pas là, afin que vous croyiez d’avantage». Oh, J’y suis allé et J’ai appelé Lazare du sépulcre après quatre jours, et il M’a obéi et il est ressuscité, et beaucoup de Juifs ont vu cela et ils ont cru en Moi, et d’entre eux il y a eu quelques-uns qui ont raconté aux pharisiens, et ceux-ci se sont rassemblés ensuite et ils ont fait conseil cotre Moi, craignant qu’il n’arrive pas que tous croient en Moi, et Caïphe a dit en ce jour qu’il valait mieux que Je meure, et si quelqu’un saurait le lieu où Je Me trouvais, qu’il l’annonce pour Me découvrir, pour Me saisir et Me porter chez eux.

Oh, qu’ils sont grands ces souvenirs, qu’ils sont saints, dignes d’être vécus, car J’étais venu six jours avant les Pâques en Béthanie, où Mes amis avaient organisé un festin pour Moi, et Lazare était à table avec Moi, et Marie, ayant pris du parfum de nard pur, lava Mes pieds et les essuya avec les cheveux de sa tête, et tout fut remplie de l’odeur du parfum, alors Judas s’est attristé pour ce gaspillage, parce qu’il était voleur et il prenait de la bourse de l’église, il prenait pour lui de la bourse pour les pauvres, mais Je lui avais dit: «C’est pour le jour de Ma sépulture qu’elle a gardé le parfum, pas pour les pauvres». Oh, une grande multitude s’était assemblée là-bas pour me voir et pour voir Lazare celui ressuscité, et le lendemain la foule assemblée à la fête, en attendant que J’aie été à Jérusalem et que J’avais ressuscité Lazare, alla au-devant de Moi avec des branches de palmier, en criant tous: «Hosanna! Béni soit Celui Qui vient au nom du Seigneur, l’Empereur d’Israël!», et Moi J’ai trouvé le petit d’une ânesse, Je M’y suis assis et Je suis entré à la Fête à Jérusalem, et Il fut glorifié le Seigneur en ce jour-là, et les disciples avaient compris alors ce qu’il ne l’avaient pas fait au début, car ils avaient vu Ma gloire venue à la suite de la maladie et ensuite de la mort et ensuite de la résurrection de Lazare, celui qui pour Ma gloire a dû souffrir tout cela, et il M’a acclamé beaucoup ,beaucoup de peuple, qui avaient entendu du miracle de la résurrection de Lazare. Et il est arrivé ensuite Ma Golgotha, Ma mort, tel que l’avait prophétisé Caïphe, et ensuite Ma résurrection.

Oh, J’ai dit en ce jour-là, celui des Rameau: «Si quelqu’un Me sert, qu’il Me suive, et là où Je suis, là aussi sera Mon serviteur, et le Père l’honorera, mais maintenant Mon âme est troublé et Je dis: Père, glorifie Ton nom!» et Mon Père M’avait répondu de la nue: «Je l’ai glorifié, et Je le glorifierai encore», et tout le peuple qui avait entendu se demandait en disant: «Cela fut un tonnerre? Un ange lui a parlé?», et Moi, J’ai dit à tous: «Ce n’est pas pour Moi, c’est pour vous qu’elle est venue cette voie, car maintenant a lieu le jugement de ce monde, et son maître sera jeté dehors, et Moi quand Je serai élevé de la terre, J’attirerai tous, à Moi».

Oh, c’est avec joie et douleur que J’ai parlé en ce jour de dimanche sur les faits passés il y a deux mile ans, lorsque le peuple assemblé à la fête à Jérusalem, qui avait entendu du miracle de la résurrection de Lazare, avait pris des branches de palmiers et il M’a acclamé en chantant: «Hosanna! Béni soit Celui Qui vient au nom du Seigneur, L’Empereur d’Israël!». En ce jour-là la foule M’acclamait, mais Moi J’étais triste et J’ai parlé de Ma tristesse au Père, Qui M’a répondu de la nue en disant de Ma mort et de Ma résurrection: «J’ai glorifié et Je glorifierai encore le nom du Seigneur!», et Moi J’avais l’âme pleine de tristesse. Je Me souviens de Moi Celui attristé, au moment où la foule M’acclamait en Me chantant Hosanna. Je Me rappelle tout, Je Me souviens avec Mes fidèles, avec ceux pour de vrai les Miens, Mes trois chers amis de Béthanie, qui dressaient la table pour Moi, quand Je M’arrêtais avec eux et avec beaucoup de Juifs, qui s’assemblaient autour d’eux pour Me voir, pour M’entendre et pour comprendre Mes choses, pour lesquels J’étais venu d’auprès du Père sur la terre au milieu d’Israël.

Maintenant Je viens au milieu du peuple roumain, Je viens en parole prononcée par Ma propre bouche et Je M’inscris avec elle dans Mon livre d’aujourd’hui et Je parle à ce peuple en ce dimanche des Rameaux et c’est ainsi que Je lui dis:

Oh, Mon peuple d’aujourd’hui, auquel Je viens d’auprès du Père, oh, peuple roumain, voilà, Je viens de nouveau, et Je viens à toi, car c’est cela la volonté du Père pour toi et pour Moi maintenant, pour la fin du temps. Tu devais être peuple orthodoxe, avec tout ton être, celui destiné d’exister pour Dieu sur ce foyer maintenant, à la fin du temps, et il aurait dû que l’on voie bien cela dans ta vie, puisque la foi sans action, sans sa traduction dans la vie de l’homme, elle est écrite comme incrédulité. Je souffre du fait que tu n’as pas voulu Me ressembler à Moi et à Mes saints et jeûner de viande, de lait et d’œufs et de poisson durant cinquante jours de préparation pour Mes saintes choses ensuite, et pour l’accueil de la fête de la Résurrection , et pour devenir un peuple véritablement orthodoxe par tout cela. Oh, ça Me fait mal que tu ne veux obéir à la loi de l’église, celle établie par les saints pour toi, et à Ma parole d’aujourd’hui pour toi, parole qui t’appelle à M’accomplir avec ta vie, et qui t’exhorte à être juste envers Dieu et envers ton prochain, envers ton frère.

Cela Me fait mal de Me tenir au milieu de toi en parlant pour toi, et toi, tu vis tout à fait comme le monde et pas comme les chrétiens sur ton foyer, où, voilà Qui vient! Il vient du ciel, Il vient le Seigneur sur ton foyer, oh, peuple roumain, et Il parle avec toi, et Il parle de toi pour tous les peuples, et les exhorte vers la parole de Dieu, vers la voix de Ma bouche, celle qui vient établir la paix entre les peuples. Je ne la donne pas à la façon du monde, mais c’est Ma paix que Je veux leur donner.

Oh, cella Me fait mal, peuple roumain, Je souffre de ne pouvoir partager avec toi Ma douleur, celle d’hier et celle d’aujourd’hui, tel que Je le faisais avec ceux de Béthanie, Mes amis, chez lesquels Je M’arrêtais et Je reposais Mes pas, toujours en route pour Mes œuvres sur la terre en ce temps-là. Voilà, J’entre chez toi en parlant pour toi et J’essaie de Me consoler avec toi de Mes douleurs, pour que tu souffres toi aussi avec Moi à cause de Ma douleur, et non pas t’amuser comme le monde, tel que l’esprit du monde t’oblige de servir à lui seulement avec ta volonté et ton désir toujours et toujours. Oh, tu es un peuple élu, si Mon Père a préparé en toi Ma venue d’aujourd’hui et la colline où Je M’arrête avec les saints lorsque Je viens sur ton foyer parole et fête de parole, et ils se réunissent ici auprès de Ma voix dans les fêtes les saints du ciel, qui viennent avec Moi chez toi, et ils se réunissent tous les roumains qui M’ont trouvé et ils aiment y venir et se mettre à table avec le Seigneur, pour que J’aie des convives à la table de parole sur ton foyer, et ceux-ci sont Mes orthodoxes auxquels Je donne des conseils quand ils viennent à Ma source de parole et à Mon peuple d’auprès de la source, et Je leur donne du pouvoir pour Moi et de l’enseignement minutieux pour accomplir Ma volonté comme de vrais orthodoxes, car voilà, l’église orthodoxe selon le nom, elle a oublié sa destinée et elle ne ressemble plus aux saints, et aux pères, à Mes orthodoxes, et elle est restée avec ce nom seulement, et Je crie après elle et Je pleure avec ceux du ciel, avec le Père Je pleure pour sa froideur envers Dieu, et Je pleure en attendant que Ma parole et son action porte du fruit au milieu d’elle, car il est venu le temps qu’Il se glorifie le Seigneur du milieu de ce peuple maintenant, à la fin du temps, et voilà, Il se glorifie en parole au-dessus des peuples, et Je n’ai qu’une poignée de peuple obéissant envers Moi de tout le peuple roumain, et Je veux multiplier Ma bénédiction sur tout le peuple roumain et Je crie après lui, Je crie beaucoup après lui, pour qu’il M’entende ce peuple, et qu’il obéisse à son Seigneur Dieu, afin qu’il demeure devant Moi ce peuple.

Oh, Mon peuple d’aujourd’hui, peuple roumain, il y a longtemps que Je parle au milieu de toi avec Ma parole, depuis longtemps Je parle avec toi et pour toi et Je veux que tu croisses de Moi et que tu sois Ma montagne haute et sainte, et que Je donne aux peuples Ma lumière d’aujourd’hui de ton milieu, puisqu’il est écrit dans les Ecritures que les peuples chercheront le chemin vers Ma haute montagne et ils prendront la lumière et la parole de Dieu, et ils chercheront beaucoup, beaucoup d’entre eux de s’habituer avec Ma loi et avec Ma voie pour eux.

Je te donnerais ordre saint et fort que tu aimes Dieu avec toutes les tiennes dans ton action, mais si Mon ordre ne s’accomplit pas selon la parole, il peut s’accomplir par cuisson, car elle est grande Ma larme après toi, et là où elle tombe, ça cuit, et tu sais que ça cuit. Mais Je t’aime, tout comme le Père Je t’aime, et Je ne veux pas que tu souffres, mais Je veux te bénir, et il faut que tu veuilles toi aussi les bonnes choses sur toi, peuple roumain, Mon peuple d’aujourd’hui, auquel vient le Seigneur avec les jours de Sa venue maintenant. Oh, viens à la grandeur, peuple roumain, car c’est cela ta destinée de la part de Dieu! Oh, viens vers l’amour de Dieu, car Moi, Je viens à toi pour que Je Me glorifie bientôt au milieu de toi, et J’ai quelque disciples qui M’accueillent et Me font l’entrée à toi.

Comme à Jérusalem J’entre à toi, peuple roumain, et J’ai des porteurs de Dieu, J’ai comme ânon Mon petit peuple de Ma source de parole. Oh, ne t’occupe pas seulement de tes affaires, du moment que Je suis sur ton foyer et J’attends que tu ailles au-devant de Moi, toutes les fois que Je M’arrête avec Ma parole sur ton foyer, oh, Mon pays d’aujourd’hui.

Aimez votre pays, oh, fils roumains, car le pays où vous habitez possède grand nom au ciel, et il s’appelle selon les Ecritures le pays des splendeurs, et tes sages ne cherchent pas, oh, Mon pays d’aujourd’hui, ils ne cherchent pas de bien regarder et bien voir dans Ma parole d’aujourd’hui, et comprendre avec Moi Ma venue actuelle en parole sur le foyer du peuple roumain.

Oh, réveillez votre raison et votre foi, vous les sages du peuple roumain, afin que vous puissiez selon la vérité vous nommer sages, autrement vous êtes charnels, et c’est tout, et Moi, le Seigneur, Je pleure en parole et J’attends qu’ils prennent de la sagesse du ciel les sages de ce peuple et qu’ils en comprennent le Seigneur, Moi, Celui Qui vient et Se prépare le jour de la gloire, le jour de noces. Amen.

J’ai parlé en ce jour de fête impériale, J’ai parlé au peuple roumain et J’attends qu’il accomplisse la volonté de Dieu sur lui, et qu’il soit vrai peuple orthodoxe sur la terre, car J’ai dit beaucoup d’années auparavant que tout homme qui vêtira la chemise de chrétien sera nommé Roumain, et voilà quel grand nom est maintenant au ciel le nom de Roumain, pour l’œuvre de Ma parole, qui parle de la nue au-dessus de ce peuple, depuis presque soixante ans pour que le Seigneur prépare Sa grande gloire sur cette montagne de parole.

Qu’elle soit hauteur céleste la terre roumaine, car la gloire de Ma parole brille de son dessus et repend la gloire au-dessus de cette terre élue maintenant, à la fin du temps, et Moi, le Seigneur, à voix douce consolatrice, Je laisse la parole de Ma venue sur le peuple roumain, pour qu’il comprenne Ma gloire, sa gloire celle de Dieu, sa destinée entre les autres peuples.

Oh, paix à toi, peuple roumain! Dans six jours Je serai sur ton foyer en parole sainte pour la fête de Ma Résurrection, pour le glorieux dimanche du Fils de Dieu, Celui Qui a été crucifié par le peuple juif et Il est ressuscité le troisième jour, selon les Ecritures. Nous allons chanter bientôt, bientôt «Christ est ressuscité», mais Moi, le Seigneur, J’attends ces saintes Pâques, où le peuple roumain soit véritable dans sa vie de chrétien, qu’il soit Mon vrai peuple orthodoxe selon l’action, et Moi, son Seigneur Dieu, que Je Me réjouisse avec tous ceux du ciel de sa résurrection, de sa foi, celle partagée pour lui d’en haut, car la foi prise de la terre n’est pas comme celle descendue du ciel sur l’homme. Anne et Caïphe et Hérode et Pilate n’ont pas pu enlever de la terre la foi en Moi, mais ceux de Béthanie, Mes douze disciples, ceux peu nombreux, et tous leurs successeurs, successeurs de leur foi ensuite, ils ont pris du ciel la foi, et le don de la foi, et ils sont demeurés dans la foi, s’ils en ont pris du ciel. Et Moi, le Seigneur, Je dis en ce jour tel que Je l’ai dit il y a deux mille ans à la foule qui Me suivait pour le miracle de la résurrection de Lazare, et Je dis: Si quelqu’un veut Me suivre, qu’il vienne après Moi, et là où Je serai, il sera Mon serviteur aussi, et le Père va l’honorer. Amen.

Oh, paix à toi, à toi, Mon peuple de la source, Mon ânon, celui dont Je M’appuie pour entrer dans le livre en parole et pour Me partager au-dessus de la terre aux peuples! Oh, paix à toi, et que tu travailles beaucoup d’obéissance et que tu n’en aies pas assez en obéissant, car ton obéissance c’est le repos qui Me repose Moi et ceux qui t’entourent, mais toi aussi, car J’obéis Moi-Même, et il faut que nous obéissions, les fils, car nous sommes des fils, et les fils sont seulement ceux qui obéissent, oh, les fils. Amen, amen, amen.