La Parole de Dieu à la Fête du Grand Saint Martyr et Guérisseur Pantélimon

Je vous pais avec l’esprit de la douceur et avec l’humilité du cœur, Je vous pais vous, ceux élevés et formés par l’action de Dieu sur vous, sur votre vie avec Dieu, car Je suis Pasteur venu du Père, et Je ne Me suis pas enfuit quand le moment fut venu de mettre Ma vie pour ceux qui allaient Me suivre, en prenant leur croix seulement et rien de plus, Me suivant ensuite en travaillant Ma volonté, pour pouvoir les paître, car comment pourrais-Je conduire celui qui n’accomplit pas la volonté de Dieu? Oh, Je ne le pourrais s’il ne pouvait faire Ma volonté, et pas toujours sa volonté, car un tel homme n’a pas de pasteur pour la marche de sa vie, et il va selon sa volonté, du moment qu’il ne comprend pas et il n’apprend pas ce que cela signifie la vie de chrétien, la vie de fils de Dieu, selon Mon nom fils, nom de chrétien, de Mon nom pris et porté.

Oh, fils, vous qui prenez de Ma bouche Ma parole pour que vous la partagiez, oh, Je suis venu avec la fête d’aujourd’hui et avec les saints, les fils. L’armée des grands saints a en fête en son nombre le martyr Pantelimon, celui qui porte le nom de guérisseur, celui qui a été élevé de la part de Dieu, par celui qui l’a formé, oh, et ni lui ni le pasteur de son âme, ne se sont pas enfuis lorsque le temps fut arrivé de mettre leur vie pour le Christ, et pour ceux qui allaient marcher sur les pas du Seigneur, avec la croix portée et dans Sa volonté sur eux. Voilà ce que cela signifie selon la vérité que le chrétien soit formé d’un pasteur, qui lui apprenne la croix, et sa portée! Oh, et il a dit une foi un pasteur d’âmes qu’il peut arriver de rencontrer sur la voie de la vie un homme sage, qui montre les défauts et qui réprimande celui qui les manifeste, et toi, tiens-toi auprès de lui, comme après un trésor, comme après une lumière qui guide, puisque si un mal n’est pas corrigé, ce mal redouble, et il va beaucoup, il va tout gâcher, oh, et voilà l’œuvre de vrai pasteur, oh, les fils!

Nous fêtons en ce jour l’enfant guidé par le pasteur de sa vie, qui l’un après l’autre ont mis leur vie pour le Christ devant les incroyants de leur temps, et qui se sont fait ensuite des guides dans le ciel pour ceux qui veulent apprendre la marche et la vie de chrétien entre les hommes sur la terre, oh, et puisque ce n’est une plaisanterie que de vouloir être chrétien, et ne pas arriver à comprendre, à savoir ce que tu dois faire avec toi, et si tu ne comprends pas cela, oh, tu n’as pas encore goûté de Dieu, et de ta venue après le Seigneur. Tu ne dois plus travailler, tu ne dois plus rien faire de toi-même, quand tu viens être formé pour devenir chrétien avec les faits de ta vie, oh, et c’est ainsi que l’on peut reconnaître que tu es venu pour être formé, et c’est ainsi qu’il a fait le martyr Pantelimon, au moment où il avait appris qu’il existe la vie en Dieu, si tu veux la trouver et l’aimer, sans chercher d’autre amour pour toi.

Oh, il est dangereux qu’il t’aime ceux d’autour de toi, et que cela te fasse plaisir, car ce fait peut te priver de Mon amour pour toi, fils chrétien. Et encore, il est dangereux que tu n’aimes pas ceux d’autour de toi, car cela te montrerait fils de l’esprit de l’orgueil et du jugement des frères, et tu peux perdre Dieu, car l’amour venu de Dieu et de l’humilité du cœur, tu ne dois pas les travailler de temps en temps, ou au besoin, mais tu dois prendre tout ce qui te vient comme de Dieu, et que l’humilité du cœur te soit tout le temps comme le levain, dont ton cœur, ta conduite, ton amour de Dieu sont faits.

Oh, il devrait que l’homme pleure pour tant de douleur qu’il Me fait par sa stature, celle pleine de l’envie de la chair, et ne pas se venger de Dieu comme Adam l’a fait, tel qu’il a écarté et éloigné Dieu de lui et de sa vie dans le péché, et pour laquelle il a donné en échange sa vie dans l’Eden.

Oh, il est vraiment dangereux que l’homme chrétien n’aime pas Dieu sans cesse. Celui qui n’aime pas Dieu de désir ardent et avec le souci de ne pas Le perdre, cet homme là est travaillé du diable de différentes façons, car il lui fait place par son manque d’amour de Dieu. Oh, on ne peut aimer comme on veut, comme on peut, où comme on veut pouvoir le faire. L’homme aimant de Dieu doit être l’amour-même, tout comme Dieu par l’amour, car l’amour c’est seulement celui envers Dieu, et celui incité par le cœur de l’homme, par la chair, par l’agitation de la nature humaine, tout cela c’est de la débauche, ce n’est pas de l’amour, tel que l’homme essaie de dire, et celui–ci tombe tout comme l’homme, qui tombe toujours, puisque l’amour n’est pas charnel, oh, toi homme. Il est céleste, il est Dieu, et sa place est dans le ciel, et l’homme qui aime Dieu il est dans le ciel avec l’amour, et le ciel est en lui, pour son amour envers le ciel.

Oh chrétien, toi qui as sur ta table Ma parole celle d’hier et celle d’aujourd’hui, oh, tu devrais comprendre comme étant ton œuvre ta formation, celle de Dieu, homme fait de Dieu, tu devrais laisser que l’on travaille sur toi, si tu es venu te rapprocher de cette œuvre de création de l’homme. Il y en a beaucoup de ceux qui s’assemblent en groupes, en toutes sortes de groupes, qui se nomment d’eux- même des chrétiens sauvés, et ils se rassemblent et ils chantent et ils s’enorgueillissent en parlant de Christ, mais leur création de nouveau ils ne la veulent pas, car ils se réunissent pour se réjouir et c’est tout, mais ici, dans l’œuvre de Ma parole, on intervient à la conduite de l’homme, à son esprit, à sa permission de se laisser travaillé par Dieu, oh, et on voit cela par le comportement envers le Christ de l’homme, pas par des paroles, pas par des promissions et c’est tout, pas par des prières et des chants et c’est tout, oh, ce n’est pas ainsi qu’on fait un chrétien dans l’homme. On reconnaît l’homme par ses faits, par ses fruits, par la conduite face au Christ dans l’homme, tout comme, par cette-même conduite on reconnaît le visage du diable, par l’impiété de l’homme, par l’insoumission, par la méchanceté, par des paroles, par l’esprit du jugement sur l’autre, pour qu’il fasse le mal celui qui regarde vers le mal de l’autre, pendant qu’un chrétien ayant le Christ en lui, cherche à corriger celui qui commet le mal, et d’aucune façon ne pas augmenter, multiplier le mal.

Oh, les fils, vous qui portez Ma venue, J’essaie d’apprendre à l’homme l’humilité du cœur, l’œuvre qui guérit, les fils. Celui qui n’a pas l’humilité du cœur toujours, pas de temps en temps, oh, celui-là c’est pour cela qu’il n’aime pas Dieu, et ensuite son prochain! Oh, le Seigneur ne te donne pas la grâce de L’aimer, puisque le Seigneur ne veut pas être aimé par celui qui n’a pas l’humilité de cœur, par celui sans formation sur lui, oh, et là où il n’y a pas de réprimande, il y a de la débauche, ils sont les fils de la débauche ceux qui sont libres du travail de la réprimande, tel qu’il est écrit, tel qu’il se confirme aussi.

Ils tombent les hommes, elles tombent les cités, elles tombent à cause du manque d’amour de ceux qui les habitent, mais s’il y a l’amour de Dieu, elle ne vient pas la destruction, oh, elle ne vient pas, et c’est pour cela que J’ai dit Moi, le Seigneur, qu’on prenne grand soin pour le peuple de Ma parole, et qu’il se ressemble ceux qui vivent en communautés chrétiennes, car autrement on fait place au diable par l’esprit du mécontentement, qui vient du mauvais esprit de la présomption, oh, et c’est le mécontentement qui a fait tomber d’après de Moi les mécontents, car le mécontent a de l’orgueil, et il ne peut avoir de repentir, celui qui puisse mener l’homme au pardon du Seigneur, et voilà, elle est bonne l’humilité, elle est bonne la repentance, l’une de l’autre ces deux œuvres du cœur d’un chrétien, celui qui se soumet pour l’amour de Dieu par sa vie.

Oh, les fils, les fils, ceux pleins d’humilité n’ont peur de rien, sinon de ne pas perdre le Seigneur de leur vie, et ils ont peur du péché, puisque le péché c’est de la mort, c’est de la chute de Dieu, et voilà, les martyrs ont eu peur de ne pas perdre le Seigneur, mais ils n’ont pas eu peur de ceux qui tuaient leurs corps, car l’amour de Dieu, c’est un grand pouvoir dans le chrétien, et on passe avec lui par la mort en souriant, en vainquant et les voilà en parlant avec vous, ceux qui ont aimé Dieu avec humilité, les fils

Moi, le Seigneur, Je donne la parole à l’armée de martyrs car il y a la fête au milieu d’elle, en ce dimanche, et le ciel travaille sur la terre en déchiffrant le mystère de la vie de chrétien, oh, les fils.

— Ta gloire avec Tes saints est un doux tableau, et Tu Te portes avec lui au-dessus de la cité de Ta parole, sur la terre des Roumains, Seigneur, et Tu pais un peuple avec la parole et Tu le nourris du ciel pour sa créaiton de nouveau, celle de Dieu, oh, Seigneur Pasteur.

Oh, combien, combien de guérison, oh, Seigneur! Durant tout ce temps de deux mille ans depuis Ta naissance entre les hommes, beaucoup de martyrs ont témoigné de Toi avec leur vie sacrifiée sur l’autel de la foi, beaucoup, Seigneur, pour qu’ils donnent exemple de soumission et d’obéissance, même sous l’épée de ceux qui les ont tués pour Ton nom, même ayant la possibilité de montrer Ton pouvoir par leur foi. Oh, mais ils T’ont tellement désiré, ils T’ont tellement aimé, et ils souhaitent d’être avec Toi dans le ciel et ils se sont offert comme exemple de patience et de fidélité et d’amour pour tous leurs successeurs, car elle doit être chèrement payée la foi, pour qu’elle pousse et subsiste dans les successeurs avec Ton nom devant, parce que Tu es Dieu venu du ciel sur la terre, Seigneur.

L’amour celui pour Dieu doit être appris comme à l’école, afin que l’homme puisse l’avoir de son amour, oh, et il peut tout cet amour ensuite. Quand on va volontairement à l’école on ne dit plus: «Je ne sais pas, je ne m’y connais pas, je ne peux pas, je n’ai jamais fait cela pour le savoir». Oh, on ne dit plus cela, parce qu’on va à l’école pour apprendre pas pour autre chose, pas pour dire que tu ne t’y connais pas, c’est pas pour cela qu’on va à l’école, mais si tu y vas et tu n’apprends pas, tu n’es pas sage et appliqué, tu ne te donnes pas la peine d’obéir, alors tu fais souffrir ton Maître à cause de toi, tu le troubles, tu lui produis des pressions et de la patience sans fruit.

Oh, quelle honte pour toi, Seigneur, que le chrétien mange de Ta table de parole sainte, celle pour la création de l’homme, comme il n’y a pas eu nulle part sur la terre le long des siècles une telle table de parole du ciel, et qu’un tel homme puisse encore aller vers le mariage, vers le péché, Seigneur. Voilà, la raison n’a pas aidé ces gens là à comprendre Dieu, où de tomber vers le repentir s’ils inclinaient du côté des mauvaises choses, mais nous, Tes saints dans le ciel maintenant, nous nous sommes laissés martyrisés pour Ton grand nom, la foi en Toi dans Tes successeurs et les nôtre, Seigneur, oh, et nous ne nous sommes pas enfuis devant les difficultés et le mécontentement, puisque nous avons eu l’humilité du cœur, et nous n’avons pas connu la présomption, et nous n’avons pas aimé le monde et ses choses, pour être ensuite dignes de lui, par l’esprit de la présomption installé en nous, oh, non, et cela parce que nous T’avons aimé avec humilité et désir saint, Seigneur, et nous nous sommes abandonnés à la main de ceux qui nous ont formés la marche avec Toi, pour être toujours les Tiens et dans l’éternité ensuite.

Elle monte vers Toi et vers nous de la douleur, Seigneur. Oh, il ne se laisse pas le chrétien, il ne se laisse pas guéri de soi-même, il ne se laisse pas conseillé et formé par Dieu, oh, Seigneur. Oh, plus facilement on dresse un animal, même sauvage, et il exécute la volonté de l’homme ensuite, il aime son dresseur et il obéit selon sa commande, et c’est par l’amour que cela est possible pour un animal aussi, et après, l’animal montre plus qu’un homme sa formation nouvelle, et l’amour d’entre lui et son pasteur, auquel il obéit soumis et heureux, et il montre ensuite la quantité de choses merveilleuses qu’il apprend à faire, tel qu’il attire tous les regards étonnés par la beauté du travail d’un animal, qui se soumet à l’école de la formation pour sa conduite sous l’obéissance. Mais l’homme ne peut croire et obéir, il ne peut aimer tellement et se faire aimé, car on a besoin de quelqu’un qui l’apprenne tout cela, oh, mais il ne peut se laisser instruire, le pauvre homme. Il reste sur sa position et c’est tout, c’est tout ce qu’il sait, tout ce qu’il s’est habitué à savoir faire, et le manque d’amour est grand chez l’homme, Seigneur. L’animal aime beaucoup et c’est pour cela qu’il obéit et se laisse formé selon le plaisir de son maître, oh, et quelle douleur pour Toi et pour nous que l’homme chrétien ne peut T’aimer et T’obéir lui aussi, Seigneur!

Oh, quelle douleur, que de douleur monte vers Toi, Seigneur! Si l’homme ne voit pas ce que Tu souffres de lui, il ne croit pas que Tu as mal à cause de lui. Tu cherches toujours de la guérison pour lui, Tu essaies toujours d’apprendre à l’homme le renoncement à soi pour Toi, Seigneur, pour qu’il T’obéisse ensuite, et nous, nous restons comme exemple d’amour de Dieu, et nous disons à tous les chrétiens qu’ils choisissent le martyre, puisque Toi, Seigneur, Tu veux les inscrire comme martyrs par leur travail de soumission de la propre volonté au profit de Ta volonté avec eux et en eux, et celui qui T’obéit ainsi celui–là va recevoir le payement du martyr et il sera exemple d’amour de Dieu sur la terre, car ceux de la terre cherchent et ils cherchent toujours des modèles à suivre, et Toi Tu pais un peuple, avec lequel Tu veux Te montrer dans la gloire et dire: «Voilà, ceux qui M’ont aimé!».

Oh, quelle beauté, que Tu es beau entre eux, quelle beauté, Seigneur! Oh, combien doivent-ils être beaux auprès de Toi! Et gloire à Toi et à l’œuvre de Ta parole au-dessus de la terre, par laquelle Tu nous consoles tellement nous aussi, tellement, oh, Seigneur, oh, Bon Pasteur de ceux de la terre et de ceux du ciel par Ta parole, celle qui console!

— Ma gloire Je vous la donne, Mes chers saints, parce que vous avez vaincu pour Moi et pour vous et vous êtes restés dans Mon amour.

Ma gloire Je la donne à toi aussi, peuple de Ma parole, afin de vaincre toi aussi pour Moi et pour toi et de rester dans Mon amour, que tu dois apprendre avec un maître, oh, Mon peuple, tel que Je t’ai dit.

Oh, les fils, oh, les fils, venez pour apprendre! Prenez de Moi par ceux qui apportent Dieu chez vous. Il ne faut pas les prendre d’auprès de vous quand vous parlez avec eux, ou quand vous parlez d’eux entre vous, ou quand ce sont eux qui vous parlent, mais prenez-les d’auprès de Moi, car autrement vous leur trouvez des fautes, et votre bouche va d’elle-même et vous montrez vos mécontentements, vos protestes, et cela pendant que ce serait à eux d’être mécontents de votre stature, si vous n’aviez pas de règlement sur elle, et sans règlement tout se montre sans droiture, les fils.

Oh, ne cherchez pas d’avoir une vie terrestre dans le corps de ce peuple à si grand nom, fils chrétiens ! Oh, ne M’abattez pas, ne cherchez pas d’être Mes adversaires par votre manque de ressemblance avec Moi et avec ceux du ciel, par vos occupations.

Oh, les fils, celui qui a appris de cette parole sainte et il ne va pas ensuite après la miséricorde pour l’homme de Ma parole, un tel homme n’a pas l’amour de Dieu en lui, et il joue avec sa vie, après avoir appris le mystère de la vie, Mon désir saint pour l’homme, Mon attente de deux mille ans de ramener le chrétien à Mon sein.

Mais vous, de Ma part travailleurs auprès de Moi pour la formation d’un peuple saint près de Dieu, oh, les fils, ne cherchez pas de l’honneur de la part de personne, et ne recevez pas si on vous en donne, car vous Me ressemblez par l’humilité, mais Je vous ai fait savoir qu’ils n’ont pas en eux l’amour de Dieu ceux qui pèsent sur vous, et c’est par leur nature, ils montrent donc du dévouement par intérêt et seulement à leur portée, et ils attendent du payement et de la soumission de votre part, et ce serait tout autrement s’ils se sacrifieraient pour Moi, par l’amour de Dieu, puisqu’il est différent le sacrifice et l’amour d’un chrétien, ils sont différents Mes chrétiens, différents, oh, chrétiens qui vous vous êtes abrités près de la voix de Ma parole et auprès d’eux. Oh, un animal se laisse même plus facilement dressé, pour apprendre l’amour et la soumission et pour pouvoir par l’amour faire ce qu’on lui demande, mais avec l’homme il est beaucoup plus difficile, et Mon fardeau venu de l’homme est de plus en plus lourd, et Ma marche est difficile, pour Me former un peuple et le donner comme exemple de martyr par l’obéissance, par Ma volonté contre sa volonté.

Oh, Mes fils, Nous avons eu en ce jour le soulagement complet du pasteur Cristea, qui a un an depuis sa présentation devant Mon trône avec tout son travail. Maintenant il s’établit dans sa place accomplie, et il s’incline avec paix à l’amour par lequel on fait mémoire de lui chaque jour, et à chaque degré qu’il devait monter, et il vous prie d’être célestes sur la terre, les fils, et il Me dit pour vous cela:

— Oh, Seigneur, oh, Seigneur, c’est seulement un instant la voie de la terre jusqu’au ciel, c’est seulement un petit fragment de pensée et d’amour, et cette distance n’existe plus.

Oh, c’est ainsi que vous devez tenir le ciel auprès de vous, faites tout aussi pour être toujours dans le ciel, et moi je m’incline pour vous affermir du ciel maintenant. Oh, ne laissez pas le ciel loin de vous, ne restez pas loin du ciel, car c’est une grande merveille entre le ciel et la terre la parole de Dieu avec vous. Tenez vous toujours dans cette merveille, mais restez-y avec votre action, avec votre pensée, avec votre parole, car les faits suivent l’homme telle une ombre et ils deviennent des compagnons de chemin sur la terre et dans le ciel pour l’homme. Et vous, ceux qui aimez le Seigneur, ne restez pas sans Son éclat en vous, et nous serons beaucoup consolés de vous, nous ceux qui nous sommes arrivés à la maison.

— Oh, les fils, Moi, le Seigneur, Je vous range maintenant dans l’esprit de la paix céleste. Je viendrai de nouveau dans peu de temps et la consolation du Saint Esprit vous donnera encore du tout, du tout, car vous êtes les consolés, et cela afin que vous puissiez agir pour Moi, oh, les fils. Amen, amen, amen.

09-08-2020