Je Me porte entre le ciel et la terre avec les armées célestes, avec les saints et les anges, qui Me glorifient sans cesse et qui témoignent d’auprès de Moi Ma gloire avec eux et leur gloire avec Moi, car la récompense de ceux qui savent le mystère et l’œuvre de l’amour, elle est grande cette récompense, c’est Dieu avec Sa gloire céleste dans Ses saints, et en ce jour l’assemblée des prophètes du ciel a en fête céleste le prophète Elie, celui qui a montré clairement et a laissé le mystère du paradis connu pleinement sur la terre, en apportant de la nourriture venue du paradis dans la maison pauvre de vie et de nourriture de la veuve de Sarepta du Sidon, car la grâce divine a habité dans le prophète Elie et il a fait augmenter la si petite quantité de farine et d’huile existantes encore dans cette maison-là, et ce miracle se montra nourriture de paradis, aucunement lié de la terre.
Oh, les fils, fils qui veillez Ma venue sur la terre en parole, Nous mettons dans Mon livre avec vous de l’enseignement qui doit éclaircir le mystère du paradis, mystère porté par les saints sur la terre, car le prophète Elie a préparé du pain non-terrestre dans la maison de la veuve, où il était hébergé au temps de son voyage d’une côté à l’autre sur la terre. Lorsqu’on donne à Dieu la dernière goutte de force que l’on a, alors le Seigneur vient avec grand fruit, Il vient du ciel, il vient du paradis ce fruit, mais l’homme n’a pas le pouvoir de sentir et comprendre ensuite l’œuvre céleste qui l’accompagne sur la terre.
Oh, les fils, si Je ne vous avais pas vous recouverts par Moi du don de la foi dans Ma venue en parole au-dessus de la terre, oh, avec qui, et comment pourrais-Je parler pour laisser Ma parole sur la terre? Oh, les fils, Dieu n’est pas apprécié sur la terre. L’homme ne connaît pas cette œuvre pour la réaliser entre lui et Dieu. Vous souffrez en Moi, et Moi Je souffre en vous cette grande peine, le manque de l’amour de Dieu dans l’homme, les fils, oh, mais Nous, Nous ne devons pas finir notre espoir. Ils vont se lever ceux qui vont porter en eux la grâce de l’amour de Dieu, les fils. C’est ainsi que J’ai dit au prophète Elie aussi, c’est ainsi que Je l’ai consolé lui aussi, dans sa douleur pour Dieu, Celui si dépourvu de l’amour venu de la part de l’homme.
Oh, les fils, Nous portons de la douleur, puisque Moi, Je partage avec vous ce que Je porte. Je parle au-dessus de la terre depuis plus de soixante ans par cette source céleste de parole, et Moi Je mets dans le livre la parole de Ma bouche, et il aura qui en tenir compte, oh, car pas en vain travaille Dieu. C’est ainsi que J’ai dit au Prophète Elie aussi, Je lui ai dit qu’il y a encore de ceux qui aiment Dieu et qu’Il n’est pas resté seul dans cette douleur sainte, oh, car elle est grande la douleur d’aimer Dieu et de voir partout autour de toi la séparation de Dieu de l’homme, sa prosternation à lui-même et la perte du temps de sa vie, sans l’amour pour Dieu, pour Celui Qui a fait le ciel et la terre et l’homme, les fils.
Oh, Je serais beaucoup plus affligé que Je le suis maintenant, si Je n’avais pas la parole sur vous, pour dire Ma grande douleur, et toujours plus grande, car la recherche de Dieu s’éteint tout à fait dans les hommes et ils sont toujours plus liés de la terre, car la grande œuvre du mauvais esprit couvre de plus en plus les hommes, de tout part, tel que Dieu n’ait plus comment faire l’homme de regarder vers le ciel aussi et comprendre Sa douleur, la douleur de Dieu, le Créateur du tout, les fils.
Oh, saints bien-aimés de Mon ciel, Je Me porte avec vous entre le ciel et la terre et Nous Nous remplissons de grande tristesse, et Nous inscrivons sur la terre la douleur de l’esprit, et Il est en douleur le Saint Esprit, Celui Qui comprend en Lui tous Ses Saints. Oh, elle va produire du fruit saint Notre douleur et elle sera de la consolation pour Nous, Ceux affligés à cause du manque d’amour envers Dieu de ceux de la terre, Mes bien-aimés.
— Oh, Seigneur endolori, la blessure de mon esprit est plus grande maintenant qu’à l’époque où j’avais mal sur la terre à cause du manque d’amour de Dieu de tous les hommes. Tu attends les hommes, Tu les attends toujours et Tes saints de même. Oh, et Tu attends les chrétiens au moins, Tu les attends se retourner le visage vers les saints, vers les parents du ciel, oh, mais les chrétiens aussi ont ce péché du manque d’amour de Dieu, Seigneur. Ils ne peuvent sortir du monde les chrétiens, ils ne sortent pas de l’esprit du monde, les pauvres et ils restent le visage vers le monde les chrétiens dans lesquels Tu mets encore de l’espoir, Seigneur. Tu les attends se tenir le visage vers Toi, mais ils se retournent et regardent en arrière, ils regardent dans le monde, ils regardent le monde, Seigneur, et Toi, Tu pleures, Tu pleures, Tu pleures ayant pitié d’eux, pitié d’eux et de Toi, oh, car Tu n’as pas d’amour de Dieu dans le chrétien, Tu n’en a pas Seigneur, non, et les chrétiens ne savent pas ce que c’est l’amour, ils ne Te connaissent pas de leur amour.
Oh, ils ne Te connaissent pas les chrétiens, Seigneur. Ils ne veulent pas bien apprendre ce que cela signifie et ce qu’il fait l’amour de Dieu dans l’homme, et dans l’œuvre de l’homme, car Tes chrétiens prennent du monde de la nourriture pour leur cœur, oh, puisqu’ils n’ont pas voulu T’obéir, eux non plus, Seigneur. Par Ta parole si chère, Tu veux les attirer vers les parents saints, pour vivre pleinement le mystère de l’église, le mystère de la juste foi, le mystère de l’orthodoxie, Seigneur, mais ce mystère de la vie de chrétien, il est négligemment gardé, il n’est pas loin de l’esprit du monde, il n’est pas porté vers la vie angélique.
Tes chrétiens ne sont pas sortis de l’esprit du monde, Seigneur, bien que Ton Esprit ait crié et leur ait dit et écrit: «Sors du monde, Mon peuple, sors, et ne goûtes pas de son esprit, de peur que tu ne boives pas de son vin amer ensuite, en payement du manque d’amour envers Dieu! Oh, chrétien, sors du monde avec ton cœur, sors avec tes yeux, sors avec ton oreille aussi, sors avec tes pas, sors tout entier du monde, sors tant que tu le peux encore, et vas par dessus si tu peux, si tu y vas encore, car sur la terre il n’y a plus où mettre le pas, sur un lieu propre et pas souillé du péché, mais cherche d’obtenir par l’obéissance des couronnes de victoire, et cherche cela avec de la soumission, oh, car autrement, tu n’accumuleras rien pour ton salut, quand tu en auras besoin».
Nous aussi, Tes saints, Seigneur, nous apprenons au chrétien à T’obéir avec soumission se tenir sous Ta bénédiction, et nous lui disons:
Oh, procure-toi fils chrétien, procure-toi des couronnes dans ta vie avec de la soumission, si tu es chrétien. Travaille toi aussi comme le disciple qui a obtenu par la soumission cinq couronnes dans une nuit, lorsque, son père conseiller s’étant endormi de fatigue, il n’est pas allé se coucher à sa place de repos, s’il n’a pas eu prononcée sur lui la bénédiction de chaque soir de la part du père de son âme, mais il s’est tenu sage en attendant, et il a vaincu la volonté de la chair, qui le poussait à se coucher sans la parole de celui qui lui bénissait pas à pas sa vie et son œuvre.
Oh, combien d’enseignement verses Tu, Seigneur, sur un peuple d’abord, et ensuite Tu le partages au-dessus de la terre! Mais l’homme est plein d’orgueil, il dit qu’il sait lui, qu’il peut lui, qu’il est lui, et il n’est pas autrement l’homme, il ne peut apprendre à se croire petit, plus petit que celui plus petit qui reçoit du conseil pour lui, pour ses pas bons ou mauvais. Oh, comment le ferait-il, s’il pense qu’il est plus grand que les autres, avec son hardiesse, étant mal élevé, par rapport à celles de Dieu? Oh, si l’homme considérait avec attention l’esprit de l’empereur David, qui soupirait avec humilité et il disait: «Voici, Seigneur, Tu as donné à mes jours la largeur de la main, et ma vie est comme un rien devant Toi».
Oh, comment faire pour retourner l’homme vers Toi, Seigneur endolori? Oh, comment faire pour pouvoir Te donner de la consolation dans Ta grande douleur, Seigneur? Oh, l’esprit du monde ne laisse pas l’homme, ne le relâche pas, il le nourrit toujours, et c’est la même chose avec ceux qui se croient de Tes chrétiens, et qui mélangent en eux Ta nourriture avec celle venue du monde, et ils sortent toujours vers le monde par la porte qui va vers le monde, oh, Seigneur, puisque le chrétien se tient la télé devant les yeux, le téléphone à l’oreille, il se nourrit des choses du monde, et il est malade du monde le chrétien, il n’y a pas un qui obéisse à Ta parole sur lui, tel que Tu attends jour après jour, à la suite de chaque chrétien qui T’a connu dans cette parole, oh, Tu perds tous de Ta main par ces occupations mondaines, mises à la disposition de n’importe qui par l’homme adversaire à Dieu, et son œuvre perfide n’est plus ressenti par le pauvre chrétien, parce qu’il le travaille toujours, il le travaille beaucoup, il le travaille tant, oh, Seigneur, et Toi, Tu essais de parler au chrétien et lui dire de s’en débarrasser, mais Tu ne trouves pas du parler avec Toi au chrétien, Tu n’en trouves pas Seigneur, oh, Tu n’en trouves pas.
Je veux parler à ceux qui se nourrissent de la nourriture de Ta parole, et qui devraient avoir comme fruit en eux l’obéissance, Seigneur. Je voudrais les retourner le visage vers Toi, vers les parents, vers le ciel, et je leur dis à tous, où qu’ils soient, je leur dis cela:
Vous, ceux qui connaissent et cherchez la parole de Dieu par cette source vivifiante pendant ces jours difficiles, oh, les fils, faites bien attention à ce que je vous dis : vous êtes trop terrestres, les fils. Il paraît que vous ne désirez plus le ciel et ses mystères. Il paraît que c’est seulement l’œuvre pour la chair qui vous reste comme travail pour chaque jour. Oh, même au dimanche, le jour où vous voulez donner du repos à votre chair, même alors vous restez toujours charnels, toujours terrestres. Oh, vous n’avez plus de paroles spirituelles, purificatoires de péchés, par des états célestes entre vous, purificatoires du mal qui se trouve en vous, saint amour partagé entre les frères, oh, et la vague vous porte toujours seulement vers celles qui vous sont nécessaires à vous, et c’est tout. Oh, mais pour le Seigneur, voulez- vous encore être et pouvoir agir?
Les fils, les fils, choisissez la voie, les fils. Faites le pas décisif. Prenez comme votre œuvre l’esprit de l’obéissance, de la soumission. Prenez des informations du ciel, pas de la terre. Ne mélangez pas celles du ciel avec celles de la terre en vous et entre vous. Servez au Seigneur tel que je l’ai fait moi, comblé de pitié pour Lui, plein de zèle pour Son travail saint, pour Lui servir tout le temps, et montrer par mon travail avec le Seigneur le mystère du paradis, à savoir vivre entièrement en Dieu, puisque c’est par le Seigneur vivant en moi, que j’ai laissé écrites sur la terre des œuvres célestes, le pouvoir de la foi, de la prière, du zèle contre l’incrédulité de ceux présomptueux dans leur esprit, feu du ciel sur les sans Dieu, mais aussi du travail avec du miséricorde, pour que l’homme connaisse Dieu, les fils, et surtout pour que le Seigneur puisse faire ses œuvres sur la terre par ceux qui L’aiment entre les hommes.
Maintenant, Seigneur, habille-moi dans l’esprit fort des merveilles saintes au-dessus de la terre, par lesquelles le monde puisse connaître Dieu, car je veux que les hommes connaissent cette grâce de Ta miséricorde accordée à eux: l’amour de Dieu. Moi, je me soumets à Toi, et j’exhorte tous à s’habituer à l’œuvre de la soumission, Seigneur, le mystère du fils de Dieu, et par lequel Tu travailles des merveilles sans égal, et de grandes victoires sur Tes ennemis et ceux de Tes chrétiens, mais seulement que Tes chrétiens sachent Te gagner comme leur défenseur et travailleur de merveilles pour eux. Amen.
— Oh, que de peine entre ceux du ciel pour ceux de la terre, qui ne considèrent pas le temps et l’état et le travail contre Dieu et contre l’homme, l’œuvre de l’antéchrist et de l’ennemi diable, car vous, mes chers saints, vous peinez avec Moi, pour établir le royaume des cieux sur la terre, oh, et Nous n’y avons pas de place à cause de l’homme, oh, Mes chers, car chère en vérité a été votre œuvre sur la terre, et tout aussi chère elle l’est dans le ciel, et vous êtes l’armée du Seigneur.
Oh, peuple de Ma parole, cherche la sagesse de ces jour ci pour la connaître, mais cherche-la dans le ciel, car sur la terre Mon adversaire est le tien t’attirent à ne pas aimer Dieu, avec toute ta soumission de chaque jour, et il t’exhorte au mélange avec celles du monde, et voilà, il y a à veiller pour la protection contre l’esprit du monde, les fils.
Vous, ceux qui veillez sur un peuple, pour sa stature devant Dieu, oh, affermissez-vous avec ceux du ciel, avec celles du ciel, les fils, car l’homme est têtu plus qu’un animal, parce que l’animal connaît le Seigneur, il se soumet au Seigneur et à l’homme, et l’homme fait son travail avec lui, et l’animal obéit, oh, mais l’homme ne peut, il ne peut le faire lui aussi, il ne se soumet pas l’homme, les fils, et Moi, J’ai très, très pitié de vous, J’ai toujours pitié, et c’est pourquoi Je partage aussi Ma douleur avec vous, pour avoir vous aussi pitié de Moi, parce que ceux qui sont insoumis et n’aiment pas Dieu et les frères, ceux-là ne se soumettent pas, et Moi, Je Me sens outragé, et vous aussi, oh, les fils. Oh, on n’a pas quoi demander à celui qui n’a pas grandi que par sa chair, et c’est tout, on n’en a pas.
Je prendrai soin d’avoir un jour seulement du blé pur auprès de vous, les fils, oh, car J’ai pitié de vous, et Mon grand travail est grand, et quelques fois Ma pitié pour vous brise Mon cœur, mais voilà, c’est comme ça sur la terre, il y a de la presse seulement pour les choses de la terre, et le côté qui ne périt pas, il n’a plus de place dans la vie du chrétien qui prend de Dieu cette parole sainte.
Et maintenant paix à vous! C’est le don le plus consolateur que Je puisse vous donner en ces temps de difficile marche et difficilement portés, toute sorte de difficultés, mais plus difficilement à porter c’est l’homme inflexible, les fils. Mais, que vous soyez habillés en patience, puisque vous devez être comme Moi, vous devez souffrir les fils, et partager Dieu, car c’est ce travail que Je vous ai donné à partager par Mon œuvre avec vous, et par toute votre peine toujours, toujours paix à vous, paix à vous, oh, les fils! Amen, amen, amen.
02-08-2020