Il y a fête impériale au ciel en ce jour, selon l’ordre laissé par les saints pour ceux du ciel et pour ceux de la terre, ceux qui aiment les choses du ciel, en aimant de fêter en même temps que ceux du ciel la gloire des fêtes célestes, celles qui font mémoire des œuvres de Dieu entre les hommes, puisque c’est dans le ciel qu’on travaille toutes les choses destinées au salut des hommes, et ensuite elles s’établissent sur la terre et travaillent de la foi et de la rédemption dans les hommes, et elles travaillent de la joie au ciel et sur la terre.
Moi, le Seigneur, Je fais en ce jour de fête sainte la preuve de Ma divinité. Je suis vrai Dieu du vrai Dieu. Je suis Dieu et Homme. J’ai un Père et une mère et Je suis venu du ciel et Je suis de la terre aussi, car Je suis venu sur la terre pour annoncer aux hommes que Je suis Celui Qui est, que Dieu existe, que le Père, le Fils et le Saint-Esprit travaillent beaucoup et toujours dans le ciel et sur la terre, et Dieu ne s’arrête point de Son œuvre. Celui Qui a fait le ciel et la terre oh, comment s’arrêter, comment pourrait-Il s’arrêter de Son œuvre même pour un instant, après avoir fait cette création et après avoir bâti l’homme?
Je suis venu du ciel sur la terre il y a deux mille ans, et Je suis venu ensuite de la terre au ciel, et maintenant, oh, maintenant Je viens de nouveau du ciel sur la terre. Je viens et Je M’en vais. Je M’en vais et Je viens, et Je suis toujours en chemin. J’ai des anges pour compagnie et service et pour Me couvrir, car Je travaille en secret et Je ne tire pas le rideau qui Me cache, jusqu’au moment où Je serai annoncé et connu des extrémités aux autres extrémités, connu et attendu, beaucoup désiré et aimé, car Je suis l’amour sans début et sans fin, puisque Dieu c’est ainsi qu’Il est. Il n’a pas de début ni de fin, mais Il a seulement de l’amour, qui ne périra jamais.
Oh, comment faire? Je veux demander conseil à ceux de la terre pour voir comment faire et pour leur préparer des joies. Dès la création du ciel et de la terre, avant d’avoir bâti l’homme, J’ai travaillé pour lui préparer des joies avec Dieu et de Dieu, mais l’homme a toujours voulu se préparer lui-même des joies, même dans le paradis où Je l’ai établi pour Ma joie et la sienne, mais voilà que lui, l’homme, ne peut se préparer que des douleurs, le pauvre. Les joies de l’homme sont seulement celles travaillées et venues du Seigneur, accordées ensuite à l’homme, tel qu’on a préparé il y a deux mille ans jour de joie venue sur la terre, annoncé ensuite par des anges et établi pour être jour de mémoire, car il était venu le jour de Ma conception en mère Vierge, et quand ce moment est venu, on a eu lumière d’anges autour de la Vierge et voix d’ange l’a annoncée qu’elle sera la mère de Dieu, du Fils de Dieu, que le Seigneur viendra sur la terre en chair. Il prendra place, semence d’homme, dans son sein, et Il va se soumettre à la création par naissance virginale, et c’est seulement du ciel qu’on travaillera et Dieu prendra chair sur al terre et Il sera né petit enfant et Il grandira petit à petit comme l’homme. Il arrivera à l’âge de l’homme parfait, et Il va payer ensuite à l’ennemi de l’homme le prix pour le rachat de l’homme, qui est mort par le péché, qui meurt par le péché celui du début, le péché de la désobéissance envers Dieu dans l’Eden, et Dieu va mourir, Il murira comme l’homme et Il ressuscitera ensuite comme Dieu, puisqu’elle devait être payée la vie de l’homme, et c’est seulement Dieu Qui a pu payer, puisque le voleur est caché, il est dissimulé, et c’est en cachette qu’il a travaillé pour la mort de l’homme, et il a fallu toujours en cachette pénétrer dans la demeure des morts pour en prendre l’avoir de Dieu, Son avoir volé? Oh, c’est seulement Moi, le Seigneur, Moi seulement J’ai pu pénétrer dans la maison du voleur, c’est seulement Celui couvert de mystère Qui a pu faire cela, et le voleur c’est beaucoup effrayé quand il a appris Qui étais Celui Qui avait pénétré dans sa demeure pour reprendre ce qu’il M’a volé.
Oh, il y a deux mille ans elle s’est éclairée la chambre où habitait Ma mère la Vierge et le serviteur du Seigneur lui a dit du milieu de la lumière: «Réjouis-toi, Marie Vierge! Tu es comblée de grâce, comblée de Dieu et de toutes les choses pour Lui. Il est avec toi, tu es bénie entre les femmes et tu concevras dans ton sein et tu enfanteras un Fils et tu L’appelleras du nom de Jésus. Il sera grand et Il sera et S’appellera Fils du Très-Haut, et Il siègera sur le trône de Son Père David, et Il régnera sur la maison du Seigneur pour les siècles, car Son règne sera sans fin, puisque rien n’est impossible à Dieu. Oh, ne sois pas étonnée, tu ne connais pas d’homme, comme tu le dis, mais le Saint-Esprit viendra maintenant sur toi et la puissance du Très-Haut te couvrira, c’est pourquoi ton Enfant va naître de toi et Il sera appelé le Fils de Dieu, sur la terre et au ciel, pour les siècles des siècles. Amen».
Amen a dit alors la Vierge, Ma mère. Oh, quelle grande joie, quel magnifique moment à été descendu sur la terre dans les jours où Moi, le Seigneur, Je suis descendu par l’œuvre du Saint-Esprit et par la parole angélique dans le sein de Ma mère la Vierge, celle comblée de la grâce d’en haut, par laquelle elle attendait le Seigneur! Oh, qu’il est grand l’homme et tout son intérieur, qu’il est grand celui Qui attend le Seigneur! Il vient sur lui le Seigneur chez lui, Il S’établit en lui et Il fait Sa maison chez lui, et Il dresse ensuite table de cène céleste avec celui qui L’attend. Oh, voilà ce que peut faire l’attente avec fidélité du Seigneur sur la terre!
Je Me suis préparé en ce jour dès le petit matin pour descendre avec sainte fête, avec table de fête sur la terre. J’ai avec Moi l’impératrice, Ma mère la Vierge. Elle M’a porté en son sein il y a deux mille ans, elle M’a enfanté ensuite et elle M’a donné au Père, elle M’a donné aux hommes croyants et incrédules, elle M’a donné pour que J’accomplisse l’œuvre pour laquelle J’étais venu du Père sur la terre. Voilà, en ces jours Je viens de nouveau, Je viens ici, en ce lieu, et Je Me fais parole, Je Me mets dans le livre et Je vais au devant des hommes, vrai Dieu du vrai Dieu, revêtu en parole et porté par nuage de chérubins. C’est par amour que Je viens, c’est pour la joie, car Je veux faire la preuve de Ma divinité et mettre de l’amour pour Dieu dans l’homme, et rien n’est impossible à Dieu. Je suis venu et Je viens sur la terre et Je viens du ciel. Je suis Dieu et Homme, car J’ai un Père et une mère, et Je viens du ciel, et Je viens de la terre au ciel, Je viens et Je M’en vais, Je M’en vais et Je viens et Je ne M’arrête pas du travail et Je suis toujours en route, et c’est Moi la voie de l’homme vers Dieu.
Toi, homme, c’est Moi la Voie. C’est Moi Celui Qui te guide et il n’y a rien et personne sauf Moi qui puisse te guider et te mettre sur la voie qui mène au bonheur, à la joie, car tu es dépourvu de joie. Elle te manque la joie, mais réjouis-toi tel qu’elle l’a fait Ma mère la Vierge il y a deux mille ans, lorsque Moi Je suis venu chez elle accompagné de l’ange, pour que Je M’installe en elle et que Je fasse Mon œuvre, celle pour ta rédemption, homme bien cher. Oh, voilà l’enseignement que Je te donne maintenant: Je te rappelle de la multitude de gens qui se rassemblent aux services religieux à l’occasion des fêtes, des fêtes patronales des églises, et cette multitude regarde surtout la suite de prêtres en service, pomponnés tous en vêtements de sainteté, qu’ils n’honorent pas, et la pauvre foule regarde le cœur serré, comme à des saints, à cette image-là, tout comme une autre multitude de gens aux cœurs serrés se rassemble dans l’arène ou au carnaval et se réjouissent pareillement à la vue des choses qu’ils voient, et pour lesquels ils se rassemblent. Oh, mais à la sainte messe il y a suite céleste de serviteurs pleins de gloire au ciel, et ils descendent sur la terre aux services saints parmi les serviteurs saints, et voilà, à ce spectacle unique le cœur de ceux réunis ne se serre pas au moment où le prêtre à l’autel s’exprime et demande au Seigneur la bénédiction en disant: Bénis l’entrée de Tes saints, Seigneur! Voilà donc, l’homme ne voit pas la gloire d’en haut, mais seulement celle d’en bas, celle qui éblouit ses yeux et son cœur, et il ne dirige plus ses regards vers le Seigneur, mais vers la gloire passagère de l’homme, qui se tient au nom du Seigneur sur les multitudes, ou au nom de l’ennemi du Seigneur et de l’homme sur la terre.
Cher homme, oh, cher homme, viens sur Golgotha aussi, viens, homme toujours à la recherche, et ne cherches pas seulement de te servir de Lui, mais de L’aimer aussi, d’aimer Celui Qui te suit en soupirant pour que tu l’entendes et Le reçoives, et laisse-Le Se servir de toi pour l’amour de Dieu et des semblables, pour que tu sois comme Lui, pour que tu Lui ressembles, à Celui de Golgotha, puisque là où il y a ton cœur, à ce lieu même il y a ton trésor aussi, car ceux du monde ont dans le monde le trésor et leur cœur aussi, et ils font la débauche en aimant le péché, en aimant le monde et son esprit.
Toi, homme, cherche plein de désir saint, cherche de souhaiter le bien du ciel sur la terre et de ne plus avoir d’autre désir sur la terre. Obéis à Ma mère la Vierge tel qu’ils lui ont obéi les convives de la noce, lorsqu’elle M’a amené avec elle à la noce, pour M’y manifester vrai Dieu du vrai Dieu, Dieu et Homme, pour Me recueillir par endroits Mes douze disciples, car le temps pour cela était venu, et Moi J’obéissais à Ma mère et J’étais son Fils soumis.
Oh, mère Vierge, prépare-toi maintenant et parle au milieu du peuple de Ma parole, Ma mère. On a jour de fête impériale, Ma mère, c’est Mon jour et le tien et celui de l’ange de l’annonciation, Ma mère. Oh, il est grand ce jour, Ma mère.
— Oh, mon grand Maître et grand Dieu, Tu T’es fait mon Fils aimé il y a deux mille ans, Seigneur, et moi je me suis faite Ta mère, sur la terre. L’homme ne peut préparer Tes jours de gloire, mais ils viennent ceux du ciel pour les préparer, mon Fils bien-aimé. Oh, quelle grande fête a apporté sur la terre il y a deux mille ans l’ange qui est venu chez moi avec l’annonce celle du ciel, la bonne nouvelle de Ta naissance de mon sein virginal, le jour de Ta conception pour Ta naissance ensuite, Seigneur merveilleux entre les saints.
Ils cherchent, ils cherchent toujours les grands hommes de la terre, ils cherchent par toutes les voies de porter le monde au bien, mais c’est seulement l’Evangile du Seigneur, c’est elle seulement qui peut vous réunir et vous apporter des temps de joie, oh, peuples de la terre. Aucun ordre de la terre ne peut sans Dieu établir sur les peuples la paix et la joie, mais seulement l’amour de Dieu pourra faire cela, c’est Lui seul qui peut changer l’homme, changer son cœur et son action, et autrement l’homme reste le voleur qui cache le Seigneur de la face des peuples, pour qu’il vole le royaume, lui, le voleur, celui qui trompe tous les peuples, leur disant qu’il leur apportera le bien, pendant que personne sauf le Seigneur ne peut le faire.
Oh, peuples, tant loin vous situez-vous de l’esprit de la paix sainte! Ecoutez ce que je vous dis: cherchez l’amour, c’est de lui qu’elle va venir dans votre âme la chaleur pour ceux du ciel, et la foi ensuite. Oh, ne soyez pas incrédules comme Israël, dont le cœur ne se serrait pas en voyant le nuage descendant avec le Seigneur dedans, ou le pilier de feu avec le Seigneur dedans, qui éclairait la voie du peuple Israël, et ce peuple a péché par le manque d’amour et par incrédulité ensuite, et il a trouvé bon de lapider Moïse, par lequel le Seigneur aidait Israël. Oh, n’éloignez pas le Seigneur de votre voie! Il vient en parole, beaucoup de parole, au-dessus de la terre pour aller au devant de vous avec le temps de la joie, avec le temps du Seigneur, et votre conduite n’est pas douce et belle face à Sa descente chez vous. Oh, si vous ne voulez pas avoir des douleurs, des épreuves, des tensions, faites ce qu’il vous dit de faire. Que vous ayez grande douleur pour tous les péchés que vous avez commis, vous et vos semblables, ceux d’auprès de vous et ceux de toute la terre, et que l’on voie ce mal profond en vous, pour qu’ensuite vienne le temps de la joie et de la paix sur vous. Oh, c’est cela le travail que le chrétien doit faire, et pas un autre. Et voilà quelle serait l’œuvre d’un peuple orthodoxe: de faire tout ce que le Seigneur lui dit de faire, et qu’il y ait de l’obéissance, car la désobéissance au Seigneur amène le péché, et l’homme commet le péché au lieu de l’obéissance qui convient. Oh, quel a été le profit de l’homme s’il a désobéi dans l’Eden?
Prenez garde avec peur, vous, peuples, et quittez votre propre volonté, la volonté qui sépare l’homme de Dieu, du bien qui ne vient que de Dieu! Oh, obéissez-Lui, peuples de la terre! Il n’y a pas de paix sans le Seigneur. Le Seigneur partage Sa parole au-dessus de vous pour vous apporter la paix. Oh, paix à vous, que la paix du Seigneur soit avec vous! Vous ne savez que faire la guerre entre vous et prendre les choses de votre prochain, choses qui ne vous reviennent pas. Oh, que la paix soit avec vous, la paix non pas la guerre! Et pour avoir la paix et le bien, faites tout ce que le Seigneur vous dit de faire. Ouvrez Son livre, le livre de la Parole de Dieu de ces jours, et ouvrez les Ecritures pour y trouver l’annonce de ce livre, qu’il viendra et s’ouvrira sur la terre et il sera la voix du Seigneur sur les vivants et sur les morts, car il est annoncé par les Ecritures, et il est le Seigneur ce livre, le Seigneur Qui vient sur la terre en ces jours pour tous les peuples, pour qu’ils coulent vers cette montagne de parole et qu’ils cherchent d’agir selon la volonté du Seigneur tous les peuples.
On a jour de fête sainte ceux du ciel et le Seigneur descend sur la terre chez vous et Il Se fait parole au-dessus de vous, oh, peuples de la terre. Le Seigneur vous annonce grande joie, Sa parole, laquelle vous établit dans l’esprit de Sa paix. Oh, paix à vous, et fête d’annonciation alors et maintenant! Soyez fidèles. Grands et petits, tous ceux de la terre, soyez fidèles et non pas infidèles! Examinez bien avec la raison et la foi la parole de la voix du Seigneur, car Il est mon Fils, le Fils du Père et mon Fils, vrai Dieu du vrai Dieu, prouvé sur la terre il y a deux mille ans, et annoncé ensuite vers tous les peuples. Amen.
Et maintenant, Seigneur mon Fils, scelle mon parler au-dessus de la terre et au-dessus des peuples. Moi, je veille aux frontières du pays et du peuple roumain, où Tu as établi Ton foyer pour venir maintenant, à la fin du temps, lieu d’où Tu lances l’appel de Ta voix au-dessus de toute la terre, Oh, Seigneur. Oh, on a besoin de réveil d’en haut et d’en bas, et Nous devons exhortez les Roumains à ne pas oublier Dieu et les devoirs que le Seigneur demande aux chrétiens. Jeûne et prière, charité et patience, respect des lois saintes, foi et œuvre de la foi, et surtout l’accueil du Seigneur, Celui Qui vient, venue pour Toi, Fils de Dieu et le mien, Fils Qui vient en obéissant comme un Fils, car Ton œuvre a été et l’est l’obéissance, oh, mon Seigneur, oh, mon Fils bien-aimé, Toi Qui as maintenant foyer au milieu du peuple roumain, auquel Tu viens en parole et Tu Te partages au-dessus de la terre, à voix douce, rédemptrice et salvatrice. Amen.
— Oh, quelle joie, Ma mère! Fête de joie est ce jour de fête! «Réjouis-toi, celle comblé de grâce!», c’est ainsi qu’il t’a dit l’ange de l’annonciation en ce jour il y a deux mille ans, et il t’a annoncé que Je viendrais et que Je Me montrerais sur la terre Dieu de Dieu, Fils de Dieu, prenant place dans ton sein en vue de la naissance entre les hommes, oh, mère Vierge. Je bénis à grand amour ta veille sur le peuple roumain. Bientôt, bientôt Je laisserai parole au-dessus du peuple roumain pour augmenter sa sagesse et l’accomplissement de Ma parole sur lui, oh, Ma mère. Paix à toi au-dessus du peuple roumain et de la veille sur lui de Nous aussi, Ma mère! Amen.
Oh, peuple de Ma parole celle d’aujourd’hui, pourquoi peux-tu rester avec Moi et croire ainsi? Si tu étais toi et ton prochain seulement, réunis en Mon nom, oh, les fils, si ce n’était pas toujours Moi le troisième pour animer l’amour et la foi et la fraternité entre les frères, oh, tu ne pourrais pas rester uniquement le Mien, et tu t’en irais d’auprès de Moi, mais Ma crèche de parole garde la force de ta foi, de ton espoir de ton sacrifice, et pour le sacrifice tu reçois du payement, tu reçois de la foi par grâce. C’est toi et ton frère, mais c’est Moi aussi, et Je suis Celui Qui vous garde les Miens, et c’est près de Moi que Je vous garde. Oh, quel mal se sont-ils fait ceux qui sont partis! Ils sont partis faute de raison, c’est pour cela qu’ils sont partis d’auprès de vous et d’auprès de Moi et d’auprès du lieu de Ma source de parole, et il n’y a plus personne à les aider, à les protéger là où ils sont, mais seulement votre amour envers Moi et envers les hommes, votre charité seulement est restée pour faire mémoire de leur nom devant Moi, sur la table de chez vous, fils intermédiaires par la prière devant Moi. Mais leur état n’est pas bon, les fils, car ceux qui Me quittent, Me quittent, et ils ne peuvent se disculper pour cela.
Oh, rappelle-toi, Mon peuple, de ma mère la Vierge, qui avait dit aux convives de la noce de Cana de faire tout ce que J’allais leur dire de faire et d’accomplir. Faites tout aussi, faites tout ce que Je vous dis de faire et d’accomplir, et c’est ainsi que vous allez Me retenir avec vous, et c’est ainsi que vous allez rester auprès de Moi, et Moi auprès de vous, et le monde ne va pas nous séparer.
Je vous ai demandé: pourquoi le monde ne peut-il être avec Moi? Mais celui qui aime l’esprit du monde et ses faits, oh, comment pourrait-il être avec Moi? Tout aussi, celui qui aime Mon Esprit et Son œuvre sur la terre, comment pourrait-il rester sans Moi, s’il a choisi d’aimer ainsi? Oh, vous pourrez rester avec Moi et Moi avec vous si seulement vous faites toujours tout ce que Je vous dirai de faire, les fils, et autrement il ne peut rester avec Moi celui qui veut être le Mien. C’est pour cela que Je vous ai appris et que Je vous dis encore et encore de faire attention au devoir de l’obéissance, puisque pour ceux qui n’obéissent pas c’est le péché qui suit, les fils, c’est la séparation de Dieu qui suit, par le péché, les fils. Oh, s’ils apprenaient bien cela tous ceux qui se proposent de croire dans Ma parole d’aujourd’hui et d’être les Miens par l’accomplissement total de cette parole dans leur vie!
Oh, ne péchez pas, vous, ceux qui vous vous êtes choisis et vous voulez être les Miens, et Moi le vôtre. Voilà ce que Je vous dis: S’il y a parmi vous de ceux qui, pour leur justice et position pèsent et mettent sous la coulpe ceux par lesquels Je porte le fardeau de l’œuvre de Ma venue en parole sur la terre, pour Me préparer ainsi le jour de la gloire, oh, s’il y a parmi vous de ceux qui frappent autour d’eux des âmes, dont la foi et l’amour pour Mon œuvre et ceux qui la portent peuvent souffrir, si vous êtes habitués à vous disculper en jetant autour de vous des paroles de mécontentement sur ceux qui vous dirigent et vous élèvent minutieusement, oh, guérissez-vous et allez guérir ensuite ceux que vous avez abattus par vos mécontentements versés sur eux, puisque l’homme glisse facilement vers la haine, car l’homme a besoin d’amour, non pas de haine. Prenez garde car si la haine apparaît dans l’homme et elle grandit en lui, elle tue en deux côtés ensuite, et même en trois côtés si elle est nourrie, si les cœurs faibles ne peuvent la repousser afin qu’elle parte, afin qu’elle ne fasse pas son nid pour y demeurer, pour la chute des faibles.
Et Je vais vous conseiller encore, les fils, car Je travaille pour vous protéger. Et maintenant allons glorifier Ma mère la Vierge, l’impératrice, car Je suis Fils d’Empereur et elle est Ma mère, Ma mariée, et elle est impératrice. J’ai été un seul esprit avec elle pendant tout son temps d’avant l’annonciation par l’ange, et J’ai été ensuite une seule chair avec elle durant le temps passé dans son sein jusqu’à ma naissance Petit Enfant parfaitement accompli, et J’ai été de nouveau et Je suis un seul esprit avec elle, dans la même demeure céleste pour l’éternité, et le Père bénit toujours, toujours auprès de Moi, celle qui est Ma voie vers les hommes, l’impératrice, Ma mère la Vierge.
Oh, gloire à Mon nom et le tien, Ma mère, nom impérial, Ma mère, et le Père Sabbaot Se réjouit de la joie des jours de Ma gloire avec ceux du ciel sur la terre.
Oh, Mon Père, réjouis-Toi de Moi et avec Moi, et qu’il y ait des miracles sur la terre par la parole prononcée de Ma bouche en ce temps glorieux ! Bénis le peuple roumain pour sa garde et sa paix, Mon Père, et écarte de lui ceux qui sont totalement étrangers à Dieu et à la volonté de Dieu, puisque le peuple roumain est peuple chrétien selon le nom, mais qu’il le soit aussi avec sa vie, car J’ai donné Ma vie pour avoir peuple chrétien sur la terre, Mon Père.
Maintenant Je laisse Ma paix sur toi, peuple de Ma parole. Je t’embrasse, car Je suis ton Pasteur et ton Dieu, et prends soin de savoir qui est porté dans les bras, prends soin d’être petit et propre pour pouvoir te porter dans Mes bras, pour que Je puisse t’avoir, pour que tu ne te perdes pas, pour que Je ne te perde pas, le fils, et que tu restes le Mien pour l’éternité, que tu restes Mon peuple, Mon peuple roumain, et que Je t’aie au ciel pour l’éternité, et que Je puisse t’accorder le ciel nouveau et la terre nouvelle. Amen, amen, amen.
07-04-2014
